Les figures de style Flashcards
Le soleir noir
L’oxymore
De tous mes examens, j´ai un mauvais souvenirs
L’inversion
Le roi des animaux
La périphrase
Voulez-vous le bonbeur de vos enfants?
L’interrogation rhétorique
Cet homme est fort comme un lion
La comparaison
Jumbo. La Tunisie, mon papa et plouf
L’ellipse
Tous les êtres humains sont égaux, mais les femmes ne doivent pas dépasser le seuil de leur foyer.
Le paradoxe
Je ne peux pas dire que je ne t’aime pas
La litote
Je me suis dépêché bien vite de courir
Le pleónasme
Pierre raconte une blague à sa maman. Lorsqu’il a fini, cette dernière, qui ne rigole pas, lève les yeux au ciel en soupirant : “C’est malin !”
- C’est vraiment joli, cette boue puante!
L’antiphrase
Tel père, tel fils
Le parallélisme
La pluie me souriait à travers chaque larme
La personification
Monsieur Dupuis nous a quittés
L’euphémisme
.-Trouver des forts comme la folie
Trouver des mots couleur de tous les jours
Trouver des mots que personne n’oublie. (Aragon)
- Pour elle seule, j’ai pensé
Pour elle seule, j’ai volé
Pour elle seule, j’ai pleuré.
L’anaphore
Chaque génération a son James Dean
L’antonomase
Non, J’ai pu vivre dans la servitude, mais j’ai toujours été libre. (Montesquieu)
- Le Canada est le paradis de l’homme d’affaire, c’est l’enfer de l’homme de lettres (J. Fournier)
- Ce n’était ni la veille ni le lendemain, mais le jour même. Ce n’était ni la gare du Nord, ni la gare de Lyon, mais la gare Saint-Lazare. (Queneau)
L’antithèse
Un pour tous, tous pour un
Le chiasme
Je me meurs de faim
L’hyperbole
Oh, Cèdres du Liban, cèdres de
nos
délires,
Cèdres de notre extase et de notre fierté (Charles Corm)
La répétition
Oh, Cèdres du Liban, cèdres de
nos
délires,
Cèdres de notre extase et de notre fierté (Charles Corm)
La répétition
Devant eux, sur de petites tables carrées ou rondes, des verres contenaient des liquides rouges, jaunes, verts, bruns, de toutes les nuances. (Guy de
Maupassant)
L’énumération
Cet homme est un lion
La métaphore
Les cuivres de l’orchestre
La synecdoque
Paris, éveille-toi!
L’apostrophe