Module 1 Flashcards
À lire
Type d’évaluation clinique : Complète
Centrée sur un problème
En situation de suivi
En situation d’urgence
Privilégier l’usage d’un langage inclusif (non hétérosexiste, neutre, non genré), favoriser l’autodétermination de la personne, soutenir l’affirmation d’identité et s’assurer du consentement éclairé.
Favoriser le respect des changements du nom, du prénom et des préférences de pronoms, et ce, même s’ils sont différents de ceux inscrits sur certains documents officiels.
À quel genre vous identifiez-vous?
Quels noms et pronoms utilisez-vous
Quel est votre sexe assigné à la naissance?*
Présentation et mention du rôle professionnel
Motifs de l’entrevue (raison de consultation)
Question ouverte :
« Qu’est-ce que je peux faire pour vous? »
« Qu’est-ce qui vous amène aujourd’hui? »
PQRSTUI/AMPLE
Distinguer données objectives de subjectives
Avant de débuter, bien expliquer les étapes et les raisons de chaque examen qui sera effectué.
Indiquer à la personne qu’elle peut refuser une ou plusieurs parties de l’examen physique.
Demander la permission d’effectuer chacune des étapes de l’examen, au fur et à mesure, et prévenir des sensations que la personne pourrait ressentir.
Inspection générale :
- Observation générale de la personne
(Posture, position, démarche, apparence générale, etc.)
- Observation des comportements et du discours de la personne
(Expressions faciales, anxiété, inconfort, agitation, etc.
Articulation, ton, débit, etc.)
- Inspection des composantes de chaque système
(Peau, muqueuses, structures, etc)
Palpation
- Avec la pulpe des doigts (Pouls, texture, humidité, ganglions, nodules, lésions)
- Avec la paume de la main (Vibrations)
- Avec le dos de la main (Température de la peau)
- Palpation légère (moins de 3 cm de profondeur) (Consistance, intégrité, sensibilité)
- Palpation profonde (plus de 3 cm de profondeur)
(Forme, volume, contours des organes et présence de masses )
Percussion
Percussion directe
Ex.: percussion des sinus
Percussion indirecte
Ex.: percussion du thorax
Recherche de douleur à la percussion
Ex.: punch rénal
Percussion à l’aide d’un instrument
Ex.: évaluation des réflexes ostéotendineux
Auscu
Bruits pulmonaires
Ex.: murmures vésiculaires
Bruits cardiaques
Ex.: bruit de fermeture des valves cardiaques
Bruits vasculaires
Ex.: artère brachiale lors de la prise de TA
Bruits intestinaux
Ex.: passage d’air dans les intestins
SBAR
S : Identification du patient
Diagnostic médical ou contexte de soins
Description précise du problème
B Antécédents personnels ou familiaux pertinents
Traitements en place
Observations cliniques et paraclinique récentes
A Données subjectives et objectives actuelles
R Constat d’évaluation
Formulation d’une demande ou d’une suggestion
Évaluation de l’état mental
ACCP
Apparence (posture, mouvement corporels, soins personnels, hygiène, habillement)
Comportement (niveau de conscience, expression faciale, langage, humeur et affect)
Cognition (orientation, capacité d’attention et de concentration, mémoire récente long terme et de travail, fonction intellectuelle supérieure comme calcul, jugement et autocritique)
Processus de la pensée (processus de la pensée, contenu de la pensée, perceptions hallucinations et illusions)
Dépistage de l’anxiété avec quelle échelle
GAD-7
Seuil clinique : ≥ 8 (selon PQPTM)
Indice de changement significatif : ≥ 4
CECI N’ÉQUIVAUT PAS UN DX
seuil clinique = seuil qu’on détermine que présence de sx
seuil de changement significatif veut dire que même si pt est en dessous du seuil clinique
Dépistage de la dépression avec quelle échelle
PHQ-9
Seuil clinique : ≥ 10 (selon PQPTM)
Indice de changement significatif : ≥ 4
Délirium vs trouble cognitif : délirium
Quelle échelle? Comment savoir si positif
Délirium : aigu, réversible, lié à une condition médicale, une intoxication ou un sevrage.
1. Apparition soudaine et fluctuation rapide
2. Problème d’attention
3. Désorganisation de la pensée (ex.: propos décousus)
4. Altération du niveau de conscience
Critères 1, 2 et 3 ou 1, 2 et 4 = CAM positif
Troubles neurocognitifs : c’est quoi + outil de dépistage
Trouble neurocognitif : chronique, irréversible, impacts fonctionnels dans la vie quotidienne.
- Détérioration par rapport au fonctionnement antérieur dans un domaine cognitif ou plus (ex.: attention, fonctionnement exécutif, mémoire, langage)
Test de Folstein ou MMSE (Mini-mental State Examination) si en bas de 24 alors TNCM
Test MoCA (Montreal Cognitive Assessment) plus sensible au TNCL, en bas de 26 signes +
SI MMSE normal : on fait MOCA
TLU : combien consommations= alerte clinique femme vs homme
Comportements à risque :
Chez l’homme : 15 consommations ou plus par semaine ou 5 consommations ou plus par occasion
Chez la femme : 10 consommations ou plus par semaine ou 3 consommations ou plus par occasion
Au-delà de la limite supérieure du risque modéré, les risques pour la santé augmentent davantage pour les femmes que les hommes.
Un plus grand nombre de blessures, d’actes de violence et de décès est attribuable à la consommation d’alcool des hommes.
Dépistage des troubles liés à la consommation d’alcool
Buvez-vous du café? Combien par jour? Fumez-vous la cigarette? Combien par jour?
Vous arrive-t-il de boire de l’alcool?
Au cours de la dernière année, combien de fois vous est-il arrivé de boire min. 5 consommations/jour (hommes) ou 4 consommations/jour (femmes)?
En moyenne, combien de jour par semaine buvez-vous de l’alcool? Combien de verres à chaque fois?
Questionnez la personne sur :
Consommation de certains médicaments (opioïdes, sédatifs, stimulants)
Respect des doses prescrites
Consommation de drogues (quantité, fréquence, voie d’administration, durée, dépenses associées, partage de matériel, accès à de la naloxone)
Raisons de la consommation
Conséquence de la consommation
Objectifs de réduction et tentatives d’arrêt antérieures
Dépistage des troubles liés à la consommation d’alcool : échelle
Questionnaire AUDIT-C
< 2 = Risque faible; ≥ 3 = Consommation abusive ou à risque
Évaluation de la dépression respiratoire
Déterminer le type de substance ayant été consommée (opiacée, benzodiazépines, barbituriques, alcool, etc.)
Reconnaître les symptômes d’une dépression respiratoire:
Altération de l’état de conscience
↓ Fréquence et amplitude respiratoire, évoluant vers apnée
Constriction pupillaire (myosis) secondaire aux opiacés
Hypotension et bradycardie
***Prise en charge rapide : administration de Naloxone (sans Rx)
Évaluation douleur
Durée de la douleur
Aiguë < 3 mois
Chronique
Origine de la douleur (voir tableau 11.1, p. 250)
Nociceptive (somatique ou viscérale)
Douleur projetée ou douleur référée (irradiée)
Neurogène (causalgique ou fonctionnelle)
Cancéreuse
Évaluation de la douleur – autoévaluation
Outil d’évaluation principal
PQRSTUI
Échelles d’évaluation unidimensionnelles (intensité)
Échelle numérique
Échelle descriptive (échelle verbale simple)
Échelle visuelle analogique (EVA)
Thermomètre d’intensité de la douleur
Échelles multidimensionnelles (questionnaires)
Brief Pain Inventory (BPI)
Intensité de la douleur au cours des 24 dernières heures
Impacts sur le fonctionnement
Questionnaire McGill sur la douleur (SF-MPQ)
Qualité de la douleur
Intensité de douleur
Échelles spécifiques
Questionnaire DN4 (douleur neurogène)
Hétéroévaluation
Indicateurs physiologiques
↑ PA, ↑ FC, ↑ FR
Diaphorèse
Dilatation pupillaire
Indicateurs comportementaux
Fatigue, troubles du sommeil, anxiété, dépression
Limitation de la mobilisation et des AVQ
Retrait et isolement social
Évaluation comportementale
de la dlr
Clientèle adulte/âgée en soins intensifs, incapable de communiquer verbalement : grille CPOT
Clientèle pédiatrique: échelles NIPS, FLACC, EVENDOL
Clientèle gériatrique: grille PACSLAC, échelle DOLOPLUS
Choix de l’outil d’évaluation
Âge (prématuré et nouveau-né, nourrisson, enfant, adulte, personne âgée)
Type de douleur (ex.: neuropathique = DN4)
Capacités cognitives
Capacités à communiquer
Contexte de soins (soins intensifs, urgence, post-op, cancérologie, etc.)