Mémoire L2 - Cognitive Flashcards

1
Q

Sperling 60

A

mémoire iconique, visuelle
- tableau avec lettre, 50ms
- Rappel complet : 4,5 lettres : on peut croire empan faible mais en fait ss estime
- Rappel partiel : signal donne ligne à rappeler : 2 ou 3 lettres à chaque fois : donc 8 ou 9 en tout

Signal ds les 100ms : bonne perf . Après 500 ms perfs diminuManiple tps de présenation et période de rappel =>c bien une image rémanente car si superposition sti masquant : perf diminue.
Si que sur un oeil seulement, perf ok. Donc trace mémoire sensorielle : périphériques : proces chimique.

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2
Q

Sperling : 60 : xp permet d’affirmer 2 processus de mémoire iconique

A
  • image consécutive : simple rémanence de trace sensoriel. Reste sur récepteur. Provoqué par dégradation photorécepteur, process chimique lent à s’effacer
  • ttt commence au début de la sti et se poursuit qd sti a cessé : sur image rémante jusqu’à disparition
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3
Q

on catégorise info en mémoire iconique ?

A

Non, abus de langage. Plutot dire registre sensoriel car simple rémanence, ttt de cette image rémanente

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4
Q

résumé mémoire iconique

A

1 sti produit des modifs biochimique dont l’effacement est lent. Le système cognitif traite cette image rémanente.

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5
Q

Darwin, Turvey et Croder, 72
Quelle mémoire ?

A

mémoire sensorielle
mémoire échoique : son

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6
Q

Sperling 60
quelle mémoire

A

mémoire sensorielle
mémoire iconique, visuelle

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7
Q

Darwin, Turvey et Croder, 72

Nbre de rappel en mémoire échoique

A

Comme Sperling 60 : sujet avec casque, son à d, à g et dans dos.
- Rappel complet : toutes les positions : moyenne 4 lettres/chiffres
- Rappel partiel : signal après sti pour dire quelle partie rappeler : moyenne 2 à chaque fois= donc environ 6

Manipule aussi délai entre sti et signal

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8
Q

Darwin, Turvey et Croder, 72

Durée de la mémoire échoique

Confirmé par qui ?

A

Comme Sperling 60 : sujet avec casque, son à d, à g et dans dos.
- Rappel complet : moyenne 4 lettres/chiffres
- Rappel partiel : signal après sti : moyenne 2 à chaque fois= donc environ 6

Manipule aussi délai entre sti et signal (0 à 4s)
Après 2 s : chute des perfs

Sera confirmer par xp de Crowder, 82

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9
Q

Crowder, 82
Mémoire quoi ?

A

échoique

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10
Q

Crowder, 82
mémoire échoique

Confirme xp de qui ?

A

Mémoire échoique
2 voyelles une après l’autres. Dire si identique
- manipue délai entre 2 voyelles (500ms à 5s)
- Bonne perf jusqu’à 2s
Confirme xp Darwin, 72

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11
Q

Propriétés mémoires
Echoique, son
Iconique, visuelle

A

10 infos visuelles/500ms
stimulation nbreuses
Utile garder bcp pas longtemps car souvent reste présent à notre vue

5 infos auditives/2s
Info séquentielle
Utile garder longtemps, - utile garder bcp.
Car info disparait dès qu’elles est entendues

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12
Q

Mémoire sensorielle envoye info…. à MCT/MCT
Implicite ou explicite

A

envoie info codée à mct, mdt
Implicite, inconscient MAIS info qui entre en mdt : conscient

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13
Q

Mémoire senso : laisse trace…

A

implicite : effet à long terme

  • Amorcage sensoriel :
  • madelein de Proust : effet lgtps après
  • présentation rapide/dégradé : facilite ttt cog d’1 sti comparable au niveau sensoriel
    Ex : décision lexicale : reliure… reluire/reliore ==> cible similaire à l’amorce : facile

Mémoire senso se vide pas complètement : accumule info ==> info similaire renforce la trace

Lien entre mémoire senso et syntaxe : grammaire des sens

+ Zajonc 68, Mere exposure effet

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14
Q

Zajonc 68 mere exposure effet
effet de fluence perceptive

A

Lien avec amorcage mémoire senso se vide pas complètement, info similaire renforce la trace

Exposition répété à nv sti : aug son appréciation.
Biais co : aug propa d’avoir sentiment positive sur bcp expo
Hyp évolutionnliste : sti pas accordé à qq chose de nég : évolue en positif

Phéno de déjà vu : surtout qd distrait : passe directe en MLT.

Mémoire senso diff à oublier.
Contenu émo fort : codé plus fortement.

Mémoire senso laisse trace IMPLICITE à long terme.

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15
Q

Miller 58
Mdt

A

Nombre magic
7+-2 ==> empan MCT limité
Présente 15 items => rappel toujours 7+-2

Effet Position serielle : primauté et récence

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16
Q

effet position serielle

A

Rappel libre : rappelle mieux mot début et fin
- Effet de primauté : 1er mot de la liste peuvent être répétée.
SI on empêche répétition : effet primauté disparait

  • effet de récence : dernier mot mieux rappelé
    SI on ajoute retardateur ou tâche distractrice : effet récence disparait

(voir Brown58 et Perterson 59)

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17
Q

Brown 58 et Perterson 59

A

Vient après position serielle : effet primauté et récence

Montre que info simple disparaissent rapidement
3 consonnes (1 toutes les 1/2s) puis 3 chiffres + tache concurente (tache de perterson) : compter à rebourg => empêche répétition

Varie temps de la 2e tache : 100% rappel imédiat à 0s. Oubli total après 18s.

2 Explications :
- effacement de la trace (tps) FAUX
- théorie de l’interférence (substitution de mémoire) VRAI

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18
Q

comment expliquer que info simple disparaissent rapidement
Quel xp ?

A

2 Explications :
- effacement de la trace : oublié car disparu : question de temps. FAUX
- théorie de l’interférence (substitution de mémoire) : oublié car remplacé par autre infos (on peut pas penser à rien) VRAI

Waugh et Norman, 65
16 chiffres, le dernier que 1 x dans la suite. Dire le chiffre qui suivait le dernier

Permet de tester les 2 hyp :
- font varier nbre chiffres entre 2 présentations du même chiffre ==> si théo interférence ==> perf diminue qd bcp de chiffre entre les 2 : VRAI
- font varier temps de présentation des chiffres (4/s ou 1/s) => si effacement de la trace : perf meilleurs si 4/s : FAUX

La perf dépend u nbre de mot intercalé et pas de la vitesse de présentation.

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19
Q

qui explique que info simple disparaissent rapidement

A

Brown 58 et Perterson 59
Vient après position serielle : effet primauté et récence

Montre que info simple disparaissent rapidement
3 consonnes (1 toutes les 1/2s) puis 3 chiffres + tache concurente (tache de perterson) : compter à rebourg => empêche répétition

Varie temps de la 2e tache : 100% rappel imédiat à 0s. Oubli total après 18s.

2 Explications :
- effacement de la trace (tps) FAUX
- théorie de l’interférence (substitution de mémoire) VRAI

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20
Q

Waugh et Norman, 65

A

Pourquoi info disparaissent rapidement :
2 Explications :
- effacement de la trace : oublié car disparu : question de temps. FAUX
- théorie de l’interférence (substitution de mémoire) : oublié car remplacé par autre infos (on peut pas penser à rien) VRAI

Waugh et Norman, 65
16 chiffres, le dernier que 1 x dans la suite. Dire le chiffre qui suivait le dernier

Permet de tester les 2 hyp :
- font varier nbre chiffres entre 2 présentations du même chiffre ==> si théo interférence ==> perf diminue qd bcp de chiffre entre les 2 : VRAI
- font varier temps de présentation des chiffres (4/s ou 1/s) => si effacement de la trace : perf meilleurs si 4/s : FAUX

La perf dépend u nbre de mot intercalé et pas de la vitesse de présentation.

OUBLI : résultat d’un process dynamique : les interférences

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21
Q

Oubli : résultat de quoi ?

A

OUBLI : résultat d’un process dynamique : les interférences

  • interférence pro active : formation nv souvenir perturbé par ttt en cours d’infos précédemment reçues
  • interférence rétroactive : oubli provoqué par apprentissage ultérieur
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22
Q

MDT : conserver info pertinente pour atteindre objectif même si ttt simultané ou distraction

A

meilleure car pas que maintient de l’info mais manipulation, travailler sur info
- visionner svnir, raisonner, résoudre pb, plannifier, se parler à soi même
- ptt théatre vie intérieur, ou se joue pensée consciente
- composant cognitif le plus familier : notre moi conscient
- permet interagir avec monde
- coeur de la cognition : influence autre processus : correlation entre inteligence, réussite s° et scolaire

  • maintenir info => envoyer en MLT, encodage
  • manipuler info
  • récupérer infos de MLT et s’en servir ici et maintenant
  • programmer action à faire (mémoire prospective)
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23
Q

1er à parler de MDT

limite de la 1ère conception de la MdT

A

Atkinson et Shiffrin, 69
Puis modèle de Badelley est le plus connu 86 : reprend et précise

Limite 1ère conception :
- considère MdT comme registre unique : alors que ≠ registre de stockage
- stockage/ttt : pas au même endroit. Ou opération de ttt de nature ≠

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24
Q

Modèle MdT de Baddeley 86

A

1 admin central et des systèmes esclaves associés.
Il dit 1 process et 2 esclaves : boucle phonologique/articulatoire et calepin visuo spatial (mais incluera un 3e , et exclue pas qu’il peut y en avoir d’autres)

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25
Q

Boucle phono…
admin central…
Calepin…

A

Boucle phono… ou articulatoire. Entrée auditive. Stockage et activiation subvocale. Maintien actif info
=> méca de refraichissement langage intérieur/oreille intérieur
==> Broca à G

admin central…gestion ressources, planifie, stragégie. Coordonne 2 sys de stockage, détermine focalisation du partage de l’att
==> cortex frontal G et D

Calepin… entrée visuelle. Stockage et encodage. Maintien actif par méca de rafraichissement d’images, préparation à l’action
==> hémisphère D

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26
Q

Caractéristique boucle phonologqiue

A

même si sti visuel : on subvocalise pour mémoriser. On répète : trace réactivé, rafraichit : et on peut stocker en MLT.

Boucle photo/articulatoire : impliqué dans compréhension, production langage.
Autorépétion : maintien temporaire + ttt en MdT?

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27
Q

4 preuves de la boucle phono

A

Pour prouver existence boucle phono : on provoque des interférences
1) suppression articulatoire : paradigme de la double tache
2) effet de la longueur des mots (Baddeley 75)
3) effet sonores non pertinent (ISE)
4) Effet de similarité phonologique… apparait aussi pr liste de mot en VISUEL

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28
Q

Prouver importance boucle phono
1) Suppression articulatoire : double tache

A

Pour prouver existence boucle phono : on provoque des interférences
1) suppression articulatoire : paradigme de la double tache
Tache secondaire : puise des ressources dans 1 systèmes spécifique de la MdT : la boucle.
Répéter par ex “le le le” : empêche utilisation boucle articulatoire
==> effet de primauté disparait : preuve que boucle nécessaire pour répéter et encoder dans MdT

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29
Q

Prouver importance boucle phono
2) effet de la longueur des mots (Baddeley 75)

A

2) effet de la longueur des mots (Baddeley 75)
répéter mot long prend plus de temps : perf moins bonne car répétition interne plus longue.

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30
Q

Prouver importance boucle phono
3) effet sonores non pertinent (ISE)
=> parole accède directement à la boucle

A

3) effet sonores non pertinent (ISE) : son fond non pertinent avec tache (parole, tonalité) => réduit précision du rappel vs condition silence.

voit une séquence de lettre, entend son : on demande ignorer arrière plan.
Effet se retrouve même langue étrangère ou non mot.

Car boucle photo de la mdt : maintien ordre sérielle des cibles alors que les paroles accèdent automatiquement : crée des interférences. (son arrive directe à la bouche)

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31
Q

Prouver importance boucle phono
4) Effet de similarité phonologique… apparait aussi pr liste de mot en VISUEL

Hyp de Conrad 64

A

4) Effet de similarité phonologique… apparait aussi pr liste de mot en VISUEL
6 lettres à l’écran : doit les rappeler sur carnet avec case ds ordre de présentation.

Cond : lettre phonologiquement similaire Cond : lettre phono distinctes
==> + diff de rappeler lettre phono similaire
==> PARADOXE : mémoire visuelle à CT : donne erreur auditive.

Hyp de Conrad 64 : info visuelle sont recondé grace à subvocalisation (boite à écho/boucle articulatoire).
==> + diff de rappeler lettre phono similaire
<25% qd items visuellement proche (chien, bain, sein VS chat, soie, but)

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32
Q

mdt
effet longueur des mots et effet similitude phonologique
interaction ou pas ?

A

Dans l’étude sur la mémoire de travail, on observe que :

Effet de longueur des mots : mots longs + difficiles à retenir que les mots courts.
Effet de similitude phonologique : mots phonologiquement proches + difficiles à mémoriser que ceux qui sont différents.

==> pas d’interaction entre ces deux effets :
- La difficulté supplémentaire causée par les mots longs n’est pas influencée par le fait que les mots soient phonologiquement similaires, et vice versa.
Ces deux effets fonctionnent de manière indépendante, chacun ayant son propre impact sur la mémoire de travail.

Les 2 effets s’additionnement mais n’interfèrent pas

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33
Q

Caractéristique calepin visuo spatial

A
  • ttt et maintien temporaire des infos visuo spatiale : fortement impliqué dans tache rotation shepard
  • opération mentales pr retrouver son chemin, stocke place parking

Code l’info sur le what et le where

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34
Q

Tester empan spatial avec quoi ?

A

calepin visuo spatial
Tester empan spatial avec bloc de Corsi : 10 cubes, xp les touches, nbre croissant ds séquence particulière.
Sujet doit reproduit
==> retient env 10 info pr 30s SI PAS D’INTERFÉRENCES

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35
Q

Tester empan visuel (calepin visuo spatial)

A

empan visuel : essayer de se souvenir 7 positions de cellules cibles (deviner si besoin) dans matrice 5x5.
Nbre moyen rappeler : sert mesure performance

Même tache pour empan verbal : se souvenir des lettres au lieu des emplacement

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36
Q

Empan le plus dure ? visuel ou spatial ?

A

Visuel plus difficile car les infos sont présenté brievement et on doit maintenir dans le calepin.
- on retient 4 info (indépendant de leur complexité)
- Mais ca décline plus vite en mémoire.
- insensible aux interférences visuelles
- insensible à la suppression de la boucle articulatoire car traité par des système différents.

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37
Q

Tache visuelle : suppression de la boucle articulatoire affecte ou pas la perf ?

A

affecte pas car le calepin qui traite les infos visuelles : indépendant de la boucle articulatoire.

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38
Q

XP sur calepin visuo spatial

A

Brooks matrix task, 67
Distingue utilisation boucle arti et calepin visuo spatial

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39
Q

Brooks matrix task, 67
XP ?
Sur quoi ?

A

Précurseur calepin visuo spatial
- mémoriser et rappeler verbalement 1 ensemble de phrase : 2 types suivant la nature de l’encodage qu’il veut induire.

Cond imagé : imaginé mentalement matrice 4*4. Phrase à mém donne emplacement de chiffre (1 à 8) suivant chemin spatial spécifique.
==> possible de visualiser chemin et d’utiliser cette info lors du rappel

Cond verbale : phrase à mémoriser : incohérente
==> décourage passage à l’imagerie : sujet incité à auto-rététer verbalement

Résultat
- Présentation visuelle : je vois phrase : perf – en condition imagé (meilleur qd je vois et je ne peux pas imaginer le chemin)
- Présentation auditive : j’entend phrase : perf – en cond verbale (meilleur qd j’entend et q je peux imaginer chemin)

certains processus impliqués ds le maintien de la représentation imagée seraient aussi impliquées ds la perception visuelle
- Cond imag : je fais chemin mentale, mais résultat différent si je vois ou si j’entend

40
Q

3 mesures standarts d’empam en MDT

A
  • Test empan de lecture
  • empan opératoire
  • empan de comptage
41
Q

mesures standarts d’empam en MDT : Test empan de lecture

A
  • Test empan de lecture
    Lire phrase et garder en mémoire dernier mot. (+ on peut demander si phrase V/F)
42
Q

mesures standarts d’empam en MDT : empan opératoire

A

empan opératoire
Turner et Engle, 89

résoudre série équation et retenir mot. Rappeler les mots.

43
Q

mesures standarts d’empam en MDT : empan de comptage

A

empan de comptage
Case et al, 82

Carte avec points de couleur : compter points bleu à haute voix. 1er jeu de carte : 1 carte. Puis ca augmente.
A la fin, rappeler nbre de point bleu de chaque carte

MdT :
- se rappeler nbre pt / carte
- Et compter pts sur la carte

44
Q

que dire de l’empan en MdT

A

grande variabilité individuelle
Part importante de la variance de capacité intelectuelle générale (Conway, 20)

Empan est central ds les évaluation cognitive.
Un bon admin central : facilité intelectuelle

MDT : indicateur d’habilité intelectuelle.
+ MdT développé, + savoir faire ds situations difficiles

45
Q

MdT impacte de nbreux aspect

A

nbreux aspects psychologique impacté, y compris affectif.
Recherche clinique montre lien avec
- depression, stress,
+ affecté par conso alcool

Psy s° : étudiant menacé par stéréotypes : baisse MdT

Etude neuropsy :
- déficit MdT : marqueur précose alz
- d+ MdT chez enfant : essentiel d+ co
- baisse capacité MdT du au viellissement : au coeur des effets généraux du vi cog
- capacité MdT enfant : précurseur devenir cog. Inversement chez personne agées

+ sieurs facteurs affectent fonctionnement MdT = districation, stress, anxiété : ont des effets négatifs

On a - de ressources dispos pour stocker.

Attention : 1 seul test : pas signitifcatif, on peut être dans mauvais jour.

46
Q

Administrateur central : stratégie de codage de l’information en MdT

A

MdT retient peu d’info, laps tps court, consomme bcp énergie (petit réservoir)
Sujet à la distraction, stress, émotion.

Mais on a des stratégie pour compenser les limites.

47
Q

5 facteurs pour augmenter capacité de stockage de la MdT : stratégie de codage de l’information

A

1) répétition (Ebbinghaus)
2) Chunking (miller)
3) Organisation du matériel (Bousfied, 53)
4) Profondeur de ttt Craik et Lockarht 7
5) Double codage Paivio (+méth loci)

48
Q

Augmenter capacité de stockage de MdT : stratégie de codage de l’information

1) répétition (Ebbinghaus)

A

répétition (Ebbinghaus)
Apprentissage par coeur : on retient.
Economie tps apprentissage et tps réapprentissage

2300 trigrammes : pas + diff que materiel significatif

Mesure tps appr et temps de réapprentissage (mesure indirecte) : donne % économie
(60+50)/60 : 0,16 = 16% économie après 1 mois par ex.
Démonstration quantitative de l’oublie. Mesure le souvenir.

Pourquoi répétition permet encodage : diminuer tps passé à traiter les infos.
- répetition + efficace pr mémorisation sémantique
- création d’asso mot à mot (mot devient d’indice d’un autre)
- automatisation des procedures sensori motrices d’énonciation d’une chanson : app procedural
- système centrale a + de temps pr mettre stratégie d’encodage en place : stabilise la mémorisation

49
Q

Augmenter capacité de stockage de MdT : stratégie de codage de l’information

2) Chunking (miller)

A

Chunking : compression de l’info
Adm central : cherche à créer des groupes pr mémoriser info
2 mécanismes
- 1 de groupe
- 1 de codage du gp dans un code + économique : chaque gp codé par nbre symbole moins grand

Miller (7+-2) : le groupement en unité supérieur est le prototype du mécanisme de la mémoire.
Langage serait 1 hierarchie de code d’ordre élevé, son/lettre forme mot…
+ facile IL FAIT BEAU que ILFAITBEAU
mais ou est donc…

utilise info de la MS pour faciliter encodage de l’info
+ facile de regrouper en mots pr former phrases significatifs : top down

50
Q

Augmenter capacité de stockage de MdT : stratégie de codage de l’information

3) Organisation du matériel (Bousfied, 53)

==> phénomène de catégorisation du rappel.

A

Organisation du matériel (morcellement/chunking : lié)

Interaction entre expertise et structure du matériel : expert echec rappelle mieux vrai partie = importance de l’organisation

Bousfied, 53 = mémoriser liste mot mélangés mais venant même catégorie usuelles : sujet reconstitue catégorie lors du rappel.
==> phénomène de catégorisation du rappel.

Mémoire tire bénéfice de tous les factures d’organisations logique qu’il y a dans matériel.
Si on voit structure logique derrière les infos : on encode la structure et cette organisation allège la charge de mémoire : envoie plus facile en MLT

51
Q

Augmenter capacité de stockage de MdT : stratégie de codage de l’information

4) Profondeur de ttt Craik et Lockarht 72

A

Profondeur de ttt
Craik et Lockarht 72

répéter améliore mémorisation q qd on répète de manière profonde, ds le but de traiter sémantiquement le matériel

Svn profondément traité : + durable.
Ttt superficiel : s’efface vite.

C’est la méthode et la profondeur de ttt qui affect le stockage et pas la répétition.

52
Q

Profondeur de ttt Craik et Lockarht 72
Qu’est ce qui affecte le stockage ?

A

C’est la méthode et la profondeur de ttt qui affect le stockage et pas la répétition.

53
Q

Augmenter capacité de stockage de MdT : stratégie de codage de l’information

5) Double codage Paivio (+méth loci)

A

Double codage : Paivio
Mots concrets st mieux mémorisés que abstrait (concret : envoye direct image en plus du mot)

2 facons de dév le matériel appris : associations verbales et l’imagerie.

Postule : imagerie sensorielle et info verbale sont utilisés pour représenter l’info et st utilisés lors du rappel.

Concept sti “chien” stocké comme mot et comme représentation : possibilité de coder un sti de 2 façons => augmente chance de s’en souvenir.

Double codage utilisé par adm central pour compacter l’info.
On ne peut pas facilement se représenter mot abstraits “liberté” : mais on peut imaginer et ce plus facile.

Double codage : plus facile et facilite mémorisation

54
Q

Augmenter capacité de stockage de MdT : stratégie de codage de l’information

Méthode des Locci

A

intégration de l’info dans un cadres pré établi bien stage en MdT

  • mémoire mnémotechnique
  • fondé sur svnir de lieux connu auxquels on associe mot nv

Sans stratégie : rappel seriel faible.
Avec locci : pré mémoriser séquence de lieux à parcourir placer image (absurde) : + facile

55
Q

Autre fonction MdT (avec MS, ME et MP) : plannifier actions à venir

A

Mémoire prospective : mémoire des intentions
- se rapp de faire 1 action plannifié tout en réalisant une activité concurrente en cours.
- rappeler 1 intention plannifiée à un moment futur

Objectdif : quoi, qd (complexe) et ou ?
Utilise des stragégies différentes.

Déficit mémoire prospective : handicap ds vie quoi : accident travail ==> la procedure plannifiée est interrompue, la mémoire prospective bloque : difficile de reprendre la procedure interompue.
==> très sensible aux interférences

Coté hu :
- pb mémoire rétrospective (oublié passé) : facile d’interpréter comme pb de mémoire
- pb mémoire prospective : facile interpréter comme manque motivation, pb volonté, mais c pas forcément correct.

56
Q
  1. Péchés d’omission (oubli)
  2. Péchés de commission (erreurs)
A
  1. Péchés d’omission (oubli) : Ces erreurs suggèrent des informations manquantes ou inaccessibles.
  2. Péchés de commission (erreurs) : Ces erreurs impliquent une mémoire présente mais incorrecte ou potentielle.
57
Q

Les 3 Péchés d’omission (oubli)

A
  • Fugacité (Transience)
  • Absence
  • Blocage (Blocking)
58
Q

Les 4 Péchés de commission (erreurs)

A
  • Mépris (Misattribution)
  • Suggestibilité
  • Biais
  • Persistance
59
Q

Les 3 Péchés d’omission (oubli)
Détail

A

Péchés d’omission (oubli) : Ces erreurs suggèrent des informations manquantes ou inaccessibles.

  • Fugacité (Transience) : désigne le déclin progressif de l’accessibilité des souvenirs avec le temps.
  • Absence : oubli lié à un manque d’attention au moment de l’encodage ou de la récupération.
  • Blocage (Blocking) : incapacité temporaire à récupérer une information stockée, souvent à cause d’interférences.
    *Interférence proactive
    *interférence rétroactive
    *effet de position sérielle
60
Q

Les 4 Péchés de commission (erreurs)
Détail

A

Péchés de commission (erreurs) : Ces erreurs impliquent une mémoire présente mais incorrecte ou potentielle.

  • Mépris (Misattribution) : erreur d’attribution : souvenir est incorrectement associé à une mauvaise source (moment, lieu ou personne).
  • Suggestibilité (Suggestibility) : Plusieurs facteurs influencent l’exactitude des témoignages oculaires.
  • Biais : distorsion des souvenirs. Connaissances, attitude / croyance / émotion / expérience qui déforme les souvenirs, fausser svnir.
    Biais de cohérence / Biais égocentrique / Biais stéréotypé
  • Persistance : rappel répété et indésirable d’info, souvent lié à des événements traumatisants ou émotionnels.
61
Q

Péchés d’omission (oubli)
OU Commission (erreur) ?

Fugacité (Transience)

A

OMMISSION

Fugacité (Transience) : désigne le déclin progressif de l’accessibilité des souvenirs avec le temps. Ex : facile de se souvenir de ce qu’on a fait il y a 3 heures, mais + difficile de se rappeler un événement banal d’un dimanche il y a 5 sem, sauf si cet événement était important.
⇒ phénomène reflète l’impermanence de la MLT, avec une perte progressive des détails.
Avec le temps, on passe d’une mémoire verbatim (détails précis) à une mémoire basée sur l’essentiel ou le gist.
⇒ résulte d’une interaction entre la ME (qui encode les détails précis) et la MS (qui retient le sens général).
Théo associée : courbe d’oubli d’Ebbinghaus (montre que l’oubli est rapide ds min et heures suivant l’apprentissage, avant de se stabiliser.

62
Q

Péchés d’omission (oubli) ou Commission (erreur) ?

Absence

A

OMISSION

Absence : oubli lié à un manque d’attention au moment de l’encodage ou de la récupération. Ex : oublier où l’on a posé ses clés parce qu’on n’a pas encodé leur emplacement. Pas se souvenir d’un objet devant soi (lunettes sur nez), oublier tâches quo (promener chien…)
L’information est bien stockée en mémoire, mais la récupération échoue faute d’attention suffisante.

63
Q

Péchés d’omission (oubli) ou Commission (erreur) ?

Blocage (Blocking)

A

OMISSION

Blocage (Blocking) : incapacité temporaire à récupérer une information stockée, souvent à cause d’interférences.
Ex : “mot sur le bout de la langue”, où l’on connaît le mot sans pouvoir le récupérer.
Phénomène inclut des mécanismes comme :
Interférence proactive : ancienne info empêche d’accéder à une nouvelle (confondre place de sa voiture auj avec souvenirs d’hier).
interférence rétroactive : nouvelle info empêche de récupérer une ancienne (avoir du mal à se souvenir d’un mot anglais récemment appris à cause du mot équivalent en espagnol récemment encodé).
effet de position sérielle : illustre une meilleure mémoire pour les 1er/dernier éléments mais oubli fréquent éléments intermédiaires.

64
Q

Péchés d’omission (oubli) ou Commission (erreur) ?

Mépris (Misattribution)

A

COMMISSION

Mépris (Misattribution) : erreur d’attribution : souvenir est incorrectement associé à une mauvaise source (moment, lieu ou personne). Ex : penser avoir vu un ami à une fête où il n’était pas présent, croire avoir appris une info dans un article alors que c’était dans une vidéo. Ex : attentat d’Oklahoma 95: témoin décrit 2 hommes correspondant à des traits observés ⇒ ms associés au délit de McVeigh, principal suspect.
Ex : Donald Thomson, chercheur en mémoire, accusé de délit d’un viol. La victime avait vu Thomson dans une interview télévisée au moment de l’agression et, sous le stress, avait attribué son visage à celui de l’agresseur. Heureusement, ITW en direct : alibi irréfutable. Mais illustre comment le contexte et l’émotion peuvent perturber la mémoire.
Le mépris reflète une mémoire d’événement partiellement correcte, mais des détails mal attribués.

65
Q

Péchés d’omission (oubli) ou Commission (erreur) ?

Suggestibilité

A

Suggestibilité (Suggestibility) : Plusieurs facteurs influencent l’exactitude des témoignages oculaires.
Souvenirs - affectés par questions suggestives si les témoins informés à l’avance des risques de biais de mémoire et de l’impact de la suggestibilité ⇒ ça les rend + critiques vis-à-vis de leurs souvenirs et réduit les risques de fausses déclarations.
Le passage du temps est également un facteur clé : + l’intervalle entre l’événement et le rappel est long, + les erreurs augmentent. Les détails oubliés sont alors souvent remplacés par des suggestions extérieures.
L’âge : rôle important. Jeunes enfants bcp + susceptibles que adultes de créer de faux souvenirs sous l’influence de la suggestion.
Confiance en sa mémoire : pas 1 indicateur fiable d’exactitude. On pt être convaincue de se souvenir correctement de détail et ms on peut se souvenir de détails suggérés.

66
Q

Péchés d’omission (oubli) ou Commission (erreur) ?

Biais

A

Biais : distorsion des souvenirs. Connaissances, attitude / croyance / émotion / expérience qui déforme les souvenirs, fausser svnir.
Ex : 1er rdv avec mari qui est mon ex : je suis plus susceptible de dire que 1er rdv était négatif.
Biais de cohérence : adapter le passé pour qu’il corresponde à notre état actuel (amateur de métal pourrait se rappeler à tort avoir toujours détesté la pop, même si ce n’est pas vrai).
Biais rétrospectif, ou tendance à rationaliser après coup : pousse à croire qu’un événement imprévu était prévisible (comme déclarer après un match : “Je savais qu’ils allaient gagner !”).
Biais égocentrique : amène une personne à surestimer son rôle dans un projet de groupe
Biais stéréotypé : modifie les souvenirs pour qu’ils correspondent à des stéréotypes (genre, race, classe sociale, etc.).

67
Q

Péchés d’omission (oubli) ou Commission (erreur) ?

Persistance

A

Persistance : rappel répété et indésirable d’info, souvent lié à des événements traumatisants ou émotionnels.
Ex : souvenirs récurrents d’xp traumatisantes peuvent survenir chez des anciens combattants (TSPT) ou des victimes de crimes violents. Phénomène est renforcé par l’impact émotionnel, une attention soutenue portée à ces souvenirs, et une répétition mentale fréquente.

68
Q

Avantages adaptatifs des péchés de la mémoire

A

Malgré leurs inconvénients, ces erreurs de mémoire entraînent des aspects adaptatifs. L’oubli (fugacité, absence) permet d’éviter une surcharge cognitive en éliminant les informations inutiles.
Les biais, le mépris et la suggestibilité montrent que la mémoire humaine privilégie souvent le sens général aux détails superflus, ce qui est généralement plus utile.
Enfin, la persistance, bien qu’elle puisse être pénible (comme dans le TSPT), peut permettre d’apprendre de situations traumatisantes pour éviter des dangers similaires à l’avenir.

69
Q

MLT regroupe quelle mém ?

A

: ME, MS et MP

70
Q

Mémoire Episodique

Le contexte !

A

tous les épisodes, associés contexte spatio temporel + contexte émotionnel

Autobio

Lié au contexte : pas simple car épisodes se recoupent.

Chaque mém et lié à plusieurs element de contexte
Chaque éven est lié à plusieurs contexte.
MAIS ≠ éven peuvent partager certains éléments contextuels.

Chaqe évenement sera bien sur ≠ ds la combinaison d’informations contextuelles. Il y a pas 2 évenements identiques.

71
Q

M épi
Comment activer certains éléments du contexte ?

A

par le rappel indicé

donner indice : active certains éléments contexte.
L’activation se propage vers éven ciblé… et ainsi récupérerla bonne mémoire.
Mais aussi vers tous les autres non ciblés mais avec lequel l’indice est relié.

La conscience trie parmi les épisodes qui sont activités ceux qui correspondent au souvenir recherché : on essaie de pas bifurquer vers épisodes proches mais non pertinents.

Plus les épisodes partages d’incides et plus il est difficile de les différencier

72
Q

Mém Epi : plus facile récupé souvenir de qq chose de très ≠ de ce qu’on a vécu OU se souvenir d’un éven similaire à bcp d’autres ?

A

plus facile éven ≠.
Plus facile de se souvenir détail d’éven (même lointain) important pour nous que se souvenir qq chose de spécifique sur une activité quotidienne (menu du 12 aout !)

73
Q

Mém épi : XP effet de contexte

A

Plongeur : Baddeley
apprendre mot sur terre ou en mer.
Rappeler sur terre ou en mer. (contexte différent)
=> Pour les 2 apprentissages : plus facile de rappeler ds même contexte.

Hyp Baddeley : contexte ≠ donc ME se souvient pas.
Qd on apprend et applique ds contextes similaires > Perfs meilleurs que si apprend et applique contexte ≠

74
Q

Mém épi : lier les infos…
Blinding

Pb de liaison : blinding pb

A

lie des infos ≠ qui sont traités ds zones distinctes du cv et qui concernent : contenu, lieu, moment d’un épisode de vie

Pb de liaison : façon dont nité de perception consciente est provoquée par les activités ds SN : on code pour ≠ types d’infos ds ≠ parties cv PUIS on est cap de les combiner dans une perception cohérente du monde, de stocker cette vision ensuite dans ME.

Encore mystérieu

2 régions cérébrales ≠ stimulé en même temps : loi de hebb, PLT, role Hippocampe

75
Q

Mém épi lie les infos

2 régions cérébrales ≠ stimulé en même temps : loi de hebb, PLT

A

2 régions cérébrales ≠ stimulées en même temps ⇒ liens neuronaux entre ces régions augmentent ⇒ Loi de Hebb

Potentialisation à long terme (PLT) : ME conduit à la PLT ⇒ augmente force synaptique après stimulationd’une synapse chimique. (phéno qu ss tend plasticité synaptique)

76
Q

Mém épi : role de l’hippocape

Tim Bliss & Terje Lomo (73)
(découvert PLT)

A

Intégration d’info => impact à l’intérieur de l’hippocampe ⇒ crée de la plasticité cérébrale.

XP : Stimule 2 parties hippocampe lapins en même tps, gd nbre fois. Temps en temps ⇒ stimule qu’1 endroit et enregistre ce qui se passe ds l’autre ⇒ après apprentissage, la stimulation d’1 zone active l’autre (binding ou « liaison »).

77
Q

Mém épi : taille hippocampe

XP : Maguire et al, (2000 PNAS)

hippo postérieur stocke 1 représentation spatiale de l’env et peut s’étendre à l’échelle régionale pour permettre l’élaboration de cette représentation chez les personnes fortement dépendantes des compétences de navigation.**

Il semble qu’il existe 1 capacité de changement plastique local ds la structure du cerveau humain adulte en bonne santé en réponse aux demandes environnementales.

A

hippocampe = rôle important dans « liage » (liaison, binding) des info en ME ⇒ volume + gd chez ceux font travailler + leur mémoire.
Chauffeurs taxi qui réussissent exam ⇒ volume hippo post + grand que ceux qui échouent ou ctrl

(région anté + gde chez ctrl)

⇒ volume hippo ⇒ corrélation avec tps passé comme chauffeur (positivement ds hippo post et négativement ds hippo antérieur).

⇒ données conformes à l’idée que l’hippo postérieur stocke 1 représentation spatiale de l’env et peut s’étendre à l’échelle régionale pour permettre l’élaboration de cette représentation chez les personnes fortement dépendantes des compétences de navigation.

Il semble qu’il existe 1 capacité de changement plastique local ds la structure du cerveau humain adulte en bonne santé en réponse aux demandes environnementales.

78
Q

mém épi : ≠ taille hippo => pas seulement due à des ≠ dans la quantité de conduite

Role des émotions

A

2 groupes appariés en fonction xp de conduite et niv de stress, mais ≠ car bus itinéraires limités
Taxi : + gros volume SG ds hyp post et - ds ant.

79
Q

Mém épi : role des émotions

XP : Ledoux
↳ L’amygdale serait donc responsable de la signification émotionnelle de la situation.

A

HENRI montrent : svnir anciens svt associés à des émotions fortes : honte, joie intense, etc.
==> mémoire autobio
Souvenirs trauma ou « souvenirs flashs » = se rappeler circonstances dans lesquelles ils ont appris un évén dramatique.

Parallèle avec l’apprentissage rapide et la faible extinction des conditionnements aversifs, notamment la peur.

Ledoux (neurobio) : conditionnement souris à la peur avec son ⇒ montre interaction entre ≠ structures du cerveau :
- thalamus (pour le son),
- hypothalamus (déclenchement des réactions de peur)
- hippocampe
- amygdale (associé hippo).

Après conditionnement ⇒
- détruit l’hippocampe ⇒ son produit la peur ds n’importe quel contexte, et pas que ds labo.

  • détruit l’amygdale ⇒ oubli que le son et la pièce sont associés au choc électrique.
    ↳ L’amygdale serait donc responsable de la signification émotionnelle de la situation.
80
Q

Mém épi : role des émotions

XP : Ledoux
↳ L’amygdale serait donc responsable de la signification émotionnelle de la situation.

Autre xp ??

L’amygdale + hippo ==> serait mém des émotions ⇒ explique qu’on trouve sur le plan psychologique un axe puissant opposant les émotions positives aux négatives.

A

Damasio (1995) : amygdale pourrait agir en envoyant des neurotransmetteurs à l’hippo qui va enregistrer plus durablement.
Femme : lésion amygdale => incapable de lire peur sur visage.

L’amygdale, couplée avec l’hippo, serait donc la mémoire des émotions ⇒ ainsi s’expliquerait que l’on trouve sur le plan psychologique un axe puissant opposant les émotions positives aux négatives.

81
Q

mém épi : revers de la médaille du processus d’association ?

A

il existe aussi des interférences en mém épi

+sieurs souvenirs peuvent partager certains éléments contextuels en commun.

Généralement, on peut récupérer correctement la mémoire recherchée.

Mais on peut aussi mélanger les détails de 2 événements. ⇒ +sieurs souvenirs ont interféré les uns avec les autres et on a récupéré certaines info (votre ami) du mauvais souvenir.

xp : miss attribution

82
Q

mém épi : revers de la médaille du processus d’association ?

mém épi : “misattribution error” (erreur de mauvaise attribution)

XP : Brown & Deffenbacher 1977 :

A

⇒ implique un souvenir correct d’infos avec un souvenir incorrect de la source de ces info.

Témoin meurtre après avoir regardé TV = imputer à tort le meurtre à qq’1 vu à la tv

Xp :
Matin : 10 photos de suspects présentées aux sujets AM : 10 photos : 5 du matin et 5 nv innocents - sujet sait que les nv sont innocents.
⇒ 1 semaine après : 20 photos : 5 suspects vu 2x (matin + AM), 5 suspects vus 1x (matin), 5 innocentes vues 1x (AM), et 5 nv innocents.

VD : nbre fausses alarmes (false alarms) que les sujets font ⇒ combien x “se souvient” faussement que 1 des innocentes est 1 des suspects.

Résultats : décourageants qt à la fiabilité de la mémoire
⇒ 8 % de fausse alarme pr les nvx innocents ⇒ cad pr les photos d’ind venant de leur être présentées pr la 1ère fois.
⇒ encore pire pour les innocents déjà vus la veille ⇒ 22% pr anciens innocents ⇒ montre des interférences dans la mémoire.

Sujet s’est souvenu d’avoir vu des photos d’innocents mais se souvient à tort qu’ils étaient suspects.

83
Q

mém épi : revers de la médaille du processus d’association ?

mém épi : “misattribution error” (erreur de mauvaise attribution)

XP : Brown & Deffenbacher 1977 : résultat ??

A

Sujet s’est souvenu d’avoir vu des photos d’innocents mais se souvient à tort qu’ils étaient suspects.

84
Q

mém épi : expliquer pb miss attribution ? pb d’association.

La mémoire est reconstructive

A

Trace en ME se mélange avec les éléments du contexte de réactivation

⇒ ME : pas 1 bibliothèque (relire en verbatim) : on peut pas récupérer événement de la ME et le « relire » exactement comme vous l’avez encodé.

La façon dont on se sent maintenant par ex, peut changer la façon dont vous vous souvenez d’un événement.

85
Q

mém épi : expliquer pb miss attribution, pb d’association.

La mémoire est reconstructive

XP : Loftus, 70

Loftus et Palmer (1974)

↳ modification de la trace en MLT en fonction d’1 nouvelle info, ce qui correspondrait à un effet d’interférence rétroactive pour le cas des souvenirs personnels.

Bcp recherches controversé (suggère qu’on peut pas tjs faire confiance à la mém des victimes/témoins).

Mais : point général : la mémoire reconstruit l’épisode en fonction du moment où on reconstruit l’épisode, donc elle intègre des éléments du contexte actuel de rappel ⇒ la mémoire est donc très fragile.

A

La mémoire reconstructive : le contexte de réactivation de l’épisode influence le contenu rappelé.

XP : programme de recherches sur les faux souvenirs (svnir pas arrivés)
Se demande en 1er : manière de poser 1 question s change la réponse des sujet ?

Loftus et Palmer (1974) : film2 voitures : accident.
Sujet doit estimer vitesse des voitures au moment de l’accident. Puis questionnaire sur le film et l’accident ms questions formulées ≠.
→ modifie que verbe : « À quelle vitesse …. qd se sont
heurté ou ** écrasé** ?

→ suggèrent accident +-violent
=> influence le rappel sur l’accrochage.
⇒ résultats : + le verbe utilisé est fort, +la vitesse estimée par les sujets était élevée.

2 explications :
- sujets ignorant vitesse : se sont laissés influencer par le verbe.
- la question a altéré l’événement dans leur mém ⇒ implique que les sujets qui ont eu “se sont écrasées” auraient le souvenir d’un accident + grave que ceux ayant eu “sont entrées en contact”.
↳ hypo intéressante car suggére 1 modification de la trace en MLT en fonction d’1 nouvelle info, ce qui correspondrait à un effet d’interférence rétroactive pour le cas des souvenirs personnels.

1 semaine après : vs avez vu bris de glace ? ⇒ bcp de la condition “se sont écrasées” réponde oui.

Bcp recherches de Loftus et d’autres ⇒ +tôt controversé (ex : car suggère qu’on peut pas tjs faire confiance à la mém des victimes/témoins).

Mais, quoi qu’il en soit, le point + général est que la mémoire reconstruit l’épisode en fonction du moment où on reconstruit l’épisode, donc elle intègre des éléments du contexte actuel de rappel ⇒ la mémoire est donc très fragile.

86
Q

Mém sémantique
Schéma et script

Peut varier selon contexte

A

Scripts ⇒ aide à naviguer dans des évén familiers ⇒ éven s’enchaînant ds ordre canonique.
Stocke pas ts trajets en bus pr aller fac. Théorie : on crée en mém 1 conn gé, un schéma “aller à facl”

Cette connaissance organise de manière séquentielle les gdes étapes qui ont tjrs lieu : aller à l’arrêt…
Puis le svnir est reconstruit à partir du schéma et des connaissances spécifiques. (impression de se souvenir du trajet mais le svnir est reconstruit à partir de ce qui a tjrs lieu, ce qui est ds schéma).

1 instance particulière des schémas : le script ⇒ représentation en mémoire des info sémantiques et épisodiques, sous la forme d’une structure générale de connaissances relatives à un épisode, qui guide notre compréhension et mémorisation de ces épisodes ou situations.
↳ représentation mentale de « ce qui devrait se passer » ds 1 situation particulière.
↳ sont organisés de manière temporelle, les grandes étapes qui ont lieu successivement dans de nombreuses situations.

Scripts varient selon contexte ⇒ peut produire des erreurs, surtout chez les enfants. (script “bon resto” et script “fast food” : veulent payer avant de manger/ confusion de la règle)
=> Confusion fréquente chez enfant, moins chez adultes car ont des scripts plus spécifiques à la situation.

87
Q

Comment est structurée la mémoire sémantique ?

(bcp de modèle, on en voit 2)

A
  • info distribuées en réseaux hiérarchiques.
  • Existence de réseaux associatifs d’info sémantiques (abandonne réseaux hiérarchiques)
88
Q

Comment est structurée la mémoire sémantique ?

Modèle Hiérarchique
Collins et Quillan (69)

  1. principe de hiérarchie catégorielle
  2. principe d’économie cognitive : seules les propriétés (ou attributs) spécifiques sont classées avec les concepts
A

Concepts représentés en mém ss forme de nœuds sémantique.
- Chaque nœud représente 1 concept.
- Les concepts st reliés entre eux par des liens associatifs.
- Chq nœud représentant 1 concept est associé à des nœuds représentant les propriétés de ce concept.

  1. principe de hiérarchie catégorielle : les concepts de la MS sont classés de façon hiérarchique, les catégories étant emboîtées dans des catégories plus larges comme dans une arborescence ;
  2. principe d’économie cognitive : seules les propriétés (ou attributs) spécifiques sont classées avec les concepts.

Ex : canari = jaune. Ts oiseaux = pas jaune. Propriété “jaune” ⇒ classée avec le concept “canari” alors que des propriétés gé “a 1 bec”… st classées avec concept d’oiseau. Les propriétés encore + gé st classées au niveau du nœud conceptuel “animal”.

⇒ 1 info de niveau x hérite des info des niv supérieurs ⇒ canaris représentés à certains niv héritent des propriétés auxquels ils s’attachent.

Pr vérifier vérité sur ce réseau XP dee tps de réponse = le canari peut-il voler, a-t-il des ailes, est-il jaune…
↳ mesurer chronométrie mentale : tps mis à traverser cette hiérarchie pour aller chercher la réponse à ces questions simples ne nécessitant pas bcp de réflexion.
Si demande caractéristique n’appartenant pas au domaine du canari ⇒ TR + long car on doit remonter ds l’arbre hiérarchique.
⇒ TR d’autant + long que la distance sémantique sera grande entre les concepts ou les propriétés.
Ex : le temps de vérification est + court pour « un canari est jaune » que pour « un canari se déplace ».

89
Q

Comment est structurée la mémoire sémantique ?

Modèle non hierarchique : conn stockées st des concepts interconnectés
Collins et Loftus (75)

A

Les connaissances stockées en mém comme concepts interconnectés entre eux.
=> 1 propriété pt être représentée +sieurs fois en mém et les info : pas orga en niv hiérarchiques.

Activer un concept propage automatiquement l’activation vers tous les concepts reliés. (cerise active pompier par intermédiaire de rouge).

Activation serait le processus à la base de la récupération des info en mémoire.

Vitesse d’activation ⇒ dépendrait de la distance sémantique entre concepts.

Les liens peuvent être soit
- sémantique (avec propriétés en commun : même couleur)
- soit non-sémantiques mais associatifs (pain, beurre).

Force de l’association ⇒ indiquée par nbre d’étapes entre les concepts ET longueur des lignes qui les relient.
↳ lignes + courtes indiquent des asso + fortes (asso + étroites). rouge peut ê + fortement associé aux roses qu’aux pommes (car bcp pommes vertes).

On trouve ce phénomène dans l’amorçage sémantique
Ex : tâche de décision lexicale ⇒ présenter mots ou pseudomots (chaînes de caractères qui respectent règles phonotactiques comme « cateau »).
Sujet doit répondre le + rapidement et + précisément possible si c’est un mot (oui) ou un pseudomot (non).

⇒ amorçage sémantique : pré-activer un concept en présentant des mots (ou des images ici) spécifiques.
Ex : présenter “banane” puis “orange” : orange sera traité + rapidement. Image hôpital sera + facile d’indiquer que «hôpital » est un mot que d’indiquer que « dauphin » est un mot. ⇒ Mais 1 image non liée aux mots, nous ne verrons pas le même avantage.

90
Q

mém sémantique

Test MÉMOIRE sur la diffusion d’activation

  • Test avec degrés de confiance
  • Procédure DRM
A

Test avec degrés de confiance : Liste de mot à mémoriser.
Nouvelle liste ⇒ certains déjà étudié et d’autre non (nv)
⇒ décider pr chaque mot si il a été étudié et dire à quel point on est confiant ds notre réponse.
Mots viennent de 2 catégories : montagnes/musique.
⇒ Facile de dire « non » à des mots qui ne sont liés à aucune des 2 (ex : table) MAIS on pense souvent à tort qu’un nouveau mot a été étudié même s’il est nv (mais appartient à 1 des catg) ⇒ car bcp d’autres mots dans la liste propagent l’activation à des concepts connexes.
↳ « flute » et « note » = amorcés par les mots liés à ces concepts. Bcp sujets font erreurs et st en + confiants ds le fait d’avoir vu ces mots:

Procédure DRM
On a vu les erreurs de « misattribution » et les travaux de Schacter ⇒ il décrit aussi comment créer des erreurs de « misattribution » à l’aide de la procédure DRM (Deese-Roediger-McDermott).
- 1er liste de mot “pointu, épingle, couture, …” mais pas le mot “aiguille”.
- 2e liste : comprend “aiguille”.
⇒ choisir mots qui figuraient sur 1ère liste ⇒ Plupart du temps, sujets affirment avec assurance que mot “aiguille” figurait sur la 1ère.
→ victime de faux souvenirs, on croit avoir vu des mots qui n’ont jamais existés.

91
Q

mém sémantique : explication de la diffusion de l’activation

Interaction
=> les concepts activés dans la MS se confondent avec les mots réellement entendus (stockés dans la ME)

A

⇒ Il y a interaction entre l’info dans la MS, des relations sémantiques entre les concepts et les stimuli réels qui nous ont été présentés (qui sont stockés dans la ME).

Les éléments de la liste diffusent l’activation à des concepts connexes, ce qui peut activer des mots cibles qui n’ont jamais été réellement présentés. Plus tard on a l’impression d’avoir vu le mot cible, alors qu’en réalité vous étiez juste biaisé pour penser au mot.

⇒ Pendant l’apprentissage, on voit bcp de mots liés à un concept cible => ces mots propagent l’activation au concept cible dans la MS.
⇒ Pendant phase de test → impression d’avoir vu le mot cible pendant l’entraînement car il a été activé par les mots associés ⇒ les concepts activés dans la MS se confondent avec les mots réellement entendus (stockés dans la ME)

92
Q

Mém sémantique
et faux souvenir

Hypnose

Qd les effets de priming sont consistants, le sujet peut construire un évènement faux qu’il est sûr d’avoir vécu.

A

Activation sémantique et faux svnir ⇒ qd effets de priming (amorcage) sont consistants, sujet pt construire évén faux qu’il est sûr d’avoir vécu.

Freud : refoulement rend impossible l’accès direct à l’inconscient ⇒ aller indirectement vers le pb : questions ⇒ capables de récupérer souvenirs réprimés.
⇒ pb : confiance : svnir refoulés récupérés en thérapie sont de vrais souvenirs ? ⇒ Auj on sait que cette approche produire de faux souvenirs. ⇒ Chaque suggestion ⇒ s’intègre dans votre mémoire.

Qd les effets de priming sont consistants, le sujet peut construire un évènement faux qu’il est sûr d’avoir vécu.
D’une certaine façon le sujet a raison : il a bien vécu un événement dans sa tête… mais c’est peut-être le résultat d’un amorçage.

Bcp de scientifiques croient que l’idée qu’on « réprime » les souvenirs traumatiques est intrinsèquement absurde. (McNally)
↳ normalement : pb inverse : on peut pas oublier les souvenirs trauma.
Plus gé, toute sorte d’événement significatif de la vie reste dans la mémoire + fortement (ex mém ”flash”).
On pt oublier des choses, probablement même des événements traumatisants, mais probablement pas parce que c’était traumatisant.

Hypnose ⇒ similaire. Patient/témoin hypnotisé : on pose q°suggestives ⇒ on induit déjà l’idée que le voleur portait des chaussures…
Après, si la personne dit « rouge », ça induit des idées à celui qui pose des questions. « Qui peut porter des chaussures rouges ? »
L’hypnotiseur (ou tout ind posant des questions (ex policier) et l’ind qui répond peuvent ensemble (mais involontairement) créer une histoire.

93
Q

Mém sémantique : reconstructive
- ME : trouée et la MS veut combler les trous avec des règles générales de vie.

Montrer l’impact des connaissances antérieures ou des conn schématiques sur la mémoire ?
Xp Berlette, 1932

+ Korsackooff

A

ME : trouée et la MS veut combler les trous avec des règles générales de vie.

Impact des connaissances antérieures ou schématiques sur la mémoire ?
Xp Berlette, 1932 : sujets anglais lise histoire d’1 culture ≠, conventions de narration ≠. Conte folklorique indien “guerre des fantômes ».
2 sem après : sujet essaye de se rappeler l’histoire ⇒ trouve des distorsions dans les récits des sujets qui rendent l’histoire + conventionnelle et acceptable du point de vue de leur propre contexte culturel. Même mots st modififés pr ê + cohérents avec la culture (bateau/canoë).

NEUROLOGUE RUSSE S. KORSAKOFF décrit des patients alcooliques qui présentent
- amnésie antérograde et rétrograde des dernières années de sa vie
- désorientation temporo-spatiale (incapacité de se repérer par rapport au temps et à l’espace)
- déni de la pathologie
- fabulations et fausses reconnaissances ⇒ cherchant à compenser l’amnésie. (cherche nfo ds ME, trouve pas ⇒ remplace par conn sémantique)
radotage
- apathie et un émoussement émotionnel

Rappel : patients souffrent d’amnésie, cad d’un problème de mémoire épisodique. Leur mémoire sémantique est généralement intacte.

Fabulation : erreur de mém définie comme la production de souvenirs fabriqués, déformés ou mal interprétés sur soi-même ou sur le monde.
Ex fabulation : si on lui demande ce qu’il a fait aujourd’hui, le sujet invente quelque chose mais croit que c’est vrai.
Ex fausse reconnaissance : Le sujet croit reconnaître des personnes qu’il n’a jamais vues.

94
Q

Fonction central exécutif
Équilibriste

A

Contrôle allocations des ressources
Cher la mise en œuvre et la coordination des deux systèmes esclaves
Transfère les infos en mémoire à long terme
Prendre des décisions
=> nécessairement mobiliser par les tâches cognitives de haut niveau : raisonnement, Com, compréhension, langage, calcul…

Manipuler : à louer des ressources attentionnée, cognitives pour maintenir l’information à la
-dans la boucle articulatoire
-dans lequel par vision spatial

95
Q

44
Défi du système central

A

Crise économique, peu de ressources
Paradoxe
Mémoire de travail : travail avec peu de ressources, alors que toute notre vie mentale est ici

96
Q

45
Évaluer les capacités de l’administrateur central, tâche d’empan de mémoire de travail : manipule en plus du maintien
Attention différents des mesures d’empan

A

Presenter chiffre et demander empan inverse : ok manipule info

Lettre et chiffre : tache de séquençage :  rappeler par exemple les lettres dans l’ordre alphabétique et les chiffres en ordre croissant

Tache n back