Lecture Flashcards

1
Q

Un mot-valise est…

A

un téléscopage de deux mots, la dernière syllabe du premier est la même que la première syllabe du second, mais le plus souvent la partie commune se réduit à une lettre ou à un son.

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2
Q

Les mots-valises servent souvent à…

A

Nommer de nouvelles réalités, souvent à partir de mots anglais (franglais).

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3
Q

Les mots-valises sont formés en…

A

français, mais ils peuvent aussi être empruntés à d’autres langues (motel = motor hotel)

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4
Q

Nomme des exemples de mots-valises.

A

Franglais, célibattante, entreprenaute, didacticiel, pizzaghetti, courriel, pourriel, clavarder, adulescent, alicament.

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5
Q

Le latin et le grec sont aujourd’hui surtout présent en …

A

publicité et littérature.

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6
Q

Le latin et le grec sont-ils toujours présents dans la langue courante?

A

Oui, il s’agit de langues toujours vivantes. Plus de 700 mots latins et de 130 mots grecs sont employés dans la langue française (omnibus, tandem, duo), sans compter les termes scientifiques

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7
Q

Dans le domaine scientifique aujourd’hui

A

certains traités scientifiques sont encore rédigés en latin, les appellations latines (nom de plante, d’espèces d’animaux, de noms de molécules sont en latin).

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8
Q

La classification de la flore ou des espèces animales fonctionne…

A

un nom pour le genre, une épithète pour l’espèce (ex: cannabis sativa, homo sapiens, felis silvestris

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9
Q

Pourquoi utilise-t-on le latin pour le classement général (règne, embranchement, classe, ordre, famille)?

A

Parce que la désignation latine assure à tous les scientifiques à travers le monde une terminologie similaire.

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10
Q

Le latin et le grec sont utilisé en publicité pour…

A

ces termes font preuve de réminiscence culturelle ou historique chez le consommateur, qui se trouve dès lors très intelligent et en éprouve de la reconnaissance envers le produit.

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11
Q

Nomme des exemples de noms de produits empruntés au latin ou au grec

A

Acer (de acer, acris «pointu, rigoureux»), Électrolux (du grec élektron «électricité, ambre» et du latin lux «lumière»), Panasonic (du grec pana «tout» et du latin sonus «sons», Volvo (du verbe latin «je roule»), Nivea (du latin niveus, a, um «blanc comme neige»)

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12
Q

Noms publicitaires qui ne respectent pas toujours l’étymon.

A

Mars (conserve juste l’idée énergétique), Mot qui ne retiennent que le son latin ou grec sans véritable signification : Imodium, Yaris, Avensis, etc. La marque de vêtement ASICS est un acronyme d’un adage de Juvénal : Anima Sana In Corpore Sano «un esprit sain dans un corps sain».

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13
Q

Un texte macaronique est…

A

inventé au 16e siècle par Teofilo Folengo sous le pseudonyme Merlino Coccaio, le texte macaronique est un récit burlesque et grossier mélangeant latin, italien et patois de Toscagne.

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14
Q

Exemple de texte macaronique.

A

La mort de Michel Morin (19e siècle), Queneau, Exercices de style (99 versions du même court récit)

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15
Q

Le latin est encore parlé où?

A

Vatican, par quelques aficionadas, dont les Finlandais qui semblent les plus actifs, notamment avec diverses émissions de radio.

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16
Q

Créer une langue pour rassembler le plus de locuteurs possible, une langue que pourraient comprendre tous ceux qui parlent une langue romane, donc issue du latin.

A

le français est plus éloigné du latin que les autres langues romanes mais il est possible de comprendre cette langue qui est un véritable outil linguistique.

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17
Q

Onomastique est…

A

nommer des personnages

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18
Q

Antroponymie est…

A

le sens d’un nom propre de personne

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19
Q

Toponymie…

A

nom de lieu

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20
Q

hydronomie…

A

nom de cours d’eau

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21
Q

ethnonymie…

A

nom de groupe de personnes

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22
Q

Les toponymes peuvent…

A

nous aider à mieux comprendre l’histoire d’une langue. les toponymes sont le reflet des différentes strates d’occupation du sol par des peuples de langues variées, ils nous renseignent sur différentes caractéristiques du lieu comme la description physique du lieu ou l’identification à partir du nom du peuple occupant ou une marque d’honneur pour une personne, ou des noms porteurs d’une connotation religieuse.

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23
Q

Noms de l’époque pré-indo-européen:

A

Les noms qui ne sont pas indo-européen sont basques alors que pour le Québec ils sont autochtones. (exemple basque lieu = erri, ville = iri, ili, uri, uli, gorri = rouge, Otxogorrigagna «la montagne rouge») Les toponymes autochtones peuvent provenir de différentes communautés et décrivent en grande majorité physiquement le lieu (exemple : Mistassini et Kuujjuaq = grande rivière, Témiscouata et Témiscamingue = eau ou lac profond, Kénogami = lac long)

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24
Q

Nom ligure

A

les ligues sont un peuple protohistorique, les noms sont surtout présents en Provence près des Alpes (ex: Manosque, Gréasque, Tarascon).

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25
Q

Noms celte et germain

A

Les noms des fleuves Rhin, Marne, Doubs et l’Yonne sont celtes. Les noms hérités du celte sont parfois restés proches de l’étymon (paris, ville des Parisii), mais ont pour la plupart subi une altération. (exemple celtes: Chambéry = Cambridge de cambo «courbe d’une rivière», Doubs = Dublin de dubi «noir». Suffixe gaulois -acos devenu -acum en latin désignait la villa gallo-romaine a évolué en -ac, -é, -eu, -ay servait à nommer un lieu à partir du nom d’une personne auquel on ajoutait le suffixe.

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26
Q

Nom Grec

A

Nice = nikê «victoire», Antibes = Antipolis «ville en face», Tripoli = treis polis «trois villes», Agde = agathê tukhê «bonne fortune», Naples = neapolis «nouvelle ville», Alexandrie = Alexandreia (une trentaine de villes fondées par Alexandre le Grand)

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27
Q

Nom Latin

A

Grenoble est hérité du composé latino-grec Gratianopolis, mais avant que l’empereur Gratien ne le rebaptise le lieu portait le nom celtique de Cularo «courge».

28
Q

Nom créé en français

Selon la description physique :

A

Grosse-île, Grand Remous, Lac-Emmuraillé, Pointe-Bleue, Colline-aux-Érables, Pointe-aux-Trembles, Île aux Grues, Rivière Qui-Mène-du-Train, Chemin du Ministre.

29
Q

Nom créé en français

Marque d’honneure, toponymes formés sur des noms propres

A

Par composition: Plessisville, Breakeyville, Douglastown, Charlesbourg
Par la suffixation : Alexandrie, Rhodésie,
Par hagiotoponymie (nom de saint, en lien avec la religion) : Saint-Cutbert, Saint-Zénon, etc. aussi basé sur le culte de la vierge : Notre-Dame-des-Sept-Douleurs ou des objets religieux : Lac à la Croix ou Très-Saint-Sacrement

30
Q

Formation des ethnonymes ou gentilés

A

Majorité par suffixation : Montréal = Montréalais
parfois troncage de parties non prononcées : Versailles = Versaillais
Troncage d’éléments prononcées : Yamaska = Mascoutain
Radical présentant une épenthèse (intercalation d’une lettre) : Chapeau = Chapeautois
Radical présentant une allomorphie (utilisation d’une variante d’un même morphème) : Elbreuf = Elbeuvien
Radical présentant une supplétion : Bellerive = Batochien

31
Q

Formation des ethnonymes ou gentilés (suite supplétion avec recours au latin)

A

Trois-Rivières= Trifluvien de tres et de fluvius, Bourg-la-Reine = Réginaburiens de regina «reine», Esprit-Saint = Spiritois du latin spiritus «souffle»

32
Q

Les suffixes pour la formation des gentillés les plus utilisés sont

A

-ois,-ais, -ien, -ain

33
Q

Au Moyen-Âge, un ouvrage de 20 livres, une synthèse de l’organisation de la langue par thème, pour chaque thème l’étymologie du vocabulaire est étudié est écrit par…

A

Isidore de Séville, Les origines ou étymologies

34
Q

Selon Isidore l’étymologie est…

A

un moyen essentiel de parvenir à la connaissance, la connaissance du monde passe par l’organisation cohérente d’un recueil des noms du monde « à moins de connaître le nom, la connaissance des choses meurt», le mot juste expliqué par l’étymologie, influe sur la connaissance exacte des choses et permet l’interprétation vraie du monde

35
Q

Les principales explications étymologiques selon Isidore:

A

Par la cause : rex, regis «roi» de regendum «dirigeant» formé à partir de recte agendum «agir correctement, droitement»
Par l’origine: homo «homme», de humus «terre» parce que l’homme vient de la terre.
Par le contraire: luttum «boue» du verbe lutus participe parfait passif du verbe lavare «laver» parce que la boue est sale et doit être lavée
Par la dérivation : comme le mot prudens «prudent» est dérivé de prundentia «prudence»

36
Q

La conception étymologique d’Isidore…

A

fait preuve d’un certain esprit critique face à l’étymologie et c’est sa conception qui va prévaloir et permettre à cette pratique d’acquérir le statut de science.

37
Q

Les Origines d’Isidore de Sévilles…

A

furent la source de tous les lexiques, glossaires et dictionnaires qui abondent à cette époque

38
Q

Au moyen-âge

A

Les hagiographes, les historiens et les chroniqueurs ne cessent de vouloir expliquer tous les noms propres ethnonymes et toponymes et s’attaquent aussi au noms communs parfois en expliquant un mot par les premières syllabes ou les initiales des étymons (cela se rapproche quelque peu des calembours)

39
Q

À la Renaissance on abandonne…

A

des interprétations et des leçons qu’elles prétendent apporter et d’autre part le développement d’une étymologie propre de la langue française. Des textes apparaissent où sont exploités les aspects ludiques, humoristiques, voire satiriques de l’étymologie. Exemple l’onomastique rabelaisienne (Rebelais)

40
Q

La composition est utilisé…

A

était utilisé dans le langue grecque moins dans la langue latine, très populaire en français moderne surtout dans les domaines scientifiques et commercial.

41
Q

La composition c’est…

A

la combinaison de deux racines de sens différents et à les joindre pour obtenir un sens nouveau ou intégrant les deux sens originaux.

42
Q

Composition dans la langue latine

A

exemple : seribibus de serus « qui a lieu tard» et bibere «boire» = «buveur nocturne», ros marinum «rosée marine»= romarin, prima uera «premiers printemps» = primevère

43
Q

Composition dans la langue grecque

A

de nombreux composés sont passés en français mais aucun n’est héréditaire: ils ont transité par le latin qui les prenait au grec comme philosophie du latin philosophia du grec formé de philos (ami) et sophia (sagesse).
empruntés directement au grec: polymorphe de polùmorphos formé de polùs (nombreux) et morphê (forme)
Forgés directement en français en rapprochant deux mots d’origine grecque : orthophonie à partir de ortho du grec orthos «droit» et de phonie du grec phonê «voix, son»

44
Q

Les règles de la composition:

A

Unité de langue : normalement les deux racines sont grecque ou latines, mais il existe des composés hybrides comme polyvalent ou humanoïde
Forme des racines: il faut retrancher la finale ou désinance de la racine exemple regis= reg-, possible d’ajouter une voyelle thématique pour aider la prononciation (régicide, souvent i en latin, o en grec), francisation aï en grec fut écrite ae en latin est écrite é en français
Place des racines : on place en seconde position le mot de base, le mot dont le sens est fondamental dans le composé que l’on veut créer, on place en première position un déterminant, un mot qui agira comme complément du nom qui viendra définir, déterminer le mot de base (archéologie, logie est en dernier parce qu’il s’agit d’une science, achéo est en premier archéologie est la science des choses antiques.

45
Q

Pluricomposition

A

Formé avec plusieurs racines comme auto-bio-graphie ou auto-cheiro-thanato-phobie

46
Q

Certaines racines sont des troncations

A

sont passées dans l’usage courant et ont conservés le champ sémantique du composé comme stéréo de stéréophonie

47
Q

Démotivation des racines…

A

le champ sémantique de ces composés tronqués dépasse celui de la racine. Un mot est motivé lorsque le rapport entre le mot et la chose désignée n’est pas totalement arbitraire, la motivation lie le sens d’un mot et celui de son étymon.
Démotivés= le sens donné à la racine n’a plus rien à voir avec celle de son étymon. (stéréo signifie «appareil électronique servant à faire jouer de la musique avec deux sources de son différentes, le sens est loin de l’adjectif signifiant «solide»)

48
Q

Exemple de démotivation:

A

Bus vient de voiture omnibus «voiture pour tous», la voiture omnibus est devenue omnibus puis bus par aphérèse. On constate une démotivation puisque le sens du terme tronqué n’a plus rien à voir avec le sens de l’étymon on a cru que bus désignait une grosse voiture par opposition aux petites voitures des fiacres.
Autre exemple ciné de cinéma de cinématographe (mouvement et écriture)

49
Q

À l’antiquité l’histoire était rédigée par…

A

des annalistes

50
Q

étymologies philologique est

A

l’étymon retenu est un nom commun

51
Q

Étymologie éponymiques est

A

l’étymon présenté est un nom propre

52
Q

nom commun dont l’étymon est nom commun

A

diluere «couler» delubrum, lieu devant le temple où l’eau coule
portet «il porte» porta «porte» parce qu’un traçant le sillonle fondateur d’une ville soulève la charrue à l’emplacement des futures portes

53
Q

nom propre dont l’étymon est nom commun

A

coruus «corbeau» le surnom Coruinus d’un certains Maximus Valérius qui avait été aidé par cet oiseau dans un combat
caecus «aveugle» le nom d’un certain Caeculus parce qu’il avait des yeux étroits

54
Q

Nom de lieu ou de peuple dont l’étymon est nom propre

A

appartient à quatre périodes
période a-historique : le Saturum, lieu de la région de Tarente, remonte au viol de la jeune Satura par Neptune, l’appellation de l’Italie provient du nom du roi Italos, le nom des Sabins vient d’un Sabinus fils d’une divinité locale, les Circei montes tirent leur noms de la déesse Circè, le nom des Mamertins remonte à Mars
Période énéenne (celle décrite dans l’Énéide, après la chute de Troie): Politès, compagnon d’Énée, est le fondateur de Politorium, petite ville près de Rome, C’est Capys, cousin d’Énée, qui a fondé Capoue
Période pré-royale et royale (entre l’époque d’Énée et la fin de la royauté à Rome 509 av.) : l’éponyme du Tibre est le roi albain Tiberius Silvius, le nom du Lacus Curtius près de Rome remonte au Sabin Mettus Curtius
Période républicaine (après 509 av.) : il s’agit de Gaius Curtius qui aurait entouré le lac d’une palissade en 445 av. J-C

55
Q

Pourquoi ces étymologies éponymiques?

A

défendre ses héros, glorifier son passé, justifier sa supériorité, légitimer son impérialisme

La personnalité des éponymes qui transmettent par leur statut divin, légendaire, ou héroïque une certaine gloire aux villes qu’ils ont fondées ou honorées de leur passage.

56
Q

L’époque des annalistes est marquée par

A

une lutte d’influence sur la Méditerranée entre Rome et Carthage l’une sur la péninsule italique l’autre au nord de l’Afrique

57
Q

Les annaliste appelaient…

A

au rapprochement des populations, à la cohésion de l’Italie, à la première place de la ville de Rome, dont le fondateur Romulus était le fils de Mars et descendant d’Énée

58
Q

Durant la période classique l’étymologie

A

tient de l’énigme, notamment chez Ovide

59
Q

Cicéron et Aristote utilise l’étymologie pour…

A

expliquer certains comportements ou présenter certains traits du caractère du personnage à l’aide de la signification de son nom, en rhétorique.

60
Q

Varron

A

publie son De Lingua Latina dans un contexte où un débat s’ouvre sur l’origine de la langue latine, l’enjeu est la question de l’identité nationale. Varron est un atomiste, il existe pour lui des mots atomes des mots originels et invariants sur lesquels se greffent des formes variables.
Varron s’oppose aux grammairiens alexandrins qui affirmaient qu’une faute commise par Homère seul est une faute mais une faute commise par tous est une règle.
Varron n’est ni tout à fait du parti des naturalistes, ni tout à fait de celui des conventionnels, ni de celui des anomalistes, ni de celui des analogistes. L’Idée varronienne est de remonter, on le voit, vers le plus haut degré d’exactitude, en gravissant les degrés d’explication et en atteignant ainsi la connaissance suprême détenue par le «roi».

61
Q

La Latinitas, le critère de correction de la langue fondé sur quatre principes:

A

Natura : les formes premières (atomes) expriment d’une façon ou d’une autre la nature des choses, mais la responsabilité de la création des mots incombe à des individus.
Ratio : c’est la règle fondée sur l’analogie, destinée à normaliser les formes
Consuetudo : c’est l’usage qui est le fait des individus aux-mêmes et est souvent la cause des anomalies.
Auctoritas : l’autorité des grammairiens et érudits antérieurs qui ont exprimé leur opinion sur le mot en question.

62
Q

Les stoïciens qui ont inspiré le travail de Varron avaient posé comme nécessaires à l’analyse d’une langue les trois disciplines suivantes:

A

La grammaire : l’analyse du signifiant, donc du mot et de ses formes
La dialectique: l’analyse du signifiant par rapport au signifié
La rhétorique : l’analyse des formes développées par la langue dans l’éloquence

63
Q

Dialectique vs rhétorique

A

dialectique est la science de la parole, la rhétorique la science du dire, la dialectique est toujours très liée à la philosophie.

64
Q

la curiositas

A

est la connaissance pour elle-même pour étaler son savoir

65
Q

Littérature chétienne

A

Augustin utilise l’étymologie pour établie la supériorité et l’antériorité du christianisme sur toute autre religion en montrant qu’un mot représentatif d’une institution païenne est en fait dès l’origine porteur d’un sens chrétien