mi-session Flashcards

1
Q

1.1. Quelles sont les quatre composantes de l’intelligence sexuelle ?

A

1- la connaissance de sa propre sexualité;
2- l’aptitude à établir des rapports interpersonnels sur le plan sexuel;
3- la connaissance scientifique de la sexualité;
4- la compréhension du contexte culturel dans lequel elle s’inscrit.

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2
Q

1.2. Qu’est-ce que l’approche biopsychosociale en sexologie ?

A

(Chap. 1 - p.3) C’est l’approche de la sexualité HUM qui repose principalement sur l’idée que des facteurs psychologiques (émotions, attitudes, motivation) et socioculturels (processus de conditionnement : individus intériorisent valeurs et normes de leur groupe social) ont une grande influence sur les idées, les valeurs et les cpts sexuels de chacun … ET n’exclut pas le rôle biologiques !

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3
Q

1.3. Selon Mahomet, Dieu a-t-il distribué la sexualité en parts égales entre les hommes et les femmes?

A

Non ! Si Dieu avait distribué le désir sexuel en 10 parties, 9 iraient aux femmes et une seule aux hommes :)

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4
Q

1.4. Les besoins sexuels ont-ils tendance à être reconnus de la même façon chez les garçons/hommes, que chez les filles/femmes?

A

Non ! La socialisation a pour effet de limiter, de façonner et d’accentuer les caractéristiques et les tendances biologiques propres à chaque sexe : organes génitaux M + accessibles et porté à manipuler leur pénis, comparativement à la vulve F (qui est cachée). Ainsi, elle accentue cette différence en reconnaissant une plus grande permissivité aux besoins de masturbation des garçons, par leurs plus grandes expériences masturbatoires et orgasmiques, passant sous silence ceux des filles !

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5
Q

1.5. Durant le Moyen-Âge, que symbolisaient les figures de Marie et d’Ève ?

A

Les 2 en parallèles : la vierge (celle pure et irréprochabel) et Éve la tentatrice.

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6
Q

1.6. Quelle valeur les réformateurs protestants du 16e siècle reconnurent-ils pour la sexualité dans le mariage ?

A

Martin Luther et Jean Calvin reconnurent la valeur de la sexualité dans le mariage; selon Calvin, la sexualité à l’intérieur du mariage était acceptable si elle naissait du désir d’avoir des enfants, d’éviter la fornication, d’alléger et d’adoucir les préoccupations et les peines du ménage ou encore de se rendre cher l’un à l’autre.

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7
Q

1.7. Au siècle des Lumières (18e siècle), quels droits sexuels l’ouvrage Revendication des droits de la femme revendique-t-il ?

A

Wollstonecraft affirmait que la satisfaction sexuelle était aussi importante pour la femme que pour l’homme et que les relations sexuelles, tant préconjugales qu’extraconjugales, ne constituaient pas un péché.

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8
Q

1.8. L’étude de la docteure Clelia Duel Mosher a-t-elle confirmé l’idée d’une sexualité chez les femmes de l’époque victorienne (19e siècle)?

A

Non ! En dépit de l’idée largement répandue voulant que la femme victorienne soit axexuée,Mosher découvrit que la plupart d’entre elles éprouvaient du désir sexuel, aimaient pratiquer le soit et que 34 sur 47 femmes avaient connu l’orgasme.

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9
Q

1.9. En quelle année l’homosexualité a été retirée du Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders ?

A

En 1973 au DSMIII

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10
Q

1.10.1. Comment se nomme le phénomène qui consiste à adopter des attitudes et des comportements exagérément sexualisés?

A

L’hypersexualisation, qui regroupe sous ce vocable des attitudes et des comportements exagérément sexualisés chez les 12-14 ans ou moins.

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11
Q
  1. 10.2. Dans les vidéoclips comprenant un contenu sexuel, comment les hommes sont-ils normalement dépeints?
  2. 10.3. Et les femmes?
A

Les hommes sont habituellement dépeints comme dominants.

Les femmes sont représentées comme des objets sexuels.

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12
Q

1.11. Quels sont les six (6) dimensions servant à l’analyse des phénomènes sexuels par la sexologie?

A

Denise Badeau propose 6 dimensions déterminantes de la sexualité : la dimension psychologique, affective, cognitive, biologique, morale et socioculturelle.

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13
Q

1.12. Quels sont les buts de la sexologie ?

A

Les deux premiers buts, la compréhension et la prédiction des comportements, se conçoivent aisément. (ex. un sexotra ou psy pourra rassurer son client qui prend hypotenseur ET aider conjoints à évaluer leurs chances de vivre une relation enrichissante
Et troisième but, l’élaboration de moyens d’intervention par l’utilisation des connaissances scientifiques (passage obligé entre le savoir et l’application).

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14
Q

1.13. Quelle méthode de recherche a utilisé :

A

A. Alfred Kinsey
Enquête sur les modèles de comportement sexuel chez les Américains et les Américaines.

B. Masters & Johnson
À partir d’une méthode d’observation directe, à l’aide de techniques expérimentales et non d’entrevues, ils conceptualisent un modèle de la réponse sexuelle.

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15
Q

1.14. Comment se nomme la méthode de recherche sexologique qui se déroule en laboratoire ?

A

La méthode expérimentale.

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16
Q

1.15. Qu’est-ce que l’étude de Potkar et Koenig (2005) démontre au sujet de la tendance des adolescents mâles à déclarer des comportements sexuels à risque lorsqu’ils utilisent le questionnaire assisté par ordinateur, comparativement à lorsqu’ils sont interrogés en personne ?

A

Le sujet est plus enclin à dévoiler des informations personnelles sur son comportement que lorsqu’il fait face à un interviewer.

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17
Q

1.16. Quels sont les deux principaux éléments dont il faut tenir compte lorsqu’on évalue la qualité d’une recherche sexologique ?

A

Même en prenant connaissance des résultats d’enquêtes sérieuses, il est bon de garder un oeil critique et d’éviter de les tenir pour vrais pour la seule raison qu’ils sont présentés comme étant scientifiques. 7 questions utiles pour évaluer le sérieux d’une recherche : 1- dites des chercheurs, 2- type de médias choisis pour publier les résultats, 3- approche ou méthode utilisée, 4- le nombre de participants était-il suffisant ?, 5- peut-on appliquer ses résultats à une population + large, 6- méthodologie employée, 7- Y a-t-il d’autres recherches dont les résultats appuient ou contredisent l’étude en question ?

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18
Q

4.1.1. Qu’est-ce que le « sexe » ?

A

Le «sexe» renvoie au sexe biologique qui comporte 2 aspects : le sexe chromosomique (aussi appelé sexe génétique), déterminé par nos chromosomes sexuels, et le sexe anatomique, qui concerne les différences physiques apparentes entre le masculin et le féminin (comme lorsqu’on parle du sexe d’un bébé).

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19
Q

4.1.2. Qu’est-ce que le « genre » ?

A

Le «genre» renvoie plutôt aux comportements, attitudes et types de psychologies qu’une société et une culture attribuent différemment aux hommes et aux femmes.

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20
Q

4.2. Qu’est-ce que le sentiment d’appartenance à un sexe ?

A

Sentiment d’une personne d’appartenir à un sexe et pas à l’autre. Il peut être congruent ou non avec le sexe biologique. Souvent appelé identité de genre ou identité sexuelle, selon les auteurs (p.99).

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21
Q

4.3. Comment définit-on les rôles attribués à un sexe ?

A

(Ou rôle sexuel) Ensemble d’attitudes et de comportements considérés comme normaux et appropriés à un sexe dans une culture donnée.

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22
Q

4.4.1. Quel gène chromosomique joue un rôle important dans la séquence du développement du sexe gonadique ?

A

C‘est le gène SRY qui, chez le foetus masculin, stimule la transformation des gonades embryonnaire en testicules. En l’absence du gène SRY, l’influence du gène DSS et d’autres gènes de féminité, les tissus gonadiques indifférenciés se développent pour former les ovaires (p.101).

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23
Q

4.4.2. Quelle substance chimique corporelle contribue au développement des organes génitaux externes ?

A

INTERNE : c’est l’androgène chez les mâles, et l’absence d’androgène le foetus développe des structures femelles.) EXTERNES : se transforment lorsqu’elles reçoivent ou non un composé issu de la testostérone, la dihydrotestostérone (DHT); avec DHT, le scrotum et le gland et la hampe du pénis se formera, sinon avec ’influence du gène DSS et d’autres gènes de féminité, ça devient le clitoris et les petites lèvres, plus des grandes lèvres. 12e semaine embryonnaire, les structures externes sont reconnaissables (p.103).

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24
Q

4.4.3. Existe-t-il des différences fondamentales entre le cerveau de l’homme et de la femme ?

A

Oui ! D’importantes différences structurelle et fontionnelles qui proviennent en partie du processus de différenciation sexuelle prénatal (p. 104).

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25
Q

4.4.4. Quel terme utilise-t-on aujourd’hui pour désigner les personnes qui possèdent les caractères biologiques des deux sexes ?

A

«Intersexué» est le terme qui remplace hermaphrodite (p.106).

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26
Q

4.5.1. Quelles caractéristiques sont associées au syndrome de Klinefelter ?

A

Foetus masculin (1 sur 1000); spermatozoïde porteur d’un chromosome Y rencontre un ovule contenant 2 chromosomes X (au lieu de 1) qui donne SSY; garçon atteint présente anatomie masculine + présence chromosome féminin = développe simultanément 2 courants structuraux; Y déclenche formation structures masculins, mais féminin freine leur développement = entraîne stérilité et sous-développement du pénis et des testicules; peu d’intérêt pour activité sexuelle en raison taux fable de testostérone; généralement grands avec caractéristiques physiques féminines (seins, rondeurs); s’identifie au sexe masculin (p.108 - voir au livre autre façon d’expliquer).

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27
Q

4.5.2. Quelles caractéristiques sont associées au syndrome de Turner ?

A

Bébé féminin (1 sur 2500-3000) qui possède 45 chromosomes au lieu des 46 habituels; absence de chromosome sexuel qui donne une combinaison XO; organes génitaux externes féminins et considéré comme fille, mais organes internes sous-développés (ovaires absents ou représentés par tissus fibreux); les seins ne se développent pas (sauf avec traitement hormonal substitutif), pas de menstruation et sont stériles; à l’âge adulte, elles sont plus petites que la moyenne (p. 108).

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28
Q

4.5.3. Quelles caractéristiques sont associées au syndrome d’insensibilité aux androgènes ?

A

Défaut génétique rare; cellules d’un foetus masculin normal sur plan chromosomique est résistant aux androgènes; entraine une féminisation du développement prénatal, bébé nait avec organes génitaux féminins d’apparence normale et un vagin peu profond; éduquer en fille, ET découvert à l’adolescence quand menstruations tardent à venir; sentiment d’appartenance au sexe féminin (p.107 - voir au livre autre façon d’expliquer).

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29
Q

4.6. Selon la théorie de l’apprentissage social, comment les parents influencent-ils l’identification du rôle sexuel ?

A

Les parents ont des idées préconçues sur ce qui distingue les G et les F, et ils transmettent ensuite des idées à leur enfant par une multitude de moyens, certains subtils, d’autres moins. Leurs attentes influent sur l’environnement dans lequel l’enfant est élevé, depuis la couleur des murs de sa chambre jusqu’au choix de ses jouets. Ausi, c’est influencé par la façon dont les parents voient leur enfant (p.110).

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30
Q

4.7. A-t-on raison de croire que l’identité sexuelle est neutre au moment de la naissance et qu’elle sera déterminée uniquement par des expériences d’apprentissage social ?

A

Malgré des preuves parfois convaincantes du rôle déterminant de l’apprentissage social dans le développement du sentiment d’appartenance à un sexe, une étude longitudinale a pu soulevé que cette interprétation est fautive.

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31
Q

4.8. Est-ce que les personnes vivant avec une dysphorie de genre désirent nécessairement subir une chirurgie de réassignation du sexe ?

A

Non, certaines personnes souhaitent simplement avoir l’apparence physique, l’identité sociosexuelle ou la sexualité de l’autre sexe. La plupart des transsexuels aspirent à des trois aspects de l’autre sexe, mais certaines s’accommodent d’un seul ou de deux d’entre eux.

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32
Q

4.9. Quelle est la différence entre le travestisme, et les identités trans* ?

A

On appelle travesti une personne non transsexuelle qui s’habille comme l’autre sexe; aujourd’hui ce terme est surtout réservé aux personnes qui se travestissent pour obtenir une excitation sexuelle. Un transgenre s’habille aussi comme une personne de l’autre sexe, mais le fait généralement pour obtenir une gratification d’ordre psychosocial plutôt que sexuel.

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33
Q

4.10. Quelle est la différence entre le sentiment d’appartenance à un sexe et l’orientation sexuelle?

A

Le sentiment d’appartenance à un sexe est celui, très personnel, être un homme, une femme, ou une combinaison des deux. // L’orientation sexuelle, elle, a plus à voir avec l’attirance affective et sexuelle envers l’un ou l’autre sexe (p. 116).

34
Q

4.11. Suite à une chirurgie de réassignation du sexe, la plupart des personnes transsexuelles préfèrent-elles des partenaires sexuels de même sexe ou de l’autre sexe ?

A

La quasi-totalité des transsexuels devenus hommes recherchent des femmes pour partenaires sexuels, tandis que les transsexuels devenus femmes peuvent être attirés par l’un ou l’autre sexe, la majorité préférant les partenaires masculins. * La plupart qui change de sexe le font surtout pour résoudre un problème relatif à leur sentiment d’appartenance sexuelle et non pour devenir + attirant auprès de partenaires potentiels (p. 116).

35
Q

4.12. Est-ce que les parents ont tendance à afficher un comportement plus, ou moins, protecteur à l’égard des bébés de sexe féminin ?

A

Je dirais même plus, ils couvent et protègent davantage leurs bébés de sexe féminin (p. 121).

36
Q

4.13. En quoi les stéréotypes de rôles sexuels sont-ils limitatifs et empêchent l’épanouissement sexuel ?

A

Ces stéréotypes liées aux rôles sexuels exercent une profonde influence sur la sexualité et peuvent avoir un impact sur plusieurs aspect de la vie sexuelle. Le regard que porte une personne sur elle-même en tant qu’utre sexué, ses attentes en ce qui a trait aux relations intimes, sa perception de la qualité de telles expériences de même que la réponse des autres à sa sexualité peuvent être influencés de façon appréciable par son identification en tant qu’H ou F.

37
Q

4.14. Qu’est-ce qui caractérise une personne androgyne ?

A

Signifie «qui possède les caractéristiques des deux sexes» et qui traduit une certaine flexibilité dans les rôles sexuels. Ils ont intégré des aspects masculins et féminins à leur personnalité et à leur comportement, qui leur permettent d’adopter le comportement qui leur semble le + indiqué dans une situation plutôt que celui prescrit par le rôle sexuel stéréotypé (p. 127).

38
Q

6.1. Est-ce que les stimulations tactiles du nourrisson peuvent déclencher une réponse génitale ?

A

Oui, les 2ères années de leur vie, découverte du plaisir de la stimulation génitale : frottements de la zone génitale contre objet, oreiller ou poupée (observés : poussée de bassin, lubrification et érection). Absence d’éjaculation, mais ressemble à celui d’un adulte.

39
Q

6.2. Les contacts chaleureux durant l’enfance ont-ils un impact sur l’expression de la sexualité de l’adulte ?

A

Oui ! Les dispositions d’une personne à donner et à recevoir de l’affection, une fois adulte, semblent liées à ses premiers contacts chaleureux et agréables avec des gens signifiants, particulièrement ses parents.

40
Q

6.3. Combien de garçons et de filles déclarent s’être masturbés avant la puberté ?

A

Un peu plus de filles (40%) que de garçons (38%).

41
Q

6.4. Les jeux sexuels avec des amis de même sexe durant l’enfance sont-ils déterminants de l’orientation sexuelle ?

A

Dans la plupart des cas, ces jeux sont transitoires, et bientôt remplacés par les premières fréquentations hétérosexuelles de l’adolescence.

42
Q

6.6 Quels rôles joue la masturbation durant l’adolescence ?

A

C’est une vie d‘expression sexuelle importante durant l’adolescence; En plus de fournir un exutoire à la tension sexuelle, l’autostimulation est une excellente façon de découvrir son propre corps et le potentiel sexuel qu’il recèle. Cette connaissance pourrait leur être utile plus tard, lors d’interactions sexuelles avec un ou une partenaire.

43
Q

6.7. Quelles sont les principales motivations invoquées par les adolescents pour avoir leurs premières activités sexuelles ?

A

La principale : manifestation naturelle de tendresse ou d’amour; autres : a) l’envie de se comporter en «adulte», b) la pression des pairs, c) l’insistance du ou de la partenaire et d) un sentiment d’obligation envers un partenaire loyal.

44
Q

6.8. Les adolescents identifiés comme homosexuels risquent quels types de réactions sociales ?

A

Souvent victimes de violences verbales ou physiques; incapacité d’ouverture de l’autre à la discussion sur leur orientation sexuelle, SINON rejet émotif ou physique; violences par leur propre famille.

45
Q

6.10. (manque #9) Les études tendent-elles à démontrer que les célibataires sont plus ou moins actifs et satisfaits sexuellement que les gens mariés ?

A

Moins satisfaits ! En fait, le célibat englobe un éventail de mode de vie, ce qui fait que certains peuvent être très satisfait par exemple avec un ami +, mais d’autres préfèrent vivent seules.

46
Q

6.11. Est-ce que les conjoints de fait ont des attitudes moins ou plus traditionnelles que les couples mariés quant aux rôles sexuels (ex. : dans le partage des tâches) ?

A

La fréquence des conflits et degré de satisfaction des 2 sont similaires. MAIS les conjoints en union libre ont des attitudes MOINS traditionnelles quant aux rôles sexuels, un moins grands désir d’avoir des enfants et partagent les taches domestiques de façon plus équitable. MAIS ENCORE, plus ils vivent longtemps ensemble, plus ils tendent à souffrir d’insécurité !

47
Q

6.12. Avec quelles variables la satisfaction sexuelle est-elle reliée chez les personnes mariées/en couple ?

A

La cohabitation avant le mariage; les + satisfaits sont ceux qui NON PAS cohabité.

48
Q

6.13. Quelles sont les différences entre les relations extraconjugales consensuelles et non consensuelles ?

A

Pour consensuelles, les deux conjoints sont au courant des relations extraconjugales et y consentent. Pour les non consensuelles, une personne a une liaison sexuelle hors mariage sans le consentement de son conjoint ou conjointe.

49
Q

6.14. Selon l’enquête de Dunn et Culter (2000), quelle proportion de personnes âgées de 60 ans et plus était sexuellement active ?

A

Environ la moitié d’entre eux sont sexuellement actifs (le critère était : au moins une fois par mois).

50
Q

6.15. Une étude portant sur la satisfaction sexuelle des femmes de 50 ans et plus a identifié quel facteur qui s’avère le plus important dans l’évaluation de leur satisfaction sexuelle ?

A

Leur satisfaction est corrélé, par ordre décroissant d’importance, à la satisfaction conjugale globale, à une plus grande fréquence orgasmique pour elles-mêmes et leur mari, et à des rapports costaux et non costaux plus fréquents.

51
Q

6.16. Quels avantages possèdent les femmes lesbiennes âgées, par rapport aux hommes gais âgés, au sujet de leur vie sexuelle et amoureuse ?

A

En raison de la plus grande longévité des femmes, une lesbiennes âgée court moins de risque de devenir veuve tôt. Et si la mort frappe, le bassin de partenaires disponibles n’est pas aussi restreint que pour les hommes gais âgés.

52
Q

5.1. Généralement, quelle est la définition de l’orientation sexuelle ?

A

Attirance sexuelle envers des personnes de son propre sexe (homosexualité), de l’autre sexe (hétéroxualité) ou des deux sexes (bisexualité), ou absence d’attirance sexuelle (asexualité) (p.130).

53
Q

5.2. Selon l’étude de Lippa (2006), est-ce que les femmes s’identifiant comme hétérosexuelles ont moins ou plus de chance que les hommes hétérosexuels d’exprimer une attirance envers les personnes de leur propre sexe ?

A

Non ! Contrairement aux hommes hétérosexuels qui n’ont pas envie de relations sexuelles avec une femme, causé par une grande attirance pour les hommes, les femmes ne portent pas d’attirance pour ni un, ni l’autre des sexes (p.131).

54
Q

5.3. La fluidité sexuelle est-elle plus présente chez les hommes ou chez les femmes ?

A

C’est chez les hommes que la fluidité sexuelle est moins présentes.

55
Q

5.4. Selon Statistiques Canada (2011) combien de canadiens de 18 à 59 ans se considèrent homosexuels et bisexuels ?

A

1,1% homosexuels et 0,9% comme des bisexuels (p.135).

56
Q

5.5. D’après la littérature scientifique, la plupart des personnes homosexuelles ont leurs premières expériences sexuelles avec quelqu’un de leur propre groupe d’âge ou de plus âgé qu’elles ?

A

Avec quelqu’un de leur propre groupe d’âge, c’est un mythe quand on entend le contraire !

57
Q

5.6. Quelle est la différence entre la thérapie de réorientation et celle de l’affirmation de l’homosexualité ?

A

C’est tout le contraire de l’affirmation, la thérapie de réorientation va aider les personnes homosexuelles insatisfaites de leur état à contrôler, à réduire ou à annihiler leurs désirs et comportements homosexuels (p.142).

58
Q

5.7. Les études ont-elles démontrées que certains hommes homophobes refoulent ou nient leurs émotions érotiques envers d’autres hommes ?

A

Oui ! On retrouve même un grand nombre de suicides chez les adolescents gais qui seraient liés à al difficulté de se reconnaitras comme tels et d’assumer leur homosexualité, difficulté essentiellement attribuable aux attitudes sociales homophobes (p.142).

59
Q

5.8. Quelles sont les possibles conséquences d’une explication biologique de l’homosexualité ?

A

L’homosexualité risque d’être étiquetée comme une défectuosité qu’on tenterait de prévenir au moyen de traitements médicaux our inhiber ou modifier les facteurs susceptibles d’y contribuer avant ou après la naissance (p.138).

60
Q

5.9. Quelles sont les quatre étapes possibles de l’affirmation de l’orientation sexuelle (coming out)?

A

La reconnaissance, l’acceptation et l’expression de son homosexualité sont les étapes possibles d’affirmer son orientation ET vient consolider son orientation sexuelle avec l’appartenance à cette communauté. D’autres préfèrent se taire !

61
Q

5.10. Quels types d’attitudes ont les parents qui acceptent le mieux la révélation de l’homosexualité d’un membre de leur famille ?

A

Des attitudes moins conservatrices et rigides.

62
Q

5.11. Quelles différences y-a-t-il entre la sexualité des femmes lesbiennes, et la sexualité des femmes hétérosexuelles ?

A

Une revue de recherche montre que les couples lesbiens ont plus d’interactions sexuelles non génitales avant d’avoir des contacts génitaux, que leurs relations sexuelles durent plus longtemps, qu’ils sont plus à l’aise de tenir un langage érotique à leur partenaire, qu’ils s’affirment davantage sexuellement et qu’ils ont moins de problèmes d’orgasme que les femmes hétérosexuelles.

63
Q

5.12. Les enfants ayant des parents homosexuels ont plus tendance à être aussi homosexuels ?

A

Non, ils grandissent généralement en étant hétérosexuels !

64
Q

5.13. A-t-on observé des différences significatives au plan du bien-être psychologique chez les jeunes adultes qui avaient été élevés par des mères lesbiennes et des mères hétérosexuelles ?

A

Non, des études ont montré qu’ils n’étaient pas différents des autres, sur le plan de l’estime de soi, des problèmes de relation entre les sexes, des rôles sexuels de l’orientation sexuelle et du développement en général. De fait, on rapporte que ce serait davantage la qualité du réseau social et divers facteurs de risque (tel l’abus d’alcool) qui serait associé à des problématiques parentales.

65
Q

3.1.1. Quelle est l’action du neurotransmetteur « dopamine » sur l’excitation sexuelle ?

A

Le neurotransmetteur «dopamine» transmet de la dopamine aux influx nerveux entre les neurones, qui active la région interne de l’aire préoptique de l’hypothalamus (RIAP) ET favorise l’excitation et la réponse sexuelles chez les mâles de plusieurs espèces. (en outre, la testostérone stimule la production de dopamine dans le RIAP des 2 sexes).

66
Q

3.1.2. Quelle est l’action neurotransmetteur « sérotonine » sur l’excitation sexuelle ?

A

Le neurotransmetteur «sérotonine» semble inhiber l’activité sexuelle. L’éjaculation masculine provoque la sécrétion de sérotonine dans la RIAP et l’aire latérale de l’hypothalamus, une région située de chaque côté de celui-ci. Cette sécrétion réduit temporairement la libido et l’activité sexuelle en bloquant la production de dopamine et la sérotonine bloque aussi l’effet de l’ocytocine.

67
Q

3.2.1. Qu’est-ce qu’une zone érogène primaire ?

A

Ce sont les régions où les terminaisons nerveuses se concentrent en plus grand nombre : organes génitaux, les fesses, l’anus, le périnée, les seins (en particulier les mamelons), l’intérieur des cuisses, les aisselles, le nombril, le cou, les oreilles (plus spécifiquement le lobe) et la bouche (les lèvres, la langue et la cavité orale.

68
Q

3.2.2. Qu’est-ce qu’une zone érogène secondaire ?

A

Ce sont les parties du corps qui correspondent à une valeur érotique liée à un contexte sexuel particulier : presque toutes les autres parties du coprs = deviennent érogènes au toucher dans un contexte d’intimité sexuelle !

69
Q

3.3. A-t-on pu prouver qu’une substance qui était réellement aphrodisiaque ?

A

Non ! Aucun des présumés agents n’ont les qualités d’un stimulant sexuel réel. au plus, ces substances miment un partie de la réponse sexuelle, mais une partie seulement. Elles peuvent facilement confondre la personne sur ses désirs réels et un VÉRITABLE aphrodisiaque ne provoquerait pas cette confusion. La réponse réside p.ê. dans la conviction et l’autosuggestion, OÙ n’importe quelle substance pourrait être un stimulant sexuel potentiel.

70
Q

3.4. Les androgènes, dont fait partie la testostérone, sont sécrétés uniquement par les hommes ?

A

Non ! C’est un terme générique utilisé pour désigner les hormones sexuelles masculines, mais les deux en produisent. H = production testicule 95% vs 5% surrénales // F = presqu’égale entre ovaires et glandes surrénales. Par contre, l’homme produit habituellement de 20 à 40 fois plus de testostérone, par le fait même plus d’androgènes.

71
Q

3.5. Quelles sont les quatre (4) phases de la réponse sexuelle ?

A

1- excitation
2- plateau
3- orgasme
4- résolution

72
Q
    1. Quels éléments caractérisent la réponse physiologique de l’excitation sexuelle :
  1. Chez la femme ?
  2. Chez l’homme ?
A
  • Communs : Augmentation de la myatonie, du rythme cardiaque et de la pression artérielle; Rougeurs sexuelles (surtout chez la femme) //
    1. Femme : Augmentation de la taille du clitoris, Écartement des grandes lèvres de l’ouverture du vagin, Accentuation de la couleur et augmentation de la taille des petites lèvres, Début de la lubrification, Élévation de l’utérus, Augmentation du volume des seins.
    2. Homme : Début de l’érection du pénis, Élévation et engorgement des testicules, Épaississement et tension de la peau scrotale.
73
Q
    1. Quels éléments caractérisent la réponse physiologique du plateau :
  1. Chez la femme ?
  2. Chez l’homme ?
A
  • Communs : Forte myotonie et parfois contractions involontaires des mains et des pieds, Augmentation des rythmes cardiaque et respiratoire et de la pression artérielle.
    1. Femme : Sécrétion possible des glandes de Bartholin, Rétraction du clitoris sous le prépuce, Élévation maximale de l’utérus, Établissement de la plateforme orgasmique (engorgement du tiers externe du vagin), Gonflement des aréoles.
    2. Homme : Sécrétion possible des glandes de Cowper, Engorgement et élévation plus prononcé des testicules.
74
Q
    1. Quels éléments caractérisent la réponse physiologique de l’orgasme :
  1. Chez la femme ?
  2. Chez l’homme ?
A
  • Communs : Spasmes musculaires involontaires de tout le corps, Pression artérielle, rythmes respiratoire et cardiaque à leur maximum, Contractions involontaires du sphincter rectal.
    1. Femme : Maintien de la rétraction du clitoris sous le prépuce, De 3 à 15 contractions rythmiques de la plateforme orgasmique, Contractions de l’utérus.
    2. Homme : Pendant la phase d’émission, contraction des structures internes, provoquant l’accumulation du liquide séminal dans le bulbe urétral; Contraction du sphincter urétral externe; Pendant la phase d’expulsion, explosion du liquide séminal par la contraction des muscles entourant la base du pénis.
75
Q
    1. Quels éléments caractérisent la réponse physiologique de la résolution :
  1. Chez la femme ?
  2. Chez l’homme ?
A
  • Communs : Relâchement de la myotonie; retour à la normale de la pression artérielle, des rythmes respiratoire et cardiaque tout de suite après l’orgasme; Disparition rapide des rougeurs sexuelles; Atténuation progressive de l’érection des mamelons.
    1. Femme : Descente du clitoris et lent retour à l’état de repos, Détumescence des grandes et petites lèvres et retour à la couleur originale, Retour de l’utérus à sa position habituelle; En l’absence d’orgasme après une période d’intense excitation, ralentissement considérable de la phase de résolution.
    2. Homme : Maintien de l’érection durant encore quelques minutes; diminution rapide de la grosseur du pénis, puis lent retour à sa taille normale; Descente des testicules et retour à leur taille normale; Relâchement de la peau du scrotum qui retrouve son apparence plissée; Résolution assez rapide chez la plupart des hommes; Phase réfractaire.
76
Q

3.10. Qu’est-ce que le multi orgasme ?

A

C’est la capacité d’avoir plus qu’un orgasme dans un court laps de temps;

  • Après l’orgasme, c’est la phase de «résolution». Si un nouvelle excitation se produit, le corps retourne à son état antérieur à l’excitation. Autrement dit, c’est la disposition physiologique à une autre stimulation sexuelle pendant au début de la phase de résolution.
77
Q

3.11. Quelles sont les trois (3) phases du modèle de la réponse sexuelle selon Kaplan ?

A

Après avoir critique ‘asters et Johnson pour sa phase de résolution, il définit les 3 phases : 1- le désir, 2- l’excitation, 3- l’orgasme.

78
Q

3.12. Selon l’approche sexocorporelle, quels sont les quatre (4) modes d’excitation sexuelle ?

A

1- «archaïque» : stimulation des terminaison nerveuses profondes, comme le font les jeunes enfants lorsqu’ils serrent les cuisses ou les fesses (âge adulte = surtout chez les femmes); 2- «mécanique» : l’utilisation d’un vibrateur ou des mouvements rapides et répétitifs de la main pendant la masturbation; 3- «ondulatoire» : mouvements souples tout en laissant l av volupté se répandre de la région génitales vers l’ensemble du corps (permet de maintenir l’excitation par l’action / mouvement du corps); 4- «en vague» : maintien de l’excitation (comme ondulatoire) et permet de canaliser graduellement le plaisir présent dans tout le corps vers un lâcher-prise du corps et de l’esprit, laissant ainsi la charge érotique accumulée se libérer dans un orgasme intense.

79
Q
    1. Que ce passe-t-il avec la réponse sexuelle au troisième âge :
  1. Chez la femme ?
  2. Chez l’homme ?
A
  1. Femme : généralement, toutes les phases se maintiennent, mais avec une intensité moindre; EXCITATION : 1ère phase (début de la réponse sexuelle) = lubrification vaginale plus lente et réduite; 2e phase (pendant…) = réduction importante de la lubrification et de l’extension du vagin (p.ê. avec douleur et/ou inconfort), diminution désir sexuelle et de la sensibilité de leur clitoris (nuit à l’excitation); PLATEAU : augmentation de la plateforme orgasmique et une élévation de l’utérus, réactions moins prononcés qu’avant la ménopause; ORGASME : contractions moins gens nombre, mais demeure capable d’orgasme multiples; besoin d’une lus longue période de stimulation pour atteindre l’orgasme; RÉSOLUTION : plus courte chez la femme ménopausée, jusqu’à disparaitre rapidement.
  2. Homme : la plupart des changements surviennent dans le cycle de la réponse sexuelle des hommes plus âgés ont trait à l’intensité et à la durée de la réponse; EXCITATION : capacité d’érection rapide diminuée (pas des sec, MAIS des min); érections moins prononcées; certains conservent leur potentiel érectile pendant toute leur vie ! PLATEAU : tension musculaire moindre, érection complète tardive; cette phase peut donc durer ++ longtemps que jeune; ORGASME : continue d’avoir des orgasmes, mais moins intenses ET le nombre de contractions musculaire et la force de l’éjaculation diminuent; RÉSOLUTION : phase + rapide chez homme âgé, et la prochaine phase d’excitation est rallongée !
80
Q

3.14. Quelles sont les principales différences entre la réponse sexuelle de l’homme et de la femme?

A

L’accent est mis en général sur les similarités entre les réponses sexuelles féminine et masculine. MAIS différences : 1- la réponse sexuelle physiologique varie plus chez les femmes que chez les hommes; 2- l’existence d’une période réfractaire (ds la résolution) chez l’homme est l’une des différences les plus importantes entre les réponses sexuelles des 2 sexes (p.ê. à cause de l’éjaculation activerait mécanisme neuro d’inhibition); 3- les 2 sexes peuvent avoir orgasmes multiples, mais plus fréquents chez la femme… p.ê. coït + masturbation en parallèle.

81
Q

6.5. Quelle hormone sécrétée par l’hypophyse stimule l’activité des gonades à la puberté ?

A

«gonadostimuline» : cette hormone = G : stimule l’activité des gonades et accroit la production de testostérone; // F : stimule l’activité des ovaires et commencent à produire d’importantes quantités d’oestrogènes.