module 02 Flashcards

1
Q

Qui suis-je ? Je suis une condition de la personne, essentielle et nécessaire à la vie, la croissance et le bien-être (Reeve, 2012)

A

Un besoin

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2
Q

Vrai ou faux ? Les besoins sont de mêmes natures.

A

Faux

Les besoins peuvent être de différentes natures: physiologique, psychologique et sociale

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3
Q

Vrai ou faux ? Selon une perspective humaniste, Les besoins fournissent les nutriments nécessaires au bon fonctionnement de l’individu.

A

Vrai

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4
Q

Vrai ou faux ? Tous les besoins génèrent de l’énergie.

A

Vrai

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5
Q

Selon Murray (1937), comment un besoin se distingue d’un autre?

A

Par les effets sur le comportement

Un besoin se distingue d’un autre selon les effets qu’il a sur le comportement (Murray, 1937).

Un besoin génère de l’énergie. Or, ce n’est pas dans la quantité d’énergie qu’un besoin se distingue des autres ; c’est dans la direction où le comportement tend qui diffère.

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6
Q

Qui suis-je ? Je suis une théorie qui propose que la privation et les insuffisances physiologiques créent des besoins biologiques.
(p.ex. le manque d’eau entraine la soif)

A

La théorie de la pulsion – Clark Hull (1943)

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7
Q

Vrai ou faux ? Selon Hull, si le besoin biologique continue d’être satisfait, cela devient assez puissant pour générer une pulsion psychologique (agitation).

A

Faux

Si le besoin biologique continue d’être INSATISFAIT, la privation biologique devient assez puissante et génère une pulsion psychologique (agitation).

Ainsi, la théorie de Hull illustre que l’action est la réaction d’une réponse à un besoin physiologique.

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8
Q

Vrai ou faux ? Selon Hull, la pulsion prépare l’individu au plan motivationnel à s’engager dans un comportement pour réduire la pulsion.

A

Vrai

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9
Q

Vrai ou faux ? Selon Hull, les besoins psychologiques sont, quant à eux, de nature semblables au besoins biologiques.

A

Faux

Si les besoins physiologiques émanent de déficits biologiques et que le comportement motivé est essentiellement réactif, soit pour alléger le déficit, les besoins psychologiques sont, quant à eux, de nature différente.

En fait, le besoin physiologique se trouve dans la réaction, alors que besoins psychologique se trouve dans l’actualisation.

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10
Q

Vrai ou faux ? Selon Hull, l’énergie générée par les besoins psychologiques est réactive.

A

Faux

L’énergie générée par les besoins psychologiques est proactive.

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11
Q

Vrai ou faux ? Selon Hull, les besoins psychologiques favorisent une volonté de chercher et de s’engager dans un environnement qui nous permettra de satisfaire nos besoins psychologiques.

A

Vrai

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12
Q

Vrai ou faux ? Les besoins sociaux découlent de nos expériences personnelles uniques et ils varient donc d’un individu à un autre.

A

Vrai

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13
Q

De quoi dépendant les besoins sociaux que nous acquérons ?

A

Les besoins sociaux que nous acquérons (accomplissement, affiliation, intimité, pouvoir) dépendent du type d’environnement dans lequel nous avons été élevés et dans lequel nous vivons,

Cette perspective est très béhaviorale

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14
Q

Vrai ou faux ? Selon les humanistes, l’homme est au coeur de ses actions et il en est l’investigateur.

A

Vrai

Les théories humanistes reconnaissent que nous pouvons agir sur notre environnement et que notre environnement et nos expériences passées ne sont pas les seuls déterminants de nos actions.

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15
Q

Vrai ou faux ? Chez les humanistes, seuls l’environnement et nos expériences passées nous détermine.

A

Faux

Les théories humanistes reconnaissent que nous pouvons agir sur notre environnement et que notre environnement et nos expériences passées ne sont pas les seuls déterminants de nos actions.

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16
Q

Quels sont les motifs des actions humaines selon les humanistes ?

A

le sentiment de compétence …

Les humanistes croient que l’individu agit de la sorte pour se sentir compétent et à l’origine de ses comportements.

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17
Q

Les théories humanistes ont des implications importantes pour comprendre la motivation face à différentes tâches. Qu’est-ce qu’elle nous permet de comprendre d’autre ?

A

Les théories humanistes ont des implications importantes pour également comprendre ce qui pousse l’individu à s’auto- actualiser.

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18
Q

Qui suis-je ? J’ai proposé une image positive et optimiste de l’être humain. Selon moi, l’individu est capable de choisir librement parmi les options que lui offre la vie.

A

Carl Roger

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19
Q

Qui suis-je ?
Tout comme Roger, j’ai proposé que le besoin de s’auto-actualiser et de développer son plein potentiel est un principe de base en motivation humaine.

A

Abraham Maslow

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20
Q

Vrai ou faux ? Selon Carl Rogers, c’est l’environnement extérieur qui importe, car il agit sur notre vision du monde. Ce ne sont pas les perceptions que nous avons du monde extérieur qui importe.

A

Faux,

Pour Roger, ce sont les perceptions que nous avons du monde extérieur qui importe et non l’environnement extérieur qui agit sur notre vision du monde.

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21
Q

Selon Roger, quelles sont les trois caractéristiques qui mèneraient à un fonctionnement complet de l’être humain ?

A

1- une plus grande ouverture à l’expérience ;

2- une existence plus complète ;

3- une plus grande confiance en son organisme.

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22
Q

À quelle caractéristique de Roger (qui mène à un fonctionnement complet de l’être humain) la description suivante renvoie ?

Grace à elle, je deviens plus flexible ; j’accepte de modifier certaines chose de ma vie pour m’adapter aux expériences; je suis plus émotif et je vis mes émotions.

A
  1. une plus grande ouverture à l’expérience.
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23
Q

À quelle caractéristique de Roger (qui mène à un fonctionnement complet de l’être humain) la description suivante renvoie ?

Grace à elle, j’ai une plus grande confiance en moi ; je laisse diriger par mes émotions sans pour autant me laisser guider par des facteurs extérieurs à moi.

A
  1. une plus grande confiance en son organisme.
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24
Q

À quelle caractéristique de Roger (qui mène à un fonctionnement complet de l’être humain) la description suivante renvoie ?

Grace à elle, je vis chacun des moments de mon existence sans me pencher sur le passé ou l’avenir ; je vis chaque expérience pleinement dans le moment présent.

A
  1. une existence plus complète.
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25
Q

Qu’arrive-t’il à l’homme qui a un fonctionnement complet selon Roger ?

A
  • Un sentiment de liberté.
  • La créativité.
  • La croyance que l’être humain est digne de confiance.
  • Une vie plus riche.
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26
Q

Quelle conséquence du fonctionnement complet de Roger suis-je ?

Je m’exprime comme étant la capacité à s’accommoder aux diverses situations de la vie (s’adapter). Je fais partie des conséquence du fonctionnement complet selon Roger.

A

La créativité

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27
Q

Quelle conséquence du fonctionnement complet de Roger suis-je ?

Je suis à l’opposé de la méfiance envers les hommes ; je ne suis pas envahi par des mécanismes de défense. Quand un individu me possède, il fait confiance à la fois à ses réactions face aux autres que et la réaction des autres. J

A

La croyance que l’être humain est digne de confiance.

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28
Q

Quelle conséquence du fonctionnement complet de Roger suis-je ?

L’homme qui m’a, devient partie prenant d’une vie plus sensible – plus riche. Il va faire partie de cette vie plus riche qui crée autours de lui.

A

Une vie plus riche.

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29
Q

Selon Roger, est-ce que l’individu qui a un fonctionnement complet vit dans un état constant de plaisir et de satisfaction?

A

non.. il va passer des étapes qui sont difficile dans la vie. malgré cela, il va tenter de la vivre pleinement bien qu’elle soit désagréables

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30
Q

Selon Roger, qu’est-ce qui contribue au fonctionnement complet ?

A

Le regard positif inconditionnel

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31
Q

Selon Roger, qu’est-ce qui nuit au fonctionnement complet ?

A

Le regard positif conditionnel

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32
Q

Vrai ou faux ? Le développement d’un individu pleinement fonctionnel et auto-actualisé selon Roger.

A

Vrai

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33
Q

Quels sont les reproches faits à l’endroit de la perspective de Rogers ?

A
  • Manque de fondement empirique.
  • Définition opérationnelle?
  • Quels sont les processus?
  • Quels sont les objectifs?

De plus, on peut rajouter la critique sur le regard conditionnel ou inconditionnel… les autres c’est qui ? Est-ce les gens en général ou plutôt des personnes significatives comme Bolwby l’exprime dans sa théorie de l’attachement.

34
Q

Vrai ou faux ? Selon Maslow, il faut analyser les comportements de l’individu dans leur ensemble et non de manière spécifique.

A

Vrai

P.ex. il ne faut pas analyser seulement le comportement sexuel d’un individu. Il faut analyser le comportement sexuel dans son ensemble (p.ex. par rapport à ses relations sociales, son travail, etc.).

35
Q

Qui suis-je ? Je propose l’existence d’une hiérarchie des besoins dans laquelle il se retrouve – ultimement – le besoin d’actualisation (s’auto-actualiser).

A

Abraham Maslow

36
Q

Décrivez moi la pyramide de Maslow.

A

D’abord, il existe différent besoins. Commence au besoin primaire puis se dirige vers le besoin ultime – le besoin d’actualisation. Pour combler le besoin actualisation, les besoins précédents – et notamment les besoins primaires – doivent être satisfaits.

37
Q

Vrai ou faux ? Pour combler le besoin actualisation, les besoins précédents – et notamment les besoins primaires – doivent être satisfaits.

A

Vrai

38
Q

Nommez moi l’ordre des besoins de la pyramide de Maslow.

A
  1. Besoin physiologique
  2. Besoin de sécurité
  3. Besoin d’amour et d’appartenance
  4. Besoin d’estime personnelle
  5. Besoin d’actualisation
39
Q

Quels besoins sont activés par des états de privation ?

A
  1. Besoin physiologique
  2. Besoin de sécurité
  3. Besoin d’amour et d’appartenance
  4. Besoin d’estime personnelle
40
Q

Vrai ou faux ? Selon Maslow, quand le besoin d’actualisation est atteint, l’individu cherche un autre besoin – celui d’existence.

A

Vrai

Le besoin d’existence (p.ex. valeurs comme le respect). Ainsi l’homme a besoin d’un monde qui préconise ces valeurs. intéressant au plan psychologique, car l’individu a cette forme de mécanisme de défense est tombée

41
Q

Différence entre Rogers & Maslow.

______ parle d’un regard positif inconditionnel alors que ______ n’en parle pas.

À l’opposé, ______ parle de satisfaction des besoins primaires, alors que non chez ______.

A

Rogers parle d’un regard positif inconditionnel alors que Maslow n’en parle pas.

À l’opposé, Maslow parle de satisfaction des besoins primaires, alors que non chez Roger.

42
Q

Différence entre Rogers & Maslow.

La focalisation du problème est précise pour ________, alors que chez ________ le problème touche l’humanité entière.

Autrement dit , pour ________ , le problème touche l’unique (l’individu) ; alors que ________ lui recherche les préoccupation qui touche l’humanité entière (with being needs)

A

La focalisation du problème est précise pour Rogers , alors que chez Maslow le problème touche l’humanité entière.

Autrement dit , pour Rogers , le problème touche l’unique (l’individu) ; alors que Maslow lui recherche les préoccupation qui touche l’humanité entière (with being needs)

43
Q

Différence entre Rogers & Maslow.

Chez ________ , il y a comme une perte de sensibilité (comme une expérience mystique) dans lesquelles il vit des sensations intenses. Bref, il y a un moment d’extasse.

A

Chez Maslow , il y a comme une perte de sensibilité (comme une expérience mystique) dans lesquelles il vit des sensations intenses. Bref, il y a un moment d’extasse.

44
Q

Différence entre Rogers & Maslow.

Chez ________ , on recherche l’actualisation dans le moyen que dans la fin. Le moyen et la fin est aussi satisfaisant. ce qui n’est pas marqué (expliciter) chez ________ .

A

Chez Maslow, on recherche l’actualisation dans le moyen que dans la fin. Le moyen et la fin est aussi satisfaisant. ce qui n’est pas marqué (expliciter) chez Rogers.

45
Q

Nommez moi une Ressemblance entre Rogers & Maslow.

A

Les personnes auto-actualisées :

  • ont une perception du monde plus juste (plus exacte) de la réalité.
  • ont une perception du monde plus efficace de la réalité.
  • ont une attitude plus ouverte
  • ont moins de mécanismes de défenses
  • sont plus créatifs, plus ouverts, plus adaptatifs
46
Q

Vrai ou faux ? Selon Maslow, la personne auto-actualisée fait partie d’une catégorie à part et elle est à la recherche de la vérité, de la justice et d’autres valeurs sociales importantes.

A

Vrai

47
Q

Vrai ou faux ?

Des recherches montrent que chez Rogers les personnes ont moins besoins de se conformer (ne se laisse pas influencer par la pression sociale); il sont à l’origine de leur action. Bref, ils ont leur concept de volonté dans le tapis.

A

Faux

Des recherches montrent que chez MASLOW les personnes ont moins besoins de se conformer (ne se laisse pas influencer par la pression sociale); il sont à l’origine de leur action. Bref, ils ont leur concept de volonté dans le tapis.

48
Q

Vrai ou faux ? L’auto-actualisation est stable avec le temps.

A

Faux

L’auto-actualisation varie selon la catégorie d’âge.

Les adultes et les jeunes adultes se ressemblent dans l’actualisation de soi; alors que les personnes âgé n’ont pas le même niveau d’actualisation de soi.

49
Q

Quels sont les critiques de l’approche de Maslow ?

A
  • Des résultats différents selon la catégorie d’âge.
  • La méthodologie utilisée.
  • La théorie est centrée uniquement sur l’individu. (des facteurs externes peuvent agir sur la distribution des besoins, et pourtant, chez Maslow l’env. ext. n’influence pas).
  • La proportion d’individus qui s’auto-actualisent. (plus grande critique) selon Maslow moins de 1% de la population est auto-actualisée.
50
Q

Vrai ou faux ? Les théories humanistes de la motivation humaine proposent que nous pouvons agir sur notre environnement et que notre environnement ainsi que nos expériences passées ne sont pas les seuls déterminants de nos actions.

A

Vrai

51
Q

Qui postule que l’être humain est capable de se prendre en main et peut améliorer ses habiletés.

A

Rogers et Maslow

52
Q

Qui postulent l’existence des besoins de compétence et d’autodétermination.

A

White, deCharms, Harter et Deci

53
Q

Le concept de besoin en psychologie a été opérationnalisé selon 2 perspectives. Quel sont

A
  1. Les besoins sont des désirs appris, des préférences qui sont acquises au cours du développement de l’individu. Les besoins seraient ainsi différents d’un individu à un autre.
  2. Les besoins sont requis et nécessaires pour la santé et le bien-être des individus.
54
Q

Quel besoin psychologique de base suis-je ? Je le désir d’interagir efficacement dans son environnement (White, 1959). Le besoin de se sentir apte et efficace dans la réalisation d’activités.

A

Le besoin de compétence

55
Q

Quel besoin psychologique de base suis-je ? Je suis besoin de pouvoir choisir librement le comportement le plus apte à apporter les résultats escomptés.

A

Le besoin d’autonomie

56
Q

Quel besoin psychologique de base suis-je ? Je suis désir de se sentir accepté et valorisé par autrui.

A

Le besoin d’appartenance

57
Q

Vrai ou faux ? Même si l’individu ne cherches pas à les valoriser (satisfaire) de manière consciente, la satisfaction des trois besoins sont nécessaire à la santé de l’individu (p.ex. satisfaction du besoin d’autonomie en Asie Ryan, Kim et Kepplan).

A

Vrai

58
Q

Quel besoin psychologique de base suis-je ?

Ce besoin amène l’individu à relever des défis (au-delà de capacité). À pratiquer des activités qui développent ses capacités et à augmenter ses aptitudes.

A

Le besoin de Compétence

59
Q

Robert White (1959) fut l’un des premiers théoriciens à proposer l’existence d’un besoin de compétence. Quel était le nom du concept ?

A

effectance

60
Q

White émit l’hypothèse que la motivation à ‘l’effectance’ apparaît normalement lorsque les besoins primaires sont satisfaits. Ces propos se compare à quel auteur ?

A

Maslow

61
Q

Vrai ou faux ? Selon White, réussir des défis permet de nous maintenir motivé.

A

Vrai

PS Besoin de compétence, c’est être bon ou se sentir compétent ? Au début, il suffit juste de trouver l’activité qui va permet à l’homme de se sentir compétent. Néanmoins, le sentiment de compétence est en lien avec la compétence.

62
Q

Après un échec, l’individu peut se relever de son échec (malgré que ç’a l’aille ébranler son sentiment de compétence) dans la mesure qu’il a l’entourage qui l’encourage.

Qui qui proposa des leviers pour palier au modèle de White ?

A

Susan Harter

63
Q

Susan Harter (1978) propose des leviers pour palier au modèle de White. Quels sont-ils ?

A
  • Incorporer au modèle les tentatives de maîtrise de l’environnement qui ont pour résultat un échec.
  • Expliquer les renforcements extérieurs et les récompenses comme des agents qui peuvent maintenir, augmenter ou diminuer la motivation d’un individu.
  • Expliquer le développement du concept d’effectance.
64
Q

Quel besoin suis-je ? L’individu qui satisfait ce besoin se perçoit comme l’instigateur de ses actions et il agira selon ses goûts, ses intérêts et ses valeurs.

A

Le besoin d’autonomie

65
Q

Vrai ou faux ? Le besoin d’appartenance sociale est le centre de l’intégration, de l’initiative et de l’engagement spontané de l’individu dans son contexte social.

A

Faux

Cela renvoie au besoin d’autonomie

Une personne autonome ne se sent pas juger par le regard des autres. Peu importe ce que les gens disent autours, la personne autonome se concentre sur elle-même. Cela est l’aspect positif du besoin d’autonomie.

66
Q

Vrai ou faux ? L’individu qui satisfait son besoin d’autonomie se comportera d’une manière plus authentique et aura plus de facilité à respecter les normes sociales, les règles de vie.

A

Vrai

Pour la personne autonome, les règles sociales ne sont pas contraignantes. Elles(les règles) sont partie prenante du processus. Alors qu’une personne non autonome voit l’ensemble des règles comme des obstacles.

67
Q
Quel terme rejoint davantage le besoin d'autonomie ?
• L'authenticité
• L’indépendance
• Un stade de développement
• Un détachement
A

L’authenticité

PS L’autonomie n’est aucun des autres.

68
Q

Vrai ou faux ? Le besoin d’autonomie engendre des comportements adaptatifs positifs.

A

Vrai

69
Q

Vrai ou faux ? Ne pas pouvoir combler son besoin d’autonomie signifie que la personne est plus à risque d’être contrôlée par les personnes qui l’entourent et d’avoir de la difficulté à autoréguler ses comportements.

A

Vrai

70
Q

Quelle est la genèse de tous les travaux sur le besoin d’autonomie.

A

La recherche sur le concept origine-pion

71
Q

Qui suis-je ? Je suis un auteur qui propose que l’individu agit pour être efficace dans son environnement. Il tente d’être le principal agent causal de son comportement. L’individu essaie ainsi de satisfaire tous ses besoins.

A

Richard deCharms (1968 , 1976)

72
Q

Vrai ou faux ? Selon deCharms, il ne faut pas considérer ce que le comportement permet d’accomplir, il faut seulement évaluer qui est à l’origine de l’action manifestée et du résultat obtenu.

A

Faux

Selon deCharms, il ne faut pas uniquement considérer ce que le comportement permet d’accomplir, il faut évaluer qui est à l’origine de l’action manifestée et du résultat obtenu.

73
Q

Qui suis-je ?

Je suis une concept issue d’une étude où des enfants créer des figures (p.ex. un robot) avec des blocs lego.

Groupe A, l’enfant suivait un plan spécifique (bref on dit quoi faire et comment faire).

Groupe B, l’enfant est accueillit puis on demande à créer (bref, il y a structure).

[Résultats] L’enfant du groupe B est plus porter à répéter l’activité alors qu’il est moins dans le groupe Pion. [Discussion] on a un besoin d’autonomie.

A

Concept d’origine et de pion

74
Q

Qu’est-ce qui réfère (1) à la nécessité d’avoir des relations sécures et proches avec les personnes significatives de notre entourage ; (2) à sentir que l’on fait partie de notre groupe, collectivité (groupe politique, culture).

A

Besoin d’appartenance sociale

75
Q

Vrai ou faux ? Le besoin d’appartenance sociale est essentiel au bon fonctionnement et à une saine adaptation. Il permet à l’individu de développer son plein potentiel.

A

Vrai

Bowlby a recourt à la même idée dans ses théories sur l’attachement.

76
Q

Affirmer quelles conséquences subvient à l’insatisfaction des besoins.

  • La maladie
  • Perte d’engagement
  • Pauvre performance
A

Entraînent des conséquences négatives:

  • La maladie (Reis, Sheldon, Gable, Roscoe, & Ryan, 2000)
  • Perte d’engagement (Deci et al., 2001)
  • Pauvre performance (Baard, Deci, & Ryan, 2004)
77
Q

Comment l’individu réagit-il face au fait de voir ses besoins insatisfaits?

A

On ne pourrait dire s’il cherche délibérément à les satisfaire ou il laisse tomber et se convainc qu’il n’en n’a pas de besoin.

c’est ni oui ni non. La littérature scientifique est partagé sur cet avis entre autre lorsqu’on intègre le facteur de résilience.

78
Q

Vrai ou faux ? Un individu qui verrait ses besoins psychologiques insatisfaits est condamné à rester insatisfait.

A

Un individu qui verrait ses besoins psychologiques insatisfaits pourrait développer des besoins psychologiques substituts ‘need substituts’.

Les recherches ont examiné le processus de substitution des besoins sous la forme d’aspirations extrinsèques.

“The high price of materialist – Caster. “

79
Q

Comment aider à satisfaire le besoin d’autonomie chez un individu?

A
  • Écouter attentivement
  • Donner aux autres le temps de parler
  • Fournir des justifications
  • Encourager les efforts
  • Demander aux autres ce qu’ils veulent faire
  • Répondre aux questions
  • Reconnaître les points de vue des autres
80
Q

Comment aider à satisfaire le besoin de compétence ?

A

En nourrissant le besoin de rétroaction:

  • La tâche elle-même
  • Comparer sa performance avec sa performance antérieure
  • Les évaluations des autres
81
Q

Comment aider à satisfaire le besoin de d’appartenance sociale ?

A

• Sentir que l’autre personne se soucie de mon bien-être, m’aime

• Entretenir des relations qui comportent de la compassion, de la sympathie, de
l’acceptation et de la valorisation de soi.

  • S’entourer de personnes qui inspirent confiance
  • ….