MS2 Flashcards

1
Q

Pourquoi la dlr radiculaire est souvent non dermatomale?

A

• Changements des structures musculosquelettiques entourant le
nerf au site de la neuropathie
• Inflammation intra neurale (neuroinflammation) peut être retrouvée
au site de la lésion et au ganglion de la racine dorsale du niveau
correspondant.
• Des changements de forme et de comportement cellulaires sont
retrouvés à la moelle épinière et au niveau cortical (réorganisation
corticale)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

V ou F avec compression majeur de la racine nerveuse on ressent des picotements?

A

F:• Compression mineure : picotements.

• Compression majeure : engourdissements.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Que teste-t-on en clinique avec les signes neurologiques

(réflexes, dermatomes et myotomes)?

A

• Ils testent les grosses fibres myélinisées qui transportent les
influx nerveux moteurs et sensitifs. Ceux-ci correspondent à 20%
du contenu du nerf. Le 80% restant corresponds aux fibres petites fibres myélinisées et aux fibres non-myélinisées qui voyagent ensemble la sensibilité à la température et la
nociception.
• La sensibilité à la piqûre (douleur) et à la température testent les
80% de fibres restantes mais avec une basse sensibilité et une haute spécificité. En somme, si ces tests de sensibilité à la piqûre
sont négatifs, ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’atteinte de ces fibres. S’ils sont positifs, on est presque certains qu’il y a une atteinte de ces fibres.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Lombalgie avec atteinte neurologique: Nommez les Sx fréquents et signes

A

• Douleur irradiante sous le genou et qui est aussi ou
plus intense que la douleur lombaire.
• Douleur irradiante souvent au pied ou aux orteils.
• Engourdissements ou picotements dans le membre
inférieur.

Signes :
• Signes d’irritation nerveuse démontrés à un ou plusieurs tests de mise en tension neurale comme le SLR ou PKB par exemple.
• Myotomes, dermatomes ou réflexes qui indiquent un manque de conduction nerveuse.
• Les signes neurologiques spécifiques à chaque racine seront vus en détail dans la section évaluation.
NB: Les patients avec une dégénérescence axonale plus
sévère ont moins de chance d’avoir un test
neurodynamique positif
• Ne jamais interpréter les tests neurodynamiques en
isolation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Une racine nerveuse comprimée provoquera :…

A

• Dermatome correspondant hypoesthésique
• Muscles clés (myotomes) correspondants faibles
• Réflexe correspondant diminué
• Douleur radiculaire qui n’est pas nécessairement dans
le territoire du dermatome si :
−Il y a inflammation.
−Le ganglion de la racine dorsale est touché.
• Une atteinte dure-mérienne est souvent associée donc
des signes de douleur dure-mérienne et de diminution
de mobilité dure-mérienne peuvent être associées.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Expliquer la théorie du segment facilité

A

La théorie du segment facilité stipule que s’il existe une lésion à une articulation
vertébrale (par exemple lésion de la facette L4-L5), celle-ci rendra le segment en
question hyperexcitable (tous les influx qui passent par la racine L4). Donc un
stimulus qui serait normalement non douloureux à une structure distale (sur
utilisation du tendon rotulien par exemple) pourrait créer de la douleur parce que
le segment (L4 par exemple) est déjà sur excité par la lésion vertébrale

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

4 hypothèses du Double crush syndrome

A

• Une lésion proximale secondaire à des facteurs vasculaires ou
mécaniques rend la lésion distale symptomatique
• Les changements mécaniques dans un segment altèrent la tension
dans tout le système de sorte que les agressions mineures deviennent
pathologiques
• Les changements inflammatoires intra neuraux expliqués par Schmid
et coll. 2013 peuvent expliquer ce phénomène
• Une autre explication plausible est que des altérations du flux
axoplasmique dues à une blessure à un site le long du nerf peuvent
entraîner une plus grande susceptibilité aux changements
métaboliques des autres sites le long du nerf, ce qui peut causer une
lésion ailleurs sur le trajet du nerf

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

V ou F
La douleur produite par le nerf lui-même est une douleur
neurogène.
• La douleur produite par les tissus conjonctifs entourant le nerf est une douleur somatique.
• Un nerf adhérent donnera une sensation de fin de
mouvement élastique douloureuse lors des tests de mise
en tension neuraux

A

v

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Vou F les facettes articulaires sont dans le plan frontal?

A

F sagittal

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q
Vou F
Facette supérieure
regarde vers l’intérieur
et l’arrière.
Facette inférieure
regarde vers
l’extérieur
et l’avant.
A

V

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Contenu du foramen intervertébral..?

A
• Nerf spinal (racine nerveuse)
• Artère et veine radiculaires
• Nerf sinuvertébral
• Dure-mère
• Tissu adipeux
NB: le nerf prend 30% de l'espace dispo
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

2 types d’atteintes du système nerveux?

A
  1. La lombalgie avec atteinte neurologique proprement dite c’est-à-dire avec une
    perte de conduction nerveuse.
  2. L’atteinte des enveloppes des nerfs et de la moelle (dure-mère et péri nerve)
    ou atteinte de mobilité du système neuro-méningé SANS perte de conduction
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

V ou F la dure-mère est richement innervée en postérieure?

A

F en antérieur si lésion post pas vraiment de dlr car pas innervé

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

chez les
patients classifiés lombalgiques non spécifiques, 3 grandes catégories
de structures sont plus fréquemment atteintes :

A

le disque, les facettes

articulaires et l’articulation sacro-iliaque.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Vou F la hauteur du disque diminue avec l,âge?

A

F, • La hauteur du disque ne diminue pas normalement
avec l’âge. Les anneaux des disques pathologiques
sont moins efficaces pour soutenir la pression et c’est
ceux-ci qui peuvent s’affaisser avec l’âge.

Trabécules horizontales sont perdues avant les
trabécules verticales• Ils perdent de la hauteur même s’il n’y a pas de
présence de fracture

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Vou f dégénérescence=veillissement de la colonne

A

• L’âge est un facteur contributif important à la dégénérescence. Mais la
dégénérescence n’est pas équivalente au vieillissement de la colonne.
• Pour avoir de la dégénérescence, il faut une forme de traumatisme
(macro ou microtraumatismes) ou de surcharge sur le segment
vertébral ce qui est très fréquent chez la plupart des gens.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

V ou F même s’il y a de la dégénérescence il n’y a pas tjr de dlr?

A

V

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Dysfonction sacro-iliaques

donnez des caractéristiques

A
  • Mobilité lombaire pratiquement complète toute direction.
  • Pas de direction préférentielle (Laslett, 2009).
  • Femme péri-partum (Laslett, 2009).
  • Présence d’hyperlaxité générale.
  • Douleur unilatérale en face de l’interligne articulaire de la SI.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Quels signes et symptômes cliniques
pourraient nous faire suspecter que la
facette articulaire est source de douleur?

A

• Pas de signe de pathologie discale (pas de phénomène de
centralisation, les mouvements qui provoquent la
compression en flexion n’augmentent pas la douleur,
Valsalva négatif).
• Limitation de mouvements ou douleur dans une direction
selon la biomécanique facettaire.
• Souvent, l’extension est plus problématique que la flexion
(observation clinique).
• Marcher ou debout pire qu’assis.

20
Q

Qu’est-ce qu’on regarde lors des mot actifs?

A

L’observation des mouvements actifs est une étape clé dans l’évaluation lombaire.
Nous observerons la présence de zone hypo ou hypermobiles, la capacité et
l’aisance à faire le mouvement, le patron moteur utilisé.

21
Q

Qu’est-ce qu’on cherche quand on fait des mouvements répétés?

A

vous devez rechercher quel mouvement créera le

phénomène de centralisation

22
Q

Quand fait-on les mvt H et I?

A
1. Les mouvements purs sont complets et
non douloureux
2. Pour préciser une atteinte biomécanique
de type hypomobilité, hypermobilité ou
instabilité
23
Q

Quelle est la pertinence des mouvements résistés au rachis?

A

aide à évaluer la présence ou non d’un drapeau rouge=présence faible et dlr, pt patho grave. Juste faible et dlr donne bcp d’info=drapeau rouge.

24
Q

Quels sont les examens neuro faits pour les motoneurones sup et les motoneurones inf

A

§ Motoneurone supérieur
§ Clonus)
§ Cutané plantaire

§ Motoneurone inférieur
§ Sensibilité (dermatomes)
§ Réflexes
§ Force musculaire (myotomes)

25
Q

Tests diagnostiques pour la Mobilité neuro méningée

A

§ Flexion cervicale passive (dure-mère en général)
§ SLR (L4-L5-S1)
§ Slump (tension sur tout le système neuroméningé)
§ PKB (L2-L3-L4)

26
Q

Une réponse positive du SLR: reproduction de dlr entre 30 et 75 degrés V ou F

A

V

27
Q

quelles sont les règles de prédiction clinique pour prédire si un patient répondra bien à une thérapie de stabilisation

A

mouvements aberrants en flexion lombaire, Âge < 40ans, répond au prone stability test

28
Q

Vou FDes muscles clés comme les multifides et les abdominaux transverses
peuvent aussi être évalués lorsque le déficit de contrôle moteur est
dominant.

A

V

29
Q

Quels sont les 3 types de dlr qu’on retrouve chez un patient?

A

Neurogène ou
neuropathique
Sensibilisation centrale
Nociceptive (somatique, viscérale, inflammatoire)

30
Q

Décrire douleur neurogène ou neuropathique et celle de type radiculaire aussi neurogène

A

Douleur attribuable à une lésion du système nerveux produite par
un trauma, une compression, une inflammation ou une ischémie.
§ Douleur spontanée
§ Décharge électrique
§ « Coup de couteau »
§ Hyperalgésie
§ Allodynie
Douleur radiculaire
(forme de douleur neurogène) (Bogduk, 2005)
Douleur neurogène qui provient spécifiquement de la
racine nerveuse ou du ganglion de la racine dorsale
§ « Shooting pain »
§ Lancinante
§ Voyage le long du membre correspondant sur une
bande de 2 pouces
§ Localisée et superficielle
§ Souvent associée à des signes neurologiques
(dermatome, myotome, réflexe)

31
Q

Voici les structures qui peuvent donner
une douleur somatique
Toute structure non neurologique qui est innervée par des terminaisons nerveuses
libres peut donner une douleur somatique
Nommez les structures lombaires non-innervées

A
§ Os (Périoste et os sous chondral)
§ 1/3 externe du disque
§ Capsule
§ La dure-mère
§ Les ligaments
§ Les muscles et fascias

NB: certaines structures ne sont pas innervées :Partie non innervé en lombaire 2/3 int du disque, os spongieux le noyau, cartilage (sup) la dure-mère est ++ innervé en antérieur mais très peu en postérieur

32
Q

Douleur nociceptive la décrire: localisation, ce qui la fait diminuer, on la retrouve dans quelles phases, etc?

A

§ Localisée
§ Modifiée par une logique mécanique
§ Zone locale de la blessure est sensible à la pression directe
§ Associée à d’autres signes de dysfonction mécanique comme des craquements,
de l’oedème ou des crépitements
§ Plus présente en phase aiguë et subaiguë
§ Devrait être modifiée par les AINS
§ Si le stimulus douloureux diminue, l’intensité de la douleur devrait diminuer
§ La douleur peut être référée mais pas dans des dermatomes ou dans des patrons
précis

33
Q

Expliquer le principe de la douleur référée

A

§ Douleur nociceptive ressentie dans une région autre que celle qui provoque la
douleur.
§ Exemple :
§ Douleur qui provient d’un disque L5S1 peut donner de la douleur référée jusque dans la fesse, dans l’arrière de la jambe et même dans le mollet
sans même que la racine nerveuse ne soit atteinte.
§ L’explication neurophysiologique de la douleur référée réside dans le fait que
les neurones qui conduisent la douleur d’un même niveau vertébral peuvent
converger dans la moelle ou dans le système nerveux central vers un neurone commun qui relaye l’information au cerveau. Sans plus d’information, le cerveau ne peut pas détecter d’où provient la douleur.
§ La douleur référée peut être somatique (provenir d’une structure du système
musculosquelettique) ou bien viscérale (provenir des viscères).

34
Q

Décrire le dlr viscérale, ses caractéristiques

A

§ Source :
§ Viscères
§ Caractéristiques :
§ Constante
§ Non influencée par la mécanique
§ Crampiforme
§ Peut mimer une douleur somatique :
§ Exemple : douleur provenant des ovaires ou des intestins pourrait donner
des douleurs lombaires mimant une atteinte lombaire. Dans ce cas, quelles
pourraient être les différences entre un patient avec une atteinte
musculosquelettique et une atteinte viscérale?

35
Q

Décrire la douleur inflammatoire (caractéristiques)

A

Source :
§ Stimulation des nocicepteurs chimiques par le processus
chimique de la réaction inflammatoire
§ Caractéristiques :
§ Douleur lourde
§ Hypersensibilité
§ Allodynie
§ Sensation de brûlure
§ Peut être associée à de la chaleur, rougeur, oedème si la structure lésée est en superficie. Comme les structures lésées en
vertébral sont souvent profondes, si de tels signes sont associés à la douleur, une lésion importante (red flags) est suspectée

36
Q

Deux aspects principaux nous viendront en aide pour choisir quelles déficiences évaluer
à l’examen physique

A
  1. Les données cliniques de l’entrevue.
  2. La prévalence des déficiences présentes pour notre hypothèse diagnostique
    principale.
37
Q

Quels patients sont + susceptibles de bien répondre à Exercices spécifiques et mobilisations?

A

§ Pathologie discale lombaire (direction préférentielle surtout en extension).
§ Sténoses (direction préférentielle surtout en flexion).
§ Radiculopathie.
§ Spondylolisthésis.
Plusieurs données cliniques peuvent nous aider à détecter qu’un patient devrait
recevoir des exercices spécifiques à la McKenzie ainsi que des mobilisations
dans la même direction : Présence du phénomène de centralisation, présence de
signes et symptômes qui nous indiquent que le disque intervertébral est atteint.
Il n’y a pas de règles de prédiction publiée nous aidant à la classification.
Cependant, la « treatment based classification » propose (Fritz, 2007) :
§ Forte préférence pour la marche ou la position assise.
§ Centralisation des symptômes dans une direction préférentielle.
§ Périphéralisation des symptômes dans la direction opposée.

38
Q

Quels patients sont + susceptibles de bien répondre à Manipulations

A

§ Degenerative joint disease.
§ Instabilité lombaire (en phase de blocage aigu).
§ Entorse ligamentaire.
Plusieurs données cliniques peuvent nous aider à détecter qu’un patient devrait recevoir
des manipulations vertébrales : condition aiguë, pas de signes neurologique, mobilité
lombaire globale limitée dans une direction, sensation de blocage et raideurs à
l’évaluation des MPIV et mouvements accessoires…
De plus, cliniquement, les mobilisations grades III ou IV sont la plupart du temps aussi
efficace que les manipulations pour améliorer la mobilité, la douleur et la fonction.
§ Règle de prédiction aidant la classification (Flynn, 2002; Childs, 2004; Cleland, 2009) :
§ Apparition des symptômes < 16 jours.
§ Pas de symptômes en bas des genoux.
§ FABQ-W moins de 19 points.
§ PA’S centraux hypomobiles.
§ Rotation interne d’au moins une des deux hanches en décubitus ventral > 35 degrés

39
Q

Manipulations vs mobilisations : définitions

A

Manipulations
§ Mouvement de faible amplitude et de haute accélération qui nécessite une force
minimale et qui est exécuté à la fin du mouvement physiologique disponible.
Mobilisations
§ Les mobilisations sont des mouvements passifs exécutées par le physiothérapeute
avant la résistance finale (R2). Elles peuvent être exécutées en utilisant les
mouvements passifs physiologiques ou les mouvements passifs accessoires

40
Q

Quels patients sont + susceptibles de bien répondre à stabilisation

A

§ Degenerative joint disease
§ Instabilité lombaire
§ Entorse ligamentaire
§ Étirement musculaire
§ Spondylolisthésis
Plusieurs données cliniques peuvent nous aider à détecter qu’un patient devrait recevoir
des exercices de stabilisation : jeune patient, mauvais contrôle moteur, difficulté à
recruter la musculature abdominale et lombaire, hyperlaxité générale ou de la région
lombaire aux mouvements globaux et MPIV…
Règle de prédiction aidant la classification (Hicks, 2005) :
§ Âge < 40 ans
§ SLR > 90 °
§ « Prone stability test » positif.
§ Mouvement aberrant en flexion lombaire (manque de contrôle moteur).

41
Q

Quels patients sont + susceptibles de bien répondre à Traction

A

§ Sténose foraminale
§ Pathologie discale lombaire
§ Hernie discale
§ Radiculopathie lombaire
Plusieurs données cliniques peuvent nous aider à détecter qu’un patient devrait
recevoir des tractions : tractions soulagent, compressions détériorent la
condition, présence de signes neurologiques…
Règle de prédiction aidant la classification (Fritz, 2007) :
§ Patients avec atteinte neurologique qui présentent :
§ Périphéralisation en extension
ou
§ SLR croisé

42
Q

Pour une dysfonction de la sacro-iliaque quels sont les critères étant favorables à cette atteinte?

A

§ Atteinte sacro-iliaque (selon Laslett, 2009).
§ Souvent atteinte en péri-partum.
§ Pas de phénomène de centralisation.
§ 3 tests de provocation sur 5 de positifs.

43
Q

§ Syndrome de dysfonction mécaniquequels sont les critères étant favorables à cette atteinte?

A

§ Pas de centralisation.
§ Pas d’atteinte sacro-iliaque.
§ Peut répondre ou non aux critères scientifiques des règles de prédiction de la
« treatment based classification ».
§ Présence d’une série d’hypo et d’hypermobilités segmentaires associés à des déficits du
contrôle moteur.

44
Q

Expliquer le syndrome de dérangement, le syndrome de dysfonction mécanique et le syndrome postural

A

Syndrome de dérangement
- Centralisation des symptômes avec une direction préférentielle
§ Syndrome de dysfonction
- Pas de centralisation des symptômes
- Douleur en fin de ROM dans une ou l’autre des directions qui ne varie pas avec la
répétition
§ Syndrome postural
- Douleur lors d’une posture prolongée sans plus

45
Q

Vrai ou Faux• La présence de douleur est un très bon indicateur de
danger
• La présence de douleur est très bon pour nous
indiquer la sévérité de ce danger

A

F le 2ième énoncé: La présence de douleur est très mauvais pour nous
indiquer la sévérité de ce danger