Laboratoire Flashcards
Éval de l’amplitude respi
Palpation ou Gallon à mesurer
Palp: apicale, moyenne et inférieur
-Pli cutané
-Déplacement de 3 à 5 mm à l’inspi normale
Gallon: supérieure (axillaire) et inférieure(point appendice xiphoïde)
Patron respi en DD et assis
Position : DD, oreiller sous tête et genou, pas de ceinture, visuel sur le thorax
- Distinguer les mouvements de pauses pour connaitre le temps
- Observez l’Abdomen pour voir SENS du mvt et AMPLITUDE
- Observer ant.(sup et latérocostale)
Sécrétion au LID, bruits pulmonaires attendus:
Ronchis et râles crépitants
Pourquoi demande-t-on des respirations bouches ouvertes durant auscultation?
Si elle ne respire pas par la bouche on ne l’entendra pas
Quels sons peut-on entendre dans a plus grande partie du poumon - sous les cavicules - en regard de la traché?
poumon: murmure vésiculaire - intensité faible
claviculaire: souffle bronch-vésiculaire - intensité moyenne
trachée: souffle bronchique - intensité forte
Effectuez l’auscultation pulmonaire:
Ça va bien: Présence de murmure et pas de bruit advantice
Pas bon: pas de murmure, présence de bruit adventice
Pour exprimer les sons: faire la différence entre rare sibilance localisé moitié inf. D vs sibiliance générale (les termes sommet et base sont mieux que les lobes parce qu’on ne peut pas exactement discriminer de quel lobe vient le son)
Effectuer une percussion:
- majeur sur la surface à percuter et autres doigts surélevés pour atténuer le son.
- mouvement de flex/ext du poignet opposé, venir percuter le majeur avec l’index.
- Percussion courte et légère
- Position du sujet: assis ou couché
- Position des doigts: parallèle aux côtes
À quel bruit on s’attend lors d’une percussion sur une : cuisse / foie / poumon / poumon emphysémateux
Matité / Submatité / Sonorité / Hypersonorité
Comment peut-on évaluer la mobilité du diaphragme avec la percussion,quelles sont les normales, démontrer:
Placer les doigts parallèles aux côtes, aux limites du diaphragme. Les dômes diaphragmatiques sont approximativement à la hauteur du processus épineux de la 10e vertèbre thoracique (la 12e en inspiration profonde) et du 5e cartilage costal; le dôme droit peut être à environ 1 à 1,5 cm plus haut dû à la présence du foie.
Comparer d’un côté à l’autre lors d’une respiration normale et surtout lors d’une inspiration et expiration maximale.
La limite du contenu thoracique et abdominal se distingue par le passage de la sonorité à la submatité.
Normale: 1cm
Normale respi profonde: 3-10 cm
Effectuer l’évaluation des frémissements:
Position du patient: Assis
Demander au patient de dire 33 à vois haute
Comparer les zones de la paroi (avant, arri;re et sur les côtés)
Paume de la main ou base du 5e doigt
Séquence antérieur: creux supra claviculaire, espace intercostaux antérieur
Comment peut-on évaluer la mobilité du diaphragme avec les frémissements?
Appliquer le côté ulnaire de la main de façon transversale sur le thorax.
Commencer a/n de l’angle inférieur et descendre jusqu’en bas jusqu’à ce que le frémissement ne soit plus ressenti.
L’écoute des bruits provoqués par la voix avec le stéthoscope se nomme:
Résonnance vocale
Lors de la résonnance vocale augmentée, on peut entendre 3 sons, quels sont-ils?
bronchophonie: mot fort et clair
Égophonie: Distorsion
Pectoriloquie: Chuchoté à la bouche et clairement entendu au stétho
Quel bras utilise-t-on pour prendre la TA?
gauche parce que probablement celui o on aura la pression la + élevée. Possible de comparer les 2 côtés mais on veut toujours prendre la mesure sur le même bras
Pourquoi faut-il prendre une tension artérielle après une période de repos?
Impact de l’effort et émotion sur la TA,
Quels sont les signes et symptômes principaux des affections vasculaires périphériques?
Œdème, changements trophiques, coloration, température, pouls , douleur
Mesurez les pouls du MI
Position du patient: Couché, MI découvert
Fémoral: au-dessous de l’arcade crurale entre épine iliaque antérosup et symphyse. On peut utiliser les 2 mains
Poplité: Genoux fléchis, jambe étendu. Main englobe le genou et les doigts se touche en arrière au-dessus de la ligne médiane. Appuyer profondément (profond et diffus)
- Peut aussi être fait en DV, genou 90°, jambe repose sur notre épaule et palper avec les pouces
Pédieux: face dorsale du pied en externe du tendon de l’extenseur de l’hallux
Tibial post: Palper en post et en dessous de la malléole médiale.
Exécutez le test d’Allen
-À quoi sert-il?
Patient assis devant nous, main qui repose sur ses genoux, paumes vers le ciel. Le patient doit serrer fort le poignet et nous placons nos pouce en médial du carpe pour comprimer artère radial et ulnaire La personne va ouvrir sa main qui sera pâle. On relâche la compression sur 1 artère à la fois et on observe la perméabilité. Retour de la coloration en 3 à 5 secondes.
-Il sert à vérifier la perméabilité des vaisseaux
Effectuez l’épreuve de Ratschow
Position du sujet: DD, jambe élevé de 30 cm (environ 45°)
-Demander extension et flexion des chevilles pendant 30 secondes
-Observer pâleur des pieds : Modéré = normale
-Faire asseoir le sujet sur le bord du lit et mesurer le temps pour que la coloration revienne (5-10sec = normale) Possible de trop remplir et pied vient rouge-bleu
Temps de remplissage + long = atteinte artérielle
Un brassard trop grand pour prendre la TA… la TA
sous-estime la TA
Effectuer la prise de la TA
- Dégager le bras gauche
- Faire reposer le sujet 5 minutes
- Supporter le bras du sujet à peu près à la hauteur de son corps
- Appliquer le brassard à 2,5 cm au dessus du pli du coude
- Appliquer le stéthoscope a/n de l’artère humérale
- Gonfler la brassar environ 30 mm Hg au-dessus de la pression prédite (donc on augmnte plus si c’est après un effort) en 5 secondes
- On dégonfle lentement, environ 2-3 mm Hg par battement
- 1er bruit =pression systolique
- Silence = pression diastolique
Combien y a-t-il de phase lors de la mesure de la TA?
5 phases principales décrites:
- perception du bruit
- extinction du bruit
- réapparition du bruit (systole)
- assourdissement du bruit
- extinction du bruit (diastole)
Effectuer la respiration diaphragmatique:
• Position décubitus latéral ou dorsal, flexion du tronc 15-45° (demi-assis) avec légère
flexion des genoux.
• Main sur l’abdomen du patient au niveau ombilical. Suivre et prendre conscience de sa
respiration.
• À la fin d’une expiration normale, pousser délicatement la main vers le haut et sous le
thorax (figure 1). Cette manœuvre étire légèrement les structures inspiratoires.
Demander au patient de respirer (inspirer) dans votre main.
• Répéter l’étirement à la fin de l’expiration et demander de nouveau au patient d’inspirer
dans votre main. Après quelques répétitions, la commande verbale peut être remplacée
par une mimique inspiratoire de la part du clinicien.
• En discutant avec le patient, lui faire prendre conscience des mouvements abdominal
(élévation) et costal (élévation et expansion latérale) lors de l’inspiration. Demander au
patient de répéter les manœuvres avec sa propre main.
• Progresser dans les positions : assis, debout, en marchant, dans les escaliers, dans les
gestes fonctionnels du patient (Figure 23-5; Frownfelter 2012, p. 363).
• L’inspiration devrait être calme et profonde.
• L’expiration devrait être plus longue que l’inspiration.
Paramètres: 1-2 séance / jour de 10 à 20 min
P : hyperventilation, augmentation dyspnée, plaie
CI: -