JURISPRUDENCE Flashcards
TC-BLANCO
TD 1/
= le TC lie explicitement l’application du droit administratif au service public. donc au droit administratif
+ responsabilité de l’état
1873
” la responsabilité, qui peut incomber à l’Etat, pour les dommages causés aux particuliers par le fait des personnes qu’il emploie dans le service public, ne peut être régie par les principes qui sont établis dans le Code civil, pour les rapports de particulier à particulier”
TERRIER
le cé étend la solution de l’arrêt blanco au collectivité territoriale ( CT) donc droit adminisitratif pour les CT.
1903
MAGNIER
utilisation du critère de puissance publique comme identification de l’application du droit administratif. si PP = DA. école de la puissance publique. ( école de toulouse)
1861
CADOT
cé se dit juge de droit commun. fin de la justice retenu. ( ou le cé donne des proposition au minsitres qui est le vrai juge)
cé devient une vrai juridiction.
1889
ccel- Conseil de la concurrence
= ccel affirme que dans sa globalité le principe de séparation des autorités n’as pas valeur constitutionnel.
mais dans ce principe existe un noyau dur de PFRLR = annulation ou reformation des AAAU relève du JA
1987
porte sur la répartition des domaines entre Cé et Ccass
RUBIN DE SERVENS
illustration singulière de la notion d’acte de gouvernement =
* intègre la décision du PR d’activer l’art 16 Consti dans le champ des actes de gouvernement, rendant son
contenu insusceptible de recours.
* les décisions prises sur ce fondement qui normalement devraient être contrôlées par le JA en leur
qualité d’acte administratif, mais y échappent en l’espèce en raison de leur contenu qui entre
exceptionnellement dans le champ de l’article 34 C°
1962
ccel- Liberté d’association
TD 2- constitution
si le préambule a valeur constitutionnel alors aussi les textes qu’il mentionne sont constitutionnels .
donc la DDHC et le préambule de 1946 ont valeur constitutionnelle puis plus tard la charte de 2005
1971
Soc ÉKY
reconnait la pleine valeur juridique du préambule de la constitution de 58- a une valeur constitutionnel.
donc le préambule a valeur constitutionnel
ici le le conseil d’état le dit
1960
KONÉ
exemple d’une PFRLR qui diverge entre le ccel et le Cé concernant l’extradition des réfugiés politique.
donc le cé peut interprété la consti pour y trouver des principe /PFRLR
1996
FRANCE TERRE D’ASILE
2 lecture de l’arrêt.
tout les dispositions du bloc de constitionnalité ne sont pas d’effet direct.
en l’espèce , préambule de 1946, ali 4, sur le droit d’asile.
cé refuse ici l’effet direct de cette disposition. il faut qu’elle soit appliqué par autres texte.
=on n’applique pas a administration les disposition constitutionnel trop vague et trop imprécise
ARRIGHI
le juge ne contrôle pas la constitutionnalité d’un décret d’application quand celui ci est prit pour application d’une loi contraire a la constitution théorie de la loi écran.
ou le ja saisit d’un moyen contre un AA ne peut juger un moyen sur l’inconstitutionnalité de la loi qu’il traite.
le JA n’est pas compétent pour contrôler la constitutionnalité de la loi
1936
DEPREZ ET BAILLARD
l’existence du conseil constitutionnel entraine une incompétence du juge administratif et judiciaire a contrôler la constitutionnalité d’une loi
le contrôle de la constitutionnalité de loi est réservée au conseil constitionnel.
2005
en lien avec un acte qui traite de cette loi
QUINTIN
cé détailler arrighi et loi écran. ÉCRAN TRANSPARENT
le JA peut contrôle la constitutionnalité d’un acte administratif si l’inconstitutionnalité soulevé est tiré de l’actes en lui même et non de la loi.
conseil d’état peut contrôlé un décret que si il tire son inconstitutionnalité de lui même et non de la loi.
BLÉTON
exemple ou le cé contrôle la constitionnalité d’un acte. lecture large de ce contrôle. a la limite entre écran transparent et écran législatif.
ici le cé vérifie que la loi qui permet de déroger au principe de concours dans la fonction publique n’empêche pas de respecte art 6 de la DDHC. la constitutionnalité de l’acte est vérifié par cé car la loi est large donc ne contrôle pas la loi mais l’acte. il n’y a pas d’écran
SYNDICAT FO MAGISTRATS
= le CÉ peut contrôler un décret. il peut vérifié si il est conventionelle a la CEDH ( ex ici art 6) . Mais il peut aussi contrôler la constitutionnalité de l’actes a la constitution ( principe de séparation des pvr art 6 DDHC).
le cé réaffirme sa compétence pour contrôler la constitutionnalité d’un décret par voie d’action. si il estinconstitutionelle alors il l’annule.
donc est un **rappel de DEAHENE **
CFDT Finance et autres.
- le cé se déclare compétent pour contrôler l’ordonnance non ratifié ( donc après la délais d’habilitation) avec aussi le CCel ( comme une actes règlementaire)
COMMUNE DES ARCS
- rappel de l’écran législatif. le JA ne peut pas contrôler la constitutionnalité des actes administratifs pris en application d’une loi car cela reviendrais a contrôler la constitution.
- mais* il est possible de soulevé une QPC devant le CCEL si le condition sont réunis. qui sera transmis au CCE*L
Cie agricole de LA CRAU
- il est possible d’invoquer la principe de prévention de art 3 de la DDHC contre un texte règlementaire dans la mesure ou celui ne tire pas les mesures nécéssaire de la loi qu’il applique. ici la loi ne fait pas écran. application de jp de écran transparent afin de contrôler la constitutionnalité de l’acte⚠️
2011
en lien avec la décision du ccel de 2010.
AMICALES DES ANNAMITES DE PARIS
= un PFRLR est un principe que le juge doit identifier.
1956
ici consacre la liberté d’assocaition comme un PFRLR + critère
DEHAENE
le JA est compétent pour contrôle la constitionnalité des AAI a la constitution et du bloc.
1950
BLOTZHEIM
TD
= le Ja ne contrôle que la légalité externe . il ne contrôle pas la légalité interne. il ne vérifie que la régularité de la procédure , de l’acte de gouvernement de ratification ou d’apporbation du droit internationale. (par voie d’action et par voie d’exception)
1988
TD 3- droit international
COMMUNE DE PORTA
= le JA se décalre incompétent pour controler la constititionnalité interne de l’acte d’approbation ou de ratification du droit internationale
= traité < consti que dans les cas ou AAU est contraire au traité mais confirme a la constitution.
=JA aussi incompétent pour contrôler si parlement donne accord
REHKOU
= le JA se déclare incompétent pour contrôler la réciprocité de l’application du traité.
1981
car est une question tropn polititique.
Cedh-CHEVROL
la France est condamné pour sa position , ntm du CÉ de refuser de contrôler la réciprocité , car méconnais le droit a un jugement d’un tribunal indépendant= condamnation du CÉ a se lié de la décision du ministre.
1999
car est une question politique.
CHERIET BENSGHIR
REVIREMENT DE JP =le cé se déclare pas lié par la réponse donné par le ministre.
revirement de jp accepte de vérifié la réciprocité des actes internationaux.
2010
après refus par Cé dans arrêt Chevrol. et condamné dans arrêt CEDH chevrol c/ France.
DAME KIRKWOOD
= les traités sont supérieurs aux actes administratif. Le JA peut contrôler la conventionnalité de l’acte a la norme internationale. contrôle de conventionnalité des AAU.
ARRÊT DES “SEMOULES”
syndicat général des fabricants de semoules
le conseil d’état ne peut pas contrôler la conventionnalité au normes internationale de l’acte pris en application d’un loi( donc par rapport au traités)
le cé fait application de l’écran législatif( mais ok pour contrôler l’actes administration règlementaire)
limites = abogration implicite quand le traité est plus réçent que la loi
1968
Ccass- CAFÉ JACQUES VABRES
la ccass n’as pas suivit le Cé. il accepte de contrôler la conventionnalité des lois au normes internattionnale.
ccel - LOI IVG
le ccel se déclare incompétent pour contrôler la conventionnalité des actes aux normes internationale.
NICOLO
REVIREMENT de JP = le cé accepte de contrôler la conventionnalité des lois au traités. ( ici décret sur les élection en nouvelle calédonie)
ALLENBACH et autres
le JA se déclare incompétent pour contrôler la conventionnalité de la légalité externe. il ne contrôle pas la procédure.
il ne contrôle que la légalité intere de la loi a la normes internationale.
SARRAN LEVACHER
le cé confirme l’infériorité des traités à la constitution ( traité< consti)
le JA peut écarter le traité et contrôler la constitutionnalité de l’acte.
: décret en application de la constitution contraire a une norme internationale ( écran) cé dit que la constitution l’emporte sur les convention international dans l’ordre interne.
GISTI -1990
revirement de JP = Cé se dit compétent pour interprété traité seul les traités * mais il peut aussi questionné le ministres des AE*.
il peut aussi s’adresser a la CEDH pour des avis. ( droit internationale)-
GISTI-2012
en générale les traités sont d’effets directs , cette arrêt précise quand les disposition ne sont pas d’effet direct et leur condition dans cette arrêt. =
- soit la stipulation régit uniquement les relations entre les états et gouvernements
- soit la stipulation requiert l’intervention d’un acte supplémentaire pour produire des effets de droits particulier, pas assez précise.
dans ce cas on ne peut pas s’en prévaloir.
BOISDET
TD 4- droit de ue
= le Cé se déclare compétent pour faire primer le droit dérivé de ue sur la loi. idem pour les décision.
1990
ue> loi/ AAU