Module 1 Flashcards

1
Q
  1. Quels sont les thèmes récurrents des travaux géographiques?
    a. Étude du paysage
    b. Aménagement du territoire
    c. Analyse spatiale
    d. Étude régionale
A

a: étude du paysage
c: analyse spatiale
et d : étude régionale

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2
Q
  1. Religion et toponymie relèvent de la géographie a. Économique
    b. Politique
    c. Culturelle
    d. Historique
A

c: culturelle

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3
Q
  1. L’espace issu du travail intellectuel des géographes est
    a. Donné
    b. Géographique
    c. Vécu
    d. Produit
A

b: géographique

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4
Q
  1. L’entrevue de type qualitatif s’administre selon le principe de
    a. Saturation
    b. Précipitation
    c. Falsification
    d. Amplification
A

a: saturation

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5
Q
  1. La carte, c’est:
    a. Un outil privilégié de la géographie
    b. Une source d’information sur un espace
    c. Un mode de représentation spatiale
A

Toutes ces réponses

a. Un outil privilégié de la géographie
b. Une source d’information sur un espace
c. Un mode de représentation spatiale

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6
Q
  1. Que nous apprend une carte mentale?
    a. Les connaissances géographiques des étudiants
    b. L’espace perçu de son auteur
    c. La popularité des villes
A

b: l’espace perçu de son auteur

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7
Q
  1. Comme discipline, la géographie revêt cinq fonctions qui contribuent à l’avancement des connaissances. Présenter brièvement ces fonctions..
A

EXPLORATION : aller vers l’inconnu, découvrir

LOCALISATION: situer les phénomènes observés selon un système de coordonnées de référence et selon des contextes spatiaux (situation) et temporels

DESCRIPTION: l’observation, la collecte de données qui permet de reconstituer le phénomène, de le voir dans ses manifestations immédiates (intérêt pour le site, pour le phénomène en soi)

EXPLICATION: ordonner les causalités/relations du phénomène observé (fonction rétrospective et actuelle de la géographie), et à en prévoir l’évolution plus ou moins lointaine (probabilités des comportements; fonction prospective de la géographie)

ÉVALUATION (ou fonction CRITIQUE): la confrontation de nos résultats à ceux obtenus par d’autres chercheurs sur le même cadre spatio‐temporel, ou sur des phénomènes semblables dans d’autres parties du monde ou d’autres périodes de l’histoire. C’est la mise en perspective de la recherche.

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8
Q
  1. Parmi les méthodes privilégiées de la géographie figure la démarche de terrain, qui consiste à observer in situ le phénomène géographique à l’étude pour recueillir des données d’ordre surtout qualitatif. Comment cette démarche sollicite‐t‐elle les sens?
A

VUE: La vue, pour noter la nature, le volume, la localisation, la distance, la disposition, l’alignement des éléments naturels et humains qui composent le paysage. La vue permet aussi d’identifier les régularités et les discontinuités dans le paysage et d’observer les gens afin d’en apprendre davantage sur les modes vestimentaires, les traditions, les transports, etc.

OUÏE: L’ouïe, est interpellée par les bruits ambiants, autant sur la faune que sur l’activité humaine. Ces bruits nous informent notamment sur les activités économiques ou la composition de la population (présence d’enfants, langues parlées…). Sur les plans social et culturel, le géographe peut porter une attention particulière à la façon dont les gens communiquent entre eux (langue et ton).

ODORAT: L’odorat permet de distinguer rapidement les types d’élevage pratiqués, les activités économiques (pâtes et papiers, pêche) et le niveau de salubrité dans une région selon les odeurs caractéristiques de ces éléments.

GOÛT: Le goût permet de s’imprégner de la culture gastronomique locale. Il met le géographe en relation avec les productions locales, régionales ou nationales. Les expériences gastronomiques débouchent souvent sur des dialogues et des découvertes très enrichissants. ex: Une conversation avec la serveuse ou les habitués, tout en dégustant votre poutine ou votre brochette de calmar, vous en apprendra sans aucun doute sur la culture locale.

TOUCHER: rarement utilisé, mais peut être utile pour compléter les sens précédents au besoin. Ex: pour déterminer la nature des sédiments (sable, limon, argile…), la texture des tissus, les températures de l’air et de l’eau, etc.

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9
Q
  1. Dans l’étude de l’organisation spatiale des sociétés, l’espace terrestre qui intéresse la géographie humaine est réel, objectif. Ce concept d’espace terrestre réel recouvre trois types d’espace. Présentez‐les brièvement.
A

ESPACE DONNÉ:
Dimension physique de l’espace, attributs naturels de l’espace (géomorphologiques, climatologiques, biogéographiques) sans la présence de l’homme. C’est avec lui que l’homme doit composer pour s’établir et aménager.

ESPACE PRODUIT OU CONSTRUIT:
Résultat de l’action humaine (économiques, sociales, culturelles, politiques, etc.) des sociétés. En découle le paysage humanisé (ou paysage au sens large). Cet espace existe indépendamment du géographe. C’est le cadre de l’activité humaine, le résultat d’actions, de rapports entre sociétés et milieux, entre individus et entre groupes sociaux.

ESPACE VÉCU/PERÇU:
Espace expérimenté par ses utilisateurs, ses résidants, qui s’en font une représentation. Ils y confèrent des valeurs, des sentiments. La représentation qu’on s’en fait donne des images transformées du réel. Du point de vue de ses utilisateurs, un élément du territoire peut paraître plus vaste, plus loin ou présenter une position plus centrale que la réalité.

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