MH exam final Flashcards

1
Q

1

Comment peut-on établir le portrait d’un milieu aquatique

A
  • la qualité de l’eau
  • les composantes physiques
  • les bandes riveraines
  • les poissons, le benthos, le plancton, les plantes aquatiques, etc.
  • les sédiments
  • les composantes anthropiques
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2
Q

1

Pourquoi établir un portrait du milieu aquatique?

A
  • acquérir des connaissances sur un nouveau milieu aquatique
  • suivre l’évolution d’un milieu aquatique
  • suivre les impacts sur un milieu aquatique
  • identifier un polluant ou une source de pollution
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3
Q

1

Quelle est l’importance de la recherche documentaire et de la visite terrain dans l’élaboration d’une stratégie d’échantillonnage?

A
  • La visite préalable au terrain permet d’observer les réalités du lieu et permet de discuter avec le demandeur du mandat.
  • La recherche documentaire est essentielle puisqu’elle est une source importante d’informations et elle évite de dédoubler le travail ou de faire du travail en parallèle.
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4
Q

1

Qu’est-ce que l’on cherche à obtenir ou à connaître pour notre stratégie d’échantillonnage?

A
  • les études antérieures
  • les photos satellites
  • les photos aériennes
  • la délimitation du bassin versant
  • la structure du réseau hydrographique
  • la localisation des cours d’eau et des fossés
  • les différentes cartes
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5
Q

1

? le réseau est vieux, ? il est ramifié, ? son ordre de Strahler est grand

Ajoute un + ou un - à la place du point d’interrogation

A

+ le réseau est vieux, + il est ramifié, + son ordre de Strahler est grand

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6
Q

1

? Le réseau est vieux, ? il est ramifié, ? l’ordre de Strahler est grand

Ajoute un + ou un - à la place du point d’interrogation

A
  • Le réseau est vieux, - il est ramifié, - l’ordre de Strahler est grand
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7
Q

1

? la roche est perméable, ? l’eau s’infiltre, ? il y a de ruissellement, ? ordre de Strahler

Ajoute un + ou un - à la place du point d’interrogation

A

+ la roche est perméable, + l’eau s’infiltre, - il y a de ruissellement, - ordre de Strahler

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8
Q

1

? La roche est perméable, ? l’eau s’infiltre, ? il y a de ruissellement, ? l’ordre de Strahler

Ajoute un + ou un - à la place du point d’interrogation

A
  • La roche est perméable, - l’eau s’infiltre, + il y a de ruissellement, + l’ordre de Strahler
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9
Q

1

Pourquoi est-il pertinent de connaître la structure du réseau hydrographique?

A
  • la classification (ou l’ordre) de Strahler identifie l’importance et la complexité de l’écoulement des eaux à l’intérieur d’un bassin versant.
  • la densité ou la complexité d’un réseau hydrographique est influencée par l’abondance des pluies et la pente du terrain.
  • la classification de Strahler permet d’avoir des indices sur l’âge du réseau hydrographique, sur la perméabilité des roches et de savoir s’il peut être traversé à gué.
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10
Q

1

Explique les affluents et l’ordre des cours d’eau

A

un affluent ne possédant pas d’affluent est d’ordre 1. Si un affluent d’ordre 1 rencontre un autre affluent d’ordre 1, la nouvelle connexion devient 2. Si un affluent d’ordre 2 rencontre un affluent d’ordre 1, la nouvelle connexion reste 2.

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11
Q

1

Comment identifions-nous un cours d’eau? (3 situations)

A

1) Un cours d’eau possède un lit d’écoulement naturel (peu importe la superficie de son bassin versant)
2) Un cours d’eau possède un lit d’écoulement d’origine naturelle, mais a été déplacé ou modifié, en tout ou en partie, sans égard à la superficie de son bassin versant.
3) Un cours d’eau peut avoir été créé par l’activité humaine (ex. : irrigation). Il doit drainer un bassin versant de 100 hectares ou plus (1 km2)

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12
Q

1

Comment identifions-nous un fossé?

A

Tous les fossés n’existent qu’en raison de l’activité humaine et tous les fossés drainent une superficie de moins de 100 hectares (1 km2).
Il existe trois catégories de fossés:
1) fossé de voie publique ou privée (sert exclusivement à ce type de drainage)
2) fossé mitoyen (sert de ligne séparatrice entre voisins)
3) fossé de drainage ou d’irrigation (sert exclusivement à ce type de drainage)

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13
Q

1

Quelles sont les cinq étapes pour l’élaboration d’un protocole d’échantillonnage

A
  1. Choisir les paramètres de qualité de l’eau
  2. Localiser les stations d’échantillonnage
  3. Établir la fréquence et la période d’échantillonnage
  4. Identifier les indices de qualité du milieu aquatique
  5. Associer les critères de qualité aux paramètres
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14
Q

1

Quels sont les paramètres analysés dans les études antérieures et des problèmes de pollution ou de contamination appréhendés.
Il y en a 10.

A

 température
 transparence
 oxygène dissous
 coliformes fécaux
 pH
 phosphore
 matières en suspension
 les formes d’azote (NO2 –NO3 et NH3)
 turbidité
 débit

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15
Q

1

Si l’on souhaite analyser les paramètres des milieux agricoles et industriel, pour être plus précis on peut aussi analyser les métaux et les substances toxiques à l’aide des méthodes :

A
  • des techniques d’échantillonnage très pointues
  • des risques de contamination des échantillons
  • du transport
  • de l’analyse
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16
Q

1

Ces paramètres sont modifiés par quoi?
- des techniques d’échantillonnage très pointues
- des risques de contamination des échantillons
- du transport
- de l’analyse

A
  • rejets industriels, miniers ou municipaux.
  • activités agricoles
  • ruissellement urbain
  • érosion
  • épandage de fumier, lisier
  • fosses septiques inadéquates
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17
Q

1

Quelle est la meilleure période et la meilleure fréquence d’échantillonage

A

Tout comme lors du choix des paramètres et du nombre de stations, la fréquence d’échantillonnage peut être extrêmement variable et elle doit s’ajuster au mandat.
La période d’échantillonnage peut, quant à elle, être contraignante s’il s’agit d’un suivi fait sur une
année complète (période hivernale incluse).
Selon le mandat, la fréquence et la période d’échantillonnage peuvent être déjà établies par un programme ministériel. Sinon, à vous de l’établir.

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18
Q

1

Quels sont les indices de synthèse et de communication facilitant la présentation de la qualité générale de différents aspects du milieu aquatique auprès de la population et des gestionnaires

A

IQBP , IQE, niveau trophique, indice de Carlson

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19
Q

1

Quels sont les indices pour qualifier les éléments biotiques du milieu aquatique on peut utiliser

A
  • L’indice de Shannon-Weiner ( à partir des données sur le benthos)
  • L’IIB (indice intégrité biotique, à partir des données sur les poissons)
  • L’IDEC (Indice diatomés de l’Est du Canada, à partir des données sur le phytoplancton)
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20
Q

1

Quels sont les indices pour qualifier les éléments abiotiques du milieu aquatiques on peut utiliser :

A
  • IQH (Indice qualité habitat)
  • IQBR (Indice qualité bandes riveraines)
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21
Q

Quel est l’indice Pour qualifier un milieu naturel dans son ensemble et explique le.

A

Valeurs écologique: il cherche à mettre en évidence le potentiel écologique d’un territoire grâce à l’analyse de la répartition et de l’organisation spatiale des milieux naturels

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22
Q

1

Les critères de qualité des paramètres sont présentés dans le document du MELCC (2013)

A
  • Protection de l’eau et des organismes aquatiques pour la consommation
  • Protection de la vie aquatique
  • Protection de la faune terrestre piscivore
  • Protection des activités récréatives et de l’esthétique
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23
Q

2

explique moi la limite du littoral

A

Limite entre le littoral et la rive, là où on passe d’une prédominance de plantes aquatiques à une prédominance de plantes terrestres ou, s’il n’y a pas de plantes aquatiques, à la limite inférieure des plantes terrestres.

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24
Q

2

donne moi la définition de plaine inondable

A

Espace occupé par un lac ou un cours d’eau en période de crue. (…) » «…invention de la nature pour régulariser les débits. »

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25
Q

2

Donne moi la définition de milieu humide

A

Les milieux humides regroupent l’ensemble des sites saturés d’eau ou inondés pendant une période suffisamment longue pour influencer, dans la mesure où elles sont présentes, les composantes sol ou végétation.

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26
Q

2

Quelle est l’importance de la zone littorale peu profonde (cinq points importants

A
  • héberge la majorité des animaux qui vivent en milieu aquatique (mammifères, canards, reptiles, amphibiens, poissons et invertébrés)
  • crée des habitats qui fournissent abri, nourriture, protection contre la lumière, la chaleur, les prédateurs
  • absorbe les substances dissoutes dans l’eau pour fabriquer la matière organique, dépolluent les lacs et cours d’eau en recyclant les nutriments ou en emmagasinant les polluants
  • améliore la limpidité de l’eau en aidant à la sédimentation des particules en suspension
  • sert de brise-lames et réduit l’érosion des rives
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27
Q

2

o Quelle est l’importance d’une rive végétalisée? (huit points importants) et explique les

A

1) Habitat de la faune et de la flore
2) écran face au réchauffement excessif de l’eau
3) barrière contre les apports de sédiment
4) rempart contre l’érosion des sols
5) protection de la qualité esthétique du paysage
6) régulateur du cycle hydrologique
7) Filtre contre la pollution de l’eau
8) Barrière de vent

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28
Q

2

o Comment détermine-t-on la bande riveraine? Qu’est sont les critères pour une rive de 10 m et de 15 m

A
  • La rive est de 15 mètres à partir de la LHE :
  • lorsque la pente est continue et est > 30%
  • lorsque la pente est > 30 % et présente un talus de > 5 m de hauteur
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29
Q

2

o Comment détermine-t-on la ligne des hautes eaux? Quelle est la méthode privilégiée par le MDDELCC?

A
  • En présence d’un ouvrage de retenue des eaux, la ligne des hautes eaux se situe à la cote maximale d’exploitation de l’ouvrage pour la partie du plan d’eau située en amont
  • En absence de cote d’exploitation, faire la délimitation à partir de la méthode botanique.
  • En présence d’un mur de soutènement, la ligne des hautes eaux correspond au haut de l’ouvrage, c’est-à-dire au faîte du mur, dans la mesure où le mur a été légalement érigé, c’est-à-dire construit conformément à un règlement municipal ou en vertu d’un certificat d’autorisation du MDDELCC ou bénéficiant de droit acquis.
  • Lorsqu’il est impossible de délimiter la LHE à partir des critères botaniques ou en terrain plat et mal drainé, le critère hydrologique est nécessaire, i.e. la limite d’inondation de récurrence de 2 ans.
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30
Q

2

Explique La méthode botanique, privilégiée par le MELCC pour déterminer la ligne des hautes eaux

A

Endroit où l’on passe d’une prédominance de plantes aquatiques à une prédominance de plantes terrestres ou, s’il n’y a pas de plantes aquatiques, à la limite inférieure des plantes terrestres
* Les plantes aquatiques sont des plantes hydrophytes :
* submergées
* à feuilles flottantes
* émergentes
* herbacées et ligneuses émergées caractéristiques des marais et marécages ouverts sur des plans d’eau

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31
Q

2

explique la méthode simplifié du Melcc pour déterminer la ligne des hautes eaux

A
  • Procédure:
    1. Identifier au moins trois ou quatre espèces végétales indicatrices
    2. Établir la limite inférieure des lichens gris (peu tolérants aux inondations) sur l’écorce des arbres ainsi que la limite supérieure des mousses aquatiques (ont besoin d’être inondées périodiquement) du côté sud du tronc.
    3. Rechercher les indicateurs physiques
    4. À l’aide d’un ruban à mesurer, d’une corde et d’un niveau, comparer l’altitude des différentes limites fournies par les indicateurs biologiques et les indicateurs physiques.
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32
Q

2

explique la méthode experte du Melcc pour déterminer la ligne des hautes eaux

A
  • Procédure:
    1. Faire l’inventaire des espèces le long de transects, en partant du littoral vers le haut du secteur riverain
    2. Valider le statut aquatique ou terrestre de chaque espèce
    3. Calculer le pourcentage du nombre d’espèces de plantes aquatiques par rapport à la totalité des espèces recensées dans ce segment
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33
Q

3

o Quels sont les paramètres de base pour déterminer la qualité de l’eau? (les 10)

A
  • température (°C) –[ critère pour la protection de la vie aquatique effet chronique]
  • oxygène dissous (mg/L) –[ critère pour la protection de la vie aquatique effet chronique]
  • pH (unité) –[critère de l’activité récréative et de l’esthétique]-[cplpdlva effet aigu&chronique]
  • coliformes fécaux (ufc/100 ml) –[ critère de l’activité récréative et de l’esthétique direct & indirect]
  • turbidité ( UTN) –[ critère de l’activité récréative et de l’esthétique]-[ cplpdlva effet aigu&chronique]
  • matières en suspension (mg/L) –[ cplpdlva effet aigu et chronique]
  • transparence (m) –[critère de l’activité récréative et de l’esthétique]
  • phosphore (mg/L) –[critère de l’activité récréative et de l’esthétique]-[cplpdlva effect chronique]
  • Nitrites-nitrates (mg/L) –[cplpdlva effet chronique]
  • azote ammoniacal (mg/L) –[cplpdlva effect aigu et chronique]
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34
Q

3

Qu’est-ce qu’un contaminant

A

Matière liquide, solide, gazeuse, un microorganisme, (…) ou toute combinaison de l’un ou l’autre susceptible d’altérer de quelque manière la qualité de l’eau ou de l’environnement.» Ils peuvent être toxique pour les espèces, être bioaccumulables, déséquilibrer les écosystèmes et altère l’eau pour la consommation

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35
Q

3

explique les critères de qualité de l’Eau

A

Concentrations d’un contaminant qui, si elles sont dépassées, risquent d’entraîner la perte complète ou partielle de l’usage pour lequel ils ont été définies.

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36
Q

3

explique les critères pour la vie aquatique effet aigu

A

Critère pour la vie aquatique effet aigu; Concentration d’un contaminant à laquelle les organismes aquatiques peuvent être exposés pour une courte période de temps sans subir ou peu de mortalité.

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37
Q

3

explique les critères pour la vie aquatique effet chronique

A

Critère pour la vie aquatique effet chronique; toute concentration au-delà de ce critère, si maintenue continuellement, est susceptible de causer un effet indésirable.

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38
Q

3

explique les critères d’activité récréatives à contact direct

A
  • Critère d’activités récréatives à contact direct; Concentration d’un contaminant dans l’eau à laquelle peuvent être exposés directement (baignade, planche à voile, ski nautique, etc.) les usagers, sans danger pour leur santé. Il peut aussi être basé sur l’aspect esthétique de la ressource.
39
Q

3

explique les critères d’activités récréatives à contact indirect

A
  • Critère d’activités récréatives à contact indirect; Concentration d’un contaminant dans l’eau à laquelle peuvent être exposés indirectement (navigation de plaisance, canotage, etc.) les usagers, sans danger pour leur santé.
40
Q

3

Comment est-ce qu’on utilise les critères / comment calcule-t’on pour les critères d’activité récréatives et de l’esthétique (contact direct)

A

L’aire de baignade doit être assez grande pour permettre un échantillonnage d’un minimum de 6 échantillons. Si c’est pour une plage et qu’il y a moins que 10 échantillons pris, si un des échantillons dépasse la limite, la plage est fermée. Pour calculer: on fait la moyenne de tout les échantillons et on analyse le résultat.

41
Q

3

Comment est-ce qu’on utilise les critères / comment calcule-t’on pour les critères d’activité récréatives et de l’esthétique (contact indirect)

A

Pour les activités comme le kayak, pêche sportive, plaisance, etc… Le résultat Indicatif de la salubrité générale des eaux.

42
Q

3

Explique le critère de la turbidité pour le critère de l’Activité récréative et de l’esthétique.

A

Le résultat démontre si le milieu n’est pas propice à un usage récréatif. Concentration naturelle de turbidité :
Concentration moyenne de turbidité à partir des échantillons récoltés en temps sec (non influencé par une source ponctuelle, une pluie importante ou par la fonte des neiges).

Peut être fait pour une seule station d’échantillonnage (ex. : l’embouchure de la rivière Magog) ou peut être fait pour l’ensemble des stations de la rivière (ex. : rivière Magog, du lac Magog à son embouchure).

43
Q

3

explique la turbidité pour les critères pour la protection de la vie aquatique (effet aigu)

A

En fonction de l’eau limpide ou turbide, les concentrations maximales seront différentes. On peut supposer qu’au-delà de 25 mg/L de MES, les organismes sont adaptés à un milieu turbide (aucun critère)

44
Q

3

explique la différence entre les critères pour la protection de la vie aquatique effet aigu et chronique pour la turbidité

A

peux tu me le texter stp je suis pas certaine c quoi, 8195006046

45
Q

3

explique comment on récolte les données pour les MES

A

Concentration moyenne de MES à partir des échantillons récoltés en temps sec (non influencés par une source ponctuelle, une pluie importante ou par la fonte des neiges)
Comme pour la turbidité, on peut supposer qu’au-delà de 25 mg/L de MES, les organismes sont adaptés à ce milieu (aucun critère)

46
Q

3

Pour la transparence, comment on la mesure et quel critère est concerné?

A

OUI = 1,2 m. L’eau doit être suffisamment limpide pour qu’un disque de Secchi y soit visible à au moins 1,2 m de profondeur.
Critère de l’activité récréative et de l’esthétisme

47
Q

3

Pour le phosphore, dis moi quels critères sont concernés et pourquoi

A

Critère d’activités récréatives et de l’esthétique: la prolifération des plantes est affectés.
Critère pour la protection de la vie aquatique: effet chronique. Critère pour cours d’eau : 0,03 mg/L. Pour limiter la croissance excessive de plantes aquatiques et d’algues. Pour les lacs, la valeur est différente.

48
Q

3

pour le nitrate et le nitrite, quel est le critère pris en compte et pourquoi?

A

critère de la protection de la vie aquatique effet chronique (aussi aigu pour le nitrite), car il augmente avec les teneurs en chlorures dans le milieu

49
Q

3

Pour l’Azote ammoniacal, il varie en fonction de quel facteur et quel critère le prenne en compte?

A

l’azote Varie selon la température de l’eau et le pH
critère pour la protection de la vie aquatique effet aigu et chronique.

50
Q

4

Nomme les 3 types d’approche pour décrire et classer la qualité de l’eau?

A

Approche physico-chimique Approche bioindicateur
Qualité de l’habitat

51
Q

3

Selon l’approche physico-chimique pour décrire et classer la qualité de l’eau, nomme moi les différents indices

A

Indice de la Qualité de l’eau
IQBP (indice bactériologique et physicochimique de l’Eau)
Niveau trophique
Indice de Carlson

52
Q

4

Selon l’approche bioindicateur pour décrire et classer la qualité de l’eau, nomme moi les différents indices utilisés

A

IDEC (Indice Diatomées de l’Est du Canada)
IBGN (indice biologique global normalisé)
Indice de Shannon-Weiner
Indice d’équitabilité
FBIv (indice d’Hilsenhoff niveau 1)

53
Q

4

Selon l’approche de la qualité de l’habitat pour décrire et classer la qualité de l’eau, nomme moi les différents indices utilisés

A

IQBR (indice de qualité de bande riveraine)
IQH (indice de qualité de l’habitat)

54
Q

4

Décrit l’IQE et ses objectifs

A

-Ce programme fournit des données afin d’effectuer un suivi de la performance du Canada en fonction de différents enjeux, dont celui lié à la nature et à l’eau (qualité, quantité, disponibilité)
* Basé sur 8 à 12 descripteurs provenant d’au moins un des groupes de paramètres suivants : éléments nutritifs, métaux et paramètres physiques (ex. : température)

55
Q

4

Quelles sont les principales caractéristiques de l’IQE

A

Mesure de la capacité des plans d’eau douce à soutenir la vie aquatique
Basé sur des paramètres qui ont des critères de qualité de l’eau
Synthétiser de grandes quantités d’informations scientifiques et présente le tout de façon simple (comme les autres indices)

56
Q

4

Quelles sont les limites de l’IQE

A

-Ne présente pas l’impact de déversements ou d’autres situations problématiques sauf s’ils sont fréquents et durables
-Orienté essentiellement sur la protection de la vie aquatique (aucun autre usage, comme les activités récréatives, n’est décrit)
-Impossible de faire des comparaisons des paramètres entre les provinces
-Seuls les paramètres liés à un critère peuvent être intégrés dans l’IQE (chaque province a ses propres critères)
-Est sensible au nombre de paramètres utilisés pour son calcul (plus le nombre est élevé, plus élevé sera l’indice)

57
Q

4

Décrit moi l’IQBP et quels sont ses objectifs

A

Conçu dans le cadre du programme québécois de surveillance des écosystèmes aquatiques
Usage potentiels : Baignade, activités nautiques, approvisionnement pour consommation, protection vie aquatique et protection contre eutrophisation
Paramètres utilisés : Phosphore total, coliformes fécaux, azote ammoniacal, nitrites-nitrates, chlorophylle a totale, matières en suspension et turbidité

58
Q

4

Quels sont les principales caractéristiques de l’IQBP

A

Permet de statuer sur la qualité générale de l’eau, sur le plan bactériologique et physicochimique, pour l’ensemble des usages potentiels
Outil mathématique simple et adaptable
Ne masque pas l’information la plus importante, c’est-à-dire le paramètre ou le descripteur limitan

59
Q

4

Quelles sont les limites de l’IQBP

A

Puisque basé sur des paramètres conventionnels (de base), il ne renseigne pas sur les effets de substances toxiques
Ne renseigne pas sur la perte ou la dégradation d’habitats
Ne renseigne pas sur l’état de santé d’un cours d’eau d’une année complète (évaluation faite que sur la saison estivale)

60
Q

4

Décrit moi le niveau et trophique et quels sont ses objectifs

A

Permet de déceler les tendances à l’eutrophisation d’un plan d’eau
Paramètres utilisés : Phosphore total, chlorophylle a active et transparence

61
Q

4

Quelles sont les principales caractéristiques du niveau trophique

A

Permet de déceler les tendances à l’eutrophisation d’un plan d’eau
Mesures prises à la fosse du lac
Mesures prises lors de la période de stratification thermique
L’augmentation du phosphore entraîne une augmentation de la biomasse algale qui cause à son tour une diminution de la transparence de l’eau

62
Q

4

Quelle est la limite du niveau trophique

A

Évaluation porte uniquement sur la zone pélagique du plan d’eau et n’inclut pas les observations dans la zone littorale

63
Q

4

Quels sont les principales caractéristiques de l’indice de Carlson

A
  • Caractéristiques :
  • Mêmes paramètres que le niveau trophique
  • (Phosphore total, chlorophylle a active, transparence)
  • Mesures prises à la fosse du lac
  • Mesures prises lors de la période de stratification thermique
  • Le principe est le même que pour l’indice trophique, c’est-à-dire que phosphore ↑ entraine ↑ de la biomasse algale qui cause à son tour une ↓ transparence de l’eau
64
Q

5

Pour l’IQBR explique moi l’importance de des arbres pour le maintien de la qualité de la bande riveraine.

A

signe de diversité d’habitats aquatiques et riverains; permet des conditions naturelles et favorables au maintien de la qualité de l’habitat

65
Q

5

Pour l’IQBR explique moi l’importance de des arbustes pour le maintien de la qualité de la bande riveraine.

A

Signe d’un environnement généralement naturel, mais moins efficaces pour maintenir les fonctions écologiques que le recouvrement par les arbres

66
Q

5

Pour l’IQBR explique moi l’importance de des herbacées naturelles pour le maintien de la qualité de la bande riveraine.

A

Signe d’une moins grande stabilité et une moins grande complexité des habitats

67
Q

5

Pourquoi étudie-t-on le benthos pour évaluer la qualité du milieu aquatique?

A
68
Q

5

Explique les étapes pour avoir l’indice Benthos IBGN

A
  • Avec notre échantillon, il faut :
    1- Identifier chaque taxon
    2- Faire le décompte minimal requis pour chaque taxon selon le tableau de l’IBGN
    →ceux non inclus au tableau de l’IBGN doivent avoir un minimum de trois individus
    3- Dénombrer le nombre de taxons répondant au point 2
    → ceux non inclus au tableau de l’IBGN qui ont un minimum de trois individus font partie du
    dénombrement du nombre de taxons
    4- Lier chaque taxon dénombré à son groupe faunistique indicateur dans le tableau
    5- Le groupe indicateur le plus élevé = taxon qui se situe le plus haut dans le tableau
    6- IBGN = croisement de la richesse et du groupe indicateur le plus élevé (maximum de l’indice = 20)
  • Indice Benthos
69
Q

5

Quels sont les objectifs de l’IQH

A
  • déterminer si le cours d’eau est apte à supporter la vie aquatique
  • caractériser l’existence et la gravité de la dégradation de l’habitat
  • déterminer les sources et les causes de la dégradation de l’habitat
  • L’IQH se réalise sur un tronçon de 100 m et comporte 10 descripteurs (paramètres).
  • Les résultats de l’IQH varie de 0 à 30
70
Q

5

Donne et explique les descripteurs

A

Chaque descripteur est évalué sur le terrain et cette évaluation est transposée en chiffres dans l’une des catégories. L’addition des résultats obtenus pour chaque descripteur donne l’IQH.
- Substrat et disponibilité des abris
- Ensablement - envasement
- Type de courant
- Sédimentation
- Marnage
- Modification du cours d’eau
- Fréquence des seuils
- Stabilité des rives
- Protection végétale – droite– gauche
- Largeur bande végétale – droite- gauche

71
Q

5

Pourquoi on étudie le benthos?

A
  • Avantages majeurs d’étudier le benthos :
  • Ils sont abondants
  • Ils se retrouvent potentiellement dans tous les types de milieux aquatiques
  • Ils sont relativement sédentaires; permettent de caractériser la perturbation à la suite d’une pollution, sans pour autant en connaitre les causes.
72
Q

5

À quoi correspond la richesse taxonomiques (quels indices)

A
  • Richesse taxonomique correspond au nombre de taxons présents dans l’échantillon
  • indice biologique global normalisé (IBGN)
  • indice de santé benthos (ISB)
73
Q

5

Quels indices démontre la diversité taxonomique et comment?
Aussi à quoi correspond la composition taxonomique?

A
  • Diversité taxonomique mettent en relation le nombre de taxons de l’échantillon et le nombre d’individus de chaque taxon
  • indice de Shannon-Wiener
  • indice d’équitabilité
  • indice d’Hilsenhoff
  • Composition taxonomique correspond à l’abondance relative d’un taxon sur l’ensemble des taxons
  • Certains éléments de l’ISB
74
Q

5

S’il y a une Absence de taxons sensibles à la pollution, qu’Est-ce que cela signifie?

A

milieu dégradé / altération de la qualité du milieu aquatique

75
Q

6

qu’Est-ce qu’une diatomées

A
  • Les diatomées sont des algues microscopiques qui vivent en suspension dans l’eau ou attachées aux fond des rivières, lacs et océans. Elles contribuent à environ le quart de la production primaire des océans.
  • Groupe d’algues les plus diversifiées, entre 20 000 à 200 000 espèces.
  • Chaque espèce possède une ornementation particulière (stries, épines, etc.) qui peut être observée au microscope et qui permet l’identification du taxon.
  • La frustule (squelette ou coquille silicieuse) est formée de deux valves qui s’emboitent l’une dans l’autre (petite boite de vitre microscopique) à l’intérieur de laquelle se trouvent le contenu cellulaire (noyau, chloroplastes, mitochondries, etc.)
76
Q

6

Que signifie périphyton

A

on sait que périphyton réfère à ‘‘ce qui pousse sur’’. Donc il peut pousser sur le substrat dur, sur les substrats meubles, ou sur les macrophytes.

77
Q

6

Pourquoi utilise t’on les diatomés comme indice de la qualité de l’eau?

A

Elles sont particulièrement sensibles aux :
- Variations de concentrations en nutriments (phosphore et azote)
- Charges organiques et minérales provenant des fertilisants
Elles présentent un cycle de vie relativement court (intègrent les perturbations sur un mois)
Ce sont des producteurs primaires
Elles sont un bon indicateur du niveau d’eutrophisation,
Elles sont compactes (grande diversité dans quelques centimètres carrés)

78
Q

6

Quel est l’avantage d’utiliser L’IDEC par rapport à l’IQBP

A

L’utilisation de l’IQBP peut mener à la conclusion fautive qu’il n’existe pas de problème dans un milieu en raison du non dépassement de critères pour les paramètres mesurés alors que dans les faits, l’écosystème peut-être sérieusement perturbé par des polluants non mesurés
L’apport de polluants est souvent massif et de très courte durée, ce qui rend moins probable leur détection par un suivi physico-chimique que l’on effectue à une faible fréquence (il faut un suivi très serré)
Les écosystèmes peuvent être affectés par un stress autre que des polluants, comme la modification physique d’un cours d’eau

79
Q

6

Quels paramètres influencent les diatomées?

A

Ph
Nutriments, matière organique, silice, métaux
Température, substrat, vitesse du courant, marnage :
(Allez voir les notes si vous êtes pas capable d’expliquer pourquoi)

80
Q

6

À quelle période et quelle fréquence doit-t’on échantilloner les diatomées

A

Une fois par année durant trois années, entre les mois de juillet et septembre pour permettre d’établir les conditions moyennes du cours d’eau
Ne pas échantillonner les jours suivants des précipitations importantes, en raison du niveau d’eau élevé (accessibilité difficile) et de la turbidité probablement élevée (travaux terrain plus difficiles)

81
Q

8

Qu’est-ce que la valeur écologique d’un milieu?

A

Un indice qui cherche à mettre en évidence le potentiel écologique d’un territoire grâce à l’analyse de la répartition et de l’organisation spatiale des milieux naturels. Elle s’exprime généralement par l’analyse de plusieurs critères
Chacun peut créer sa grille de valeur écologique et y ajouter les critères de son choix

82
Q

8

Comprendre l’effet de la largeur moyenne du tronçon (critère pour qualifier un cours d’eau) sur un cours d’eau

A

Un cours d’eau plus large est généralement un cours d’eau permanent, donc susceptible d’abriter une faune aquatique plus riche et diversifiée qu’un cours d’eau inférieur à un mètre de large

83
Q

8

Comprendre l’effet de la nature des rives (critère pour qualifier un cours d’eau) sur un cours d’eau

A

Nature des rives : Un rive naturelle procure des habitats et des abris à la faune à l’inverse d’une rive anthropique. Les fonctions écologiques y sont plus intègres

84
Q

8

Comprendre l’effet de l’habitat du poisson (critère pour qualifier un cours d’eau) sur un cours d’eau

A

Habitat du poisson : Indice de la qualité de l’eau et de la qualité de son bassin versant

85
Q

8

Comprendre l’effet de l’espèces faunique et floristiques à statut (critère pour qualifier un cours d’eau) sur un cours d’eau

A

Espèces fauniques et floristiques à statut : Les espèces à statut accroissent la valeur du milieu. Elles sont généralement indicatrices d’une certaine maturité du milieu

86
Q

8

Comprendre l’effet des caractéristiques de l’écoulement (critère pour qualifier un cours d’eau) sur un cours d’eau

A

Caractéristique de l’écoulement : Un ruisseau permanent permet l’établissement et le maintien de plusieurs espèces (poissons, amphibiens) au contraire d’un ruisseau intermittent

87
Q

8

Comprendre l’effet de l’érosion des berges (critère pour qualifier un cours d’eau) sur un cours d’eau

A

Érosion des berges : L’absence d’érosion dans les berges témoigne d’une rive stable, et ainsi d’une meilleure qualité de l’eau en réduisant les matières en suspension dans l’eau

88
Q

8

Comprendre l’effet de la sédimentation (critère pour qualifier un cours d’eau) sur un cours d’eau

A

Sédimentation : La sédimentation, résultant de l’érosion des berges ou des terres en amont, perturbe l’habitat du poisson (frayère) et cause des restrictions au libre écoulement de l’eau, particulièrement à proximité des ouvrages (ponceaux)

89
Q

8

Comprendre l’effet d’une source potentielle de contamination bactériologique (critère pour qualifier un cours d’eau) sur un cours d’eau

A

Source potentielle de contamination bactériologique : Signaler un rejet potentiel non conforme dans l’environnement

90
Q

8

Comprendre l’effet de la rareté du milieu dans le paysage régional (critère pour qualifier milieu humide) sur un milieu humide

A

Rareté du milieu dans le paysage régional : Rechercher les écosystèmes riches et non communs en Estrie tels que les tourbières et les marais lacustres. À Sherbrooke, la géologie, le déboisement et l’agriculture expliquent la rareté des tourbières

91
Q

8

Comprendre l’effet de l’hétérogénéité du compexe humide (critère pour qualifier milieu humide) sur un milieu humide

A

Hétérogénéité du complexe humide : Plus un complexe de milieux humides possède différents types de milieux, plus la biodiversité est grande

92
Q

8

Comprendre l’effet de l’eau libre (critère pour qualifier milieu humide) sur un milieu humide

A

Eau libre : La présence d’eau libre indique la capacité de rétention du milieu humide. C’est une de ses principales fonctions écologiques

93
Q

8

Comprendre l’effet des perturbations anthropiques (critère pour qualifier milieu humide) sur un milieu humide

A

Perturbations anthropiques : L’intégrité d’un milieu humide favorise sa pérennité et le maintien de sa biodiversité. Les perturbations anthropiques sont souvent à l’origine de l’implantation des espèces exotiques envahissantes

94
Q

8

Comprendre l’effet de présence d’espèces exotiques envahissantes (critère pour qualifier milieu humide) sur un milieu humide

A

Présence d’espèces exotiques envahissantes : La présence des espèces exotiques envahissantes dans un écosystème nuit à la qualité du milieu et à l’utilisation du milieu par la faune et la flore