Méthodologie Note Flashcards

1
Q

Critère de scientificité d’un argument

A

La réfutabilité, càd de considérer que ce qu’on affirme ne vaut que dans certaines conditions et n’est pas de l’ordre d’une vérité absolue.

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2
Q

4 polarités du CAV

A

1/ Esthétique du CAV

2/ Histoire et/du CAV

3/ Économies du CAV

4/ Études culturelles du CAV

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3
Q

Définition Sciences Humaines et Sociales

A

« Les sciences humaines et sociales forment un ensemble de disciplines étudiant divers aspects de la réalité humaine sur le plan de l’individu et sur le plan du collectif. »

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4
Q

Quand on était inventé les SHS

A

20eme siècle

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5
Q

Quelle est la 1ere branche des SHS à se dvp

A

L’histoire

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6
Q

Définition d’un objet de recherche

A

L’objet de recherche est cette rencontre entre des objets concrets issus du monde social et un questionnement nourri d’approches scientifiques (…) L’objet de recherche est le phénomène, ou le fait, tel que le chercheur le construit pour pouvoir l’étudier.

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7
Q

Exigences éthiques du chercheur (3)

A

Réflexivité
Distance critique
Rigueur méthodologique

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8
Q

Qu’est ce qu’un bon sujet d’un pdv objectif (3)

A

Un objet nettement délimité

Des sources identifiables

Des méthodes de recherche (et de valorisation): un bon sujet c’est un sujet dont on se dit qu’on pourra rendre compte sur le plan analytique mais aussi sur le plan de la transmission à un public et à des lecteurs

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9
Q

Qu’est ce qu’un bon sujet d’un pdv subjectif (4)

A

Intéressant pour soi (personnel)

Intéressant pour les autres, donc: original, précis.

Faisable: accessibilité des sources, maîtrise des outils et des langues concernée.e.s.

Problématisé: en quoi est-il intéressant ? Comment spécifier la façon dont on l’aborde ?

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10
Q

Trois types de “pre-analyse” du sujet

A

La doxa, l’opinion courante

Les avis éclairés

Les travaux scientifiques antérieurs qui ont déjà été produits

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11
Q

Une bonne problématique

A

1/ Claire

2/ Garde fou

3/ Constante évolution

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12
Q

Différence question générale VS problématique

A

La question générale précède les recherches (sûrement des assomptions) la problématique est éclairée de connaissances (pas une solution mais réflexion complexe)

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13
Q

Orientation de la pb

A

Attention questions fermées ou question appelant une réponse cataloguée

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14
Q

Pour collecter des dates, des chiffres, des points de vue, des portraits:

A

europresse.com/fr
professional.dowjones.com/factiva
aday.fr

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15
Q

Pour les données internationales:

A

imf.org/external
banquemondiale.org
stats.oecd.org
Itu.int/fr/pages/default.aspx

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16
Q

Pour obtenir des données économiques et sociographiques:

A

insee.fr/accueil

17
Q

Pour les données liées au médias, aux industries créatives et culturelles:

A

ipsos.com/fr
edates.fr
Médiamétrie
CSA

18
Q

Quelques sites internet à connaitre:

A

Virtuose+: bibliothèque de Paris 3
BPI: Bibliothèque Publique d’Information
BIFI: Bibliothèque du Film / Ciné-ressources
BNF — Gallica: Portail de la BNF
Calindex: Site d’index de revues de cinéma
Biblio CNRS: ex Biblio SHS, ressources du CNRS
Google Scholar: recherche d’articles scientifiques
SUDOC: description bibliographique du document
DUMAS (Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance)

19
Q

La bibliographie comporte quatre volets principaux

A

1/ Des lectures sur le thème et, s’il en existe, sur le terrain choisi

2/ Des lectures sur les concepts clefs que nous avons identifier en formulant notre problématique,

3/ Des lectures sur le champ concerné,

4/ Des lectures méthodologiques liées à la démarche empirique choisie (analyse de discours, sémiologie, etc).

20
Q

Bases de données à disposition

A

CAIRN.info
persée.fr
revues.org
erudit.org
hal.archives-ouvertes.fr
siencedirect.com
springer.com

21
Q

Définition du corpus

A

« Le corpus est l’ensemble d’objets sur lesquels porte plus spécialement la réflexion. La définition des critères permettant de sélectionner les objets à prendre en considération est un des premiers soucis de toute recherche. Un corpus n’est pas nécessairement exhaustif (par exemple, une recherche sur le cinéma japonais des années 50 ne peut pas prendre en considération les centaines de films produits durant cette période), mais doit toujours être représentatif, pertinent et homogène. »

22
Q

Trois phases de construction du corpus

A

Phase 1: un ensemble à priori très vaste à explorer, ce qui va nous aider, par ce travail d’exploration à dégager, préciser, spécifier peu à peu la problématique.

Phase 2: un ensemble à analyser, là qu’il perd de sa dimension exploratoire pour essayer de parvenir à l’élaboration d’un ensemble nécessaire et suffisant. Il doit être un ensemble relativement autonome, pas tout à fait figé mais presque, sur lequel on peut faire porter des analyses précises.

Phase 3: un ensemble à justifier (bilan d’étape et mémoire)

23
Q

Un corpus pertinent, par rapport à:

A

1/ Sa cohérence interne, degré d’homogénéité suffisant entre les films

2/ Son adéquation au champ considérer => question de la représentativité

3/ L’adéquation à la problématique et aux questions posées dans l’analyse

24
Q

Quelques écueils logiques liés à la constitution et à l’analyse du corpus (7)

A

1/ La généralisation excessive => prendre les caractéristiques du corpus pour des vérités générales.

2/ Inversement, l’illusion d’optique qui fait prendre pour une spécificité du corpus ce qui relève d’une vérité plus générale

3/ La décontextualisation: si l’on négliger les effets du contexte dans la construction du corpus, on risque de produire des interprétations fausses.

4/ L’induction de jugements a priori: « c’est comme si on savait tout l’une de l’autre »

5/ Nier les singularités au nom du positivisme: « j’ai l’impression de n’être plus moi », moment où à l’intérieur du corpus on finit par confondre le fait qu’il y a une homogénéité de constitution du corpus et l’idée que tout y serait semblable et où on se retrouve à exprimer des vérités générales pour l’ensemble du corpus alors même que telle ou telle affirmation ne fonctionne que sur tel ou tel film, ou plutôt fonctionne de manière différenciée selon les éléments du corpus.

6/ Nier les déterminismes au nom du subjectivisme: « on a quand même pas la même tête »

7/ Si les faits ne s’accordent pas avec la théorie, ne pas forcer les faits

25
Q

Caractéristiques d’une bonne pb

A

poser une problématique réaliste (critères de faisabilité), pertinente, claire et libre d’idées préconçues » (Ibid.)

26
Q

Plan de recherche (ordre)

A

1/ Lister les axes et les hypothèses de recherche

2/ Établir un plan de lectures (hiérarchiser)

3/ Assimiler et, le cas échéant, critiquer l’existant

4/ Appréhender le corpus comme un ensemble et dans ses composantes

5/ Analyser et croiser les sources (suivant leurs méthodologies propres)

27
Q

Plan :
Jacques Aumont, Montage Eisenstein, Paris, Images Modernes, 2005 (Albatros, 1978), 286 p.
Chap 1. Fragments pour une biographie (biographie)
Chap. 2. Des concepts eisensteiniens (écrits et notions)
Chap. 3. Eisenstein pris à la lettre (films-séquences)
Chap 4. Le montage en question (réception-discussion)

A

Analytique

28
Q

Plan :
Sylvie Lindeperg, Les écrans de l’ombre. La Seconde Guerre Mondiale dans le cinéma français (1944-1969), Paris, CNRS éditions, 1997, 445 p.
Livre 1. Cinéma français, année zéro. La naissance d’un mythe
1. Portrait de l’artiste en résistant
2. Une « pédagogie de l’honneur national »
3. La Résistance comme fonds de commerce
Livre 2. La postérité du mythe
1. La grande désillusion (1947-1957)
2. Le retour de l’enchantement (1958-1969)

A

Chonologique

29
Q

François Niney, L’épreuve du réel à l’écran. Essai sur le principe de réalité documentaire, Bruxelles, De Boeck, 2000, 348 p.
1. La (re)production du monde (Prise de vue/montage - 1895-1930)
2. Du parlé au parlant (Propagande => direct - 1930-1960)
3. Le film comme preuve ou épreuve (Objectif - subjectif - 1960-2000)
4. Théâtres de la mémoire (Écriture de l’histoire - 1960-2000)
5. Vertus du faux (vérité / réel / fiction - 1960-2000)

A

Chronothématique

30
Q

réflexivité

A

Posture intellectuelle
Façon de présenter son analyse

31
Q

7 conseils d’écriture

A

Définir des périodes de temps pour rédiger
Les étapes de la rédaction
Diminuer la procrastination
Discuter et savoir vivre
Se donner des objectifs
Démystifier l’inspiration
Détruire le perfectionnisme

32
Q

4 types d’objectifs

A

1/ A long terme

2/ Précis ou hebdomadaire

3/ De temps

4/ De projet