Mécanismes de défense Flashcards

1
Q

LALONDE

La personne se tourne vers les autres pour chercher du soutien ou de l’aide. Elle a la capacité d’avoir recours à autrui.

A

Affiliation.

Niveau adaptatif élevé.

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2
Q

LALONDE

La personne satisfait ses propres besoins en répondant aux besoins des autres. Le conflit tourne autour d’une détresse liée à des situations stressantes de son passé, dans lesquelles elle n’a pas trouvé toute l’aide nécessaire.

A

Altruisme.

Niveau adaptatif élevé.

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3
Q

LALONDE

La personne anticipe les conséquences émotionelles des problèmes à venir et ressent une détresse en se représentant des idées et des affects stressants. Ce scénario anticipatoire, cette représentation mentale permet néanmoins à la personne d’élaborer une réponse plus adaptée au conflit qui peut survenir et à l’angoisse qu’elle pourrait affronter.

A

Anticipation.

Niveau adaptatif élevé.

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4
Q

LALONDE

La personne exprime directement ses pensées et ses sentiments de manière à atteindre ses objectifs.

A

Affirmation.

Niveau adaptatif élevé.

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5
Q

LALONDE

La personne met de l’avant des aspects amusants ou ironiques de la situation qu’elle vit. Ce mécanisme tend à relâcher la tension provoquée par le conflit d’une manière qui à tout le monde de se sentir plus à l’aise. C’est bien différent des commentaires moqueurs ou cinglants qui créent un malaise.

A

Humour.

Niveau adaptatif élevé.

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6
Q

LALONDE

La personne s’interroge sur ses propres pensées, ses sentiments, ses motivations ou ses comportements. Elle peut se voir elle-même telle qu’elle est perçue par autrui. Sa compréhension des réactions des autres à son égard s’en trouve accrue.

A

Introspection.

Niveau adaptatif élevé.

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7
Q

LALONDE

La personne canalise des sentiments ou des pulsions potentiellement inadaptées vers des comportements socialement acceptables, le plus souvent de type altruiste ou spirituel. C’est la capacité de satisfaire la pulsion sans atteindre le but originel, sous forme de comportements valorisés et approuvés par le groupe social.

A

Sublimation.

Niveau adaptatif élevé.

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8
Q

LALONDE

La personne évite délibérément et consciemment de penser à des problèmes, des désirs ou des expériences pénibles, mais temporairement ; c’est un report. Ce mécanisme maintien à la fois l’idée et l’affect associées à un stresseur hors de la conscience (mais sans qu’il y ait refoulement dans l’inconscient) pendant que l’on s’occupe d’autre chose plus pressant.

A

Répression.

Niveau adaptatif élevé

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9
Q

LALONDE

La personne expulse de sa conscience des désirs, des pensées ou des expériences pénibles. Le sentiment peut rester conscient, mais il est détaché des idées qui y sont associées. Les éléments émotifs demeurent présents alors que le concept associé est absent.

A

Refoulement.

Niveau des inhibitions mentales

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10
Q

LALONDE

La personne déplace un sentiment ou une réponse d’un objet vers un autre. Ce mécanisme autorise plus facilement l’expression de l’affect et de la gratification de la pulsion, car l’objet sur lequel s’effectue le déplacement est habituellement moins menaçant que l’objet initial qui a inspiré ce sentiment.

A

Déplacement.

Niveau des inhibitions mentales

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11
Q

LALONDE

La personne vit une altération des fonctions d’intégration de la conscience, de la mémoire, de la perception de soi ou de l’environnement. Mécanisme qui sert à dissoudre le matériel psychique trop menaçant ou anxiogène (ex. : abus sexuels, physiques, scène d’horreur, etc.) Les états de transes, d’amnésie ou de dépersonnalisation font partie de cette catégorie défensive.

A

Dissociation.

Niveau des inhibitions mentales

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12
Q

LALONDE

La personne s’adonne à un usage excessif de pensées abstraites ou de généralisations pour contrôler ou minimiser ses sentiments gênants. Elle parle en termes généraux, livresques ou à la troisième personne pour mettre ses émotions à distance. Elle accorde une prépondération à la pensée abstraite pour bloquer l’émergence et la reconnaissance des affects et des fantasmes.

A

Intellectualisation.

Niveau des inhibitions mentales

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13
Q

LALONDE

La personne sépare les idées des sentiments qui leur étaient initialement associés. Elle perd le contact avec les sentiments associés à une situation donnée alors qu’elle reste consciente des éléments cognitifs. La fondation de l’isolation, qui accompagne souvent l’intellectualisation, sert à éloigner les affects menaçants comme la honte, le dégout, la culpabilité ou l’angoisse.

A

Isolation de l’affect.

Niveau des inhibitions mentales

Penser à l’histoire du policier

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14
Q

LALONDE

La personne substitue à un comportements, à des pensées ou à des sentiments inacceptables d’autres qui leur sont diamétralement opposés. Ce mécanisme permet d’éviter un sentiment de culpabilité ou peut alimenter le souhait de se sentir moralement supérieur.

A

Formation réactionnelle.

Niveau des inhibitions mentales

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15
Q

LALONDE

La personne utilise des mots ou des comportements qui visent à corriger symboliquement des pensées, des sentiments ou des actes jugés inacceptables. Ce mécanisme consiste à annuler après coup et à considérer comme non advenu un acte ou une pensée à l’origine d’un conflit psychique. Pour l’observateur, l’association d’une déclaration et son contraire rend difficile l’identification de l’intention première de la personne.

A

Annulation rétroactive.

Niveau des inhibitions mentales

Penser aux obsessions/compulsions

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16
Q

LALONDE

La personne attribue à soi ou à autrui des qualités exagérées. Elle a besoin d’accorder une valeur ou une puissance spéciale à un personnage dont elle dépend émotionnellement afin de pouvoir sentir qu’elle peut d’appuyer sur quelqu’un d’omnipotent et omniscient qui résoudera toutes les difficultés de manière définitive. Ce mécanisme est une source de gratification ou de protection contre les sentiments d’impuissance, d’insignifiance, etc.

A

Idéalisation.

Niveau mineur de distorision de l’image de soi et de l’objet (défenses narcissiques)

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17
Q

LALONDE

La personne attribue à soi ou à autrui des défauts exagérés. C’est l’inverse de l’idéalisation. Ce mécanisme sert à stimuler son amour propre en rehaussant sa propre valeur face à un objet dorénavant dénigré ; … de soi peut par contre induire des commentaires compensatoires et valorisants de la part d’autrui.

A

Dévalorisation.

Niveau mineur de distorision de l’image de soi et de l’objet (défenses narcissiques)

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18
Q

LALONDE

La personne répond aux conflits émotionnels en agissant comme si elle possédait des capacités ou des pouvoirs supérieurs à ceux des autres. Ce mécanisme protège la personne contre la perte d’estime de soi (déception, impuissance face à des stresseurs).

A

Omnipotence.

Niveau mineur de distorision de l’image de soi et de l’objet (défenses narcissiques)

Penser aux politiciens… Trump

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19
Q

LALONDE

La personne répond aux conflits émotionnels en se refusant à reconnaitre la réslité de certaines expériences subjectives douloureuses pourtant apparentes pour autrui. Ce mécanisme est l’action de refuser la réalité d’une perception perçue comme dangereuse ou pénible pour le Moi. C’est une façon spontanée de répondre à une mauvaise nouvelle.

A

Dénégation, déni névrotique (mineur).

Niveau du désaveu

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20
Q

LALONDE

La personne atteibue à tort à autrui ses propres sentiments, ses pulsions ou ses pensées inacceptables. Ce mécanisme expulse hors de la personne des émotions ou des motivations désagréables ou qui la rendent trop vulnérable.

A

Projection névrotique (mineure).

Niveau du désaveu

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21
Q

LALONDE

La personne cherche à donner une explication cohérente, logique, acceptable, morale à une attitude, un sentiment dont elle ne perçoit pas les véritables motifs. Elle cherche à dissimuler, à elle-même et à autrui, les motivations réelles de ses propres pensées, actes ou sentiments derrière des explications rassurantes ou complaisantes, mais etronées. Ce mécanisme masque une motivation inacceptable qui est généralement inconsciente ou à peine consciente.

A

Rationalisation.

Niveau du désaveu

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22
Q

LALONDE

La personne substitue une rêverie (fantaisie) diurne excessive aux relations individuelles, aux actions plus efficaces ou à la résolution de problèmes. Ce mécanisme apporte une gratification temporaire et permet, dans certains cas, d’alléger un sentiment d’impuissance. Facebook remplit aussi un peu ce rôle en donnant l’illusion de contacts humains dans la réalité virtuelle.

A

Rêve autistique.

Niveau majeur de distorsion de l’image de soi et de l’objet

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23
Q

LALONDE

La personne attribue à tort à autrui ses propres sentiments, pulsions ou pensées inacceptables, comme dans la projection. Cependant, à la différence, elle ne désavoue pas totalement ce qui est projeté. Elle reste consciente de ses propres affects ou pulsions, mais elle les attribue à tort à autrui en tant que réaction légitime. Il n’est pas rare que la personne induise véritablement chez l’autre les sentiments ou motivations qu’elle projette sur lui.

A

Identification projective.

Niveau majeur de distorsion de l’image de soi et de l’objet

24
Q

LALONDE

La personne compartimente des états affectifs opposés et ne parvient pas à intégrer ses propres qualités et défauts et ceux des autres dans des images cohérentes. Ne pouvant éprouver simultanément des affects ambivalents, la personne exclut des perceptions et des attentes plus nuancées de soi ou des autres du champ de ses émotions conscientes. Le soi et les objets alternent entre des positions opposées. La personne ne réussit pas à réaliser que ces deux volets peuvent exister chez un même individu. La perdonne parle d’autrui comme « tout bon ou tout mauvais » et contredit souvent ses propres affirmations antérieures sur les qualités et les défauts de quelqu’un, sans gêne apparente quant aux incohérences. Ce mécanisme répond à l’angoisse de tenir la bonne image que la personne a des gens, en laissant leurs mauvais côtés venir supplanter les bons.

A

Clivage.

Niveau majeur de distorsion de l’identification de soi et de l’objet

25
Q

LALONDE

La personne se tourne vers l’action (comportement incontrôlé) pour éviter d’entrer en contact avec des sentiments ou des représentations mentales désagréables d’elle-même. Il s’agit d’une défense inadaptée puisque sa motivation profonde est inconsciente. Elle n’atténue pas le conflit intérieur et peut parfois entrainer des conséquences fâcheuses pour la personne ou autrui.

A

Passage à l’acte (acting out).

Niveau de l’agir

26
Q

LALONDE

La personne sabote autrui de façon indirecte et non combative, en utilisant des attitudes passives qui consistent en diverses formes de résistance, d’impuissance apparente ou d’évitement dans les activités et les relations interpersonnelles. C’est un comportement de résistance passive ou d’obéissance réticente, un ensemble d’attitudes dites passives qui expriment indirectement une hostilité cachée qui n’est donc pas assumée ou vécue. Une façade d’adhésion apparente voile la résistance, le ressentiment ou l’hostilité. Ce mécanisme vient souvent en réponse à une exigence d’autrui pour réaliser des actions de performance.

A

Agression passive.

Niveau de l’agir

27
Q

LALONDE

Une personne, qui se montre éplorée, formule des plaintes ou des demandes d’aide répétées qui dissimulent en fait des sentiments d’hostilité ou des reproches à l’égard d’autrui. Ces sentiments d’incompréhension frustrée s’expriment par contre lorsqu’elle rejette des suggestions, conseils ou offres d’aide apportées par son médecin. La plainte associant demande d’aide et rejet de cette aide est une défense contre la colère ressentie par la personne lorsqu’elle ressent un besoin. La colère qui vient de l’expérience antérieure d’un besoin insatisfait est exprimée par le fait de refuser une aide jugée insuffisante tout en continuant à réclamer toujours plus.

A

Plainte associant une demande d’aide et le rejet de cette aide (hypocondrie)

Niveau majeur de distorsion de l’identification de soi et de l’objet

28
Q

LALONDE

La personne attribue à autrui, à tort, ses propres sentiments, ses pulsions ou ses pensées inacceptables. Toutefois, ce mécanisme est d’une telle intensité qu’elle est à l’origine d’un discours ou d’une construction délirante. Le contact avec la réalité est perdu et la personne ressent clairement de l’anxiété.

A

Projection délirante.

Niveau psychotique

29
Q

LALONDE

La personne refuse de reconnaitre un objet physique ou un événement réel dans son vécu actuel. C’est souvent dans ces cas qu’il faut requérir une ordonnance de traitement, car ce mécanisme empêche le patient de reconnaitre qu’il met lui-même ou les autres en danger à cause de sa psychose qu’il dénie.

A

Déni psychotique.

Niveau psychotique

30
Q

LALONDE

La personne altère la réalité externe de façon importante pour répondre à ses besoins. Ce mécanisme substitue aux affects déplaisants des affects opposés, plus gratifiants, au détriment du contact avec la réalité. Ceci peut prendre la forme d’une omnipotence délirante, de délires ou d’hallucinations pour satisfaire certains de ses souhaits. La personne utilisant ce mécanisme a tendance à agir en fonction de la néoréalité qu’elle s’est créée.

A

Distorsion psychotique.

Niveau psychotique

31
Q

LALONDE

La personne évite tout contact avec le monde extérieur. Elle peut devenir mutique, « entrer dans ss bulle » et apparaitre insensible aux stimuli externes. Ce mécanisme peut également prendre la forme d’une stupeur ou de postures catatoniques.

A

Retrait autistique.

Niveau psychotique

32
Q

Éviter la prise de conscience d’aspects de la réalité extérieure auxquels il est difficile de faire face en ne tenant pas compte de données sensorielles.

A

Déni.

Défenses archaïques (psychotiques)

33
Q

Réalisation impulsive d’une envie ou d’un fantasme inconscient afin d’éviter un affect douloureux.

A

Passage à l’acte.

Défenses archaïques (psychotiques)

34
Q

Attribution de qualités parfaites ou presque à autrui afin d’éviter l’anxiété ou des sentiments négatifs comme le mépris, la jalousie ou la colère.

A

Idéalisation.

Défenses archaïques (psychotiques)

35
Q

Conversion d’un souffrance émotionnelle ou d’autres états affectifs en symptômes physiques et focalisation de son attention sur des préoccupations somatiques (plutôt qu’intrapsychiques)

A

Somatisation.

Défenses archaïques (psychotiques)

36
Q

Rupture du sentiment de continuité d’une personne dans les domaines de l’identité, des souvenirs, de la conscience, ou de la perception afin de conserver l’illusion d’un contrôle psychologique face à l’impuissance et à la perte de contrôle. Bien que similaire au clivage, ce mécanisme de défense peut entrainee, dans des cas extrêmes, l’altération du souvenir des événements à cause d’une désafférentation entre le soi et l’événement.

A

Dissociation.

Défenses archaïques (psychotiques)

37
Q

Perception et réaction face à des pulsions internes inacceptables et à leurs dérivés comme s’ils étaient extérieurs à soi. La cible de ce mécanisme n’est pas modifiée.

A

Projection.

Défenses archaïques (paychotiques)

38
Q

À la fois mécanisme de défense intrapsychique et communication interpersonnelle, ce phénomène se caractérise par un comportement où une pression interpersonnelle subtile est placée sur une autre personne pour qu’elle endosse les caractéristiques d’un aspect de soi ou d’un objet interne projetées sur cette personne. Cette personne qui est la cible du mécanisme de défense commencera à se comporter, à penser et à ressentir les choses en accord avec ce qui a été projeté sur elle.

A

Identification projective

Défenses archaïques (psychotiques)

Penser à l’exemple du voisin qui espionne

39
Q

Retour à une phase de développement antérieure ou fonctionnement permettant d’éviter les conflits et les tensions en rapport avec son niveau de développement actuel.

A

Régression.

Défenses archaïques (psychotiques)

40
Q

Repli dans son propre monde intérieur pour éviter l’anxiété liée aux situations interpersonnelles.

A

Fantasme schizoïde.

Défenses archaïques (psychotiques)

41
Q

Essayer de nier les implications sexuelles, agressives ou honteuses d’un commentaire ou d’un comportement préalable en élaborant, clarifiant, ou en faisant l’opposé.

A

Annulation.

Défenses de niveau plus élevé (névrotiques)

42
Q

Chasser des idées ou des pulsions inacceptables ou les empêcher d’arriver à la conscience. Cette défense diffère du déni dans le sens où ce dernier est associé à une donnée sensorielle externe, alors que le refoulement est associé à des états internes.

A

Refoulement.

Défenses de niveau plus élevé (névrotiques)

43
Q

Transformation d’un souhait ou d’une pulsion inacceptable en son opposé.

A

Formation réactionnelle

Défenses de niveau plus élevé (névrotiques)

44
Q

Dotation d’un objet ou d’un comportement d’une connotation érotisée afin de transformer une expérience négative en quelque chose d’excitant et de stimulant, ou de détourner l’anxiété associée à l’objet.

A

Érotisation.

Défenses de niveau plus élevé (névrotiques)

45
Q

Justification d’attitudes, de croyances, ou de comportements inacceptables afin de les rendre tolérables.

A

Rationalisation.

Défenses de niveau plus élevé (névrotiques)

46
Q

Séparation de l’idée et de l’affect associé afin d’éviter un trouble émotionnel.

A

Isolation de l’affect.

Défenses de niveau plus élevé (névrotiques)

47
Q

Recours à une idéation excessive et abstraite afin d’éviter des sentiments douloureux.

A

Intellectualisation.

Défenses de niveau plus élevé (névrotiques)

48
Q

Transfert de sentiments associés à une idée ou un objet vers un autre présentant certaines similitudes avec l’original.

A

Déplacement.

Défenses de niveau plus élevé (névrotiques)

49
Q

Intériorisation des qualités d’une autre personne en devenant comme cette personne. Là où l’introjection conduit à une représentation intériorisée vécue comme un « autre », cette défense est vécue comme une part de soi. Cette défense a également des fonctions non défensives dans le cadre d’un développement normal.

A

Identification.

Défenses de niveau plus élevé (névrotiques)

50
Q

Intériorisation d’aspects d’une personne importante pour faire face à la perte de cette personne. On peut également introjecter une personne hostile ou un mauvais objet pour se donner l’illusion de contrôle sur cet objet. Ce mécanisme se produit sous des formes non défensives comme un aspect normal du développement.

A

Introjection.

Défenses de niveau plus élevé (névrotiques)

51
Q

Trouver des éléments comiques et/ou ironiques dans des situations difficiles pour réduire l’affect désagréable et l’inconfort personnel. Ce mécanisme favorise également l’objectivité et la mise à distance par rapport aux événements permettant à un individu de réfléchir à ce qui se passe.

A

Humour.

Défenses élaborées ou matures

52
Q

Décider consciemment de ne pas se soucier d’un sentiment, d’un état ou d’une pulsion. Cette défense diffère du déni et du refoulement dans le sens où elle est plus consciente qu’inconsciente.

A

Suppression.

Défenses élaborées ou matures

53
Q

Essayer d’éliminer les aspects agréables d’une expérience à cause des conflits internes associés à ce plaisir. Ce mécanisme peut être au service d’objectifs transcendantaux ou spirituels, comme dans le célibat.

A

Ascétisme.

Défenses élaborées ou matures

54
Q

Se vouer à la satisfaction des besoin d’autrui bien plus qu’aux siens. Ce type de comportement peut être utilisé au service de problèmes narcissiques mais peut également être la source de grandes réalisations et de contributions constructives pour la société.

A

Altruisme.

Défenses élaborées ou matures

55
Q

Report d’une gratification immédiate en prévoyant et en pensant à de futurs réalisations et accomplissements.

A

Anticipation.

Défenses élaborées ou matures

56
Q

Transformer des buts socialement répréhensibles ou intérieurement inacceptables en quelque chose de socialement acceptables.

A

Sublimation.

Défenses élaborées ou matures

57
Q

Segmentation des expériences de soi et d’autrui de sorte qu’une intégration est impossible. Quand l’individu est confronté à

A

Clivage.

Défenses archaïques (psychotiques)