Introduction - Cours 1 Flashcards

1
Q

À quoi sert la psychologie de la perception?

A
  1. Science fondamentale dans le domaine de la science cognitive : Permet de savoir cmt les choses fonctionnent pour mieux les comprendre.
  2. Mieux comprendre les désordres de la perception.
  3. Dev des prothèses perceptives.
  4. Dev meilleurs interfaces humain-machine (ergonomie cognitive).
  5. Neuropsy clinique : Comprendre les déficits cognitifs pour mieux intervenir.
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2
Q

Que serait la vie sans les sens ?

A

Réflexion posée par Condillac (philo FR 18ème)

  • Histoire de la statue et de sa vie mentale
  • Conclut que sans les sens, aucune vie mentale n’est possible. Il serait impossible de se faire des représentation perceptuelles.
  • Sans l’influx nerveux, aucune perception n’est possible étant donné que le cerveau doit interpréter pour percevoir.
  • 2 exemples : Matrix & Allégorie de la caverne = Notre réalité est uniquement une parcelle de ce qui est présent.
    • L’ajout d’une modalité sensorielle permet de représenter l’existence du monde
    • Nos sens nous donne accès INDIRECT au monde (représentations)
  • Débat
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3
Q

Utilités des sens

A
  1. Permettent de se représenter le monde
  2. Permettent d’acquérir des connaissances sur le monde
  3. Permettent de faire des prédictions basées sur XP senso passées
  4. Permettent de s’adapter à l’enviro
  5. Permettent d’interagir avec l’enviro
  6. Favorisent la survie
  • Les sens permettent d’acquérir des connaissances et de l’XP sur le monde pour pouvoir mieux l’anticiper/le prédire
  • Les connaissances et le monde senso sont intimement liés
  • Les utilités des sens sont ultimement liées à l’évolution = Nous avons hérité d’une machinerie (aptitudes/capacités) visant à s’adapter à l’enviro.

MAIS… Les sens / la perception peut aussi être trompeur. L’esprit se rend rapidement au percept le plus probable, créant ainsi des erreurs d’illusions parfois.

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4
Q

*Problème corps-esprit

A
  1. Dualisme : Reconnaissance du corps et de l’esprit comme étant des choses distinctes.
  2. Monisme Matérialiste : Le corps et l’esprit sont indissociables. Le corps domine, c’est grâce au fonctionnement du cerveau que l’esprit peut émergé.
    - Freud s’affirme matérialiste, car pense qu’intervenir sur le corps ou sur l’esprit revient au même.
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5
Q
  • Sciences cognitives - Approche intégratives (disciplines)
A
Linguistique
Philo
Psycho
Info
Neurosct
Anthropo
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6
Q
  • Sciences cognitives - But et caractéristiques de l’approche
A
  • Vise à expliquer / comprendre les MÉCANISMES de la pensée

- Approche matérialiste & réductionniste (réduire l’XP mentale en qlq chose d’unitaire)

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7
Q
  • Sciences cognitives - th dominante
A

Th du traitement de l’information (TdTI)
- le corps est vu comme un système qui reçoit et traite de l’info
Input –> unité caché –> output
- Concept clé : SYSTÈMES (divers systèmes responsables du traitement de différentes info pour ensuite voir à la mise en commun afin de créer la pensée mentale)

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8
Q

*Th du traitement de l’info

A

Esprit humain = produit de l’activité du SNC
Cerveau = logiciel générant l’esprit
Sens = fenêtres pour accéder et interagir avec le monde extérieur
** Th qui compare les éléments SNC aux composantes d’un ordinateur

    • L’acquisition des connaissances & la capacité à prédire le monde FAVORISENT LA SURVIE
  • 1ere étape à ce processus : sensation des stimuli
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9
Q

*Types de traitements (TdTI)

A

Humain détient des LIMITES COGNITIVES (p.ex. capable de lire un journal, mais pas tout d’un seul coup)

2 types de traitements qui sont DIFFÉRENTS mais INDISSOCIABLES.
1. Traitement ascendant (Bottom-Up)
- L’info arrive passivement
- Pas vraiment influencé par les connaissances / anticipations / XP
enviro –> organes sensoriels –> cerveau

  1. Traitement descendant (Top-Down)
    - L’ensemble des connaissances influencent les P
    - la P est un phénomène ACTIF (interaction enviro - XP/connaissances/anticipations)

** Les 2 types sont pas mal tjrs présents en même temps. Parfois, TA dominant ou solo p.ex. dans contexte complètement inconnu.

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10
Q

Utilités TdTI

A
  1. Décrire les évents mentaux et les décomposés en vue de proposer un modèle cognitif
    - vise à décrire ce qui se produit dans la boite noire
  2. Proposer une implantation physique et un mode d’action physio
    - Localiser la fonct
    - Neurosct cognitive
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11
Q
  • Transduction
A

Processus par lequel les récepteurs sensoriels convertissent une stimulation en code nerveux

Signal sensoriel –> influx nerveux

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12
Q
  • Sensation
A

HABILETÉ à détecter une stimulation et la transformer en XP privée (ressentir)
- Absence de sens à la sensation

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13
Q
  • Perception
A

ACTE de donner un sens aux sensations

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14
Q
  • Étapes du traitement de l’info
A
  1. Stimulus (Nature / présence)
  2. Captation (organes sensoriels et seuils de détection)
  3. Transduction
  4. Cerveau ( réception de l’influx ds les aires sensorielles primaires et primitives)
  5. Sensation (prod XP sensorielle pure et privée)
  6. Perception (organisation et interprétation de l’info sensorielle = Attribution d’un sens/meaning à la sensation)
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15
Q

*Schéma global de l’étude de la perception

A
  1. Psychophysio : Lien entre stimuli et perception (étape 1-5-6)
  2. Électrophysio : Lien entre stimuli et physiologie (étude de la relation entre le stimulus et les changements cérébraux - étapes 2-3-4)
  3. Neuromodulation/étude de cas/ adaptation neuronale : lien entre les changements physio et la perception (étape 4-5-6)

** Représente les 3 grands pans de l’étude de la perception

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16
Q

*Relation au stimulus

A
  1. Distal : N’importe quoi faisant parti de l’enviro
    - externe à l’activité/espace mental
    - Pas en contact
  2. Proximal : Pattron d’énergie qui émane des stimuli distaux et entrent en contact avec les récepteurs de l’observateur
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17
Q

*Psychophysio

A
  • 1ère méthode d’investigation
  • But : Établir un lien entre les propriétés physiques des stimuli (matériel) et l’XP perceptives (sensations)
  • Étapes 1-5-6
  • Par variation de l’intensité ou du niveau de stimulation, on peut connaitre
    1) Seuil différentiel
    2) Seuil de détection absolu
18
Q
  • Seuil différentiel
A

Loi de Weber : Just noticeable difference (JND)
= La plus petite différence perceptible par les sens en rapport avec le stimulus initial (pas valeur intrinsèque)

p.ex. Si stimulus initial est de 2LB et on change pour 2.5LB, l’indiv va surement s’en rendre compte. Mais si le stimulus initial est de 300LB et on change pour 300.5LB, la personne risque de ne pas s’en rendre compte.

** Grande variation à travers les modalités sensorielles.

19
Q
  • Seuil de détection absolue
A
  • Ce que l’on pense : le switch se fait de façon soudain et bien découpé.
  • Mais plutôt fonction en S. La convention est que le seuil de détection absolue est lorsque 50% des stimuli sont perceptibles par l’indiv.

DONC,

1) N’est pas absolue (plutôt probabilis)
2) Variation interindividuelle (selon critère / état psychologique de l’indiv)

20
Q
  • Méthodes pour étudier le seuil de détection
A
  1. Méthode de l’ajustement
  2. Méthode des limites
  3. Méthodes des stimuli constants
21
Q
  • Méthode de l’ajustement
A
  • Le participant ajuste lui-même l’intensité du stimulus à l’endroit où il pense que c’est son seuil de détection.
    Avantage : Rapide
    Désavantage : Peu précis (Ce n’est pas vraiment son seuil absolu mais plutôt une idée, estimation de celui-ci qu’il fait), faible fiabilité test-retest
22
Q
  • Méthode des limites
A
  • Présentation d’une série de stimuli d’intensité croissantes ou décroissantes jusqu’à ce que l’indiv détecte la stimulation.
    Avantage : Précis - stable dans le temps - relativement rapide
    Désavantage : Biais d’anticipation
23
Q
  • Méthode des stimuli constants
A
  • Présentation ALÉATOIRE d’un groupe de stimuli présélectionné d’intensité variable.
    Avantage : ++ précis et stable dans le temps
    Désavantage: demande bcp temps
24
Q
  • Th de la détection du signal
A
  • Constat : Seuil de détection varie d’un essai à l’autre.

DONC, la capacité de détection est sujette aux influences internes et externes.

  • Le seuil varie en fonction du ratio signal/bruit. Le bruit entre en compétition avec le signal.
  • Le critère peut être plus libéral ou plus conservateur.
  • Le critère varie en fonction de l’état psychologique.
  • l’organisme peut se tromper : Dire qu’il est présent sans qu’il le soit (erreur type 1). Dire qu’il n’est pas présent lorsqu’il l’est (erreur de type 2).
  • Th qui est directement en lien avec scénarios de la vie quotidienne. P.ex. détecter un cancer sur une radiographie en considérant le bruit du rayonX aussi.
  • Sensibilité : Valeur ou écart déterminant la facilité de détection du signal (d’).
    Autour de 0 : No sensibility (bruit et signal sont quasi indissociable).
    Autour de 1 : Sensibilité modérée (distinction mais difficile)
    Autour de 4 : Sensibilité élevée (distinction rapide et facile)
25
Q
  • Concepts clés en méthodes d’imagerie
A
  1. Résolution spatiale : qualité de l’image
  2. Résolution temporelle : Qualité du dynamisme (rapidité des prises)
  3. Invasif ou non
  4. Réaliste ou non (méthode adéquate ou pas)
26
Q

Méthodes d’imagerie anatomiques/structurelles

A
  • But : Visualiser l’organisation structurelle du SNC

1) Histologie & Dissection
2) Études de traceurs et brainbow
3) CT scan & angiographie
4) IRM anatomique
5) IRM de diffusion/tractographie

Avantage général des méthodes anatomiques : Vision détaillée du SNC (résol spatiale élevée)

Désavantage général des méthodes anatomiques : Très difficile de se prononcer sur la dynamique fonctionnelle du cerveau (mais relativement possible)

27
Q
  • 1) Histologie
A

Microscope

  • étude des tissues biologiques
  • principalement chez animaux (mais pas exclusif)
  • plsrs techniques

Avantages : Études au niveau des microns ou plus petits
Désavantage :
1) Post mortem
2) Pas infos sur la dynamique fonctionnelle du SNC

28
Q
  • 2) Dissection
A
  • Visualiser les structures anatomiques
  • Humains et animaux
  • plsrs techniques

Avantages :
1) App anatomie (p.ex. étude médecine)
2) Visualiser la MB
Désavantage : pas d’info sur le dynamisme fonctionnel du SNC

29
Q
  • 3) Études des traceurs et protéines fluorescentes (brainbow)
A

Étude de traceur (conventionnel)

  • Injection d’un virus radioactif qui affecte les cellules cibles.
  • Virus migre de façon RÉTROGRADE (avant) ou ANTÉROGRADE (après) par rapport au noyau de neurones où le virus a été injecté.
  • Analyse post-mortem

(Brainbow)

  • Protéines fluorescentes = traceur
  • méthode dérivé d’une espèce de méduse
  • exprime de façon aléatoire une protéine fluorescente
  • analyse post mortem

Avantages :
1) Permet de visualiser la trajectoire des neurones
2) Cible un groupe de neurone et permet de voir la direction du signal
Désavantage:
1) Post mortem
2) Animaux SLM

30
Q
  • 4) CT SCAN (tomographie assisté par ordi)
A
  • expo rayon X sous plsrs angles et reconstruction des tissus par l’ordi
  • ++ détection tumeurs / hémorragies
  • ++ clinique (peu RE)
Avantages : 
1) Peu $
2) Rapide
3) In vivo (applicable aux humains qui sont encore en vie)
Désavantages : 
1) Invasif (radiation)
2) Résol spatiale boff
3) Pas dynamisme fonctionnel du SNC
31
Q
  • 5) Angiographie (avec CT ou IRM)
A
  • Injection d’un liquide de contraste ds l’artère d’intérêt.
  • Très utile pour MCV
  • Très utile en clinique (peu RE)
Avantages : 
1) Permet visualiser la vascularisation
2) In vivo (humains)
Désavantages :
1) Expo radiation
2) Résol spatiale faible
3) Pas dynamique fonctionnelle du SNC
32
Q
  • 6) IRM structurelle ANATOMIQUE

* Champs magnétiques**

A
  • Détection tumeurs / hémorragies
  • utilisé en RE + clinique
  • permet de calculer le degré d’atrophie cérébrale par rapport à un gr contrôle
Avantages : 
1) Excellente résol spatiale (1mm)
2) Pas expo radiation 
Désavantages : 
1) \$\$\$\$$
2) pas dynamisme fonctionnel du SNC
33
Q
  • 7) IRM structurelle de diffusion (Tractographie)
A
  • Reconstruction virtuelle des fibres / trajectoires de MB
  • ** N’est pas une reconstruction des axones. Impossible.
  • Bcp utilisé en RE - peu clinique

Avantages
1) Excellente résol spatiale (1-2mm)
2) Pas expo radiation
3) seule méthode d’investigation MB chez l’humain ****
Désavantages
1) Ne renseigne pas sur la dynamique fonctionnelle du SNC
2) $$$$$
3) Impossible de dire quelle direction va le signal à travers les fibres de MB

34
Q

*Méthodes d’imagerie fonctionnelle

A

But : Visualiser le SNC en action

6 Méthodes

1) IRMf
2) TEP
3) EEG
4) MEG
5) Grille d’électrodes implantées
6) Électrode unitaire

Avantage général : Visualiser la dynamique fonctionnelle du SNC
Désavantage général : Diminution de la résol Spatiale.

35
Q

*1) IRMf

A
  • Mesure INDIRECTE de l’activité neuronale (étudie le couplage neurovasculaire)
  • Méthode basée sur le fait que les neurones demandent un apport plus grand en sang et O2 lorsqu’ils déchargent : SIGNAL BOLD
  • Très utilisé en RE (moins en clinique)
Avantages : 
- Bonne résol spatiale (3mm ou moins)
- Permet d'inférer sur le fonctionnement du SNC
- Bonne résol temporelle (3sec)
- Non invasif
Désavantages :
- \$\$\$\$
- Mesure INdirecte (pas causal)
- Bruyant - Limite au niveau des études sur le fonctionnement cérébrale durant des tâches auditives.
36
Q

*2) TEP

A
  • Quantifie la consommation d’une substance par le cerveau (dopamine - glucose p.ex.)
  • Injection d’un traceur qui vient se lier à la molécule étudiée. Permet ensuite de voir cmt le cerveau consomme la substance.
  • Bsn d’isotopes radioactifs
  • Utilisé en RE & clinique (pathologies neurodégénératives)

Avantages :
- Permet de cibler un système de neurotransmission
- permet de faire des inférences sur la dynamique fonctionnelle du SNC
Désavantages :
- Accessibilité - peu de machine & contrainte d’être à proximité d’un cyclotron
- $$$
- Invasif
- Faible résol tempo + spatiale comparativement à IRMf
- Mesure INdirecte de l’activité neuronale

37
Q
  • 3) EEG
A
  • Mesure électrique de l’activité à la surface du scalp.
  • Signal issu d’une très grande population de neurone en surface du cortex
  • Distorsion du signal électrique pcq doit traverser le crâne (absorbe l’activité électrique) et que ça enregistre des espaces locales limités qui n’inclut pas la totalité du réseau neuronale.
  • Utilisé en RE & en clinique (épilepsie/tr sommeil - permet de voir les rythmes cérébraux).
Avantages : 
- Non invasif
- Mesure DIRECTE
- Peu $
- +++ Résol tempo
Désavantages : 
- Faible résol spatiale (1-3 cm3)
Limité aux structures en surface du cortex
- Fragile aux interférences et artéfacts (sensible aux bruits)
38
Q
  • 4) MEG
A
  • Mesure les champs magnétiques émis par l’activité neuronale
  • Mesure DIRECTE de L’activité neuronale ( toute activité électrique crée un champ magnétique)
  • Requière pièce isolée de tout champ magnétique
  • Capteur sous supraconduction - SQUIDS
  • Uniquement utilisé en RE (et rare)
Avantages :
- Bonne résol spatiale (pas interférence avec les os)
- ++++ résol temporelle
- Pas invasif
- Mesure DIRECTE
Désavantages : 
- \$\$\$\$
- analyses complexes
- peu dispo

** Technique ne permettant pas de prendre des photos de l’activité cérébrale. C’est plutôt des patrons d’activité qui peuvent être apposés sur une image IRM

39
Q
  • 5) Grille d’électrodes implantées
A

Aussi appelé

  • Électrocorticographie
  • Électroencéphalographie intracrânien
  • très similaire à EEG mais directement sur le cerveau grâce à CRANIOTOMIE
  • Re & clinique
Avantages : 
- mesure DIRECTE
- ++ Résol Temporelle
- Meilleure résol spatiale que EEG
Désavantages :
- +++ invasif
- Slm enregistrement de la surface corticale
- Limites ds la généralisation pcq craniotomie chez humains = épilepsie ou pré-neurochirurgie = peut y avoir eu des altérations des circuits neuronaux à cause des crises d'épilepsie
40
Q

Électrodes unitaires

A
  • Implantation d’une micro électrode dans une cellule cible pour enregistrer l’activité
  • Utilisé surtout chez les animaux, mais parfois chez humains

Avantages:
- Mesure directe de l’activité neuronale
- Excellente résolution temporelle (ms) & spatiale (niv cellulaire)
Désavantages :
- ++ invasif
- limites des généralisations si fait chez l’humain.