Module 6 Flashcards
Nommer les 3 éléments de contrôle central de la respiration
Contrôleur central : tronc cérébral (bulbe rachidien et pont). Reçoit et intègre les infos des capteurs et voies afférentes.
Ensemble de capteurs : récepteurs centraux ou périphériques activer par chgmts chimiques ou une stimulation mécanique -> info transmise au contrôleur central via I.N.
Système effecteur : muscles respi.
Où est situé le générateur du rythme respiratoire ?
Dans la partie caudale du tronc cérébral, le bulbe rachidien.
Quels sont les 2 grands groupes regroupant les neurones respiratoires dans le centre bulbaire ?
- Le groupe respiratoire dorsal
- Le groupe respiratoire ventral
Dans quoi est impliqué le groupe respiratoire dorsal (GRD) ?
La contraction des muscles inspiratoires lors d’une inspi normale.
Nommer les différentes fonctions des sous régions du groupe respiratoire ventral (GRV)
région du complexe pré-Bötzinger : rythme respiratoire (pacemaker)
Autres neurones : contraction muscles expi et muscles inspi (lors d’inspi FORCÉE).
Autres neurones : contraction des muscles du larynx et du pharynx
Nommer les 2 centres respi identifiés dans le pont
Le centre apneustique et le centre pneumotaxique
Où ce situe le centre apneustique et de quoi est-il responsable ?
Situé dans la moitié caudale du pont, responsable d’anomalie respiratoire (blocage de la respi lors d’inspi)
Où ce situe le centre pneumotaxique et de quoi est-il responsable ?
Ce situe dans la partie crâniale du pont et son rôle est de réguler le patron respi et il est responsable de l’arrêt de l’inspi.
Signaux forts : augmentation FR, raccourcissement inspi
Signaux faibles : allongent inspi augmente VC et diminue FR
Nommer différentes voies afférentes qui peuvent modifiée le patron respi (autre que centre pontique et bulbe)
Variation température corporelle, présence d’émotions, à la phonation ou au besoin de contrôle volontaire.
V OU F
L’activité du GRD du bulbe rachidien peut être influencée par différents influx nerveux provenant de capteurs chimiques ou mécaniques situés dans le cerveau ou en périphérie.
VRAI
À quoi répondent les chémorécepteurs centraux dans le cerveau ?
aux changements de la composition chimique du liquide céphalorachidien
V OU F
La barrière hémato-encéphalique est imperméable au CO2, mais perméable aux ions H+ et HCO3-.
Faux (contraire)
Hautement perméable au CO2 ainsi lorsque la PACO2 augmente le CO2 diffuse dans le LCR et fait chuter le pH. Entraine une stimulation des chémorécepteurs qui stimulent les neurones inspi du bulbe rachidien et augmentent la ventilation.
(PAO2: pas d’effets sur le chémorécepteurs centraux)
Nommer les regroupements cellulaires des chémorécepteurs périphériques
- Les corps carotidiens (bifurcation des artères carotides)
- Les corps aortiques (arche aortique)
V OU F
Les chémorécepteurs péri sont les seuls à capter les changements de PAO2
VRAI
un chgmt de PAO2, pH ou PACO2 modifient la ventilation.
PAR CONTRE, ils ne sont pas activés lors de chute importante de la PAO2 (sous 60 mm Hg), puisqu’il y a d’autres facteurs impliqués dans cette situation.
Nommer les différents récepteurs sensoriels qui modulent l’activité des centres respi et leur localisation
- Mécanorécepteurs pulmonaires : muscles lisses de V.R., stimulés par l’étirement pulmonaire-> inhibe respi
- Récepteurs pulmonaire à l’irritation : entre les cellules épithéliales des V.R. inférieures, stimulé par agents irritants -> bronchoconstriction et toux
- Récepteurs J (juxtacapillaires) : parenchyme pulmonaire (près des capillaires pulmonaires dans la paroi alvéolaire), stimulés par congestion vasculaire, oedème et processus inflammatoires -> tachypnée et toux sèche
- Récepteurs dans les voies respi supérieures : muqueuse respi de la cavité nasale jusqu’au larynx et la trachée, sensible aux stimuli chimiques ou mécaniques -> éternuements, toux, laryngospasme, apnée.
- Mécanorécepteurs musculaires : fuseaux neuromusculaires des muscles respi, sensibles à l’élongation muscu -> ajustement de force de contraction des muscles respi
- Récepteurs proprioceptifs et nociceptifs : muscles, tendons et articulations -> augmente ventilation au début de l’exercice
Quel est le facteur le plus important dans le contrôle de la ventilation au quotidien
La PACO2
V OU F
l’augmentation de la PACO2 (un hypercapnie) diminuera la ventilation
FAUX
La ventilation augmentera pour évacuer l’excès de CO2
V OU F
Une diminution du pH artériel (acidémie) entraine une stimulation de la ventilation
Vrai
Via quels récepteurs s’effectuent l’augmentation de la ventilation dans le cas d’une acidémie
Les chémorécepteurs périphériques
Via quels récepteurs s’effectuent la stimulation de la ventilation en réponse à une chute de la PaO2 ?
Chémorécepteurs périphériques
V OU F
La hausse marquée de la ventilation lors d’exercice intense entraine une chute de la PaCO2
VRAI
Nommer les éléments responsable de la réponse ventilatoire à l’exercice
- Mécano et propriorécepteurs
- Cortex cérébral
- Réflexe conditionné à l’exercice
- Oscillations de PaO2 et PaCO2
- Chémorécepteurs pulmonaires
- Température corporelle
Expliquer l’hyperventilation
Ventilation dépasse la production et les besoins d’élimination de CO2 -> alcalose respi
Expliquer l’hypoventilation
Ventilation non suffisante pour répondre à la production et au besoin d’élimination de CO2 -> acidose respi
Quel est la différence entre l’hypoxémie et l’hypoxie tissulaire ? et nommer les différents types d’hypoxie
Hypoxémie : diminution O2 sang
Hypoxie tissulaire : diminution O2 dans les tissus
Types d’hypoxie 1- hypoxémique ou généralisée (baisse de la PaO2 en raison d’une hypoventilation, une diminution de la diffusion alvéolaire, un shunt ou un ratio V/Q déséquilibré)
2- anémique : diminution de la qté totale d’O2 lié à l’Hb causé par diminution de GR circulants, Hb anormale/insuffisante, compétition de l’Hb par le monoxyde de carbone.
3- ischémique : réduction du débit sanguin
4- cytotoxique : présence d’un agent toxique qui inhibe le métabolisme cellulaire qui entraine une incapacité des cellules à utiliser l’O2.
V ou F
La PaO2 reflète directement la qualité des échanges gazeux à l’interface alvéolo-capillaire
VRAI