Module 1 et 2 Flashcards

1
Q

Buts de psychologie de la personnalité?

A

Décrire, Expliquer, Prédire

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2
Q

DÉCRIRE = Démarche Taxonomique :

A

Terme descriptifs dans le vocabulaire de tous les jours

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3
Q

DÉCRIRE =Démarche hypothético-déductive:

A

Valide les dimensions de la personnalité sur la base de données empiriques

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4
Q

Expliquer?

A

Est dépendante de l’approche théorique adoptée.

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5
Q

Prédire…

A
  • Prédire le comportement en fonction de la personnalité d’un individu.
  • Dépistage et traitement des troubles
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6
Q

Qu’est-ce que la personnalité?

A

la personnalité correspond à une théorie pouvant s’appliquer à tous les individus.

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7
Q

Selon Allport (1937)

A

la personnalité est l’organisation dynamique, au sein de l’individu, de systèmes psychophysiques qui déterminent son comportement caractéristique et ses pensées.

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8
Q

Big five

A
névrotisme
 extraversion
 ouverture è l'expérience
 amabilité/agréabilité
 propension à être consciencieux
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9
Q

Qu’est-ce qu’une théorie?

A

une théorie est un ensemble de principes et de règles associé à des phénomènes divers qui vise à expliquer ceux-ci et à prédire de nouvelles informations.

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10
Q

2 objectifs principaux sont recherchés dans une théorie

A

Expliquer et prédire

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11
Q

Quatre phases nécessaires pour construire une théorie

A

1- Observation: consiste à décrire les variables à l’étude et les relations entre celles-ci.
2- Généralisation des observations: généraliser les observations faites sur un individu, à d’autres individus.
3- Vérification des généralisations: permet de généraliser si les observations faites sur un individu et ensuite généralisées à plusieurs individus constituent quelque chose de significatif.
4- Construction d’une théorie: formuler des généralisations de plus en plus générales et constituer un ensemble cohérent de généralisations/règles entre lesquelles existent des relations logiques nécessaires (i.e. une théorie!).

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12
Q

Méthodes de recherche

A

Étude de cas
Corrélation
Expérimentale

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13
Q

Approche psychanalytique

L’approche psychanalytique explique la réalité intrapsychique selon un modèle de causalité

A

LINÉAIRE

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14
Q

Les auteurs qui vous seront présentés sont

A
- Sigmund Freud
–Carl G. Jung
–Alfred Adler
–Mélanie Klein
–Donald W. Winnicott
–Margaret S. Mahler
–John Bowlby
–Mary Ainsworth
–Karen Horney
–Erik H. Erikson
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15
Q

Approche cognitive-comportementale

A

–Le comportement en changement de l’humain est primordial.
–Des processus cognitifs sont à la base des comportements.
–Le postulat fondamental: l’individu décode la réalité comme un « scientifique »
•Postule le déterminisme du milieu.
–La « personnalité » est le produit du milieu. La personne est un organisme qui répond au conditionnement de l’environnement.

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16
Q

Elle explique les réalités, les comportements observables et mesurables, selon le modèle de la causalité

A

LINÉAIRE

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17
Q

Les auteurs de cette approche abordés dans le cadre du cours sont:

A
–Burrhus F. Skinner
–Albert Bandura
–Julian Rotter
–Georges Kelly
–Walter Mischel
–Aaron T. Beck
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18
Q

Approche humaniste existentielle:

•Aussi appelée

A

phénoménologique

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19
Q

Considère l’expérience _______ de l’individu comme étant très importante, riche de sens et unique.

A

Subjective

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20
Q

Selon les auteurs de cette approche, les individus sont aptes à déterminer leur propre destinée et sont _____ de vivre ce qu’ils ont envie de vivre.

A

Libres

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21
Q

Elle décrit et donne un sens, cherche à comprendre les expériences selon le modèle de la causalité

A

Circulaire

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22
Q

Cette approche se focalise surtout sur

A

le présent, sur « l’ici et maintenant ».

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23
Q

Les auteurs abordés sont:

A

–Fritz Perls
–Abraham Maslow
–Carl Rogers
–Rollo May

24
Q

La perspective des dispositions:

A
  • Considère la présence de prédispositions qui s’expriment lors de différentes situations.
  • Ces prédispositions sont présentes chez les individus, qui répondront aux situations et aux contextes en fonction de celles-ci.
25
Q

Kretschmer (1925), un psychiatre, remarqua que les psychoses
étaient préférentiellement associées à des caractéristiques
physiques spécifiques. Il en identifia trois types:

A

– Leptosome: personne grande, très mince, avec une musculature
et des tissus graisseux peu développés. Plus souvent rencontré chez
les schizophrènes.
– Pycnique: personne petite, plutôt grosse en raison de la
prépondérance des tissus adipeux et ayant peu de muscles. Plus
souvent rencontré chez les bipolaires.
– Athlétique: personne ayant une musculature bien développée,
étant nimince ni gras. Également rencontré chez les schizophrènes.
– Un individu n’entrant dans aucune de ces catégories correspond au
type dysplastique

26
Q

Sheldon (1942): a étendu les notions de Kretschmer à la personnalité normale, afin d’avoir une application pour tous les individus.

A

– Endomorphe: individu gros et gras, musculature peu développée,
est façonné pour le confort et non la vitesse, il est vite épuisé. N’est
pas fait pour le travail physique.
– Mésomorphe: allure musclée. Il est fort, résistant aux maladies et
façonné pour l’exercice physique.
– Éctomorphe: il est fin, reflétant une prépondérance de la peau et du
système nerveux. Taille du cerveau proportionnellement plus
importante que le corps. Il n’est pas fait pour le travail physique.

27
Q

Stabilité de la personnalité

A
• La personnalité est considérée
comme étant relativement
stable dans le temps.
• Elle se met en place dès
l’enfance et continue à se
développer jusqu’à l’âge
adulte sans trop de
fluctuations.
• Peut se modifier, dans
certains cas, suite à des
évènements particuliers (positivement - thérapie, négativement - accidents ou trauma)
28
Q

L’âge ____ influence la stabilité de certains traits de

personnalité dans le temps.

A

subjectif

29
Q

Conclusion:

A

la personnalité est assez stable tout au long de
la vie, à la fois au niveau des traits et au niveau du profil. En
moyenne, les gens deviennent plus sage avec le temps (p.ex des
niveaux plus élevé d’agréabilité, de consciensiosité, etc).

30
Q

Déterminants de la personnalité

• De nos jours:

A

position biopsychosociale de la personnalité.

31
Q

Les ______ peuvent modifier la personnalité

A

hormones

32
Q

Les déterminants:

A

-génétiques, environnementaux et intercation gènes-environnement

33
Q

Toutes différences constatées entre
deux jumeaux MZ proviendrait de
causes ______________
puisqu’ils ont le même génome.

A

environnementales

34
Q

Les résultats des études de jumeaux peuvent-ils être

généralisés à la population ?

A

les jumeaux sont en générale plus solitaire
ils présentent aussi des retards au niveau du
langage et du développement intellectuel.

35
Q

Facteurs environnementaux

A

Partagé : Ce qui touche tous les membres de la
famille. P. ex. statut socio économique, style de
parentage*.
Non partagé : Ce qui est différent. P. ex. amis,
professeurs d’école.

36
Q

Problème

A

un même évènement peux être vécu

différemment P. ex. Un divorce

37
Q
  • Style de parentage
A

(Harry Potter traiter différemment)

38
Q

L’environnement non partagé est

A

particulièrement

important.

39
Q

Études de gènes candidats

A

il y a un gène précis qui est lié à un cmpt

40
Q

pangénomiques

A

Pas d’idée précise sur un gène
qui cause un trait. Ils vont prendre l’ensemble
du génome et essayer de trouver des associations
entre plusieurs gènes et l’apparition de certains traits
comportements ou pathologies

41
Q

Les effets

générationnels

A

Postulat : les mêmes évènements ne vont pas impacter de la même façon la
personnalité des différentes générations.

42
Q

Trait de personnalité:

A

Une caractéristique durable, une disposition à se conduire d’une
manière particulière dans des situations diverses

43
Q

Le DMS 5 est un ouvrage

A

athéorique

44
Q

Un trait n’est pas pathologique, mais peut l’être s’il devient ______________
et qu’il cause une souffrance ou un dysfonctionnement significatif.

A

rigide, inadapté

45
Q

Critères généraux des TP

A

A. Modalité durable de l’expérience vécue et des conduites qui dévie notablement de ce qui est
attendu dans la culture de l’individu. Cette déviation se manifeste au moins dans deux des
domaines suivants : la cognition, l’affectivité, le fonctionnement interpersonnel, le contrôle des
impulsions.
B. Ces modalités durables sont rigides et envahissent des situations personnelles et sociales très
diverses.
C. Entraîne une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social,
professionnel ou dans d’autres domaines importants
D. Ce mode est stable, prolongé et ses premières manifestations sont décelables au plus tard à
l’adolescence ou au début de l’âgeadulte.
E. Ce tableau n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental.
F. Ce mode durable n’est pas dû aux effets physiologiques directs d’une substance ou d’une
affection médicale générale

46
Q

Cluster A (Bizarres)

A

Paranoïaque :Méfiance soupçonneuse envers
les autres dont les intentions sont
interprétées comme
malveillantes.

Schizoïde :Détachement des relations
sociales et restriction de la
variété des expressions
émotionnelles.

Schizotypique :Gêne aiguë dans les relations
proches, distorsions cognitives
et perceptuelles, et conduites
excentriques.

47
Q

Cluster B

Excentriques/théâtrales

A

Antisociale: Mépris et transgression des
droits d’autrui.

Borderline (Limite) :Impulsivité marquéeet
instabilité desrelations
interpersonnelles, del’image
de soi et des affects.

Histrionique :Réponses émotionnelles
excessives et quête
d’attention.

Narcissique :Fantaisies oucomportements
grandioses, besoin d’être
admiré, manque d’empathie.

48
Q
Cluster C
(Émotifs, anxieux/craintifs)
A
Évitant :Inhibition sociale,
sentiment de ne pas être à
la hauteur, hypersensibilité
au jugement négatif
d’autrui.

Dépendant :Comportement soumis et«
collant » lié à un besoin
excessif de prise en charge.

Obsessionnelle-compulsive :Préoccupation par l’ordre,
la perfection et le contrôle.

49
Q

La psychanalyse est le nom

A
  1. D’un procédé d’investigation des processus mentaux qui autrement
    sont à peine accessibles;
  2. D’une méthode de traitement des troubles névrotiques, qui se
    fondent sur cette investigation;
  3. D’une série de conceptions psychologiques acquises par ce moyen
    et qui fusionnent progressivement en une discipline scientifique
    nouvelle.
50
Q

Sexualité:

A

Excitations et activités procurant du plaisir, et qui sont
reliées à l’assouvissement d’un besoin physiologique
fondamental, mais qui ne sont pas réductibles à l’assouvissement
de ce besoin (il peut donc y avoir plaisir sexuel sans qu’un
besoin ait été répondu).

51
Q

Libido:

A
Énergie fondamentale de l’individu, à la base des
pulsions sexuelles(l'énergie qui nous anime. énergie fondamentale de l'individu)
52
Q

Pulsions:

A

représentations psychiques des différentes excitations
en provenance du corps. Se trouvent au niveau de l’inconscient
des individus et motivent lescomportements.
– À l’éveil d’une pulsion, un besoin est créé, augmentant le déplaisir
et la tension psychologique. Ainsi, l’objectif premier est de rétablir
l’homéostasie par l’obtention du plaisir ou par la réduction de la
tension psychique.

53
Q

excitation =

A

tention

54
Q

Pulsions de la première topique:

A

– Pulsions d’autoconservation/pulsions du moi (e.g. alimentation);
– Pulsions sexuelles (procréation, survie de l’espèce, plaisir ).

55
Q

La première topique

A

– Inconscient : Ensemble de contenus dont la personne n’a pas conscience et
qui sont refoulés. Les pulsions s’y trouvent. Ces contenus se manifestent
dans le rêve, les actes manqués, aux lapsus, etc. Pareil inconscient renvoie
au principe de plaisir. Il est le siège du refoulement, processus par lequel
un individu refoule dans l’inconscient, par exemple, des souvenirs.
– Préconscient : Ce qui se situe entre l’inconscient et le conscient, ce qui, sans
être inconscient échappe à la conscience. Renvoie au principe de réalité.
– Conscient : Lieu où se passe ce dont la personne a conscience, contenant
des informations accessibles à la conscience. Renvoie au principe de
réalité.

56
Q

Deuxième topique

A

1) Le Ça :
– Présent à la naissance, il s’agit du bassin énergétique (pulsionnel) de la
personne.
– Le ça représente le monde pulsionnel, ainsi que les expériences et les
éléments refoulés par le moi.
– Il est entièrement inconscient et fonctionne selon le principe de plaisir.
– De ce fait, il est anarchique, il ne considère pas le bien ni le mal.

Le Moi : Se développe à partir du ça, mais grâce à l’influence du
monde extérieur, il fonctionne selon le principe de réalité. Le but
est de s’assurer que la personne a un mode de satisfaction
acceptable. Il met en place les mécanismes de défenses.

3) Le Surmoi : Il nous renseigne sur ce qui est moral et amoral,
basé sur les valeurs de la société et des parents, considère le bien
et le mal. Il a un rôle de juge. Il produirait ainsi nos remords. Cette
instance est partiellement inconsciente.

57
Q

Pulsions de la deuxième topique :

A

les pulsions de vie (Éros)

– les pulsions de mort (Thanatos).