L'ETUDE URBAINE Flashcards

1
Q

Quels sont les trois groupes de série de question à deux problèmes liés ?

A

1) A) Etude de sa situation /
B) Etude de son site

2) A) Etude de sa morphologie et des étapes de son développement /
B) Etude de ses fonctions, caractérisation du type de ville

3) A) Etude de son pouvoir de commandement
B) Evaluation de son dynamisme actuel et des problèmes de croissance qu’elle rencontre éventuellement

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2
Q

I. La situation

Qu’est ce qu’il en premier lieu comprendre dans une carte de ville française ?

A

Pourquoi est-ce qu’elle se situe là, en sachant qu’elle est là en général depuis 2000 ans.

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3
Q

I. La situation

Par quoi se différencie du site la situation ?

A

Par l’échelle considérée : elle se définit à petite échelle, par rapport au contexte régional et national, voir international, du point de vue physique et du point de vue humain. (Ex : Dunkerque, avant pays et arrière pays très intéressant)

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4
Q

I. La situation 1) La situation de la carte

Comment procède t-on en introduction ?

A

On procède comme avec un zoom, en allant de l’espace le plus large au plus précis. (Ex : L’Ouest) Puis régions administrative et historique. Enfin, si on peut, que c’est une carte de contact entre plusieurs pays. (Ex : Rouen-Ouest : A. La vallée, 2 l’agglomération rouennaise, 3 les plateaux du pays de caux et du roumois)

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5
Q

I. La situation 2) La situation de la ville

Que faut-il analyser dans une ville qui est par excellence un lieu d’échanges?

A

Les voies de communications = facteur de localisation et développement.

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6
Q

I. La situation 2) la situation de la ville a) Axe de passage ou noeud de communications

Pourquoi faut-il revenir sur un carrefour, une voie naturelle de passage ou frontière déjà mentionné en introduction ?

A

Leur importance : on doit la placer dans son contexte régional, en n’oubliant pas la proximité avec les grands cols (Briançon), ou de seuils (porte d’Alsace), de lignes de partages des eaux entre grands bassins hydrographiques (bassin de la Seine).

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7
Q

I. La situation 2) la situation de la ville a) Axe de passage ou noeud de communications

Sur quoi faut-il mettre l’accent ? Pourquoi ?

A

Sur les aménagements : voies ferrées, routes, autoroute, canal… traduisant le parti qui a été tiré d’atouts naturels et humain pour établir un axe de passage.

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8
Q

I. La situation 2) la situation de la ville a) Axe de passage ou noeud de communications

Quel est la ligne de force de l’espace français?

A

L’axe Lille-Paris-Lyon-Marseille.

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9
Q

I. La situation 2) la situation de la ville b) situation de contact

Quelle différence dans l’angle se fait par rapport à l’introduction dans le contact entre différentes régions ou différents “pays”? Quel est le problème?

A

L’angle des potentialités pour l’expansion de l’économie urbaine. Problème : complémentarité des terroirs. La ville est alors le lieu où s’échangeaient les productions spécifiques à chacun des “pays” environnants.

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10
Q

I. La situation 2) la situation de la ville b) situation de contact

Parmi les situations de contact, que permet une situation de piémont ? (au pied d’une montagne)

A

L’échange des productions de la montagne et des plaines ou plateaux situés en contrebas. Les villes habituellement au débouché d’une vallée, ce qui permettait de contrôler la voie des échanges.

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11
Q

I. La situation 2) la situation de la ville c) Situation par rapport à certaines ressources naturelles

Grâce à quoi se sont développées certaines villes ?

A

Grâce aux richesses du sous-sol. Extraction minière : peuplante. Nombreuses usines non loin des mines, surtout textiles et métallurgiques, charbon, localisation de gisement explique la création des villes minières aujourd’hui en crise ou en reconversion.

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12
Q

I. La situation 2) la situation de la ville c) Situation par rapport à certaines ressources naturelles

Qu’est ce qui explique en dehors des richesses de sous sol le dev des villes?

A

L’attractivité des littoraux, la montagne, l’héliotropisme expliquent croissance ou naissance.

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13
Q

I. La situation 2) la situation de la ville d) Situation par rapport aux villes voisines

Quel angle peut être utilisé avec les villes voisines?

A

L’angle de la concurrence (complémentarité est rare). Certains se dev plus vite que leurs voisines.

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14
Q

I. La situation 2) la situation de la ville e) situation frontalières

Les frontières sont rare. Mais quel est le problème qu’elle posent ?

A

Y a t-il rupture ou continuité avec les frontières ? Regarder les voies de transport, y compris d’énergie, l’habitat et les localisations d’industries et de services. Il ne faut pas se limiter aux frontières actuelles.

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15
Q

I. La situation 2) la situation de la ville e) situation frontalières

Par quoi reste marquée la morphologie urbaine?

A

Par l’héritage de ces périodes troublées, qu’il s’agisse des cités Vauban, ou énormes et indestructibles bases de sous-marins allemands de la WW2. + héritage de la ligne de front WW1.

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16
Q

I. La situation 2) la situation de la ville e) situation frontalières

De quoi parle t-on quand il élément défini a la fois situation et site ?

A

Confluence. Site de fond d’estuaire : le site est constitué par le fond de l’estuaire, avec son pont la situation vient de l’estuaire dans son ensemble, avec l’avant et l’arrière pays du port et les communications que le pont rend possibles de par et d’autres du fleuve.

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17
Q

II. Le site :

Qu’est ce qu’un site? A quoi faut-il préter attention?

A

L’emplacement même de la ville, du point de vue des conditions naturelles, en particulier du relief et de l’hydrographie. Grande échelle : Prêtez attention aux fragments de courbes de niveau émergeant de la masse hachurée, et aux anneaux de rues indiquant l’emplacement d’une première enceinte. Coeur ancien : densité église et cathédrales.

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18
Q

II. Le site : 1) Site et extension de la ville

Que faut-il identifier dans le site ? Que doit-on montrer?

A

Le site originel et examiner ses rapports avec les extensions plus récentes. Montrer comment des éléments favorables au départ sont devenus des handicaps pour la croissance urbaine.

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19
Q

II. Le site : 2) Types de sites :

Qu’était de très nombreux sites ? -> Quel problème se pose avec encore plus d’acuité ?

A

Défensifs : sites perchés, qui ont pu entrainer un dédoublement entre la ville haute et basse, plus récent faute d’espace au sommet de la butte. problème si site de boucle ou de pédoncule de méandre qui sont d’un autre type : s’il permet de contrôler une voie de passage, un site d’étranglement de vallée peut aussi susciter des contraintes.

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20
Q

III. Morphologie et étapes du développement

A partir de quoi doivent être caractérisés à morphologie et étapes du dev ?

A

L’analyse de la voierie, de la trame urbaine, et à l’aide de quelques autres indices liés à des édifices particuliers.

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21
Q

III. Morphologie et étapes du développement

Qu’est ce que l’étude des différents paysages urbains indique ?

A

De mettre en évidence dans certains cas les à-coups du développement urbain

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22
Q

III. Morphologie et étapes du développement 1) L’antiquité

Donnez 4 villes phocéennes

A

Marseille, Agde, Nice et Antibes

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23
Q

III. Morphologie et étapes du développement 1) L’antiquité

Comment repère t-on les traces du noyau gallo-romain ?

A

Eventuelles ruines, surtout à une trame aviaire conservant à peu près le damier romain -> mais gare aux confusions avec un urbanisme plus récent. On les repère grâce à la croisée perpendiculaire du cargo et du decumanus, située a proximité de la cathédrale.

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24
Q

III. Morphologie et étapes du développement 2) Epoque médiévale

Par quoi se voit la ville médiévale ?

A

Son enceinte fortifiée ou par l’anneau de rues ou de boulevards qui en désigne l’emplacement. Rue sinueuses, la plupart des églises et cathédrales s’y trouvent.

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25
Q

III. Morphologie et étapes du développement 2) Epoque médiévale

Qu’est e qui est caractéristique (hors de l’enceinte) des villes médiévales ?

A

Les faubourgs, édifices catholiques situés au départ à l’extérieurs des remparts, puis souvent intégrés par une enceinte plus vaste. Dans le sud ouest : bastides médiévales du XII et XIII dans un but politique et commercial -> Trame strictement orthogonale

26
Q

III. Morphologie et étapes du développement 3) Epoque moderne

Comment repère t-on une ville de l’époque moderne ?

A

Les remparts sont en général plus anguleux, et la trame est plus géométrique car pensée globalement, avec des perspectives rectilignes et pages souvent symétriques aboutissant à des places parfois de grande taille.

27
Q

III. Morphologie et étapes du développement 4) Industrialisation à la seconde guerre mondiale

Près de quoi se développe l’industrie textile ?

A

Près de l’eau, avec des usines mêlées pendant longtemps aux logements des ouvriers. Nouveaux quartiers aux fonctions mêlées et à la trame moins serrée et plus régulière.

28
Q

III. Morphologie et étapes du développement 4) Industrialisation à la seconde guerre mondiale

Comment évoluent les bassins miniers ? Comment est-ce qu’on appelle ça?

A

Expansion peu ordonnée : sans que se distingue n centre. On parle d’agrégat urbain, avec une mosaïque d’espaces industrialisés et d’espaces demeurés agricoles jusqu’au bout.

29
Q

III. Morphologie et étapes du développement 4) Industrialisation à la seconde guerre mondiale

Quel est l’habitat type des bassins miniers ?

A

le coron, alignement de petites maisons jointives de part et d’autre de rues parallèles dominé par les terrils et chevalements

30
Q

III. Morphologie et étapes du développement 4) Industrialisation à la seconde guerre mondiale

Qu’indique les voies ferrées dans ce contexte ?

A

La limite de développement des villes vers 1850.

31
Q

III. Morphologie et étapes du développement 4) Industrialisation à la seconde guerre mondiale

A quoi a donné naissance l’expansion spatiale des villes ?

A

Une des deux conurbations (plusieurs villes finissent par se rejoindre pour ne former qu’une seule) françaises : Lille-Roubaix-Tourcoing

32
Q

III. Morphologie et étapes du développement 4) Industrialisation à la seconde guerre mondiale

Comment se sont modelées les villes 2eme partie XIX ?

A

Trames urbains des grandes ville avec les grandes percées haussmanniennes. L’arrivée du chemin de faire permet aussi le développement des premiers noyaux de la banlieue parisienne : qui absorbent anciens villages et bourg.

33
Q

III. Morphologie et étapes du développement 4) Industrialisation à la seconde guerre mondiale

Quelle loi favorise la construction d’habitats bon marché ? Que longe-eux ?

A

La loi Loucheur de 1928. Longe les voies ferrées dans les fonds de vallées, urbanisation linéaire.

34
Q

III. Morphologie et étapes du développement 5) De la libérations aux années 1970

Que va triompher dans les années 60 ? Pourquoi ?

A

architecture “moderne”, issue de la Charte D’Athènes, pour faire face a la crise du logement et à l’afflux de la population quittant les campagnes et des immigrés.

35
Q

III. Morphologie et étapes du développement 5) De la libérations aux années 1970

Comment se construit l’architecture moderne?

A

Des barres plus hautes, longues et rectilignes, avec une voirie tout aussi rectiligne caractérisent les grands ensembles de cette période avec des tours et immeubles en L.

36
Q

III. Morphologie et étapes du développement 5) De la libérations aux années 1970

Quel est l’autre caractéristique des idées de Le Corbusier autre que les grands ensembles ?

A

Le zonage : division de l’espace en plusieurs zones correspondant aux diverses fonctions urbaines : habitation, travail, loisirs, transports.

37
Q

III. Morphologie et étapes du développement 5) De la libérations aux années 1970

A quoi faut-il penser avec le zonage ?

A

Au effets de coupure provoqués par les voies de communication, les grands ensembles souvent été installés sur des terrains bon marchés donc à l’écart du centre.

38
Q

III. Morphologie et étapes du développement 6) Depuis les années 1970

Qu’est ce qui prône a la fin des 60 ?

A

L’accession à la propriété individuelle : en 1969 lance concours de 70 000 pavillons de Chandelon.

39
Q

III. Morphologie et étapes du développement 6) Depuis les années 1970

Que comporte les lotissements en général Chandelon ?

A

Un seul accès, des rues courbes pour obliger les automobilistes à ralentir, et de nombreuses placettes.

40
Q

III. Morphologie et étapes du développement 6) Depuis les années 1970

Que tend à éviter la voirie ?

A

De traverses l’intérieur des nouvelles cités : reconnaissables au dessin beaucoup plus varié de l’habitat collectif, immeubles qui ne sont pas monotones.

41
Q

III. Morphologie et étapes du développement 6) Depuis les années 1970

Qu’est ce qui se développe aussi dans ces années ? Comment est-ce reconnaissable?

A

La seconde génération des stations balaies, celle des stations intégrées lancée sur le littoral languedocien en 1963 : reconnaissables aux voiries et leurs marinas (port de plaisance au pied des immeubles). Se développent également en montagne, sur des versants souvent en position d’ubac, alors que la première génération des stations de sports d’hiver consistait en une simple extension des villages anciens.

42
Q

III. Morphologie et étapes du développement 6) Depuis les années 1970

Qu’est ce qui se développe partout en France à proximité des échanges ?

A

Les grands centres commerciaux, avec des parkings très étendus, de grands entrepôts servant aux grossistes pour la redistribution de marchandises dans la ville, et des bâtiments correspondants à plusieurs magasins.

43
Q

III. Morphologie et étapes du développement 6) Depuis les années 1970

Par quoi sont remplacées les zones industrielles

A

Des technopôles, parcs technologiques et des implantations plus dispersées, toujours à proximité de la route. Zones d’activités qui mêlent activités industrielles et services.

44
Q

III. Morphologie et étapes du développement 6) Depuis les années 1970

Que faut-il tenter d’identifier ?

A

Les différentes catégories sociales d’habitants : les pentes ensoleillées attirent les populations les plus aisées, pavillons ou villas et vastes ou petites immeubles. Au contraire, entassements de petits pavillons ou grands ensembles indication de terrains de sport correspondant souvent à des terrains de foot pou proximité des nuisances sont autant d’indices d’une population moins favorisée.

45
Q

IV. Fonctions 1) Quelle fonctions sont représentées dans l’agglomération ? a) Fonctions de service

Quelles activités sont représentées dans les commerces ?

A

Les grandes surfaces et les quelques marchés d’intérêt nationaux : les grandes administrations.

46
Q

IV. Fonctions 1) Quelle fonctions sont représentées dans l’agglomération ? a) Fonctions de service

Que faut-il faire avec ces bâtiments ?

A

Dégager la spécificité de la ville : la taille et le nombre des établissements hospitaliers ou autres (écoles, U…) doivent attirer l’action.

47
Q

IV. Fonctions 1) Quelle fonctions sont représentées dans l’agglomération ? a) Fonctions de service

Comment peut-on prouver que la ville a une fonction touristique ?

A

En s’appuyant sur de divers indices : position géographique, sites exceptionnels, monuments, casinos, campings…

48
Q

IV. Fonctions 1) Quelle fonctions sont représentées dans l’agglomération ? a) Fonctions de service

Coment se voient les activités liées aux transports ?

A

Infrastructures : notamment ports. Plateforme multimodale : lieu de rupture de charge où les conteneurs sont transférés d’un mode de transport vers un autre.

49
Q

IV. Fonctions 1) Quelle fonctions sont représentées dans l’agglomération ? b) Fonctions industrielles

Comment distinguer les villes posant sur les industries hérites de la révolution industrielle (textile, mines, métallurgie) avec celles dont l’industrie est plus récente et plus variée ?

A

Les anciens se trouvent dans les bassins miniers (NPDC) : chevalements, fosses, puits. Dans les villes métallurgiques : Laminoirs et tréfileries. Textile : filatures, tissages, teintureries.

50
Q

IV. Fonctions 1) Quelle fonctions sont représentées dans l’agglomération ? b) Fonctions industrielles

Sur quoi repose l’économie de la plupart des villes industrielles ?

A

Plusieurs strates et plusieurs secteurs de l’industrie comme le raffinage des hydrocarbures et la chimie, grâce aux réserves ou aux tours de craquage. Les usines aéronautiques sont souvent indiquées.

51
Q

IV. Fonctions 2) Comment ces activités s’inscrivent-elles dans l’espace ?

Quand on ne peut pas identifier les industries, que doit-on au moins relève r?

A

Le nombre et la taille des usines, qui indique la fragilité de l’économie.

52
Q

IV. Fonctions 2) Comment ces activités s’inscrivent-elles dans l’espace ?

Que faut-il faire systématiquement comme étude avec un centre industriel ? 8 facteurs.

A

Les facteurs de localisation :

  • Les matières premières
  • La proximité du marché de consommation
  • Les transports
  • L’énergie
  • L’eau
  • La main d’oeuvre
  • La tradition historique
  • Ls facteurs politiques (avantages fiscaux, politique de déconcentration…)
53
Q

IV. Fonctions 2) Comment ces activités s’inscrivent-elles dans l’espace ?

A quoi aboutissent l’étude des facteurs du centre industriel ?

A

Déterminer quel est le type fonctionnel de ville : agglomération mono-industrielle, ville touristique, administrative, à fonction militaire… Certaines agglomérations sont dominées par une activité voir une seule grande entreprise. @

54
Q

V. Pouvoir de commandement

Niveau commandement, a quoi est associée la ville ? Que domine t-elle ?

A

Elle est associée au pouvoir et domine un arrière pays à échelles variables.

55
Q

V. Pouvoir de commandement

On peut distinguer 4 types : lesquels ?

A
  • Le réseau des voies de communications
  • Les administrations, équipements hospitaliers, scolaires et centres commerciaux (révèlent les liens entre la ville et campagne)
  • Les industries agro-alimentaires et activités liées (abattoirs en ville, près du marché)
  • Les limites de la ville (détaillé dans une autre question)
56
Q

V. Pouvoir de commandement

Les limites de la ville sont-elles tranchées ? qu’est ce que cela révèle ? Qu’est ce qu’on trouve souvent non loin des villes ?

A

Non : cela révèle des agglomérations qui tournent largement le dos à leur environnement rural, comme si elles constituaient des enclaves. Non loin se trouve des vallées industrielles : ce sont des campagnes industrialisées, dominées par une ville donneuse d’ordre.

57
Q

V. Pouvoir et commandement

Limites de la ville : qu’est ce qui prouve la domination du foncier par les citadins ?

A

Les agglomérations sont entourées de nombreux lotissements installés dans les villages

58
Q

V. Pouvoir et commandement

Quel problèmes apportent les lotissements installés dans les villages?

A

Concurrence pour l’space entre agriculture et les autres activités liées à l’étalement urbain (habitat, transports).

59
Q

VI. Problèmes de croissance

Que faut-il évaluer sur le plan démographique, spatial et éco ?

A

Le dynamisme de l’agglomération.

60
Q

VI. Problèmes de croissance

Que permet la comparaison entre deux cartes récents ou pas ?

A

Comparer les chiffres de population, les nouvelles stations balnéaires, ou intégrées de sports d’hiver, ou villes nouvelles, ZIP (dunkerque), la péri-urbanisation… Mais aussi la reconversion : densification ou desserrement du bâti.
Nouvelles infrastructures , polarisation de la périphérie et évolution des centres d’affaires.