module 1 Flashcards

1
Q

En quoi le modèle mathématique de Shannon s’oppose-t-il à celui de la cybernétique de Wiener ?

A - Le modèle mathématique conçoit la communication comme un processus circulaire.

B - Le modèle mathématique conçoit la communication comme un processus linéaire.

C - Le modèle mathématique conçoit la communication comme des systèmes.

D - Le modèle mathématique conçoit la communication comme un ensemble de rétroactions.

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : B - Le modèle mathématique conçoit la communication comme un processus linéaire.

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2
Q

Laquelle des définitions du terme « communiquer » est prédominante aujourd’hui ?

A - Être en relation avec quelqu’un

B - Partager une nouvelle

C - Participer à quelque chose

D -Transmettre par divers procédés

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : D -Transmettre par divers procédés

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3
Q

Qui suis-je ? Je suis l’information transmise par un émetteur à un récepteur.

A - La source

B - Le message

C - La transmission

D - La nouvelle

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : B - Le message

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4
Q

Vrai ou Faux ? L’efficacité d’une communication est proportionnelle aux expériences partagées entre un émetteur et un récepteur.

A - Vrai

B - Faux

A

Réponse : vrai

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5
Q

Quelles sont les deux visions de la communication présentées au début du chapitre « Les outils conceptuels » de Windhal, Signitzer et Olson (module 1) ?

A - La transmission et la mutualité

B - La transmission et la linéarité

C - Le partage et la mutualité

D - Le partage et le rituel

E - Le rituel et la mutualité

A

Réponse : A - La transmission et la mutualité

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6
Q

Complétez la phrase suivante. Selon Windhal, Signitzer et Olson dans « Les outils conceptuels » (module 1), les trois dimensions du terme « message » sont : un ensemble de mots, la signification du contenu de la communication et …

A - l’idéologie véhiculée par le message.

B - les codes du langage utilisés dans la communication.

C - la signification attribuée au contenu par les récepteurs.

D - le support technique utilisé pour véhiculer le message.

A

Réponse : C - la signification attribuée au contenu par les récepteurs.

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7
Q

Identifiez le groupe-récepteur dans l’extrait ci-dessous, tiré de Windhal, Signitzer et Olson dans « Les outils conceptuels » (module 1) :

« Une association sportive nationale veut augmenter le nombre d’étudiants qui participent aux programmes de basket-ball du secondaire. Au lieu d’essayer de rejoindre ces étudiants directement, l’association entre en contact avec les professeurs d’éducation physique des écoles secondaires en distribuant des brochures d’information et des documents de recrutement à l’occasion de réunions régionales d’enseignants. »

A - Tous les étudiants des écoles secondaires concernées

B - Les étudiants qui participent aux programmes de basket-ball des écoles secondaires concernées

C - Tous les professeurs des écoles secondaires concernées

D - Tous les professeurs d’éducation physique des écoles secondaires concernées

A

Réponse : D - Tous les professeurs d’éducation physique des écoles secondaires concernées

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8
Q

Quel(s) modèle(s) de la communication accordent une place importante à la communication non verbale, selon le texte de Jean-François Dortier, « La communication : omniprésente, mais toujours imparfaite » ?

A - La proxémique

B - La cybernétique

C - La kinésique

D - L’anthropologie de la communication

A

Réponse : B - La cybernétique et D - L’anthropologie de la communication

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9
Q

Vrai ou Faux ? Selon le texte de Jean-François Dortier dans « La communication : omniprésente, mais toujours imparfaite », la sensibilité à la flexibilité du langage constitue une des caractéristiques de la communication humaine.

A - Vrai
B -Faux

A

Réponse : vrai

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10
Q

Lequel des énoncés suivants ne constitue pas l’une des failles d’une communication neutre et transparente identifiées par Jean-François Dortier dans « La communication : omniprésente, mais toujours imparfaite » ?

A - L’asymétrie des interlocuteurs

B - Les enjeux implicites de la communication

C - L’ambiguïté des messages

D - La passivité du récepteur

E - L’impact insidieux de la forme sur le contenu

A

Réponse : D - La passivité du récepteur

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11
Q

Qui suis-je ? Je suis fondée sur la cohésion et les compromis entre les intérêts égoïstes des individus.

A - Le groupe d’appartenance

B - La communauté traditionnelle

C - La société de masse

D - La communauté de masse

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : C - La société de masse

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12
Q

À quel paradigme de la communication est associé l’École de Columbia ?

A - Le paradigme des effets puissants

B - Le paradigme des effets limités

C - Le paradigme des usages

D - Le paradigme culturel

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : B - Le paradigme des effets limités

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13
Q

Lequel ou lesquels des énoncés suivants ne constituent pas des conclusions de l’étude sur le comportement électoral intitulée People’s Choice (1944) réalisée par Elihu Katz et Paul Lazarsfeld ?

A - Les électeurs font partie de groupes d’appartenance partageant les mêmes représentations et aspirations.

B - Les électeurs ne s’exposent qu’aux contenus conformes à leurs opinions préexistantes.

C - Les médias ne font que renforcer les représentations et les aspirations que possèdent déjà les électeurs.

D - Les groupes d’appartenances jouent un rôle de filtre quant aux contenus médiatiques consommés.

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : E - Aucune de ces réponses

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14
Q

Laquelle ou lesquelles des thèses du modèle des effets puissants et directs sont rejetés par le modèle de la communication à deux étages (two-step flow) ?

A - La société constitue une masse d’individus passifs et anonymes.

B - Les leaders d’opinion constituent des intermédiaires décisifs à l’influence médiatique.

C - Les groupes d’appartenance ont une influence négligeable sur la réception médiatique.

D - Les effets des médias sont puissants et directs.

E - Les effets des médias sont indirects et limités.

A

Réponse : A - La société constitue une masse d’individus passifs et anonymes et D - Les effets des médias sont puissants et directs.

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15
Q

Quelle est la distinction entre les agents de contrôle et les agents de traitement selon Lasswell, dans « Structure et fonction de la communication dans la société » (module 2) ?

A - Les agents de contrôle diffusent les communications.

B - Les agents de traitement créent des contenus médiatiques.

C - Les agents de contrôle modifient le contenu d’une communication.

D - Les agents de traitement modifient le contenu d’une communication.

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : C - Les agents de contrôle modifient le contenu d’une communication.

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16
Q

Vrai ou faux ? Selon Lasswell dans « Structure et fonction de la communication dans la société » (module 2), un individu devient membre d’un public lorsqu’il commence à vouloir influer sur la vie publique.

A - Vrai

B - Faux

A

Réponse : Vrai

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17
Q

Lequel de ces arguments concernant les expérimentations sur la violence médiatique est avancé par Éric Maigret dans « Les pièges des théories des effets directs » (module 2) ?

A - La violence médiatique est symbolique et elle est perçue comme telle : aucune causalité ne peut donc être établie entre des contenus violents et des attitudes.

B - La violence médiatique est symbolique et elle est perçue comme telle : une causalité peut donc être établie entre des contenus violents et des attitudes.

C - La violence médiatique est symbolique, mais n’est pas perçue comme telle : une causalité peut donc être établie entre des contenus violents et des attitudes.

D - La violence médiatique est symbolique, mais n’est pas perçue comme telle : une causalité ne peut donc pas être établie entre des contenus violents et des attitudes.

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : A - La violence médiatique est symbolique et elle est perçue comme telle : aucune causalité ne peut donc être établie entre des contenus violents et des attitudes.

18
Q

Quelle(s) critique(s) ont été adressées à la psychologie expérimentale selon Éric Maigret dans « Les pièges des théories des effets directs » (module 2) ?

A - Son réductionnisme extrême

B - Sa comparaison boiteuse entre comportements humains et animaux

C -Son usage de protocoles expérimentaux peu directifs

D - Son manque d’originalité

A

Réponse : A - Son réductionnisme extrême

19
Q

En quoi Paul Lazarsfeld, de l’École de Columbia, innove-t-il dans son approche des effets des médias selon Breton et Proulx, dans « Enquêtes empiriques sur le pouvoir des médias » (module 2) ?

A - Il produit de nouveaux modèles de la communication à partir de théories appartenant aux sciences naturelles.

B - Il produit de nouveaux modèles de la communication à partir des théories de la persuasion.

C - Il insiste sur la nécessité de produire des données empiriques pour fonder les analyses des effets des médias de masse.

D - Il insiste sur la nécessité de produire des théories pour fonder les analyses des effets des médias de masse.

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : C - Il insiste sur la nécessité de produire des données empiriques pour fonder les analyses des effets des médias de masse.

20
Q

Quelle(s) faiblesse(s) théorique(s) appartiennent au modèle des effets limités de l’École de Columbia, selon Breton et Proulx, dans « Enquêtes empiriques sur le pouvoir des médias » (module 2) ?

A - Il est insensible aux impacts sociaux de la communication de masse.

B - Il fait une critique peu rigoureuse de la culture de masse.

C - Il restreint le concept d’effet à celui d’efficacité à court terme.

D - Il se limite à l’étude des effets pervers des médias.

A

Réponse : A - Il est insensible aux impacts sociaux de la communication de masse et C - Il restreint le concept d’effet à celui d’efficacité à court terme.

21
Q

Vrai ou Faux ? La sociologie fonctionnaliste s’intéresse à la manière dont les différentes fonctions des éléments d’un système participent à son équilibre.

A - Vrai

B - Faux

A

Réponse : Vrai

22
Q

Quel modèle théorique des études des médias s’intéresse précisément aux besoins psychologiques et sociaux satisfaits par l’entremise de la consommation médiatique ?

A - La sociologie fonctionnaliste des médias

B - Le modèle des effets des médias

C - La cybernétique

D - Le modèle des usages et gratifications

E - Le modèle des effets limités

F - Aucune de ces réponses

A

Réponse : D - Le modèle des usages et gratifications

23
Q

L’étude de Chapel Hill (1968) réalisée par McCombs et Shaw a donné naissance à quel modèle théorique de la communication ?

A - Le modèle de la construction d’agenda (agenda setting)

B - Le modèle de la communication à deux étages (two step flow)

C - Le modèle de l’encodage/décodage

D - Le modèle mathématique de la communication

E - Le modèle des usages et gratifications

F - Aucune de ces réponses

A

Réponse : A - Le modèle de la construction d’agenda (agenda setting)

24
Q

Complétez la phrase suivante. D’après le texte de Charles R. Wright, « Analyse fonctionnaliste et communication de masse » (module 3), l’analyse fonctionnaliste porte sur l’examen _____________ des phénomènes sociaux qui affectent _____________ d’un système donné.

A - empirique, le fonctionnement normal

B - théorique, le fonctionnement normal

C - des conséquences, le dysfonctionnement

D - des conséquences, le fonctionnement normal

A

Réponse : D - des conséquences, le fonctionnement normal

25
Q

Vrai ou faux ? Selon le texte de Charles R. Wright, « Analyse fonctionnaliste et communication de masse » (module 3), tous les effets des communications de masse sont pertinents pour l’analyse fonctionnaliste.

A - Vrai

B - Faux

A

Réponse : B - Faux

26
Q

Qui suis-je ? Selon Charles R. Wright, dans « Analyse fonctionnaliste et communication de masse », je désigne l’ajustement d’un système aux nouveaux besoins que créent des changements dans son état interne ou son environnement par le développement de traits appropriés.

A - Le modèle de régulation sociale

B - Le modèle d’équilibre

C - L’hypothèse de régulation externe

D - L’hypothèse de changement

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : B - Le modèle d’équilibre

27
Q

Lequel de ces énoncés ne constitue pas une des limites de la notion d’agenda selon Jean Charron dans « Les médias font-ils l’opinion ? » (module 3) ?

A - Le modèle de l’agenda rend mal compte de certains types d’événements, comme les catastrophes naturelles ou les accidents.

B - Le modèle de l’agenda ne tient pas compte de la capacité d’un acteur d’imposer une définition des thèmes à l’ordre du jour.

C - Le modèle de l’agenda n’est pas adapté aux contextes médiatiques contemporains.

D - Le modèle de l’agenda limite le rôle des journalistes à une fonction de sélection des nouvelles.

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : C - Le modèle de l’agenda n’est pas adapté aux contextes médiatiques contemporains.

28
Q

Vrai ou faux ? Dans les contextes où l’information circule librement, les interactions entre journalistes et leurs sources s’apparentent à une guerre de tranchées où les journalistes sont toujours perdants, selon Jean Charron dans « Les médias font-ils l’opinion ? » (module 3).

A - Vrai

B - Faux

A

Réponse : B - Faux

29
Q

Quelle est la principale monnaie d’échange des journalistes pour obtenir des informations exclusives de leurs sources, selon Jean Charron dans « Les médias font-ils l’opinion ? » (module 3) ?

A - Le prestige et les compétences du journaliste

B - La quantité et la qualité de la publicité que les journalistes peuvent offrir aux sources

C - La garantie, de la part du journaliste, de la confidentialité de la source

D - La crédibilité du média employant le journaliste

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : B - La quantité et la qualité de la publicité que les journalistes peuvent offrir aux sources

30
Q

Vrai ou faux ? Selon Jean Charron dans « Les médias font-ils l’opinion ? » (module 3), l’influence en communication publique se résume à une situation dans laquelle une source d’information manipule l’agenda d’un autre.

A - Vrai

B - Faux

A

Réponse : B - Faux

31
Q

Complétez la phrase suivante. Les trois caractéristiques spécifiques à la Théorie critique de l’École de Francfort sont : l’exigence de réflexivité, un point de vue de la « totalité » et …

A - la réflexion symbolique.

B - la volonté de diagnostiquer le présent.

C - la suspension des jugements de valeur.

D - l’adhésion au néolibéralisme.

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : B - la volonté de diagnostiquer le présent.

32
Q

Quel est l’effet des industries culturelles sur les sociétés selon les premiers chercheurs de l’École de Francfort ?

A - l’élévation intellectuelle des masses

B - la perte de la rationalité des masses

C - le consentement des masses à l’ordre social

D - l’éducation des masses aux problèmes sociaux

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : C - le consentement des masses à l’ordre social

33
Q

Complétez la phrase suivante. Pour Habermas, ______________ de la presse est à la source du déclin de l’espace public bourgeois à partir du 19e siècle.

A - Le développement

B - La marchandisation

C - La polarisation

D - La démocratisation

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : B - La marchandisation

34
Q

Vrai ou faux ? Selon Theodor Adorno, dans « L’industrie culturelle » (module 4), la variété des produits proposés par les industries culturelles est illusoire.

A - Vrai

B - Faux

A

Réponse : A - Vrai

35
Q

Comment Theodor Adorno, dans « L’industrie culturelle » (module 4), caractérise-t-il les contenus proposés par les industries culturelles ?

A - d’humoristiques

B - de pauvres et insignifiants

C - de divertissants

D - d’artistiques

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : B - de pauvres et insignifiants

36
Q

Lequel des énoncés suivants ne constitue pas une des objections habituellement adressées à la Théorie critique, selon Olivier Voirol dans « La Théorie critique des médias de l’École de Francfort : une relecture » (module 4) ?

A - Les théoriciens critiques exagèrent le pouvoir des industries culturelles.

B - Les théoriciens critiques dressent un portrait superficiel de l’industrie culturelle.

C - Les théoriciens critiques se considèrent comme mieux placés que les individus pour comprendre les conditions d’oppression affectant ces derniers.

D - La Théorie critique est spéculative.

E - Aucune de ces réponses.

A

Réponse : B - Les théoriciens critiques dressent un portrait superficiel de l’industrie culturelle.

37
Q

Vrai ou faux ? Comme présenté par Olivier Voirol dans « La Théorie critique des médias de l’École de Francfort : une relecture » (module 4), les Francfortois considèrent que les conditions de vie des sujets modernes les rendent de plus en plus susceptibles de développer un soi « fort » et une autonomie personnelle. 


A - Vrai

B - Faux

A

Réponse : B - Faux

38
Q

Quel est le point de référence à partir duquel s’érige la critique de l’industrie culturelle de l’École de Francfort, selon Olivier Voirol dans « La Théorie critique des médias de l’École de Francfort : une relecture » (module 4) ?

A - Les standards de qualité des produits de haute culture

B - L’éthique et la déontologie en communication publique

C - Le principe de la raison et de la culture émancipatrices

D - Le principe de la démocratie délibérative

E - Aucune de ces réponses

A

Réponse : C - Le principe de la raison et de la culture émancipatrices

39
Q

Qui suis-je ? Selon Habermas, dans « Espace public et sphère publique politique. Les racines biographiques de deux thèmes de pensée » (module 4), je suis un espace d’échanges et de communication fondés sur la raison.

A - La délibération publique

B - Le parlement

C - La sphère publique

D - L’État

E - Aucune de ses réponses

A

Réponse : C - La sphère publique

40
Q

Qu’est-ce que le principe de supervision de la sphère publique bourgeoise selon Habermas dans « The public sphere: An encyclopedia article » (module 4) ?

A - L’État ne peut superviser les décisions privées de la sphère publique bourgeoise.

B - La sphère publique bourgeoise peut superviser les décisions commerciales de l’État.

C - L’État peut superviser les décisions, rendues publiques, du public bourgeois.

D - Le public bourgeois peut superviser les décisions, rendues publiques, de l’État.

E - Aucune de ces réponses

A

réponse : D - Le public bourgeois peut superviser les décisions, rendues publiques, de l’État.

41
Q

Vrai ou faux ? L’inclusion d’intérêts privés dans la sphère publique a contribué au développement de l’espace public bourgeois, selon Habermas dans « The public sphere : An encyclopedia article » (module 4) ?

A - Vrai

B - Faux

A

Réponse : B - Faux