Module 2 - La prise de décision en contexte de certitude Flashcards

1
Q

Les modèles économiques réduisent des situations complexes à quoi?

A

Des variables clés.

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2
Q

Les modèles économiques permettent de reproduire parfaitement des situations de la vie quotidienne. Vrai ou faux?

A

Faux

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3
Q

L’économie comportementale considère que les décideurs sont rationnels et ne font pas d’erreurs. Vrai ou faux?

A

Faux

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4
Q

L’économie comportementale incorpore les sentiments envers le bien-être des autres dans les modèles et permet de prédire comment une personne prend en considération les effets de ses choix sur les autres. Vrai ou faux?

A

Vrai

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5
Q

Qu’est-ce que l’approche positive en économie?

A

L’approche positive en économie est descriptive et factuelle. Elle vise à expliquer et décrire comment le monde fonctionne réellement, sans émettre de jugement de valeur. Elle repose sur l’analyse des faits, des données, et des relations de cause à effet.

Exemple : “Une augmentation du prix du pétrole conduit à une baisse de la consommation d’essence.” Ici, il s’agit d’un énoncé qui peut être vérifié par des données et qui ne porte aucun jugement sur le fait que cette conséquence soit bonne ou mauvaise.

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6
Q

Qu’est-ce que l’approche normative en économie?

A

L’approche normative en économie est prescriptive. Elle exprime des jugements de valeur ou des opinions sur ce que l’économie devrait être ou comment elle devrait fonctionner. Elle implique des recommandations et des prises de position sur des questions économiques, souvent basées sur des critères éthiques ou moraux.

Exemple : “Le gouvernement DEVRAIT augmenter les impôts pour réduire les inégalités.” Cet énoncé contient une recommandation basée sur une vision de ce qui est considéré comme juste ou souhaitable, mais il n’est pas purement descriptif.

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7
Q

Qu’est-ce qu’une courbe d’indifférence?

A

Une courbe représentant toutes les combinaisons de biens qui procurent le même niveau de satisfaction au consommateur.

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8
Q

Qu’est-ce que la fonction d’utilité?

A

Une fonction qui attribue une valeur numérique au niveau de satisfaction d’un consommateur en fonction de ses choix de consommation.

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9
Q

Que signifie le terme “préférences transitives” en économie?

A

Si un consommateur préfère l’option A à l’option B et l’option B à l’option C, il préfère nécessairement l’option A à l’option C.

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10
Q

Comment une courbe d’indifférence montre-t-elle les préférences d’un consommateur ?

A

Elle montre comment les consommateurs réagissent aux variations de prix.

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11
Q

Que représente la pente d’une courbe d’indifférence ?

A

Le taux marginal de substitution entre deux biens.

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12
Q

Défini un bien substitut parfait. Décrit se que s’est, donne un exemple et imagine se a quoi ressemblerait la courbe/le graphique.

A

Définition : Les biens substituts parfaits sont des biens que les consommateurs considèrent comme interchangeables à un taux constant. Autrement dit, un bien peut être parfaitement remplacé par l’autre sans que cela affecte la satisfaction du consommateur.

Exemple : Deux marques différentes d’eau embouteillée ou deux types de sucre (sucre blanc et sucre brun). Si un consommateur ne voit pas de différence significative entre eux, il pourrait être tout à fait indifférent entre ces deux biens.

Courbe d’indifférence : La courbe d’indifférence pour des substituts parfaits est une droite. Le consommateur est prêt à échanger un bien contre l’autre à un ratio fixe, comme 1 pour 1.

Graphique : Les courbes d’indifférence sont linéaires parce que le consommateur est prêt à échanger une unité de bien A contre une unité de bien B de manière constante, sans perte d’utilité.

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13
Q

Défini un bien complément parfait. Décrit se que s’est, donne un exemple et imagine se a quoi ressemblerait la courbe/le graphique.

A

Définition : Les biens compléments parfaits sont des biens qui sont consommés ensemble dans des proportions fixes. Une unité d’un bien nécessite la consommation d’une unité correspondante de l’autre pour fournir une satisfaction.

Exemple : Un ordinateur et un clavier. Si une personne a deux ordinateurs mais seulement un clavier, elle ne pourra utiliser qu’un seul ordinateur, car ces biens sont utilisés ensemble en proportions fixes.

Courbe d’indifférence : La courbe d’indifférence pour des compléments parfaits est en forme de L. Cela signifie que pour maximiser son utilité, le consommateur doit consommer les deux biens en quantités exactes, et obtenir plus de l’un sans l’autre n’apporte pas de satisfaction supplémentaire.

Graphique : Les courbes d’indifférence sont en angles droits, car il n’y a aucun gain à consommer plus de l’un des biens sans une quantité proportionnelle de l’autre.

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14
Q

Interchangeables à un taux constant, courbes d’indifférence linéaires. C’est quoi?

A

Un substitut parfait.

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15
Q

Consommés ensemble en proportions fixes, courbes d’indifférence en L. C’est quoi?

A

Un complément parfait.

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16
Q

Qu’est-ce qu’une courbe d’indifférence convexe?

A

C’est une courbe qui représente l’ensemble des combinaisons de deux biens (ou plus) qui procurent à un consommateur le même niveau de satisfaction ou d’utilité.

La convexité de la courbe reflète les préférences du consommateur pour la diversité, c’est-à-dire qu’il préfère généralement un équilibre entre les biens plutôt que de consommer de manière excessive un seul bien.

J’aime mieux avoir du vin et du fromage que seulement du vin ou seulement du fromage.

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17
Q

Quels sont les deux hypothèses, qui sont si fondamentales qu’on les appelle « axiomes »?

A

Complétude et Transitivité

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18
Q

Quels sont les 5 hypothèses très générales et plausibles concernant les relations de préférences.

A
  1. Complétude
  2. Transitivité
  3. Monotonie
  4. Convexité
  5. Réflexitivité
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19
Q

Défini moi l’hypothèse de complétude.

A

Le preneur de décision peut toujours exprimer ses préférences entre deux options.

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20
Q

Défini moi l’hypothèse de transitivité.

A

Si le preneur de décision préfère l’Option 1 à l’Option 2 et l’Option 2 à l’Option 3, par cohérence, il préfère l’Option 1 à l’Option 3.

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21
Q

Défini moi l’hypothèse de monotonie.

A

(Plus de quelque chose de bien ou moins de quelque chose de mal est toujours mieux.)

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22
Q

Défini moi l’hypothèse de convexité.

A

L’hypothèse de convexité signifie que si un consommateur est indifférent entre deux paniers de consommation 𝑥 et 𝑦, alors il préférera un mélange de ces deux paniers plutôt qu’un des paniers extrêmes pris isolément. Cela reflète une préférence pour la diversité.

23
Q

Défini moi l’hypothèse de réflexivité.

A

Fait référence à une propriété des préférences selon laquelle tout panier de consommation est au moins aussi préféré que lui-même. En d’autres termes, un consommateur ne peut pas préférer un panier différent à celui qu’il possède déjà. Cette propriété est considérée comme évidente et logique dans la théorie des choix.

Le panier que le consommateurs aura choisi sera forcément son choix favori.

24
Q

Sachant que l’individu préfère strictement X à Y : donnez trois exemples numériques de la valeur de l’utilité de chacun des paniers de consommation.

A
  1. X = 4, Y =3
  2. X = 5, Y = 4
  3. X = 6, Y = 5
25
Q

Sachant que l’individu est indifférent entre X et Y : donnez trois exemples numériques de la valeur de l’utilité de chacun des paniers de consommation.

A
  1. X =4, Y = 4
  2. X = 5, Y = 5
  3. X = 6, Y = 6
26
Q

Qu’est-ce qu’une fonction d’utilité de forme Leontief ?

A

Une fonction d’utilité de forme Leontief est utilisée pour représenter des préférences dans lesquelles les biens sont des compléments parfaits.

Courbes d’indifférence en forme de L.

27
Q

Qu’est-ce qu’une fonction d’utilité de forme des substituts (parfaites/imparfaites) ?

A

C’est une courbe linéaire droite. La parfaite c’est qu’elle part de exemple 10 au X et passe à 10 au Y. La imparfaite commencerait à 10 au X et passerait par 7 au Y…

28
Q

Qu’est-ce qu’une fonction d’utilité de forme Cobb Douglas ?

A

Une fonction d’utilité de forme Cobb-Douglas est une fonction économique largement utilisée pour modéliser les préférences des consommateurs. Elle représente une situation où les biens sont à la fois substituables et complémentaires dans une certaine mesure, et elle capture comment les consommateurs distribuent leurs ressources entre différents biens pour maximiser leur satisfaction ou utilité.

Courbes d’indifférence convexes vers l’origine.

29
Q

Qu’est-ce qu’une contrainte budgétaire en économie?

A

La limite de dépenses d’un consommateur en fonction de son revenu et des prix des biens.

30
Q

Comment calcule-t-on une contrainte budgétaire pour deux biens?

A

m = p1x1 + p2x2.

Le budget total (m) est égal à la quantité total de bien 1 acheté (p1 = prix 1 et x1 = quantité du bien 1) plus la quantité total du bien 2.

31
Q

Que représente le budget du consommateur dans la contrainte budgétaire?

A

Le montant maximum qu’un consommateur peut dépenser sur des biens.

32
Q

Comment un changement du prix d’un bien affecte-t-il la contrainte budgétaire?

A

Il modifie la pente de la droite budgétaire.

33
Q

Expliquez l’effet d’une augmentation du revenu sur la droite budgétaire.

A

Elle se déplace vers la droite de manière parallèle.

Initialement, la droite budgétaire représente toutes les combinaisons de 𝑥1 et 𝑥2 que le consommateur peut acheter avec son revenu initial.
Lorsque le revenu augmente, chaque point de la droite se déplace vers l’extérieur, car le consommateur peut acheter plus de chaque bien.
Le déplacement est parallèle parce que la proportion d’échange entre les biens (la pente de la droite) reste la même.

34
Q

Quelle est la pente de la droite budgétaire et que représente-t-elle?

A

Le rapport entre les prix des deux biens, représentant le coût d’opportunité d’un bien par rapport à l’autre.

35
Q

Qu’est-ce qu’une préférence directement révélée préférée?

A

Lorsqu’un consommateur choisit un panier de consommation x plutôt qu’un autre panier y, alors que les deux paniers sont disponibles dans son budget, on dit que x est directement révélé préféré à y. Cela signifie que, selon les préférences du consommateur, il préfère explicitement x à y, car il a fait ce choix dans une situation où les deux paniers étaient possibles.

Exemple : Supposons qu’un consommateur dispose de 50 € et qu’il choisit un panier x (3 pommes et 2 bananes) au lieu d’un autre panier y (2 pommes et 3 bananes), alors qu’il pouvait se permettre les deux. Dans ce cas, le panier x est directement révélé préféré à y.

36
Q

Qu’est-ce qu’une préférence indirectement révélée préférée?

A

Les préférences indirectement révélées sont dérivées de choix multiples faits dans des situations différentes. Si un consommateur choisit un panier x dans une situation, et que dans une autre situation il choisit y, mais nous savons que x est directement préféré à un troisième panier z qui lui-même est directement préféré à y, alors nous pouvons dire que x est indirectement révélé préféré à y. Cela repose sur un raisonnement de transitivité des préférences.

Exemple : Supposons qu’un consommateur préfère directement x à z dans un premier cas, et qu’il préfère directement z à y dans un second cas. Même si le consommateur n’a pas explicitement comparé x et y, nous pouvons dire que x est indirectement révélé préféré à y parce que x est préféré à z, et z est préféré à y.

37
Q

Les préférences sociales dans les modèles économiques font référence à : (2)

A

À comment un preneur de décision prend les profits des autres personnes en considération au moment qu’il prend une décision

Aux paramètres dans la fonction d’utilité qui mesurent l’influence de préoccupation pour les autres sur l’utilité du preneur de décision.

38
Q

Les modèles des préférences sociales varient selon la source de motivation du preneur de décision. Vrai ou Faux. Justifie.

A

Vrai. Par exemple, le preneur de décision peut être préoccupé par l’allocation finale - peu importe comment on est y arrivé. Il compare ce que les autres recevront par rapport à ce qu’il reçoit. Il peut ressentir des utilités d’avoir plus que les autres ou moins que les autres.

39
Q

Une personne altruiste (type utilitariste) qui a plus de revenus qu’une autre personne est prête à détruire son argent pour diminuer la distance de revenu entre elle et l’autre. Vrai ou Faux. Justifie.

A

Faux. En économie comportementale l’altruiste est modélisé comme utilitariste. Une personne altruiste est préoccupée par l’efficacité sociale. Elle se préoccupe des paiements aux autres et à soi-même qu’elle veut maximiser. Ceci est reflété dans la modélisation de ce type. Détruire de l’argent pour minimiser la distance de revenu entre personnes allait à l’encontre de sa préoccupation à maximiser le bien être (ou revenu) pour tous.

40
Q

Une personne averse envers l’iniquité qui a moins de revenus qu’une autre personne est prête à payer pour diminuer le revenu de l’autre personne et donc la distance de revenue entre elle et l’autre. Vrai ou Faux. Justifie.

A

Vrai. Oui, ce type perçoit une désutilité d’avoir moins que l’autre personne. Si les coûts de diminuer l’inégalité sont inférieurs à la désutilité, elle est prête à payer pour diminuer l’inégalité. Ceci est également le cas, quand elle a plus que l’autre personne. Dans ce cas elle est prête à donner à l’autre personne ou payer pour diminuer la distance. Pour ce type de préférences sociales, les revenus relatifs sont donc plus importants que l’efficacité sociale.

41
Q

La pression des paires peut nuire à une personne qui veut épargner. Vrai ou Faux. Justifie.

A

Vrai. En effet, la pression des paires vient de la motivation de se conformer aux normes sociales formelles et informelles autour de nous. Si les personnes autour dépensent de l’argent et consomment, ceci pourrait mettre une pression de dépenser également et de ne pas épargner ou d’épargner moins que planifié.

42
Q

Défini moi une personne ayant des préférences égoïstes.

A

Une personne avec des préférences égoïstes se concentre uniquement sur son propre bien-être et ne se préoccupe pas du bien-être des autres. Son objectif est de maximiser son utilité personnelle, indépendamment de ce qui arrive aux autres.

Un égoïste ne se préoccupe généralement pas des autres, que ces derniers réussissent mieux ou non, tant que cela n’affecte pas son propre bien-être. Toutefois, s’il pense que le succès d’autrui pourrait nuire à ses propres intérêts, il pourrait réagir de manière à minimiser l’avantage de l’autre, non pas par envie ou jalousie, mais pour préserver ou améliorer sa propre situation.

43
Q

Défini moi une personne ayant des préférences égalitaristes.

A

Les préférences égalitaristes sont basées sur une notion d’égalité. Les individus qui suivent cette approche préfèrent que les ressources soient distribuées de manière aussi équitable que possible entre les membres de la société. Ils peuvent accepter de sacrifier une partie de leur propre bien-être pour améliorer celui des moins favorisés.

44
Q

Défini moi une personne ayant des préférences utilitaristes.

A

Les préférences utilitaristes sont fondées sur la maximisation du bien-être total dans une société. Un individu utilitariste cherche à maximiser l’utilité collective, c’est-à-dire le bonheur ou le bien-être total de tous les individus. Cela peut impliquer des choix qui ne maximisent pas nécessairement son propre bien-être, mais qui augmentent celui de la société dans son ensemble.

45
Q

Lorsque les décisions sont prises en fonction de la perception des motivations et des intentions des autres.

Est-ce que on est en présence d’une préférence sociale basée sur les intentions, le type de l’autre ou sur la distribution final?

A

Les intentions

46
Q

Lorsque le comportement d’une personne est influencé par le “type” de personne avec qui elle interagit.

Est-ce que on est en présence d’une préférence sociale basée sur les intentions, le type de l’autre ou sur la distribution final?

A

Le type de l’autre

47
Q

Lorsque les décisions sont prises pour atteindre une certaine répartition des ressources, souvent dans le but de promouvoir l’égalité ou d’améliorer le bien-être global.

Est-ce que on est en présence d’une préférence sociale basée sur les intentions, le type de l’autre ou sur la distribution final?

A

La distribution finale

48
Q

Quelle est la définition de l’aversion à la perte?

La tendance à prendre des risques élevés pour obtenir des gains.

La tendance à ignorer les pertes financières.

La tendance à préférer éviter les pertes plutôt qu’à réaliser des gains équivalents.

La tendance à investir uniquement dans des actifs sûrs.

A

La tendance à préférer éviter les pertes plutôt qu’à réaliser des gains équivalents.

49
Q

Selon les recherches sur l’aversion à la perte, quel est l’impact psychologique des pertes par rapport aux gains?

A

Les pertes ont un impact psychologique deux fois plus fort que les gains.

50
Q

Quel biais cognitif est souvent associé à l’aversion à la perte?

A

Le biais de statu quo.

51
Q

Comment l’aversion à la perte peut-elle affecter le comportement des consommateurs?
Les consommateurs qui sont affecté par l’aversion à la perte…

… dépensent plus si les biens sont offerts en solde.

… préfèrent les offres d’achat avec remboursement plutôt que les réductions immédiates.

… sont plus susceptibles d’essayer de nouveaux produits.

… sont plus enclins à conserver des produits qu’ils n’utilisent pas.

A

… sont plus enclins à conserver des produits qu’ils n’utilisent pas.

L’aversion à la perte peut amener les consommateurs à conserver des produits qu’ils n’utilisent pas, car se débarrasser de ces produits serait perçu comme une perte.

52
Q

Quelle stratégie marketing utilise l’aversion à la perte pour augmenter les ventes?

Offrir des points de fidélité.

Proposer des essais gratuits avec option d’achat.

Utiliser des publicités humoristiques.

Offrir des échantillons gratuits.

A

Proposer des essais gratuits avec option d’achat.

Proposer des essais gratuits avec option d’achat utilise l’aversion à la perte, car les clients peuvent ressentir une perte s’ils doivent rendre le produit après l’avoir essayé.

53
Q

Comment l’aversion à la perte peut-elle influencer les décisions d’épargne des individus?

Les individus sont plus enclins à épargner une grande partie de leurs revenus.

Les individus sont plus susceptibles de prendre des prêts à haut risque.

Les individus préfèrent dépenser leur argent immédiatement pour éviter l’inflation.

Les individus préfèrent investir dans des actions plutôt que de garder de l’argent liquide.

A

Les individus sont plus enclins à épargner une grande partie de leurs revenus.

L’aversion à la perte peut pousser les individus à épargner une grande partie de leurs revenus pour éviter la perte de sécurité financière en cas de dépenses imprévues.

54
Q
A