Maladie infectieuse du SN Flashcards

1
Q

Définition d’une infection

A

Correspond à un micro-organisme qui vient dans l’organisme ce qui crée une réaction inflammatoire.

On peut voir des oedèmes et des réactions vasculaires

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2
Q

Astrocytes rôle

A
  • Permettent le passage entre le sang et le SN
  • Se connectent à la vascularisation et transmettent au cellule nerveuse les éléments essentiels du SN&raquo_space; barrière hématologies-encéphalique
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3
Q

Barrière hémato-encéphalique rôle et localisation

A
  • Stopper les virus ou autres
  • Elle se situe entre les méninges (entre sinus veineux et LCR)
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4
Q

Types d’infection possible

A
  • Une inflammation des méninges = méningite
  • Méningo-encéphalite = méningite + atteinte du parenchyme cérébral
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5
Q

Pourquoi on peut avoir des infections du SN ? (mécanisme)

A

La réaction immunitaire lors d’une infection, il y a une réaction inflammatoire. Cette réaction provoque au niveau des artères une augmentation de la perméabilité ce qui facilite la pénétration de l’agent infectieux -> c’est un facteur aggravant.

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6
Q

Syndrome méningé (symptômes)

A
  • Céphalées
  • Vomissements
  • Raideurs méningés
  • Autres signes accompagnateur : photosensibilité etc

(Pas tous les signes rencontré)

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7
Q

Quoi faire lors d’une suspicion de syndrome méningé ?

A
  • Signes de Kernig : patient sur le dos, genou plié à 90° et on fait une extension du genou&raquo_space; on tracte sur les méninges ce qui reproduite une douleur —> Positif : impossibilité de faire une extension car patient se protège
  • Signes BRADZINSKI : patient allongé, demande de flexion de la tête –> positif : patient résiste ou alors amène les genoux en flexion
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8
Q

Syndrome encéphalique (symptômes)

A
  • Trouble de la conscience
  • syndrome confusionnel
  • Signes focaux
  • Troubles neurovégétatifs
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9
Q

Syndrome infectieux (symptômes)

A
  • Fièvre
  • Signes d’infection associée
  • Purpura (=tache robe que l’on peut rencontrer sur le corps)
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10
Q

Signes de gravité de la méningite

A
  • Plus le purpura est grande plus c’est un signe de gravité
  • Plus il y a de signes encéphalique
  • Critère de gravité hémodynamique
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11
Q

Particularité du nourrisson / sujet âgé

A

Dans le cas des méningites bactériennes de l’adulte 95% des patients au moins deux des signes suivants : céphalée, fièvre, raideur de nuque, altération de la vigilance. Le diagnostic est plus difficile aux âges extrêmes > peut être confondu avec de la démence pour les patients âgés.

Pour le nourrisson c’est plus complexe car parle pas : on voit la fièvre, raideur de la nuque (même si pas possible de bien la tester) etc. diagnostic plus compliqué.

Chez le nourrisson il faut faire attention au changement de comportement car anormaux.

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12
Q

Examens complémentaires d’une méningite

A
  • Ponction lombaire : regarde les protéolytiques-rachis et les glucoses-rachis
  • Examen biologique : prise de sang, urine, selles
  • Imagerie cérébrale
  • EEG
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13
Q

Types d’infections

A
  • En France, virale et bactérienne +++
  • Infection parasitaire : lors de voyage loin
  • Champignon possible
  • infection latente qui se réveille plus tard

–> Importance de l’interrogatoire

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14
Q

Les deux catégorie d’une infection bactériennes + Bactéries responsables

A
  • Méningite purulentes –> regarder les protéinorachies et les glycorachis + quantité de globule blanc
  • Méningite à liquide claire

Bactéries : staphylocoque, pneumocoque, streptocoque, méningocoque

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15
Q

Méningite méningocoque

A
  • Cause la plus fréquente (90%- 15-24 ans)
  • Facteur : neisseria méningitidis (coloration en gram négatif et se développe en milieu aérobique (aérienne))
  • Transmission aérienne
  • Infection peut être sporadique / épidémique
  • Nasopharynx ++ : site d’infection primaire

On a des bactéries ou des virus qui déchicte ou pénètre dans les cellules du corps c’est au niveau de ces cellules que ça se développe. On peut avoir une infection ORL simple, si pas traiter alors risque d’une méningite à méningocoque.

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16
Q

Méningites à pneumocoques

A
  • 2e cause
  • Facteur : streptococus pneumoniae : coloration en gram +
  • Différents terrains : possible infection ORL, diabète qui fragilise la personne, persone atteint du VIH etc
  • On le retrouve chez l’adulte
  • Résultants de brèche de la dure-mère / foyer d’infectieux
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17
Q

Méningites à haemophilus influenzae

A
  • 1e cause de méningite chez le nourisson et moins de 6 ans non vacciné
  • Baccille gram –
  • Il y a un vaccin qui protège l’enfant > donc méningites moins fréquentes
  • Si présente elle apparait après la vaccination, encore plus si elle est retardée dans le temps. Plus la vaccination est faite tôt moins il y a de risque de développer cette méningite.
  • Peut accompagner les infections ORL
18
Q

Méningites et méningé-encéphalites à Listeria monocytogenes

A
  • Transmission par voie digestive
  • Évoquée chez les sujets âgés, grossesse, pathologie chronique, immunodépression
  • Clinique : infection des voies digestives, possible fièvre avec signe d’indigestion, soit des vomissements ou des diarrhée, des nausées, des céphalées. Si cette bactérie prend le dessus > le foie filtre le sang c’est à ce niveau qu’il y a cette porte d’entrée de la méningite vers le corps en générale (pas arrêté par le foie), il circule dans la grande circulation et par extension les artères allant dans le SNC.
  • LCR clair
19
Q

Méningites et méningé-encéphalites tuberculeuses

A
  • Primo infection au niveau des poumons > peu présent en France mais peut être présent en Afrique. Au niveau des alvéoles il y a une voie de passage vers la circulation sanguine
  • Le bacille peut se disséminer aussi au niveau des os, au niveau des corps vertébraux.
  • DX est souvent retardé car on peut ne pas avoir de signes ou alors les signes sont associés à des infections de types classiques tel qu’au niveau respiratoire une toux, de la fièvre et petit à petit se mettent en place des céphalées et une altération de l’état générale (amaigrissement, fatigue, perte d’appétit)  c’est à ce moment que l’on se pose des questions
  • Le LCR est clair
  • Il faut faire des imageries au niveau respiratoire et au niveau centrale. Selon la localisation au niveau du cerveau on peut avoir des signes focaux, des épilepsies, des répercutions au niveau des paires crâniennes.
20
Q

Méningites et méningé-encéphalite plus rare

A

La maladie de Lyme (piqure de tique, plus la tique reste longtemps sur nous alors plus de risque de développer cette maladie), la syphilis (dans son stade secondaire, tertiaire), mais plus rare car on sait comment les traiter. Touche plus les personnes âgées car pas d’hisoire de prévention.

On sait qu’on a été piquer par une tique car présence d’un héritème migran (tache rouge qui a tendance à se déplacer sur le corps).

21
Q

Abcès du cerveau + circonstance étiologiques

A
  • Collection suppurée se développant au sein du pérenchyme
  • Relativement rare
  • Responsables : les pyogenes (streptocoque, staphylocoque, gram -, anaérobie ++)
  • Cause du pue

Trios circonstances étiologiques :
- Abcès post-traumatique
- Abcès en relation avec infection suppurée ORL
- Abcès « métastasiques »

22
Q

Complications Méningite bactérienne

A
  • Emphysème sous-dural
  • Trombophlébite
  • Angéïte cérébrale
  • Hydrocéphalie
23
Q

Pronostique de la méningite bactérienne

A

Il est bon s’il est pris à temps et qu’il n’y a pas trop de séquelle, il faut bien diagnostiquer et donner des médicaments adéquats alors évolution rapide positivement. Si au cabinet on détecte ça alors on réfère aux urgences.

Le pronostic est mauvais lors d’une installation rapide, voire fulminante.
- Méningite à pneumocoque
- Patient de plus de 45 ans : dès que l’on avance dans l’âge le patient peut avoir plus de séquelle
- On s’inquiète aussi lorsqu’il y a un trouble de la conscience > SN est atteint, la fonction cognitive est altéré on peut retrouver d’autre séquelle.

24
Q

Séquelles de la méningite bactérienne

A
  • Motrice
  • Sensorielle
  • Intellectuelle : ensemble des fonctions cognitives que l’on a vues (trouble de la concentration, trouble de l’humeur, pb de la mémoire etc)
  • Épilepsie séquellaire

 Ces séquelles restent, ils peuvent de stabiliser mais ne régresse pas

25
Q

Traitement de la méningites bactérienne

A
  • Corticoïde
  • Autres
26
Q

Les parasites : quand y penser? et types d’organismes vivants généralement retrouvé ?

A

On les retrouve principalement dans les pays pauvres : Afrique ou Amérique latine. Dès qu’il y a un contexte de déplacement on pense à de l’infection.

C’est des organismes vivants :
- Protozoaire : vivant avec des noyaux. On est sur des maladies que l’on rencontre en Afrique dont le transport peut être direct. Ce sont des organismes qui se développe chez un hôte.
- Elmynte : Pluri-cellulaire

27
Q

Infection parasitaires liées à des protozoaires

A
  • Neuropaludisme
  • Trypanosmiase
  • Méningo-encéphalite amibiennes primitives
28
Q

Neuropaludisme

A

Insecte qui pique et qui laisse ses œufs. Ces protozoaires vont se déplacer et aller dans le foie puis dans le SNC. On est sur le plasmodium falciparum. On aura des atteintes hépatiques, de la rate, insuffisance rénale, des troubles cardiaques (atteintes des viscères), on peut avoir de la fièvre avec ces signes. On peut avoir des signes focaux. Peut-être un diagnostic tardif. C’est une urgence car dès le coma alors la personne meurt. On peut faire prise de sang pour détecter le protozoaire, voir l’état de fonctionnement des viscères, on peut faire des imgaries. On arrive au neuropaludisme de manière tardive et les chances sont faibles de guérir car les viscères sont atteints. Il faut donc traiter dès l’arrivée de trouble viscérale pas attendre le CN atteint.

29
Q

Trypanosmiase

A

Parasite injecter au niveau du corps et se développe dans l’hôte. On peut avoir des répercussions au niveau viscéral, trouble de la conscience, du sommeil qui apparait. On peut avoir des signes plus ou moins focaux. Piquer par une mouche.

30
Q

Méningé-encéphalites ambiennes primitives

A

On pense à ça quand dans des zones endémiques mais contacte avec de l’eau souillée. Eau stagnante en général même pays développé. Au niveau des voies respiratoires, l’amibe se fraye son chemin via la lame criblé et se développe à partir de là. On aura des troubles focaux, des troubles de l’attention, changement d’humeur, trouble de la personnalité etc.

31
Q

Infections parasitaires liées à des helminthes

A

On est ici avec des verres. Peut être transmis par l’animal (ramacer les selles et pas se laver les mains), viande à l’air liber etc. Ces verres arrivent dans notre corps et peut toucher le SN.

  • Cestodoses :
  • Bilharzioses :
  • Filarioses :
  • Trichinoses :
  • Gnathostomiase

 Retenir que c’est des infections par des verres qui se baladent.
 Le diagnostic peut prendre du retard : peuvent se développer et rester latent
 On peut avoir des signes autres que neuro car on peut en avoir dans les viscères ou encore les organes
 Demander si animal, si viande consommée et pas bien cuite, si hygiène correcte etc.
 Patient peut dire qu’il voit un verre passer devant son œil

32
Q

Infection virale ce qui est important à rechercher

A

Important de rechercher la porte d’entrée (infection digestive, neuro, ORL etc)

33
Q

Types d’actions des virus (2 types)

A
  • Infection virale aigue / prolongé : infection virale direct qui se fait sur le substance grise. Le processus immunitaire aura des répercussions sur le SN. Car si hyper-réaction au niveau du système respiratoire alors on peut avoir une inflammation.
  • Infection persistance virale : attaque du tissu de soutien du SN

==> Intérêt de l’examens complémentaires

34
Q

Méningites virales

A
  • Début aigu
  • Fièvre
  • Céphalées
  • Symptômes associés: rash, arthralgie, myalgie, angine, vomissement etc&raquo_space; important à chercher pour les virus il faut regarder les réactions au niveau de la peau, demander si douleur articulaire
35
Q

Pronostique méningites virales

A
  • Globalement de bon pronostique > correspond à une régression des symptômes sans traitement spécifique

Conséquence moins drôles :
- Encéphalomyélite aigue disséminée : fièvres, convuslsion, coma, épilepsie, trouble neuro focaux. On peut aller à la guérison mais parfois la mort
- Encéphalite morbilleuse : mort dans un grand nombre de cas
- Encéphalite de la varicelle : pronostic bon
- Encéphalite de la rubéole : mort le plus souvent

36
Q

manifestation neuro non spécifique des infections virales :

A
  • encéphalomyélite aigue hémorragique
  • Encéphalite aigue toxique
37
Q

Manifestation neuro par agression virale direct :

A
  • Poliomyélite antérieur aigue
  • Zona
  • Herpès
  • CMV,EBV
  • Larage
38
Q

Poliomyélite antérieur aigue

A

Entéro-virus = on peut la choper en mangeant qqch qui est préalablement souillé). Dans 95% des cas il n’y a pas de signes. Dans 1% des cas de polyo quand il y a des signes neuro. On est surtout sur des signes moteurs, sur les cordons antérieurs. On retrouve surtout des signes neuro moteur périphérique. On peut avoir des paralysie, faiblesse, atrophie musculaire, manque de reflexe et perte de force. Dans les pays avec des traitements développer on aura alors des symptomes qui régresse si pas de traitement : possible déformation des membres

39
Q

Herpès

A

Encéphalite herpétiforme : la plus fréquente des encéphalites virales (prévalence 0,3/ 100 000). Clinique : syndrome grippal, syndrome infectieux, syndrome méningé, syndrome encéphalique.
Évolution : avec médicament on limite la mortalité alors que si on laisse évoluer sa peut entrainer la mort du patient.

40
Q

CMV, EBV

A

Virus de type varicelle. Le CMV on fait attention chez le nouveau-né ++ et les personne avec le VIH. On a une hydrocéphalie qui se développe et une microcéphalie.On a une calcification intracanienne qui se met en place de manière précoce (tête plus petite que la moyenne). Chez les femmes enceintes on fait donc des examens.

Pour les EBV : manifestions variées

41
Q

Encéphalopathie à Prion

A

Il y a une protéine PrPc fait qu’elle prend une configuration en cas patho anormale et devient PrPsc ce qui fait qu’elle est compliquée à être illiminé par l’organisme. On est une un développement lent (prend des années avant d’avoir des signes).

Équivalent :
- Maladie de Kuru (« manger le cerveau de qqun d’autre on est plus intelligent » (penser) or on ingère cette protéine et donc va avoir des répercutions.)
- Creuzfeldt-jacob
- GSS
- Insomnie fatale familiale