Mitaine-cuisses de poulet Flashcards

1
Q

Quels courants ont influencé la gestion de classe ? Décrivez-les brièvement et fournissez, pour chacun des courants, une retombée pédagogique appliquée dans les milieux scolaires.

A
  1. Le behaviorisme : théorie qui stipule que les comportements sont le résultat de l’environnement. Pavlov, Watson. (système de récompense/émulation). G de C : réagir aux élèves qui ont des problèmes de comportement (modifier cpts problématiques)
  2. Le cognitivisme : théorie qui stipule que les comportements sont le résultat des cognitions (pensée de la personne, schèmes mentaux, façon de traiter l’information). Chomsky (dimension personnelle et a dit que cpt inné, ça va avec leur personnalité), Bandura. (rétroaction, autoévaluations – tenir compte des perceptions des élèves, comment il se sent). G de C : Prévenir et réagir aux problèmes de comportement des élèves.
  3. L’humanisme : théorie qui prend pour fin la personne et son épanouissement. Maslow. (écoute active, instaurer systèmes de coopération (comme conseil). G de C : Prévenir et réagir aux problèmes de comportement des élèves.
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2
Q

Alors que les définitions de la gestion de classe se centraient surtout sur la réaction face aux comportements inadaptés des élèves, les définitions actuelles regroupent également l’établissement et le maintien des conditions propices au développement des compétences (Archambault et Chouinard, 2009), en vue de prévenir l’apparition des comportements inadaptés. Selon ce qui a été abordé en cours, identifiez 2 principes directeurs de la définition actuelle de la gestion de classe.

A
  1. Prévenir plutôt que guérir

2. Adopter une pratique réflexive

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3
Q

D’après ce que nous avons vu en cours, pourquoi la gestion de classe occupe-t-elle actuellement une place particulièrement importante en enseignement ? Appuyez votre réponse sur 2 arguments.

A

Importance accrue car :
Démocratisation de l’éducation: obligation, de tout dans la classe et il faut gérer cela
Modification des approches parentales : + de permissivité, enfants-roi, approches parentales

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4
Q

En vous basant sur la conception de Doyle (1986), expliquez, à l’aide de 4 arguments, qu’est-ce qui fait en sorte que la classe est un environnement particulier, qui nécessite une gestion particulière.

A

La classe comme écosystème possède certaines caractéristiques qui rendent sa gestion à la fois complexe et nécessaire: (SIMI)
Simultanéité : Tout en même temps
Immédiateté : Demande une attention immédiate, il faut réagir de façon immédiate
Multiplicité: plusieurs comportements émergent et on choisit où on intervient
Imprévisibilité : Lance un bureau (tournure inattendue)

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5
Q

Outre les transitions, l’enseignement comprend 3 types de structures sociales. Identifiez-les et, pour chacune d’entre elles, exposez, à l’aide d’un argument, ce qui caractérise leur gestion de classe.

A

Structure collective (travail en grand groupe)
Caractéristique:
Efficace pour les consignes destinées à tout le groupe/pour les travaux simples
G de C: Essayer de prévoir les coups; routines efficaces.
Structure coopérative (travaux en équipe, tutorat)
Caractéristiques:
Structure qui n’est pas innée (habiletés sociales); Source fréquente de pbs en g de c
G de C: Leur rappeler leur fonction dans l’équipe, rappeler les règles de vie, montrer les cpts appropriés et attendus, toujours donner le but de l’activité. Expliquer le temps que l’on va consacrer
Structure individuelle (travail individuel, évaluations)
Caractéristiques:
Structure + facile en g de c, car requiert peu d’interactions
Engendre des difficultés à superviser le groupe plutôt qu’un élève à la fois
G de C: Proposer des tâches variées qui représente un défi réaliste, leur expliquer comment demander de l’aide (main levée…) donner le but, les questionner (qu’avez-vs appris/aimé) Prévoir des procédures pour ceux qui vont trop vite.

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6
Q

En enseignement, plusieurs enseignants rapportent avoir des difficultés à gérer l’arrivée des élèves en classe. En vous basant sur les différentes structures sociales abordées en cours, à quelle structure sociale fait référence une telle situation? Définissez brièvement en quoi consiste cette structure et identifiez une base de gestion de classe susceptible d’en favoriser la mise en œuvre.

A

Les transitions : Point qui marque un changement de contexte dans les interactions, structures sociales ou activités en classe. 2 sous-catégories: majeures (changement de local) et mineures (changement d’activité). G de C: donner les consignes / directives claires, être présent, établir les routines.

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7
Q

En vous basant sur les résultats que vous avez obtenus au questionnaire évaluant les approches de gestion de classe (Chouinard, 2001), identifiez les 2 approches qui vous représentent le mieux et décrivez-les à l’aide de 3 caractéristiques.

A

(ou écrire réponse perso: système social/ pédago, modification du cpt, socioémotivité)
Système social:
Les conceptions du prof : Pas vraiment de stratégies, le groupe doit être impliqué. Règles, cohésion, groupe.
Le rôle du prof: Établir et maintenir des conditions propices
Manifestations pratiques:
Conseils de coopération (mais ne décident pas de tout)
Partage de l’autorité
Prof. accorde beaucoup d’importance aux règles mais établies en groupe
Pédagogie:
Les conceptions du prof ou courants d’influence:
Bonne planification est la base de tout et d’avoir les bonnes strat.
Le rôle du prof:
Propose activités selon acquis/besoins des élèves
?
Manifestations pratiques:
Rétroaction
Importance des choix et déroulement des activités (importance motivation)
Utilise pédagogie différenciée, va essayer d’innover

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8
Q

Selon Chouinard (2001), 3 approches de gestion de classe sont à proscrire. Identifiez-en 2 et apportez, pour chacune d’elles, un argument négatif.

A

Permissivité : perte de contrôle des élèves et élèves vivent insécurité
Intimidation : élèves se sentent rabaissés/humiliés (ressentiment). Joue sur les émotions des élèves

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9
Q

Marc-André vient d’obtenir son premier contrat d’enseignement en adaptation scolaire au primaire. Selon lui, une bonne gestion de classe passe par des règles et des conséquences clairement établies en début d’année. Il croit que l’un de ses principaux rôles consiste à gérer les comportements des élèves, ce qui facilitera leurs apprentissages. De plus, il est d’avis qu’il revient à lui de définir les règles et procédures de sa classe plutôt qu’aux élèves. Par conséquent, il prévoit établir un code de vie dès sa première rencontre avec les élèves et entend le faire respecter.

a) Selon Chouinard (2001), quelle approche de gestion de classe définit le mieux Marc-André ? Appuyez votre réponse sur 3 arguments.
b) Selon Nault et Lacourse (2008), quel est le style de gestion de classe de Marc-André ? Appuyez votre réponse sur 1 argument.

A

a) Autorité : il définit les règles et un code de vie, il instaure un système de règles/conséquences. Il croit que son rôle est de gérer les élèves. Sa G de C est établie à l’avance.
b) Interventionniste (pouvoir élevé) : croit que le comportement des élèves est fortement influencé par des conditions environnementales (créer le code de vie) plutôt que par leur motivation intrinsèque ou leur potentiel inné.

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10
Q

Fournissez 1 caractéristique de l’approche « interactionniste » de Nault et Lacourse (2008). À quelle approche identifiée par Chouinard (2001) l’approche interactionniste ressemble-t-elle le plus ? Justifiez votre réponse.

A

Interactionniste (pouvoir moyen) : croit que le développement des élèves est assuré par une combinaison de la motivation intrinsèque de l’élève, ou de ses forces intérieures, et des conditions environnementales. Les besoins du groupe prédominent sur les besoins de l’individu, conséquences logiques, contrat social.
Ressemble : système social, car il utilise le groupe, partage son autorité, souhaite la coopération entre les éleve, établit code en groupe, accord de l’importance aux règles.

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11
Q

Jeanne, qui enseigne depuis 2 ans dans une classe de 3è année du primaire, prépare le début de sa prochaine année scolaire. Selon elle, une bonne gestion de classe devrait favoriser le développement de l’autonomie de ses élèves et ne devrait donc comporter que peu de règles. En effet, elle croit qu’il n’est pas nécessaire qu’un enseignant exerce beaucoup de contrôle sur le comportement de ses élèves pour développer un bon climat de classe. Elle pense plutôt qu’il revient aux élèves de faire preuve de bonne volonté et d’adopter des comportements adaptés.

a) Selon Chouinard (2001), quelle approche de gestion de classe définit le mieux Jeanne ? Appuyez votre réponse sur 3 arguments.
b) Selon Nault et Lacourse (2008), quel est le style de gestion de classe de Jeanne ? Appuyez votre réponse sur 1 argument.

A

a) Permissivité : Intervient le moins possible, ne croit pas aux règles de G de C, croit que les élèves vont s’auto-gérer. Le prof laisse aux élèves de l’autonomie, sans les encadrer.
b) Non-interventionniste (faible pouvoir) : croit à l’autodiscipline, à l’autocontrôle, à la motivation intrinsèque.

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12
Q

Nous avons vu en cours que divers facteurs affectaient les croyances, interventions ou pratiques de renforcement des enseignants.
a) Expliquez, à l’aide de 2 arguments, comment les croyances relatives à la discipline évoluent avec l’expérience des enseignants.

b) Expliquez, à l’aide de 2 arguments, comment les interventions en classe évoluent avec l’expérience des enseignants.
c) Expliquez, à l’aide de 2 arguments, en quoi les pratiques de distribution d’attention et de renforcement diffèrent selon le sexe des élèves.

A

a) Lorsque les cours sont bien préparés et intéressants, ordre et discipline s’installent facilement.
L’ordre et la discipline sont une fin en soi.

b) Moins d’habileté à détecter les signes de fatigue et d’incompréhension et difficultés.
Moins bonne capacité à identifier et à anticiper les moments nécessitant plus de vigilance.
Moins de routines.

c) Les gars reçoivent plus d’attention que les filles, surtout dans les matières stéréotypées.
La nature du renforcement diffère selon le sexe des élèves (filles: docile, travail propre / gars: réponse courte, mais de qualité).

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13
Q

L’âge et le niveau scolaire des élèves apparaissent comme des facteurs déterminants de la gestion de classe. Comparez le rôle de l’enseignant concernant les règles et routines pour les élèves des divers groupes d’âge suivants: maternelle-2è prim., 3è-4è prim., 5è prim.-3è sec. et 4ème-5è sec.

A

Mat-2e : élève ne les connait pas encore, sont dans l’apprentissage. Prof doit les enseigner clairement.
3e-4e : Plusieurs ont été intégrées. On les enseigne mais moins spécifique qu’au niveau précédent.
5e-3e Sec : Ils les connaissent déjà (redondance). On séectionne celles qui sont pertinentes et on explique le rationnel des routines.
4e-5e Sec : déjà connues. On les enseigne de façon explicite, en moins de temps et de façon plus générale.

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14
Q

Qu’est-ce qui distingue les règles, procédures et routines ? Pour chacune d’entre elles, donnez un exemple.

A

Règles (de vie) : souvent dans l’agenda (issues du code de vie; les mêmes pour tous). Expliquées en début d’année. Aspect officiel et légal. Révisées chaque année. (Ex: Arachides interdites, pas de chandail violent)
Procédure : communications qui expliquent marches à suivre (comment s’habiller…) pour amener à la réussite
Routine : Rapport à la coutume de la classe, peut servir pour réguler les comportements. (Ex: mettre sa chaise sur bureau avant de quitter le soir)

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15
Q

Selon ce qui a été abordé dans le cours, quelles étapes un enseignant devrait-il suivre pour enseigner efficacement ses règles de classe ?

A
  1. La présentation (affiches, quel visuel pour s’y référer ?)
  2. Le lien avec les connaissances antérieures ou justification
  3. Démonstration (on va pratiquer auj., modelage)
  4. Pratique (en faire régulièrement, guidée par l’enseignant ou faire autoévaluation)
  5. Retour (en grand groupe pour compréhension; identifier les difficultés rencontrées; revenir sur l’utilité).
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16
Q

Qu’est-ce qui distingue une conséquence logique d’une punition ? Expliquez à l’aide de 2 arguments.

A

Conséquence logique : Elle est en lien avec le geste posé, l’enfant doit comprendre le comportement attendu. Punition: conséquence pour arrêter temporairement le comportement.
Conséquence logique: On favorise donc l’apprentissage du comportement. On veut trouver une solution. Punition: n’aide pas l’élève à se donner des moyens.

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17
Q

Selon Nault et Lacourse (2008), comment un enseignant peut-il s’y prendre pour communiquer de façon professionnelle à l’aide de son non-verbal, afin favoriser une implantation réussie de ses règles de classe ? Appuyez votre réponse sur 2 arguments.

A

L’expression faciale : sourire pour encourager, froncer sourcils pour désapprouver
Le contact visuel : balayer fréquemment du regard toute la classe pour conserver l’attention ou faire un clin d’œil à un élève pour montrer qu’on lui porte attention.

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18
Q

Hélène est titulaire d’une classe constituée d’élèves de 1ère année du primaire. Dès le début de l’année, elle présente à ses élèves ses règles de classe. Elle a choisi 14 règles qu’elle prévoit leur présenter. À titre d’exemple, on retrouve la règle « Ne pas parler avant de lever la main ».
a) À votre avis, son système de règles de classe est-il efficace ? Expliquez pourquoi, en vous basant sur 3 arguments.

b) Comment pourriez-vous modifier l’exemple de règle mentionnée afin qu’elle soit plus efficace ?

A

a) Non. Trop nombreuses (5 à 6 max)
Indique le comportement proscrit et non celui attendu
Ne signale pas qu’elle s’adresse à tous (pas au « je »)

b) “Je lève la main pour pouvoir parler”

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19
Q

Nous avons vu en cours que les élèves manifestent plusieurs besoins dont il faut tenir compte en début d’année scolaire. Identifiez 3 de ces besoins et décrivez-les brièvement. Pour chacun de ces besoins, fournissez ensuite un exemple de manifestation ainsi qu’une intervention qui permet d’en tenir compte.

A
  1. Besoins physiologiques
    Définition: équilibre alimentaire, sommeil, repos, relaxation, confort, stimulation, propreté
    Manifestations: s’endormir, peu concentré, turbulent
    Interventions: Test ouïe/vue. Banque de nourriture pour petit-déjeuner.
  2. Besoin de sécurité
    Définition: protection du danger physique, protection des menaces psychologiques, stabilité, ordre. Se sentir à l’abri des menaces, avoir des modèles, être encadré.
    Manifestations: Comportements anxieux, pose beaucoup de questions.
    Interventions: Établir climat de confiance, maintenir un environnement stable.
  3. Besoin de plaisir
    Définition: Rire, réaliser activités plaisantes, être heureux.
    Manifestations: Absentéisme, baisse de la motivation, fait le clown, désintérêt, ennui, turbulent.
    Interventions: Le sortir de sa routine et faire d’autres choses selon les intérêts des élèves. Humour.
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20
Q

Rachel, une jeune enseignante, se rend compte qu’un de ses élèves ne cesse de déranger le bon déroulement de sa classe. Il pose constamment des questions hors-sujet, fait le clown et tourne toute activité qu’elle propose à la rigolade. Selon ce qui a été vu en cous, les comportements de cet élève réfère à quel besoin ? Définissez ce besoin. Suggérez ensuite une stratégie que Rachel pourrait employer afin d’intervenir auprès de cet élève.

A

Besoin de plaisir
Définition: Rire, réaliser activités plaisantes, être heureux. Manifestations: Absentéisme, baisse de la motivation, fait le pitre, désintérêt, ennui, turbulent.
Interventions: Le sortir de sa routine et faire d’autres choses selon les intérêts des élèves. Utiliser l’humour.

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21
Q

Les premières rencontres avec les élèves sont déterminantes dans l’établissement d’un climat de classe positif. Selon ce qui a été abordé en cours, en quoi consistent les activités réputées efficaces pour les premières rencontres?

A
  1. Activités qui permettent de définir les attentes et les règles de fonctionnement
  2. Activités qui permettent de mieux connaître les élèves et/ou aux élèves de mieux vous connaître.
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22
Q

Nous avons vu en cours que pour être efficaces, les activités réalisées avec les élèves durant les premières rencontres doivent comporter 2 caractéristiques. Décrivez brièvement ces 2 caractéristiques.

A

1) Organisation simple favorisant la participation et la supervision
2) Contenu simple pour que les élèves puissent réussir. le sentiment de compétence.

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23
Q

Selon ce qui a été abordé en cours, une rencontre de parents comporte 4 parties. Identifiez-les et expliquez brièvement en quoi elles consistent.

A

Les 4 parties d’une rencontre individuelle réussie avec les parents :

1) L’accueil : dire son nom, serrer la main, le faire sentir comme partie prenante de l’équipe
2) L’amorce : ODJ, points à ajouter ?, s’assurer de leur compréhension de ce qu’on va présenter.
3) L’échange : (+-+), parle de chaque point, prendre des notes tout au long de la rencontre.
4) Le bilan : sujets qui n’ont pas été traités, résumer pour valider compréhension. Autre rdv ?

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24
Q

La première rencontre de groupe avec les parents est cruciale pour établir la collaboration avec les parents. En vous fondant sur ce qui a été abordé en cours, identifiez 2 éléments qu’un enseignant devrait mentionner aux parents afin de favoriser une première rencontre de groupe réussie.

A

1) Définir ses attentes/rassurer les parents

2) Expliciter sur ses façons de faire

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25
Q

D’après ce qui a été vu en cours, fournissez 3 caractéristiques d’une bonne présentation.

A
  • Présentation du contenu étapes par étapes dans un ordre cohérent pour permettre la continuité.
  • Récapitulations qui font ressortir les concepts (pour mieux comprendre, faire des liens)
  • Utilisation d’un langage simple (pour permettre la fluidité)
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26
Q
  1. Julie anime une discussion de groupe avec ses élèves de 2è secondaire afin d’identifier avec eux certains moyens pour favoriser le respect entre les élèves. Or, durant la discussion, certains élèves sont irrespectueux envers les autres lorsqu’ils ne partagent pas leur opinion alors que d’autres choisissent de ne pas prendre part à la discussion. Au bout d’une dizaine de minutes, la discussion finit par bifurquer vers des thèmes qui s’éloignent du problème ciblé.
    a) Selon ce qui a été abordé en cours, qu’est-ce qui pourrait expliquer le fait que certains élèves manquent de respect envers les autres durant la discussion ? Appuyez votre réponse sur 1 argument.

b) Selon ce qui a été abordé en cours, qu’est-ce qui pourrait expliquer le fait que les élèves participent peu à la discussion ? Appuyez votre réponse sur 1 argument.
c) Selon ce qui a été abordé en cours, comment Julie aurait-elle pu favoriser une discussion efficace ? Appuyez votre réponse sur 2 arguments.

A

a) Manque d’habiletés sociales
b) Manque d’intérêt + anxiété + incertitude
c) Reformuler les questions et cibler un élève

27
Q

Martine décide de faire travailler ses élèves de 3ème année du primaire en coopération. Elle demande donc à ses élèves de se placer en équipes de 4 et leur donne une tâche à effectuer : ils doivent faire un travail sur un animal de leur choix, qu’ils devront éventuellement présenter aux autres. Rapidement, Martine s’aperçoit que certains élèves « niaisent » pendant que d’autres tout le travail. Elle demande donc des conseils sa collègue Suzie, qui lui suggère d’appliquer la méthode JIGSAW pour implanter la coopération.
a) D’après vous, le fonctionnement initialement proposé par Martine correspond-il à du travail en coopération ? Appuyez votre réponse sur 2 arguments.

b) En quoi consiste le fonctionnement JIGSAW que Suzie a proposé à Martine ?
c) Comment Martine pourrait-elle adapter, à l’aide d’un moyen concret, la méthode JIGSAW au projet qu’elle a proposé à ses élèves ?

A

a) Non, car ce n’est pas une approche interactive de l’organisation du travail (pas de tâches différentes)
Non, car les élèves n’apprennent pas les uns des autres, de l’enseignant et du contexte (pas d’interdépendance positive).

b) 1. Regroupement en équipe de base et division du travail en 4 parties (A, B, C, D);
2. Regroupement en équipe d’experts (AAAA,…) et réalisation du travail dans le domaine d’expertise;
3. Retour à l’équipe de base et partage de l’information recueillie en équipe d’experts;
4. Réalisation du travail initialement demandé.

c) Leur donner des documents différents (sous-catégories)
Leur donner des consignes claires et formuler le but.

28
Q

La méthode Student Team Achievement Division (STAD) est reconnue susciter la coopération entre les élèves. Décrivez brièvement les différentes étapes de cette méthode.

A
  1. Regroupement en équipe de 4 et division du contenu ou des questions à préparer;
  2. Étude des questions de façon individuelle, en sous-équipe de 2 et en sous-équipe de 4;
  3. Évaluation (examen)
  4. Rétroaction (note) individuelle et collective.
29
Q

Josée, qui effectue son stage en adaptation scolaire au primaire, s’aperçoit que les transitions sont souvent très longues. En vous basant sur ce qui a été abordé en cours, identifiez 3 habiletés qui pourraient permettre à Josée de favoriser ses transitions et fournissez, pour chacune de ces habiletés, un moyen permettant de la mettre en œuvre.

A
  1. Habileté à planifier les transitions : Annoncer les étapes et la durée
  2. Habileté à prévoir la durée des transitions: donner un temps réaliste.
  3. Habileté à déterminer le moment des transitions : on peut utiliser un élève baromètre qui donne un bon indice
30
Q

Selon Nault et Lacourse (2008), trois moments sont particulièrement critiques pour la gestion des transitions. Identifiez-en 2 et, pour chacun d’entre eux, fournissez 2 moyens susceptibles d’en favoriser la mise en œuvre.

A
  • L’ouverture d’une situation d’enseignement : moyens : prévoir des routines d’accueil; avoir un signal pour obtenir l’attention des élèves.
  • Le passage d’une activité à une autre : moyens : terminer une activité avant d’en amorcer une autre; obtenir l’attention des élèves avant de débuter.
31
Q

L’organisation spatiale de la classe devrait répondre à six fonctions de base. Identifiez et définissez 3 de ces fonctions et fournissez, pour chacune de ces fonctions, 2 exemples de moyens qu’un enseignant peut utiliser pour l’assurer.

A

1- Sécurité et de confort (fonction de base qui concerne les conditions physiques et leurs effets)
Moyens : 1) température de la classe, aération et 2) éliminer les bruits dérangeants 3)ajuster l’éclairage.
2- Plaisir (rendre le local attrayant)
Moyens : 1) varier les couleurs et 2) offrir une variété d’espaces (coins lecture, jeux…) 3)utiliser différentes surfaces/textures
3- Appartenance (personnaliser l’espace-classe)
Moyens : 1) réserver des endroits pour exposer nos objets. 2) Afficher les travaux des élèves au mur.

32
Q

Nous avons vu en cours que 10 facteurs devaient être pris en considération lors de l’aménagement spatial de la classe. Identifiez-en 5 et expliquez brièvement en quoi ils consistent.

A

1- Les éléments fixes du local-classe : portes, fenêtres, prises électriques
2- Le matériel pédagogique déjà en place (dictionnaire, armoires…)
3- Disposition des bureaux (rangées pour cours magistraux, U pour discussions et en îlots pour travail en coopération);
4- La création de différentes zones (zone du prof: un bureau, une table avec photocopies… zone d’action: dans laquelle l’enseignant va interagir avec les élèves (corridor, grande table), zone d’étude: endroit calme facilement accessible), zone d’activités: dessins, lecture, ordinateurs, casse-tête, vélo… (important d’observer pour avoir des idées)
5- Le champ de vision : l’enseignant doit s’assurer de voir tous ses élèves

33
Q

Maxime vient d’obtenir son premier contrat dans une classe de 6ème année du primaire. Il hésite entre placer les élèves en équipe de 2 élèves ou en rangée (i.e., rang d’oignons). Selon vous, quelle serait la meilleure disposition pour lui? Appuyez votre réponse sur deux arguments, en vous fondant sur les fonctions et facteurs de l’aménagement spatial d’une classe.

A

Veut peut-être favoriser la discussion en 6ème année et l’entraide donc en équipe de 2 élèves et peut-être facile pour la discipline. Dans tous les cas, il faut aménager le local en fonction des élèves et voir pour interagir avec tous les élèves, peu importe où ils sont.
Fonction de socialisation: selon la favorisation d’échanges.
Facteur de la disposition des bureaux: selon ce qu’on veut faire et la clientèle.

34
Q

Marie-Émilie, enseignante de 3ème cycle du primaire, a tenté d’aménager son local afin qu’il soit le plus accueillant possible pour ses élèves. Notamment, il contient des affiches de couleur dont certaines sont des créations des élèves et les élèves sont placés en équipe de 4 plutôt qu’en rangée. Identifiez deux fonctions de l’aménagement auxquelles le local de Marie-Émilie permet de répondre et définissez-les.

A

Socialisation: pour favoriser échange élèves-enseignants
Plaisir: rendre le local attrayant

35
Q

Josiane donne souvent des collants, étampes ou autres récompenses matérielles à ses élèves afin de les inciter à s’engager dans les tâches scolaires qu’elle leur propose. Son collègue Benjamin n’approuve pas sa façon de faire et tente de la convaincre de modifier les moyens qu’elle utilise pour encourager ses élèves. Comment Benjamin pourrait-il convaincre Josiane de modifier son fonctionnement? Appuyez votre réponse sur 3 arguments.

A

Les récompenses matérielles ont plusieurs inconvénients : elles ne sont pas universelles, elles diminuent la motivation intrinsèque et elles sont dispendieuses en temps et en argent.

36
Q

Distinguez les récompenses matérielles, les récompenses sociales et les permissions et privilèges, à l’aide d’un exemple. Illustrez ensuite la pertinence de ces 3 concepts à l’aide de 3 arguments en faveur ou en défaveur (avantages ou inconvénients) de ceux-ci.

A
  • Récompenses matérielles. Ex : argent scolaire, collants.
    Pertinence : elles ne sont pas universelles, elles diminuent la motivation intrinsèque et elles sont dispendieuses en temps et en argent.
    · Récompenses sociales : de type verbal, non-verbal ou permissions/privilèges. Ex : encouragements oraux ou écrits, signes d’approbation.
    Pertinence : naturel, presqu’universel, améliore l’image de soi.
    · Permissions et privilèges : type de récompense sociale. Ex : cinéma, période libre.
    Pertinence : peu dispendieux, résistant à la satiété, moins efficace avec les plus vieux.
37
Q

Julie planifie l’implantation d’un système d’émulation dans sa classe. Que pensez-vous de son idée ? Justifiez votre point de vue à l’aide de 2 arguments.

A

· Tout système d’émulation présente certains avantages et inconvénients.
· Désavantages : diminue la motivation intrinsèque; renforçateurs pour comportements qui n’ont pas besoin d’être renforcés.

38
Q

Fournissez 5 caractéristiques d’un renforcement efficace (ou inefficace).

A

Inefficace lorsque : distribué au hasard; artificiel; est peu informatif; oriente les élèves vers des buts de performance et de compétition; récompense la participation.

39
Q

La punition est reconnue avoir de nombreux inconvénients. Identifiez-en 4.

A

· Effets de courte durée;
· Fonction de faire cesser immédiatement un comportement perturbateur plutôt que d’enseigner la conduite appropriée;
· Provoque du ressentiment envers l’enseignant et altère la relation maître-élève;
· Crée un climat d’austérité malsain qui affecte négativement les apprentissages.

40
Q

Quels sont les 4 types de conséquences logiques proposés par Archambault et Chouinard (2009) ? Fournissez, pour chacun des types de conséquence, un exemple d’application scolaire.

A

· Faire une pratique guidée avec les élèves (retourner au vestiaire pour refaire le trajet en marchant)
· Ignorance intentionnelle (ignorer un élève qui parle alors qu’il n’a pas le droit de parole)
· Correction et sur correction (geste réparateur en lavant le bureau après avoir dessiné) (si le comportement de dessin persiste, laver tous les bureaux de la classe)
· Retrait de la situation (donner un temps mort à l’élève pour qu’il aille se calmer s’il est en crise)

41
Q

Vienneau (2005) propose 6 principes de base dont un enseignant doit tenir compte afin d’appliquer un renforcement efficace suite à la manifestation d’un comportement adapté. Identifiez et expliquez brièvement 4 de ces principes.

A

· Le renforcement doit suivre immédiatement ou le plus tôt possible le comportement que l’on désire renforcer;
· La valeur renforçante d’un renforçateur dépend des personnes. Il n’existe pas de renforçateur universel; il est possible que ce qui agit comme renforçateur pour une personne ne renforce pas une autre personne, voire même que cela agisse comme une « punition ».
· Un renforçateur trop souvent utilisé, tel que le même renforçateur verbal, peut perdre sa valeur renforçante (effet de surenchérissement).
· Tout renforçateur autre que social doit être accompagné d’un renforcement social; un renforçateur informationnel, par exemple, aura beaucoup plus d’effet s’il est accompagné d’un renforçateur verbal approprié.

42
Q

Selon Vienneau (2005), les techniques visant à créer un nouveau comportement adapté sont l’une des retombées éducative du behaviorisme. Identifiez et expliquez brièvement deux de ces techniques et, pour chacune d’elles, fournissez un exemple d’application en contexte scolaire.

A

· Le modelage ou l’apprentissage par modèle : effectuer une démonstration d’un comportement moteur, social ou cognitif pour favoriser l’acquisition de ces comportements (expliciter une démarche de résolution de problèmes). Souvent employé avec l’estompage.
· L’estompage ou atténuation des stimuli : diminuer progressivement l’assistance apportée à l’élève ou atténuer graduellement les stimuli qui servent d’indices/de support au comportement (l’enseignant amorce une démonstration et laisse l’élève poursuivre ce comportement). Souvent employé avec le modelage.

43
Q

Qu’est-ce que le sociocognitivisme ? Qu’est-ce qui distingue l’approche sociocognitive d’autres théories telles le behaviorisme ou la psychanalyse ?

A

Fondé par Bandura. Théorie dans laquelle le comportement humain est est analysé à travers un systèeme de causalité, dit triadique. Fonctions interne de l’élève, déterminant du comportement (patterns) et déterminant de l’environnement.
· Psychanalyse : conduites plutôt pilotées par des dispositions internes inconscientes.
· Behaviorisme : conduites plutôt la conséquence de l’environnement.

44
Q

En quoi consiste le modèle Attentes-Valeur ?

A

Modèle dans lequel les perceptions influence le comportement de l’élève.
Pratiques pédagogiques
Perception de soi et attentes
Perception de compétence ( est-ce que je me sens bon): sentiment d’autoefficacité. 4 sources principales: rendement antérieure (habiletés innées), expériences antérieures, renforcement, état physiologique (émotions)
Perception de controle( est-ce que je me sens capable): 4 raisons pour expliquer succès ou échecs expliqué selon 3 critères ( locus de contrôle, stabilité et controlabilité)
Chance : LT externe, S non, C non
Effort: LT interne, S non, C oui
Dificulté de la tâche: LT externe ?, S non, C non.

(+ tableau)

Valeur accordée attribué aux apprentissages( est-ce que ca m’intéresse): intéret individuel (intrinsèque) ou intérêt situational ( extrinsèque), l’enseignant peut intervenir sur ces deux aspects.
Est-ce que je trouve ca utile ? Élève s’engage plus s’il trouve ça utile.

45
Q

Selon la théorie des buts, quels types de buts les élèves peuvent-ils se fixer? Quels sont les effets potentiels de chacun des types de buts sur la réussite des élèves ?

A
  • But de maîtrise/ d’apprentissage: Élève assimile la matière pour maitriser le contenu. Effets: élève persistent, engagé, utilise stratégies efficaces.
  • But de performance: compétition dans la classe ou pour l’élève. Il envisage la tâche en fonction du rendement scolaire.
    Effets: augmentation rendement et de la motivation(extrinsèque) et élève est engagé.
  • But d’évitement : éviter l’impact négatif de l’échec afin de préserver son estime de soi.
    Effets: apprentissages peu durables, faible rendement et tricherie.
46
Q

Décrivez le modèle de l’autodétermination de la motivation. En vous appuyant sur ce modèle, expliquez, à l’aide d’exemples concrets, comment, comment se manifeste la motivation des élèves.

A

1- Amotivation: aucune régulation. Élève voit pas l’utilité d’être à l’école.
2- Motivation extrinsèque:
Externe: Élève prend cours maths fort pour faire beaucoup $ plus tard.
Introjectée (pour les autres): Élève prend maths fort car c’est valorisé socialement.
Identifiée(pour soi): Il prend maths fort car veut devenir prof (but externe).
3- Motivation intrinsèque: régulation intrinsèque. Élève fait maths fort car LOVES it.

47
Q

Analyse de cas sur la motivation

A

Check le modèle Attente-Valeurs dude.

48
Q

Jasmin, enseignant auprès d’élèves du 3ème cycle du primaire en troubles du comportement, se rend compte que ses élèves sont souvent peu motivés par les situations d’enseignement et d’apprentissage qu’il leur propose. Par conséquent, hormis quelques élèves qui s’impliquent activement dans les tâches proposées, la plupart de ses élèves s’y engagent peu puisqu’ils n’y voient pas l’utilité ou semblent les trouver ennuyantes.
a)En vous fondant sur le modèle d’intervention CLASSE, fournissez 3 pratiques pédagogiques que vous pourriez suggérer à Jasmin d’appliquer, afin que ses situations d’apprentissage soient plus motivantes pour ses élèves.

b)En vous fondant sur le modèle d’intervention CLASSE, fournissez 2 pratiques pédagogiques qui permettraient à Jasmin d’accorder davantage de latitude à ses élèves.

A

a) Définir clairement les attentes par rapport aux tâches.
Montrer comment faire.
Faire voir l’utilité et le sens des apprentissages.

b) Aider les élèves à se fixer des buts et des objectifs.
Les encourager à consigner leurs progrès.

49
Q

Caroline, enseignante de 2ème année du primaire en adaptation scolaire, sent que ses élèves manifestent peu de motivation scolaire. Pour accroître leur motivation, elle met en place un système visant à récompenser les élèves qui obtiennent le meilleur rendement de sa classe, en affichant les travaux des meilleurs élèves ou en leur offrant des récompenses matérielles. Selon elle, ce système motivera les élèves les plus faibles, qui auront tendance à vouloir imiter les meilleurs, pour être à leur tour récompensés. Au bout d’un mois d’utilisation de ce système, Caroline se rend compte que les élèves les plus faibles sur le plan académique semblent encore plus démotivés et que seuls peu d’élèves, toujours les mêmes, reçoivent des récompenses.

a) En vous fondant sur le modèle d’intervention CLASSE, comment Caroline pourrait-elle modifier ses pratiques pédagogiques afin qu’elles reflètent des conceptions de l’apprentissage plus motivantes? Appuyez votre réponse sur 2 arguments
b) Comment Caroline pourrait-elle modifier ses pratiques pédagogiques de soutien afin qu’elles soient plus motivantes? Appuyez votre réponse sur 2 arguments.

A

a) Reconnaître les compétences et les capacités de chaque élève.
Faire la promotion de l’effort et des stratégies d’apprentissage.

b) Reconnaître les efforts et les progrès des élèves.
Valoriser les succès.

50
Q

Nous avons vu en cours que le questionnement consiste en une stratégie susceptible de motiver les élèves à apprendre. Selon ce qui a été abordé, identifiez 3 avantages du questionnement ainsi que 2 pièges à éviter du questionnement.

A

3 avantages :
-Permet de capter et de soutenir attention des élèves
-Permet de travailler avec toute la classe.
-Permet d’évaluer la compétence rapidement.
2 pièges :
-Ne pas varier suffisamment son profil de questionnement
-Tomber dans « le syndrome de la bonne réponse »

51
Q

En vous basant sur Nault et Lacourse (2008), identifiez et expliquez brièvement les 2 étapes qu’un enseignant devrait inclure à son enseignement lors de la présentation des contenus.

A

Le plan en début de leçon (permet de situer les élèves, de leur montrer les liens entre les concepts abordés).
· L’identification des connaissances antérieures (permet de présenter des situations d’apprentissage adaptées; défi réaliste).

52
Q

Selon Nault et Lacourse (2008), qu’est-ce qui peut expliquer le fait que les situations d’enseignement et d’apprentissage sont souvent peu innovantes ? Appuyez votre réponse sur 2 arguments.

A
  1. L’habitude - peur de perdre le contrôle

2. Manque de temps - méconnaissance du nouveau matériel

53
Q

Selon Nault et Lacourse (2008), comment un enseignant peut-il s’y prendre afin d’offrir des situations d’apprentissage qui favorisent une participation équilibrée de la part des élèves et de l’enseignant? Appuyez votre réponse sur un argument.

A

Une planification efficace des situations d’apprentissage inclut de réduire les changements organisationnels pour ne pas désorganiser les élèves

54
Q

En vous basant sur ce qui a été abordé en cours, identifiez 4 raisons qui peuvent expliquer pourquoi les élèves manifestent des comportement inadaptés en classe.

A

· Parce qu’ils ne savent pas quoi faire (rappel tâche, refaire démonstration).
· Parce qu’ils ne savent pas comment faire (expliciter stratégies).
· Parce qu’ils ne savent pas pourquoi ils doivent faire ce qu’on leur propose (utilité).
· Parce qu’ils n’ont rien à faire (prévoir activités pour plus rapides).

55
Q

Un enseignant se sent constamment menacé par rapport à un élève qui manifeste des comportements déviants. Selon ce qui a été abordé en cours, quelle est la fonction du comportement de cet élève ? Exposez 2 exemples de manifestations de ce comportement inapproprié chez un élève, lorsqu’il se présente activement, d’une part, et passivement, d’autre part.

A

Fonction de la lutte de pouvoir.

· Manifestations : confrontent/contredisent (actif); oubli intentionnel de matériel (passif).

56
Q

Quelles sont les différentes catégories de comportements inadaptés évoquées par Archambault et Chouinard (2009)? Pour chacune de ces catégories, identifiez 2 exemples de comportement inadaptés susceptibles de se produire.

A

Comportement fautif qui ne pose pas de problème (problème de courte durée qui dérange peu ou pas l’enseignant).
Exemples : élève qui parle pendant une transition; élève qui cesse de prêter attention pendant un court laps de temps.
· Problème mineur (manquement à des règles de classe ou d’école, mais peu fréquent. Dérange un peu les apprentissages).
Exemples : mâcher de la gomme; quitte sa place en faisant du bruit; élève qui en interpelle un autre en chuchotant.
· Problème majeur dont l’étendue est limitée (dérange la classe, interfère avec les apprentissages).
Exemples : brise des objets de la classe; fait autre chose que le travail demandé.
· Escalade ou problème très étendu (menace ordre et discipline dans la classe, peut comporter danger pour les élèves).
Exemples : élève qui répond constamment pour nous défier; lance des objets; élève qui se déplace à volonté dans la classe / fait ce qu’il veut.

57
Q

Il existe différents types d’intervention pour réagir face aux comportement inappropriés, qui varient en intensité. Identifiez-les et fournissez, pour chacune de ces catégories, 2 exemples d’intervention.

A

· Interventions limitées : ignorance intentionnelle, proximité.
· Interventions modérées : appel direct, retrait en classe.
· Interventions majeures : retrait de l’élève de la classe, contrainte physique.

58
Q

.Identifiez deux des cinq principes de base en intervention (Romano, 1993). Expliquez chacun de ces principes brièvement.

A

· Principe de parcimonie (commencer par interventions les plus simples; interventions graduelles, hiérarchisées).
· Principe de promptitude (interagir rapidement aux CI, sinon contamination).

59
Q

Marie-Ève, une enseignante en adaptation scolaire au primaire, vient de sortir un élève de sa classe puisqu’il ne s’applique pas dans ses devoirs. En vous fondant sur les principes de base de l’intervention (Romano, 1993), que pensez-vous de son intervention ? Appuyez votre réponse sur un argument.

A

· Son intervention ne respecte pas le principe de base de parcimonie, qui consiste à appliquer des interventions graduelles. Son intervention se situe dans les interventions majeures, ce qui ne respecte pas le principe de parcimonie.

60
Q

Léa, enseignante au primaire en adaptation scolaire, est au prise avec un élève présentant un TDAH qui lui donne du fil à retordre. Identifiez les trois catégories de symptômes qui caractérisent ce trouble. Puis, pour chacune de ces catégories, proposez un moyen qui permettra d’en réduire l’apparition.

A

Impulsivité (système d’émulation), augmenter l’attention à la tâche (diminuer sources de distraction) et contrôler l’agitation/hyperactivité (permettre à l’élève de bouger)

61
Q

Étienne a dans sa classe d’élèves en troubles de comportement une élève qui manifeste fréquemment des élans de colère. Selon ce qui a été abordé en cours, quel est le type de trouble de comportement de cette élève ? Décrivez-le à l’aide de 2 caractéristiques et fournissez deux stratégies d’intervention réputées efficaces pour en réduire l’apparition.

A
TC
- menaces, brise objets
stratégies d'intervention : 
- prévoir conséquences logiques et immédiates
- donner goût aux études
62
Q

Identifiez deux interventions qui sont adaptées à un élève qui présente des comportements reflétant du retrait social.

A
  • prendre ton de voix doux

- encourager participation en classe

63
Q

Archambault et Chouinard (2009) ont identifiés six qualités qu’un bon suppléant devrait manifester. Identifiez-en 4 et expliquez brièvement en quoi elles consistent.

A
  • professionnalisme : ponctuel, conn. Reponsabilités, tenue, demander de l’aide
  • recours à une tousse de suppléance (créer ou en amener une)
  • aspects juridiques et mesures d’urgence (incendie, premiers soins, confidentialité)
  • connaissance d’approches pédagogiques variées ( selon âge et besoins des élèves)