lexique général Flashcards
fluence
déf et 2 types
capacité à donner un max de mots et d’info ds un tps donné
- fluence phonémique : donner le plus de mots qui commencent par “f”
- fluence sémantique : le plus de noms d’animaux
hypophonie
Parler pas fort (moins fort qu’avt)
agrammatisme
= incapacité à construire des énoncés corrects sur le plan grammatical et syntaxique
Dysprosodie
= s’exprimer avec un ton monocorde ; rythme perdu
Apraxie de la parole
trouble acquis de la capacité à programmer le positionnement de l’appareil bucco-phonatoire et la séquence des mouvements musculaires nécessaires à la production volontaire des phonèmes, non relié à une paralysie, une akinésie ou à une ataxie de l’appareil articulatoire.
= trouble de l’encodage phonétique des mots et des phrases
= incapacité à transformer les représentations abstraites des formes des mots en des programmes moteurs articulatoires, c’est-à-dire à programmer le positionnement des effecteurs moteurs de la parole et le séquençage de l’articulation
=/= l’aphasie de Broca car elle n’implique pas nécessairement de troubles linguistiques de plus hauts niveaux (agrammatisme ou anomie), mais ces deux syndromes peuvent être concomitants
généralement causée par un accident vasculaire cérébral
Elle peut aller d’un déficit minime à une perte complète de la capacité à parler.
Paraphasies phonémiques
inversions ou modifications au niveau des phonèmes
Aphasie
perte partielle ou complète de la capacité à s’exprimer ou comprendre le langage écrit et parlé.
Elle provient de la lésion des aires du cerveau qui contrôlent le langage en dehors de tout déficit sensoriel ou de tout dysfonctionnement de l’appareil phonatoire.
Apparition brutale après :
AVC
Traumatisme crânien
Infection cérébrale (encéphalite)
Aphasie de Wernicke
L’aphasie (réceptive) de Wernicke : En cas de lésion de l’aire de Wernicke, les personnes ont des difficultés à comprendre le langage écrit et parlé. Elles parlent en général parfaitement et à un rythme naturel, mais les phrases sont des chaînes de mots confuses (salade de mots). Elles peuvent ne pas savoir que leurs propos sont insensés. La plupart des personnes touchées ne peuvent également pas lire. Elles écrivent comme elles parlent, de façon fluide mais incompréhensible.
Aphasie de Broca
Aphasie (expressive) de Broca : En cas de lésion de l’aire de Broca, les personnes peuvent en général comprendre le sens des mots et savoir comment répondre. Cependant, elles ont des difficultés à trouver les mots. Elles rencontrent des difficultés à s’exprimer, parlent très lentement, tout en faisant de grands efforts, et s’interrompent parfois en jurant, mais pensent que ce qu’elles disent a un sens. Le rythme normal et l’emphase de la parole sont également absents. Elles ont du mal à répéter des phrases. La plupart des personnes touchées ne peuvent également pas écrire.
logatomes
enchaînements syllabiques vides de sens ; phonèmes côte à côte ; Vérifier si les règles élémentaires de la transcription grapho-phonétique sont connues
alexie
Altération spécifique des capacités de lecture, secondaire à une affection cérébrale.
ne pas reconnaître ses doigts
agnosie digitale
Simultagnosie
difficulté à percevoir des élts spécifiques/distincts dans un tout global
Ataxie optique
difficulté de coordination visuomotrice : difficulté à coordonner la vision et le geste (toucher un objet avec son index)
Paralysie psychique du regard
regard errant, n’arrive pas à se fixer sur un point : regard dans le vide
Acalculie
difficultés de disposition spatiale des chiffres ds l’espace
Agraphie (spatiale)
écriture disposée de façon anarchique dans l’espace
syncinésie
mouvement involontaire souvent inconscient, survenant dans un groupe musculaire inapproprié à l’occasion d’un mouvement volontaire homolatéral ou controlatéral, ou lors de son essai.
= contraction involontaire d’un muscle ou d’un groupe de muscles apparaissant alors qu’un autre mouvement volontaire ou réflexe est effectué.
= un des signes cliniques du syndrome pyramidal, constaté chez les personnes hémiplégiques ou hémiparétiques. + caractéristiques cliniques de l’enfant avec dyspraxie.
+ syncinésie réflexe = mouvement de la mâchoire lors de l’utilisation de ciseaux.
akinésie
lenteur, trouble de l’initiation et de l’exécution du mouvement
dystonie
contractions musculaires entraînant des torsions
myoclonies
contractions musculaires rapides et brutales
dysmétrie
exécution des mouvements sans mesure dans le temps et dans l’espace, avec un mouvement trop long (hypermétrie) ou trop court (hypométrie) dans son orientation.
On retrouve une dysmétrie dans les atteintes du cervelet.
Test : tests index - pointe du nez, ou index - lobe de l’oreille ; test talon - genou : la descente du talon le long du tibia est irrégulière, en zigzag, et le pied est reposé lourdement sur le lit. due à une anomalie de l’anticipation motrice, de la programmation temporelle et du contrôle de l’amplitude des contractions musculaires.
adiadococinésie
difficulté à faire certains mouvements alternatifs et rapides : tapoter rapidement des doigts ou du pied, tourner et retourner sa main, répéter rapidement des syllabes ;
causée par un dysfonctionnement du cervelet en lien avec une pathologie (maladies de Parkinson, de Huntington, sclérose en plaques, schizophrénie, etc.).
hypertonie axiale
contraction anormale de tout l’axe du corps = patients très figés
Négligence spatiale unilatérale
“C’est l’incapacité de rendre compte de, de répondre à ou de s’orienter vers les stimuli controlatéraux à une lésion, non expliquée par un déficit sensoriel ou moteur.
Du fait de la compétence de l’hémisphère droit dans le traitement des informations spatiales, l’héminégligence concerne le plus souvent l’hémi-espace gauche (corporel et/ou extracorporel), en relation avec une lésion hémisphérique droite.
syndrome d’Anton-Babinski
présence d’une héminégligence gauche, d’une hémiasomatognosie (impression de non-appartenance de l’hémicorps gauche) et d’une anosognosie de l’hémiplégie.
hypoesthésie
perte de sensibilité partielle
Hémiparésie
déficit partiel de la force musculaire, soit du côté gauche, soit du côté droit du corps. Dans la plupart des cas, l’hémiparésie est la conséquence d’un AVC
Anesthésie
Perte de sensibilité totale
Apraxie idéomotrice
L’apraxie idéomotrice se caractérise par l’incapacité à exécuter un geste sur demande, geste symbolique ou action mimée (par ex. se peigner) tandis que l’exécution spontanée est possible (dissociation automatico-volontaire).
Apraxie idéatoire
désorganisation de la représentation mentale des gestes à effectuer dans un but précis. Il est impossible pour le patient de réaliser un mouvement composé d’un ensemble de sous-mouvements élémentaires organisés - ne peuvent donc pas planifier ou exécuter les mouvements volontaires requis en une séquence correcte. Par exemple, ils peuvent mettre leurs chaussures avant leurs chaussettes.
Aphasie de conduction
langage fluent, quasi absence de changements dans la compréhension du langage (pfs pour les phrases longues et grammaticalement complexes). Mais ils ont de grandes difficultés à répéter des mots ou des phrases. Quand ces patients essaient de répéter des mots, ils émettent des paraphasies phonémiques, c’est-à-dire des mots aux phonèmes incorrects à la place de sons corrects. Cette aphasie serait causée par la destruction du faisceau arqué, une zone du cerveau située entre l’aire de Wernicke et l’aire de Broca
praxies
fonctions de coordination et d’adaptation des mouvements volontaires de base dans le but d’accomplir une tâche donnée. Praxie vient du mot grec praxis qui signifie «action».
Aphasie transcorticale motrice
Aspontanéité verbale, importante réduction quantitative du discours spontané et une réduction de l’emploi de mots grammaticaux pouvant confiner à l’agrammatisme. Aphasie non fluente qui se caractérise par une aspontanéité verbale et des habiletés de répétition bien préservées.
L’aphasie transcorticale motrice résulte typiquement d’une lésion de la partie antérosupérieure du cortex frontal, pouvant inclure l’aire motrice supplémentaire. Dans cette forme d’aphasie, le discours est quantitativement et qualitativement réduit par l’aspontanéité verbale et par des persévérations verbales fréquentes. En dépit de ces difficultés d’expression, les autres habiletés langagières sont généralement préservées (compréhension du langage oral et écrit, lecture et écriture de mots).
Il ne faut pas confondre l’aphasie transcorticale motrice et l’aphasie de Broca, cette dernière étant notamment caractérisée par des troubles importants de la répétition.
Mutisme
État de mutisme aigu associé à une immobilité complète, une inertie totale, l’absence de toute réaction émotionnelle et de tout contrôle sphinctérien, cependant que sont conservés l’orientation du regard, l’ébauche d’exécution de certains gestes simples et les divers temps de la déglutition.
NSU /héminégligence
négligence spatiale unilatérale (abrégée NSU, ou héminégligence) est définie comme l’incapacité à « détecter, s’orienter vers, ou répondre à des stimuli porteurs de signification lorsqu’ils sont présentés dans l’hémiespace contralésionnel » (opposé à la lésion)
ataxie
Trouble de la coordination des mouvements, d’origine neurologique. Marche instable, titubante, à grand pas avec jambes voire bras écartés pour maintenir l’équilibre.
Akinésie
C’est la réduction et surtout la lenteur d’initiation des gestes. Les mouvements sont rares, lents, parfois impossibles. L’akinésie se manifeste surtout pour les mouvements automatiques : mimique faciale et marche. Marche à petits pas. L’initiation de la marche est difficile, « bégayante » (abasie trépidante ou freezing) et le ballant automatique des bras a disparu. Faciès figé ou amimie faciale. Accrue ou déclenchée par l’émotion, la fatigue, un obstacle visuel.
HLH
L’hémianopsie latérale homonyme est une condition
dans laquelle une personne ne peut voir qu’une seule
moitié du champ visuel, la droite ou la gauche, en raison
d’une lésion du côté du cerveau qui reçoit les images
provenant de l’autre côté. Ainsi une lésion de la moitié
gauche du cerveau produit une perte visuelle de la
moitié droite du champ visuel de chacun des deux yeux
cécité corticale
La cécité corticale est une perte de sensation visuelle liée à des lésions atteignant les voies optiques en arrière du corps genouillé latéral et plus particulièrement les cortex visuels primaires.
syndrome de Gerstmann
indistinction droite-gauche, acalculie, agnosie digitale, agraphie + pfs apraxie constructive
agnosie visuelle
perte de la capacité à identifier des objets en utilisant un ou plusieurs sens - L’agnosie est provoquée par une lésion du lobe pariétal, temporal ou occipital du cerveau. Ces aires emmagasinent les souvenirs concernant l’utilisation et l’importance d’objets familiers, d’images et de sons et les intègrent à la mémoire avec une perception et une identification.
=> atteinte de la voie ventrale
hémiasogmatognosie
impression de non appartenance de l’hémicorps gauche
paraplégie
lésion médullaire entrainant une paralysie plus ou moins complète de la moitié inférieure du corps.
trouble de la personnalité
« modalités de comportement profondément enracinées et durables consistant en des réactions inflexibles à des situations personnelles et sociales de nature très variée.
Ils représentent des déviations extrêmes ou significatives des perceptions, des pensées, des sensations et particulièrement des relations avec autrui par rapport à celles d’un individu moyen d’une culture donnée ».
=> Présence de schémas de pensées, de perceptions, de réactions et de relations entrainant une souffrance pour la personne et/ou qui nuisent considérablement à sa capacité à fonctionner au travail, en société => svt personnes isolées.
trouble personnalité borderline
- Au moins 5 critères :
o Humeur très instable et réactive
o Difficulté à contrôler la colère
o Idées et/ou comportements suicidaires ou automutilation (ne pas chercher à tout prix à arrêter les automutilations car est un mode de régulation des émotions ; stratégie pour elle pour calmer les émotions ressenties comme une explosion intérieure ; si on leur enlève cette stratégie : risque de blessure ou de mort ; peut travailler sur des stratégies alternatives notamment en TCC )
o Impulsivité des comportements
o Sentiment chronique de vide et d’ennui
o Peur d’être abandonné(e)
o Relations instables avec alternance d’idéalisation et de dévalorisation
o Image de soi changeante
o Épisodes courts d’idées de persécution ou de symptômes dissociatifs (notamment en situation de stress ; impression que les autres les rejettent)
Troubles cognitifs associés au trouble de perso borderline
o Inhibition d’une réponse automatique
o Impulsivité
o Flexibilité mentale
Troubles cognitifs dans schizophrénie
o Mémoire verbale (pst ds ts les tbles)
o Attention
o Visuo-spatial/constructif : plus typique de schizophrénie (Figure de Rey mrocellée)
o Raisonnement : plus typique
o Désorganisation du discours : très typoque de schizo
o Cognition sociale : particularité plus présente dans schizo : incapacité à compdre les interactions avec autrui y compris les sous-entendus, gérer le non-verbale
Schizophrénique : symptômes positifs et négatifs
Symptômes positifs :
Idées délirantes
Hallucinations
Pensées désorganisées : compd pas trop ce qu’ils nous disent, flou, pfs ils se prennent la tête (=/= pensées en arborescence), du mal à suivre
Symptômes négatifs
Emoussement affectif : exprimer moins d’E° ; se voit pfs sur le visage des patients ; du mal à voir ce qu’ils ressentent
Anhédonie : perte de la capacité à anticiper du plaisir ; impact sur capacité à initier une activité
Asocialité : retrait social
Avolition : maintien de l’activité dans le temps/résistance à l’effort
Alogie : diminution/perte du lgage ; s’exprime de moins en moins ; néologismes
Difficultés cognitives Trouble bipolaire
o Mémoire verbale
o Attention
o Fonctions exécutives (pas un franc dysfonctionnement exé : petites difficultés de flexbilité, planification, màj MdT)
Attention : variabilité des symptômes en fonction des phases
Difficultés cognitives TDAH
o Attention
o Fonctions exécutives
=> Répercussions possibles et fréquentes sur d’autres fonctions, en particulier mnésiques.