mi session Flashcards

1
Q
  1. Décrire les fonctions des organes impliqués dans les réactions sexuelles (préparation du corps) des hommes et des femmes.
A

FEMMES
Mont de venus : réduit le frottement des corps au cours de l’acte sexuel, très sensible aux caresses (prépare le désir et la détente)
Grandes lèvres : plaisir, protection de l’orifice vaginal et urinaire
Petites lèvres : protection du clitoris, plaisir ( se gorgent de sang et gonflent = plaisir)
Clitoris : seule fonction plaisir, le capuchon sert de protection pour caresses indirectes plus agréables
Vestibule : plaisir, très sensible
Entrée du vagin : plaisir, contraction et expansion de l’anneau musculaire
Périnée : plaisir, très sensible
Vagin : durant l’excitation sexuelle, se dilatent et s’adapte au pénis, le premier1/3 est innervé (excitable). L’engorgement de la paroi vaginale (vasocongestion) amène la transsudation (lubrification) =augmentation du plaisir sexuel
Le point G : plaisir, portion antérieure du vagin
Seins : plaisir = mamelon
HOMMES
Pénis : plaisir sexuel
Gland : couronne et frein particulièrement sensibles
Urètre : éjaculation
Testicules : sensibles

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2
Q
  1. Identifier des fausses croyances sur l’anatomie de l’homme et de la femme.
A
  • la taille du pénis est importante
  • un orgasme nécessite un long pénis
  • un orgasme est le signe de l’atteinte du plaisir sexuel, sans celui-ci l’homme n’a pas été assez bon
  • l’anatomie de la femme devrait ressembler à ceux vu dans la pornographie
  • les gros seins sont plus sensible
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3
Q
  1. Examiner l’impact de la perception de ses organes génitaux et de son corps sur l’estime de soi et la satisfaction sexuelle afin d’identifier les conséquences.
A

Une image corporelle positive = plus grande satisfaction sur le plan sexuel, moins de gêne de demander ce qu’on veut, meilleure connaissance de son corps, plus de contacts sexuels = meilleure estime de soi

  • difficulté à recevoir et s’abandonner au plaisir
  • refus d’être caressé à certains endroits ou d’être regardé
  • troubles alimentaires
  • troubles du désir sexuel, de l’excitation sexuelle ou de l’orgasme
  • croyance d’être non désirable ou que l’on ne mérite pas d’être aimé
  • crainte de ne pas satisfaire l’autre
  • gêne, peur, honte, colère, angoisse
  • faible estime de soir
  • évitement des contacts sexuels
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4
Q
  1. Connaître les effets des hormones sur la sexualité et les comportements sexuels de l’homme et de la femme.
A

Hommes : la testostérone influence le désir (libido) et non le fonctionnement (érection), une déficience en testostérone amène une diminution de la sensibilité des organes génitaux.
Antiandrogènes : diminue la testostérone = diminution du désir sexuel = diminution des activités sexuelles
Femmes : œstrogènes aident à conserver l’épaisseur et l’élasticité de la muqueuse vaginale et la lubrification vaginale. Ménopause = diminution des œstrogènes
Testostérones : cause à effet avec le désir sexuel, la sensibilité des organes génitaux et la fréquence des activités sexuelles. Supplément de testostérone pour ménopause
Ocytocine : influence la réponse sexuelle, la sensualité et l’attirance érotique. Secrétée pendant les contacts physiques et intimes (toucher), augmente la sensibilité de la peau et favorise les liens affectifs et les rapprochements. Rôle important dans le développement du sentiment amoureux.

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5
Q
  1. Nommer des préoccupations liées aux fonctions sexuelles féminines et masculines.
A
  • orgasmes
  • grosseur du pénis
  • grosseur du vagin (trop lousse)
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6
Q

Expliquer comment les facteurs biologiques, psychologiques et sociaux influencent l’identité et les rôles sexuels;

A

Théorie de l’apprentissage social : identification au rôle sexuel par les influences sociales et culturelles en bas âge ( jeux, vêtements, télévision, attentes des parents, renforcements des parents lors de comportements)
Les parents manifestent leurs attentes à travers leurs interactions.

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7
Q

identité sexuelle

A

• identité sexuelle (identité de genre) : perception subjective d’être un homme, une femme ou une combinaison des deux. 3 ans

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8
Q

roles sexuels

A

• rôles sexuels : attitudes et comportements considérés comme normaux et appropriés à un sexe dans une culture donnée.

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9
Q

identification au role sexuel

A

• identification au rôle sexuel : le fait de s’identifier au rôle attendue

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10
Q

stéréotype sexuel

A

• stéréotype sexuel : idée préconçues sur les conduites d’une personne selon son sexe

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11
Q

socialisation du role sexuel

A

• socialisation du rôle sexuel : la société transmet des attentes en matière de comportement par la famille, l’école, les amis (jeux, attentes …)

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12
Q

Expliquer comment les stéréotypes et les attentes liées aux rôles sexuels affectent les attitudes, les fantasmes et les comportements sexuels des hommes et des femmes.

A

Les stéréotypes et les attentes créent des pressions et des insatisfactions. Ils deviennent limitants et étouffants. Les personnes essaient de correspondre à ces attentes, même si cela ne leur convient pas. Peut amener des problématiques lorsque la personne a intériorisé un stéréotype ex : l’homme est fort et n’exprime pas ses émotions, la femme a moins de désir que l’homme, l’homme prend l’initiative et la femme répond…
Ex : ne pas demander une activité sexuelle à son partenaire de peur d’avoir l’air trop cochonne.

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13
Q

transsexuel

A

Transsexuel : personne dont l’identité ne correspond pas à son sexe biologique. Désir de rendre son corps aussi conforme que possible au sexe désiré.

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14
Q

transgenre

A

Transgenre : personne dont l’apparence ou le comportement ne se conforme pas aux rôles ni aux stéréotypes de rôles sexuels traditionnels. Ne souhaite pas modifier son corps. Obtention d’une gratification d’ordre psychosocial plutôt que sexuel, vise à se satisfaire de l’expérience d’appartenir au sexe opposé.

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15
Q

travestisme

A

Travesti : faire une coupure de la pression sociale de son rôle sexuel, personnificateur féminin ou masculin.

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16
Q

travestisme fétichiste

A

Travestisme fétichiste : trouble. Présence chez un homme hétérosexuel de fantaisies imaginatives sexuellement excitantes, d’impulsions sexuelles ou de comportements impliquant un travestissement qui sont à l’origine d’une souffrance cliniquement significative.

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17
Q
  1. Définir les quatres orientations sexuelles.
A

Hétérosexuel : attirance affective et sexuelle envers une personne du sexe opposé
Homosexuel : attirance affective et sexuelle envers une personne de son propre sexe
Bisexuel : attirance affective et sexuelle envers une personne, peu importe son genre
Asexuel : ne ressent pas d’attirance sexuelle pour autrui, pas de besoin ou désir envers l’autre

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18
Q
  1. Identifier les 7 points de l’échelle de Kinsey qui situent les comportements, les pensées, le désir et les fantasmes et illustrer comment ils se manifestent.
A
  1. Hétérosexualité exclusive
  2. Hétérosexualité prédominante, avec quelques activités homosexuelles
  3. Hétérosexualité préférentielle, avec des activités homosexuelles plus qu’occasionnelles
  4. Bisexualité
  5. Homosexualité préférentielle, avec des activités hétérosexuelles plus qu’occasionnelles
  6. Homosexualité prédominante, avec quelques activités hétérosexuelles
  7. Homosexualité exclusive
    Il faut regarder l’ensemble de la vie et non une période spécifique, il faut considérer les comportements, attirance sexuelle et les fantasmes, il peut y avoir variation dans le temps.
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19
Q
  1. Expliquer la confusion liée à la prise de conscience de son orientation sexuelle.
A

Est-ce que c’est seulement une passe, un fantasme, une curiosité ?

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20
Q
  1. Résumer les concepts clefs des étapes du dévoilement de l’orientation sexuelle et ses défis.
A
  1. La reconnaissance (conscience d’être différent)
  2. Acceptation de soi (surmonter les préjugés)
  3. Révélation (à qui, quand, craintes)
21
Q
  1. Identifier des stratégies qui favorisent l’accompagnement lors du dévoilement de son orientation sexuelle.
A
  • valider la perception que la personne a d’elle-même
  • valider sa perception de l’homosexualité
  • dire qu’il n’y a pas d’urgence
  • ne pas presser la personne dans son cheminement
  • parler des sentiments amoureux et de la sexualité
  • parler des peurs et craintes de la personne
  • donner des exemples positifs de dévoilements et de réactions
22
Q
  1. Identifier les processus impliqués dans la formation du schéma amoureux (érotisme, sensualité, nature de la relation amoureuse) chez l’enfant.
A

Le schéma amoureux se développe tôt dans l’enfance et est établi à 8ans. Il se constitue par la relation parent-enfant saine : proximité physique, chatouille, caresses, exposition à l’interaction entre le père et la mère. Un élément primordial est les jeux sexuels dans l’enfance et les réactions des parents face à ceux-ci. Une acceptation signifie à l’enfant que la sexualité est naturelle et acceptée, cela lui permet
de se découvrir et de développer un schéma amoureux sain.

23
Q
  1. Différencier les jeux sexuels sains entre les enfants des comportements sexuels inappropriés et identifier la réaction des adultes envers ceux-ci.
A

Jeux sexuels sains : enfants du même âge, rire, curiosité, regarder/toucher/se déshabiller = réaction positive du parent
Jeux sexuels problématiques : interfèrent sur le développement de l’enfant, fréquence élevée, cause douleur, souffrance physique ou émotive, enfants d’âge différents, manipulation, contacts bucco-génitaux, pénétration, imitation de relation sexuelle= nécessite intervention de l’adulte.

24
Q
  1. Définir les styles d’attachement chez l’enfant et leurs impacts sur la vie amoureuse adulte.
A

Attachement sécurisant : relation de confiance avec le parent
-bonne relations amoureuses
Attachement anxieux-ambivalent : les parents répondent de manière inconstante
-dépendance affective, croit que l’autre ne veut pas de lui ou va le quitter
Attachement anxieux-évitant : négligence
-mal à l’aise avec la proximité, l’amour est transitoire, l’autre va me laisser un jour, peu d’engagement

25
Q
  1. Reconnaître les étapes du développement de la sexualité chez le nourrisson, l’enfant et l’adolescent.
A

Nourrisson : érection et stimulation génitale ( frottement) = réponse naturelle, pas une association au plaisir sexuel comme chez l’adulte
Enfant : masturbation (vers 2-3 ans) = normal, parler du corps
4-7 ans jeux sexuels , exploration sexuelle. 8-9 ans intérêt romantique 10-11 ans intérêt pour les changements corporels , la puberté
Adolescent : puberté, exploration sexuelle : masturbation, jeux sexuels non coïtaux, relations sexuelles, recherche d’intimité et de sentiment amoureux

26
Q
  1. Décrire les processus d’acquisition de la pensée sexuelle chez les adolescents et les adolescentes, leurs craintes, la nature de leurs contacts sexuels, leurs relations amoureuses et les raisons qui les amènent à s’engager très tôt dans la relation sexuelle coïtale ou reporter celle-ci à plus tard.
A

Les adolescents ont plus tendance à partager leur intimité sexuelle avec quelqu’un qu’ils aiment.
Raison de relations sexuelles précoce : pauvreté, conflits familiaux, famille monoparentale, peut d’instruction des parents, manque de surveillance parentale, toxicomanie, mauvaise estime de soi
Raison de relations sexuelles tardives : religion, puberté tardive, réprobation des parents, bon rendement scolaire

27
Q
  1. Décrire le cycle de la réponse sexuelle selon Masters & Johnson et Helen Kaplan
A

Masters et Johnson :
Excitation
Plateau : aucun changement ne peut être détecté
Orgasme
Résolution : évaluation de la satisfaction, retour à l’état de repos

Helen Kaplan
Désir : la sexualité n’est pas obligatoirement précédée du désir
Excitation
Orgasme

Autres : intérêt (ouverture à la sexualité, précède le désir), satisfaction ( évaluation de sa satisfaction par rapport aux attentes de la phase de désir)

28
Q
  1. Distinguer les différences dans la réponse sexuelle selon le sexe afin de démythifier certaines fausses croyances.
A

La réponse sexuelle des femmes est plus variée que celle de hommes
La période réfractaire chez l’homme
Les femmes ont des orgasmes multiples plus que les hommes

29
Q
  1. Établir des liens entre les phases du cycle de la réponse sexuelle et des difficultés sexuelles.
A

Désir : perte de désir, baisse de libido, conflit par rapport à la fréquence des rapports
Orgasme : trouble d’éjaculation, désir de performance,
Satisfaction / résolution : faible estime de soi = moins de satisfaction, trop d’attentes envers soi ou son partenaires, pression des stéréotypes

30
Q
  1. Identifier des conséquences du vieillissement sur le cycle de la réponse sexuelle afin de dégager des solutions possibles pour pallier aux difficultés sexuelles.
A

Excitation Prend plus de temps avant d’être en érection Lubrification vaginale plus lente et moins abondante
Plateau Dure plus longtemps Souplesse vaginale moins grande
Orgasme Éjaculation moins forte Contractions utérines diminuées
Résolution Période réfractaire plus longue Résolution plus rapide

31
Q
  1. Identifier les effets réputés et réels des aphrodisiaques et anaphrodisiaques
A

Aphrodisiaques : augmentent la capacité d’une personne à accomplir des activités sexuelles
Viagra, levitra et cialis
Anaphrodisiaques : atténuent le désir sexuel et inhibent le comportement sexuel
Opiacés, anxiolytiques, antidépresseur

Alcool
Effets réputés
-augmente l’excitation
-stimule l’activité sexuelle
Effets réels
-réduit les inhibitions
-diminue le stress
-diff. Érectiles
-réduit l’intensité de l’orgasme
-diff. À atteindre l’orgasme
cocaine
Effets réputés
-augmente la fréquence et l’intensité de l’orgasme
-amplifie l’excitation
Effets réels 
-réduit les inhibitions
-augmente la sensation de bien-être
-troubles érectiles
-éjaculation spontannée
-Retarder l’éjaculation
-dépression/anxiété
32
Q
  1. Expliquer le rôle des cinq sens impliqués dans l’excitation sexuelle.
A

Toucher : sens qui participe la plus à l’excitation sexuelle, source de stimulation érotique la plus fréquente.
La vue : le processus de séduction est influencé par l’apparence, ex : magazine ou vidéo
L’odorat : on attribue un caractère érotique à certaines odeurs, odeur des sécrétions génitales dépend des gens
Le goût : rôle faible, dépend des gens
L’ouïe : dépend des gens, certains aime les cris et gémissements, permet de communiquer avec son partenaire ses préférences

33
Q

. Décrire les comportements sexuels suivants et Énumérer la fonction de ces activités (les motivations) ainsi que les émotions rattachées à ces comportements ;

A
  • le baiser : première étape de la relation sexuelle, peut être tendre ou intense
  • les caresses du corps :zones érogènes, source de plaisir
  • la masturbation : autostimulation des parties génitales pour obtenir du plaisir sexuel fonction : excitation, soulagement de la tension sexuelle, détente physique, sommeil, relaxation… émotions : c’est mal, mon chum se masturbe il me trompe : je ne le satisfait pas
  • les relations bucco-génitales (amour oral) : dépend des gens, certains ont une réaction de dégout, perception négative de ses organes génitaux
  • Le coït vaginal émotions : la femme guide le pénis à l’intérieur = elle veut diriger, l’homme ne sait pas comment
  • les différentes positions coïtales émotions : changer de position = je n’avais pas de plaisir, ne pas frustrer son partenaire, penser juste à soi, position ou la femme a un plus grand contrôle = émasculation de l’homme, femme en dessous car elle subit
  • les relations coïtales anales : moins courant émotions : c’est mal, douleur, satisfaction du partenaire, homosexualité, c’est sale
34
Q
  1. Démystifier le sens des rêves érotiques et les fantasmes sexuels en faisant référence à leur nature chez les hommes et les femmes, leur fréquence, leurs rôles et les résultats des recherches à cet égard.
A

Contribuent à l’excitation érotique, évacuation partielle des désirs irréalisés et irréalisables, combler des besoins psychoaffectifs, préparer de nouvelles expériences sexuelles …
Femmes : scène tendre et romantique, être séduite, être soumise … portent sur ce que l’autre va me faire
Hommes : avec une femme séduisante, avec plusieurs femmes, éjaculer dans la bouche, domination… portent sur ce qu’ils veulent faire à la femme

35
Q
  1. Distinguer les différences entre les hommes et les femmes quant à l’appréciation des comportements sexuels.
A

homme aime plus femme sur le dessus

femme aime plus homme sur le dessus

36
Q
  1. Identifier les besoins émotionnels et sexuels des 50 ans et plus.
A
  • réseau social : amis, famille …
  • se sentir désirable
  • augmentation des activités non génitales : toucher, baiser …
  • maintien de l’activité sexuelle
37
Q
  1. Définir les types de matériel sexuellement explicite.
A

Érotique : affection, touché et caresses
La pornographie non violente : soft/hard core, dégradante
La pornographie violente : étouffement, violence, meurtre, viol
La violence érotisée : film

38
Q
  1. Identifier les impacts possibles de la consommation du matériel sexuellement explicite sur la sexualité et les relations amoureuses des hommes et des femmes (bénéfices et conséquences).
A

Bénéfices :
Excitation sexuelle
Agrandir le répertoire érotique
Améliorer la capacité de communication (échanges sur les besoins)
Soulagement temporaire des tensions sexuelles
Accessible, rapide, anonyme
Comble la solitude

Conséquences :
Diminution de l’excitation sexuelle envers les personnes
Augmente la tolérance envers la violence
Mécontentement de son apparence physique
Mécontentement de la performance sexuelle de soi ou de l’autre
Alimente les fantasmes sexuels déviants
Augmentation de l’hostilité envers les femmes

Couple :
Perception d’infidélité
Relations sexuelles moins satisfaisantes ou moins fréquentes
Violence ou reproduction de scénarios
Bénéfices :
Consommation en couple pour stimuler l’excitation
Stimulation de la fantasmatique de couple
Exploration de nouveaux comportements sexuels

39
Q
  1. Expliquer ce qu’est un comportement sexuel atypique.
A

Comportement sexuel qui ne se rencontre habituellement pas chez la plupart des gens dans une société et une époque donnée.

40
Q
  1. Définir l’expression saine de la sexualité.
A

Celle qui permet à l’individu de vivre sa sexualité de façon satisfaisante, dans la dignité, dans le respect de soi et des autres, en toute sécurité, en tant qu’expérience positive favorable à sa croissance personnelle.

41
Q
  1. Décrire les caractéristiques des auteur(e).
A

Hommes, connait la victime, quarantaine

42
Q
  1. Définir les paraphilies coercitives et non coercitives. (Contrainte)
A

Coercitives : inceste, pédophilie, agression sexuelle, harcèlement sexuel, sadisme
Non coercitives : fétichisme, travestisme fétichiste, sadisme, masochisme

43
Q
  1. Illustrer les facteurs prédisposants, précipitants et perpétuants afin de dégager des besoins insatisfaits chez la personne.
A

Facteurs prédisposants : favorisent l’émergence de l’agression sexuelle, liés au passé de l’individu (traumatismes, carences affectives, isolement social …)
Facteurs précipitants : favorisent l’apparition de l’agression sexuelle et se situent dans l’immédiateté du passage à l’acte (alcool, rupture, perte d’emploi)
Facteurs perpétuants : favorisent la persistance de l’agression sexuelle et maintiennent l’individu dans une dynamique abusive (alcool, instabilité relationnelle, usage pornographique)

44
Q
  1. Expliquer l’impact de la stigmatisation chez les délinquants sexuels.
A

La stigmatisation amène du mépris et un jugement du délinquant sexuel, ce qui amène chez lui un sentiment de colère et de rejet. Ces sentiments peuvent jouer le rôle de facteurs perpétuants en maintenant l’individu dans une dynamique abusive, puisque la personne se sent isolé, est en colère. Augmentation du risque de récidive.

45
Q
  1. Examiner le parcours menant à un délit sexuel
A
Conflit
Malaise (émotions)
Fantasme (scénarios)
Choix apparemment anodin (planification par l’agresseur)(ex : garder les enfants pour que la mère se repose)
Situation à risque
Acte de délit
46
Q
  1. Identifier ce qu’est une agression sexuelle.
A

Geste à caractère sexuel, avec ou sans contact physique, commis par un individu sans le consentement de la personne visée ou, dans certains cas, notamment celui des enfants, par une manipulation affective ou du chantage.

47
Q
  1. Nommer des fausses croyances sur les agressions sexuelles et leurs impacts.
A

Il est impossible d’agresser sexuellement un homme
Les femmes disent non mais veulent dire oui
Plusieurs femmes déclarent faussement avoir été agressées
Les hommes ont des pulsions incontrôlables

Impacts : culture du viol, peur de dénoncer, se croire responsable, ne pas croire une victime, blâmer la victime

48
Q
  1. Identifier les conséquences possibles à la suite d’une agression sexuelle.
A
État de stress post-traumatique
Sexualité précoce 
Hypersexualisation
Évitement des relations sexuelles 
Comportements sexuels à risque (nombre de partenaires, protection …) 
Dysfonctions sexuelles (désir, anxiété …) 
Crainte de l’intimité 
Abus d’alcool ou drogue