Macroéconomie Flashcards
L’égalité emploi/ressources:
Pib + importations = CFi + FBCF + exportations + variation du stock
1/ les déterminants de la consommation
1.1 La fonction de consommation Keynésienne:
La loi psychologie de Keynes: en moyenne et la plupart du temps, les individus accroissent leur consommation lorsque leur revenu aigrement mais pas de manière aussi importante que l’accroissement du revenu.
Celle-ci est basée sur une loi psychologique fondamentale énoncée ainsi : « En principe et en moyenne, les gens tendent à accroître leur consommation à mesure que leur revenu croît, mais moins que proportionnellement à la croissance du celui-ci ».
Dt= variation
Ainsi, la variation de la consommation
1.1.1 la consommation dépend du revenu courant et de la propension marginale à consommer :
Il y a plusieurs hypothèses sur l’évolution de la consommation.
•La première n’est pas Keynésienne, car elle considère que la propension moyenne a consommer est constante or Keynes disait : “ la communauté ne désire consommer qu’une propension graduellement décroissant de son revenu”
Ils posent:
C= cY avec 0 0 (consommation incompressible)
Ainsi grâce aux même calculs qu’avant:
PmC = C’(Y)= c
PMC= c+ Co/Y
Et on a bien PMC> Pmc
Distinguer la courbe de consommation keynésienne de l’autre…
La courbe de la fonction keynésienne est affine dont l’ordonner à l’origine est Co
1.1.3 La fonction d’épargne:
Pour Keynes l’épargne est un résidu, c’est la partie du revenu qui n’est pas consommer :
S= Y- C S= Y- (Co+ cY) S= (1-c)Y- Co
pour Fisher, les choix se font entre consommer aujourd’hui et consommer demain (en fonction du taux d’intérêt ) donc l’épargne est un choix au s’effectue en même temps que la consommation. Pour Keynes les choix se font d’abord que la consommation. Et le taux d’intérêt n’est un déterminant de l’épargne.
•PMS= S/Y = Y-C/Y= 1- C/Y
= 1- PMC
•PmS= Dt S/ DtY =Dt (Y-C)/ DtY = 1- dtC/ DtY
= 1-c
Mais il y a plusieurs autres forces qui agissent sur le désir d’épargner:
• désir de précaution (incertitude)
• volonté d’indépendance, d’initiative
Tous ces motifs varient d’une société à l’autre et dépendent de l’organisation de la société et du niveau de la prise en charge au niveau collectif.
- 2 la te formulation de la fonction keynésienne
1. 2.1 les études économétriques:
C’est une branche de l’économie qui vise à vérifier ou affirmer une théorie à partir de la collecte d’un grand nombre de données quantitative et statistiques.
Kuznets a réalisé des travaux économétriques sur la consommation. Il arrive a la conclusion que la propension moyenne a consommer= propension marginale à consommer= 0,86. Donc le long terme ne valide pas la fonction keynésienne.
Une autre question est de savoir si la propension marginale à consommer peut être supérieure à 100% à l’échelle macroéconomique. Pour Keynes non vu que 0
1.2.2 la reformulation de fonction keynésienne par Duesenberry et Brown
Ils insistent sur l’importance de la prise en considération de la fonction de distinction et d’imitation.
La consommation dépend non du revenu mais aussi de l’effet de démonstration c’est à dire de l’image que le consommateur veut se donner.
Effet cliquer: quand la consommation atteint un certain niveau, elle diminue difficilement. Même en ayant un revenu plus faible, on maintien la consommation (au même niveau que celle que permettait le revenu au temps t). Pendant les 1er moment de la crise par exemple.
C= F( Yt, Yt+1)
Brown:
Ct= cYt+ aCt-1 +Co
–> les ménages consomment en fonction de leur revenu courrant mais aussi en fonction de leur consommation d’avant.
Le paradoxe de l’épargne développé par Keynes:
Épargne vertu privée (assure contre le risque) et vice publique (baisse de la consommation donc de la demande entraîne ainsi une baisse de l’offre)
–> pour Keynes, l’épargne est un résidu, une partie du revenu qui n’est pas consommée.
Le revenu permanent de Friedman
Il présente une théorie de la consommation qui se démarque de la théorie keynésienne. Elle repose sur le concept de revenu permanent.
Selon Friedman, le revenu effectif se décompose en deux parties: le revenu transitoire et le revenu permanent.
L’idée centrale est celle d’une revenu permanent anticipé, calculé à partir de la valeur actualisée des revenus futurs anticipés diviser par le nombre d’année s de perception de ce revenu.
Exemple :
un individu qui reçoit 100 en to et 105 en t1 avec un taux d’actualisation de 5%.
Alors revenu permanent= (100 + 105/ 1+i)/ 2
i= taux d’actualisation= taux d’intérêt
2 = nombre d’années!
Dans cet exemple le revenu transitoire vaut 5.
Le revenu permanent permet d’intégrer les anticipations adaptatives: chaque année l’agent économique rectifie ses anticipations.
Y permanent = revenu permanent au temps t-1 + Alpha ( revenu effectif - revenu permanent au temps t-1)
Pour revenir à l’exemple:
Y permanent = 100 + Alpha (105-100)
–> c’est le revenu permanent qui détermine la consommation
Consommation permanente au temps
t= k. Y permanent au temps t
Ce n’est pas le revenu courant qui détermine la consommation car il inclut le avenu transitoire trop fluctuant.
Y effectif = Y permanent + revenu transitoire
Mais le revenu transitoire est souvent épargner.
Ainsi la préoccupation du modèle est également de conteste le multiplicateur keynésien. Si on considère le modèle keynésien avec cette logique la. La propension marginale à consommer serait presque nulle. Les effets d’une relance mènerait à l’épargne.
L’hypothèse du cycle de vie : Modigliani
Considère que l’économie n’est pas faite d’un individu représentatif mais de générations imbriquées, il n’y a pas d’unité mais tout est fonction des générations. Variation des comportements en fonction de l’âge. L’individu est capable d’anticipations, tient compte non seulement du revenu courant mais des revenus anticipés du travail et du patrimoine.
L’individu souhaite avoir une consommation lisser dans le temps, qu’elle soit constante au cours du temps :
• S C>Y
•S>0 –> C C> Y
Retenir deux courbes.
Limites :
Il ne prend en compte le sute des retraites, considéré que c’est de l’Espargne forcée pour le futur. Et ne prend pas en compte l’héritage.
Le patrimoine dans cette optique ne sert qua lisser la consommation mais les études montrent qu’il est très concentré: les 10% les plus riches détiennent 40% du patrimoine en France. Et l’on peut considérer que la constituon d’un patrimoine peut se faire pour d’autre raison comme la transmission d’un patrimoine.
Déplus bcp de retraite continuent à épargne 30% des retraités
Contrainte de liquidité et épargne de précaution :
Les marchés financiers sont imparfaits. La preuve la plus évident est l’existence de CIC = coût d’intermédiation du crédit, car s’ils étaient parfaits les banques connaîtront les individus qui ne sont pas solvable et ne leur prêteront pas. + la nécessité d’un apport initial qui agirait comme un signal de la capacité de l’individu à épargner.
AKerlof montre que les marchés d’occasion (voiture) fonctionnent mal.
Marche d’occasion par exemple –> asymétrie d’information
Sélection adverse : vont rester sur le marché que les mauvais produit
En période de crise la prime de risque augmente, phénomène d’anti-sélection : le coût d’intermédiation augmente, seulement ceux qui sont dans le besoin de liquidité emprunte mais a des taux très élevé. Ce n’est plus un équilibre par les prix qui s’opèrent mais par les quantités.
Quelles conséquences:
• diff demprinter en début de vie
En période de crise
Patrimoine tampon: compte tenu de la difficulté à emprunter et a liquider certains placement/ patrimoine , les individus ont besoin d’un patrimoine tampon pour faire face à des situations imprévus.
Épargne de précaution
- l’hypothèse du cycle de vie suppose que les marchés financiers sont parfaits.
Tout le monde reconnait que les agents économiques ont un horizon inter temporel limite (Max 3)
–> préférence pour le présent (ou proche avenir)
–> les comportement choix consommation/ épargne se fait rarement en fonction d’un taux d’intérêt.
