intra 1 Flashcards
nomme moi les types de normes sociales
- formelle : lois et reglements
- informelle : non écrits, pas de peine particulière
explique c’est quoi le contrôle social et ces types
Le contrôle social : contrôle pour faire respecter les normes, ensemble de dispositifs pour assurer la cohésion et le respect des règles
- Police, prison, armée, code de la route
1. Formel (quand on a enfreint une norme formelle = sanction comme prison, amande)
2. Informel (regard, commantaires, ignorer)
explique et nomme les types de sanctions
- Sanction physique
négatif: menottes, coups,
Positive : high five, poigner de main - Sanction économique
Negativ :amande,
Positivr :cadeau, bonus - Sanction psychologique
Négative : isolement
Positive : mots d,ancourragement, jettons d’abstinence - Sanction sociale (formelle et informelle)
Formelle Négative : travaux communautaire, prison
Formelle Positive : diplôme, médaille
Informelle négative : contrôle sociale informel, regards
Informelle positive : sourire, encouragement
c’est quoi la conformité?
respecté les normes, lois, ce qui est attendu de lui = attitude conformiste
c’est quoi le concept de déviance
englobe les phénomènes de criminalité et de délinquance mais les surpasse
- Permet d’aborder une vaste catégorie de comportements sociaux sanctionnées, contraire à ce qui est normal mais n’a pas de sanction
explique la déviance en regard du statut social
ce qui est attendu d’une personne dépend de ton statut social (role, comportements)
Ex : comportements attendu d’un juge VS doorman
explique la déviance en regard avec le contexte social et les caractéristiques
la déviance doit être évaluer de manière contextuelle, ce qui est considéré comme déviant est changeant, selon :
- Le groupe EX : la police VS citoyen / coup au hockey VS coup dans la rue
- L’endroit EX : personnes homo à mtl VS personne homo au Ouganda (la on recoit peine de mort) ce qui est déviant ailleurs n’est pas nécessairement déviant ailleurs vise versa, dépend toujours des lois, normes etc.
- La période EX : conduire sous alcool avant VS conduire sous influence mtn (mtn pas le droit, pas la norme, sanctions)
explique et nomme les type d’organisation de la déviance selon Maurice Cusson
nous avons tendance à penser que la déviance est un comportement individuel, mais est vrm souvent organisée!
Selon Maurice Cusson voici les formes de déviance :
1. Déviance peu (ou pas) organisée : comportements individuels
Ex : suicide, anorexie, pédophilie
2. Déviance modérément organisée : comportements en sous-groupe (pas des gros groupes criminels)
Ex : consommation de drogue entre amis, BDSM
3. Déviance fortement organisée : comportements en sous-groupe radicalisé (qui vont encourager d’avoir des compo déviant et criminels)
Ex : mafia, sectes, gang de rues,
nomme la définition de la culture déviante
« un ensemble d’idées ou de points de vus sur le monde social et sut le manière de s’y adapter, ainsi qu’à un ensemble d’activités routinières sur ces points de vue»
nomme les effets de la culture déviante sur la socialisation
v Ce type de culture normalise des manières d’être aux yeux de l’individus qui y participe contribuant à façonner son identité
Ex direct : crime organisé Ex indirect : hip-hop-, hockey canada, culture policière, etc.
c’est quoi l’étiquette de dévient et pourquoi on dit ÉTIQUETTE (long)
Ce sont les gens autour de nous qui trouve que mes comportements sont déviant
Pk on parle d’étiquette?
v Pcq on parle d’un jugement porté sur une conduite ou une manière d’être.
v Fait par les valeurs, les médias, les intentions de la personne
v Le critère majeur de la déviance est la réaction qu’elle provoque : réprimande, sarcasme, réprobation, dénonciation, isolement, exclusion, etc.
Quand on fait un act autrefois jugé déviant ne fait plus réagir, c’est qu’il a cessé d’être déviant
Ex : homosexualité , consommation de marijuana, etc.
C pas pcq on a fait un act déviant qu’on est une personne déviante, surtout si le comportement n’est pas caractéristique pour elle (accident, erreur de parcours, etc.)
L’étiquette de déviant est réservée à des personnes qui ont à répétition un certain comportement ou à des personnes qui adoptent elles-mêmes le profil type pour cette déviance
nomme et explique les 3 dimensions de l’analyse de la déviance (long)
- Le contexte normatif (production des normes, variabilité sociale des normes, historique des normes)
A) La production sociale des normes
Analyser les normes sociales exige d’analyser les individus, les groupes et les institutions qui produisent ces normes et qui a la fonction de les appliquer. Gens aux pouvoir?
Comment telle norme sociale est-elle apparue? Qui l’a produite? Pour quelles raisons?
B) La variabilité sociale des normes
Un même comportement peut être jugé déviant par les uns, mais pas pour les autres. Ce qui est non conforme du point de vu d’un certain milieu social ou dans un contexte, peut être conforme du point de vu d’un autre (religion, immigration)
C) La variabilité historique des normes
Un comportement jugé déviant ajd ne l’était peut être pas avant et ne le sera peut être pas dans l’avenir.
Ex : fumer en public - Les facteurs et formes de la transgression
A) Les facteurs de la transgression
Pourquoi et dans quelles conditions des individus transgressent-ils les normes sociales en vigueur
Facteurs : forme et degré de répression de la déviance, âge, sexe, niveau de scolarité, statut socioéconomique, milieu familial, sous-groupe, etc.
B) Les formes de la transgression (négative et positive)
De nombreux actes constituent des écarts par rapport à la normalité peuvent être qualifiés de «déviance positive». Elle peut permettre d’atteindre des idéaux sociaux et reçoit un réponse sociale elle-même positive.
Ex : récupérer ses déchets est une norme / s’attacher à un arbre pour défendre l’environnent
- Les processus d’identification de la déviance
A) L’identification de la déviance : par qui, comment et pourquoi
B) Les impacts de la déviance sur l’individu ou le groupe visé : isolement, perte d’estime, marginalisation, etc.
C) Les conséquences sociales de la déviance : discrimination, exclusion sociale ou encore à l’innovation
nomme la définition de la criminalité/délinquance
La somme des crimes commis sur un territoire donné pour une période donnée.
explique ce qu’est la délinquence juvénile et les 4 éléments du lien social qui peuvent s’appliquer
Délinquance juvénile : par des personnes mineures, majoritairement par des ados. Il y a 4 éléments du lien social qui peuvent s’appliquer
1) L’attachement aux parents, enseignants, amis
2) Le niveau des aspirations sociales et professionnelles
3) Le temps consacré à des activités socialement valorisées
4) Le niveau d’adhésion aux règles sociales
explique c quoi la criminalité selon durkheim
Pour lui, ce sont des choses normales, une société où il n’y en aurait pas serait anormal
Elles sont présentes dans tous les types de sociétés, depuis tjrs.
- Le taux de criminalité est normal quand il suit une certaine régularité d’une période et d’une société à l’autre ::: à l’inverse pr lui, le taux peut devenir pathologique lorsqu’il s’éloigne de cette régularité
explique c’est quoi le taux de criminalité
- Le taux correspond au nombre de crimes répertoriés par tranche de 100 000 habitants
Ex : e 2023, on a répertorié 317 711 crimes au QC pour une popu de 8 millions
À quoi il sert?:
1. Évolution ou diminution au fil du temps à travers le temps
2. La prévalence de la criminalité d’une société à l’autre
On pend compte le nombre de crimes reporté comme outil, mais sans distinguer la nature de ces crimes. Par conséquent, chaque crime à le même incident sur le taux de criminalité, qu’il s’agisse d’un vol ou d’un meurtre
explique ce qu’est l’ IGC
l’indice de la gravité de la criminalité IGC
L’IGC a été mis en place pour répondre aux limites du taux de criminalité traditionnel
Il est plus efficace pour suivre les changements au fil du temps
Pour le calculer, on attribue à chaque type de crime un poids qui représente sa gravité relative. ( le nombre d’affaire déclarés pour un type de crime est multiplié par le poids attribué à ce type de crime)
Les poids attribués sont fondés sur les renseignements normalisés tirés des données sur les peines imposées par les tribunaux au cours des 5 années d’avant
Ex : selon l’IGC, le meurtre a un poids de plus de 8200, et un vol de biens à un poids de 29. Il est bcp plus lourd même s’il se produits moins fréquemment.
développe sur le taux de criminalité au Québec
Au QC, le volume de la gravité des crimes mesuré ont diminué de 25% entre 2008 et 2023
- Après une baisse constante jusqu’en 2014, l’IGC c’est stabilisé entre 2014 et 2019
- Il a apres rebondi de 20% alors que les hausses annuelles étaient de 10% en 2021, de 6% en 2022 et de 3% en 2023
- Cette hausse est surtout du au vols qualifiés ou des extorsions, des tentatives ou complots de meurtre et des vols de véhicules à moteur
- On voit une diminution des homicides.
nomme les limites des statistiques pr le taux de crimino
Peuvent être pertinente à prendre en compte mais il faut s’accorder sur leurs limites
- Hausse du taux à cause des avancées technologiques qui permettent de mieux attraper les fautifs.
- Des vagues de dénonciations (me too)
- Des crimes peuvent être passer inaperçus par la victime
- Une part importante des victimes d’actes criminels ne rapporte pas l’incident à la police
explique c quoi le chiffre noir
réfère à l’écart entre les actes criminels commis et ceux détectés et comptabilisés statistiquement
nomme et explique les trois niveaux de l’analyse criminologique
01 – Le crime :
* L’explication du crime doit porter sur ses causes immédiates, soit les éléments qui ont amené l’occurrence d’un crime particulier, commis par une personne à un moment donné.
* On cherchera à mettre en relation l’occurrence de ce crime avec ses causes prochaines, tels la vulnérabilité de la victime, l’importance du gain, l’état d’esprit du délinquant, etc.
02 – Le criminel :
* Le second niveau d’interprétation cherche à comprendre l’initiation et le développement de la délinquance au niveau individuel.
* On cherche à expliquer les facteurs qui exercent une influence sur la trajectoire individuelle des gens et les poussent vers la délinquance (génétique, caractère, relations familiales, etc.).
03 – La criminalité :
* Le troisième niveau d’interprétation traite des facteurs associés aux variations de la criminalité, soient l’ensemble des activités criminelles observées en un endroit pour une période donnée.
* Exemples : pourquoi la criminalité est plus fréquente au Canada qu’au Québec, pourquoi le taux de criminalité est en augmentation au Québec depuis 2021, etc.
nomme et explique les types de crime
Les crimes avec victimes : Crimes qui affectent directement une ou plusieurs personnes (les crimes contre la propriété sont aussi des crimes avec victime).
Les crimes sans victimes : Désignent les comportements prohibés qui ne font pas de victimes directes.
Exemples : trafic ou possession de substances illégales, les jeux du hasard ou les crimes reliés au statut juridique de la personne (bris de probation, etc.).
* Il est cependant important de préciser que même s’il n’y a pas de victimes évidentes pour les crimes sans victimes, certaines personnes participant à l’activité criminelle pourraient tout de même être exploitées à l’occasion.
Exemple : la prostitution.
nomme et explique les catégories de crime selon le code criminel (long)
01 - Les crimes contre la personne :
* Homicides, tentative de meurtre, autres infractions entrainant la mort, voies de fait, infractions d’ordre sexuel, enlèvement, séquestration, extorsion, vol qualifié, harcèlement, etc.
02 - Les crimes contre la propriété :
* Introduction par effraction, vol de véhicule à moteur, vols, recel et possession de biens volés, fraude, incendie criminel, méfait, vandalisme, etc.
03 – Les autres crimes :
* Prostitution, jeux et paris, possession d’armes illégales, évasion, contrefaçon (fabrication et utilisation), troubler la paix, actions indécentes (nudité publique), actes contraires aux bonnes mœurs (possession de matériel pornographique prohibé), terrorisme, etc.
04 – Les crimes de la route (prévus au Code criminel) :
* Conduite avec facultés affaiblies, refus de fournir un échantillon d’haleine ou de sang, conduite dangereuse, course de rue, délit de fuite, etc.
05 – Les crimes reliés à la drogue :
* Possession, trafic, production, importation, exportation, et ce, pour chacune des drogues (héroïne, cocaïne, cannabis, Ecstasy, LSD, méthamphétamine, etc.).
nomme et explique les catégories de crime selon les criminologues
La criminologie classe les crimes selon leur nature juridique, les moyens utilisés, leur cible et le nombre de victimes réelles ou potentielles en catégories distinctes.
Il s’agit d’une typologie beaucoup plus détaillée que celle qui figure dans le Code criminel, alors qu’en criminologie on distingue généralement une dizaine de catégories différentes.
01 - Les crimes avec usage de la force :
* Équivalence des crimes contre la personne (Code criminel)
* Homicides, tentative de meurtre, autres infractions entrainant la mort, voies de fait, infractions d’ordre sexuel, enlèvement, séquestration, extorsion, vol qualifié, harcèlement, etc.
02 - Les crimes contre la propriété :
* Équivalence des crimes contre la propriété (Code criminel)
* Introduction par effraction, vol de véhicule à moteur, vols, recel et possession de biens volés, fraude, incendie criminel, méfait, vandalisme, etc.
03 - Les crimes contre l’ordre public :
* Ils comprennent les infractions qui désorganisent le déroulement normal de la vie publique et de la société, ou visant à empêcher la société de fonctionner efficacement.
* Les émeutes et les actes contraires aux bonnes mœurs en sont des exemples. (Dans un pays où la religion est forte, les crimes considérés comme « religieux » pourraient être inclus dans cette catégorie.)
04 - Les crimes haineux :
* « Motivés par la haine d’un groupe particulier », ces crimes visent un groupe de personnes ou des biens matériels leur appartenant, en fonction de leur identité réelle ou présupposée (sexe, origine ethnique, géographique ou sociale, religion, sexualité, situation d’immigrant ou réfugié, etc.).
05 - Les crimes contre l’État :
* Ce sont les infractions visant à tromper ou détruire un gouvernement.
* On peut également y inclure l’évasion fiscale et certaines formes de corruption ou de trahison (espionnage).
06 - Les crimes contre la justice :
* Ce sont des infractions visant la justice proprement dite, cherchant à créer une injustice, ou à ralentir le processus de rétablissement de la justice.
Ces infractions incluent par exemple l’entrave et le parjure.
07 – Les crimes environnementaux :
* Locaux ou transnationaux, ils sont dirigés (volontairement ou non) contre les écosystèmes.
* On peut penser au braconnage, au trafic d’espèces sauvages, aux déversements de déchets et de substances toxiques, aux exploitations forestières et minières illicites, etc.
08 - Les crimes de guerre :
* Ce sont des crimes qui violent les lois de la guerre.
* L’assassinat de civils ou de prisonniers de guerre, le recours à la torture, la prise d’otages, le viol (comme tactique de guerre), les génocides, etc.
09 - Les crimes contre l’humanité :
* Difficilement imputables (car perpétrés par un grand nombre de personnes, avec le soutien massif de gouvernements et d’organisations, y compris l’armée, la police, la justice, etc.).
* Ce sont des crimes dont les effets touchent des valeurs fondamentales ou des populations à vaste échelle (exemple : le génocide).
10 - Les crimes non parfaits :
* Conduites réputées pour être criminelles sans qu’aucun dommage réel soit ou ait été encouru, à condition que le dommage qui aurait été causé, dans l’éventualité où l’acte aurait été commis, en aurait été un que la loi cherche à prévenir.
* Cette catégorie inclut par exemple le complot, la tentative et l’incitation.
explique c quoi la gravité des crimes
- Plus un crime est grave, moins il y a de chances de passer inaperçu et plus grandes sont les chances que son auteur soit dénoncé aux autorités.
- La gravité d’un crime détermine également la sévérité de la sentence et la proportion de la peine de prison que le condamné purgera avant d’être libéré.
nommes les types de criminalité
- Criminalité économique : actes illégaux qui passent plus inaperçus et qui sont commis par des personnes considérées comme respectables ou occupant un rang social élevé dans le cadre de la travail . Pouvoir, influence.
Ex : détournement de fonds, publicité mensongère, évasion fiscale, délit d’initié, fraude, etc. - Criminalité de rue : actes illégaux qui passent rarement inaperçue et qui sont commis par un nombre disproportionné de gens issus de classes inférieures. Moins bon triangle des capitaux
Ex : incendie criminel, vol, voie de fait, vandalisme, prostitution, etc.
La criminalité économique coute bcp plus cher à la société que la criminalité de rue
Les criminels économiques font rarement l’objet de poursuite à cause de ::
1. La plupart des crimes économique sont commis en privé
2. Les criminels ont plus de moyens, peuvent se payer des bons avocats et cabinet
explique et nomme les types de théories de la criminalité
- Les théories motivationnelles
a) Théorie de la tension : les cultures apprennent souvent à valoriser la réussite matérielle (capitalisme) .
En revanche, les sociétés échouent aussi souvent à procurer à tous suffisamment d’occasions de réussis (inégalités sociales)
On s’adhère théorie de la sous-culture : théotie qui souligne l’importance des groupes sociaux aux normes sociales malgré la tension…
Les personnes qui décrochent sont plus propice à adopter des comportements criminels, et voit la criminalité comme une nouvelle façon d’atteindre la réussite matérielle
b) Théorie de la sous-culture : souligne l’importance des groupes sociaux. Considère les actes criminels comme une adaptation aux conditions sociales. Celle-ci nécessite la formation d’une sous-culture assortie de normes et de valeurs distinctes.
Les membre toutent le dos au monde légitime qui, croient-ils, les a rejetés. Ils invoquent une gamme de motifs pour justifier leurs actes qui donnent à leurs activités illégales une apparence de moralité et de normalité
c) Théorie de l’apprentissage : accorde une grande importance aux expériences de vie à la socialisation. La personne davantage expos à des expériences criminelles qu’à des expériences non criminelles risque d’adapter à son tour des comportements criminels
- Les théories de la contrainte
a) Théorie de la réaction sociale : met l’emphase sur la réaction des gens face aux comportements qu’ils considèrent comme criminels. (nous on pensait pas être criminel en faisant ce comportements mais la société oui).
Ils se font imposer l’étiquette de crimiel.
Ex : criminalisation de l’homosexualité, organisations politiques, etc.
b) Théorie du contrôle : toutes les théories motivationnelles présument que ls gens sont fondamentalement bons et que ce sont des circonstances particulières qui les rendent mauvais. Celle-ci dit que les gens sont fondamentalement mauvais et …
Dit que la plupart des gens auront tendance à commettre des actes criminels pour obtenir ce qu’ils souhaitent lorsqu’ils n’ont pas la certitude de se faire prendre.
c) Théorie du conflit
Théorie qui met l’emphase sur les inégalités sociales et sur les pouvoirs limités des personnes précaires.
Alors que les plus riches peuvent généralement recourir à l’argent et à leur influence pour couvrir leurs propres méfaits, les plus pauvres se font imposer une étiquette de criminels en raison de leur situation socioéconomique.
explique les types de criminels
- Criminels en fonction des aspects psychologiques
1.1 - Les criminels d’occasion :
Les criminels d’occasion n’ont pas une tendance innée au délit, mais ils peuvent se laisser influencer par des conditions personnelles ainsi que par leur environnement physique et social.
1.2 - Les criminels professionnels ou multirécidivistes :
Il s’agit d’individus qui, par leur structure bio psychique particulière, présentent une prédisposition au crime plus grande que celle que l’on trouve chez l’homme moyen.
1.3 - Les criminels aliénés :
Les personnes atteintes de problèmes de santé mentale qui commettent des crimes sans nécessairement être conscientes du mal qu’elles font.
- Criminels en fonction d’aspects sociologique
2.1 - Les criminels sociaux :
Ils se caractérisent par le fait que leurs crimes sont tolérés
ou même produits par une culture.
Ainsi, les coupables se font une réputation dans un certain groupe minoritaire en accomplissant avec audace les actes correspondant aux coutumes et à l’attente de ce groupe.
2.2 - Les criminels individuels :
Ils se caractérisent par le fait que leurs comportements ne sont pas inscrits dans leur milieu culturel, ils sont généralement rejetés de leur groupe.
nomme les catégories d’âge et comment elles reflètent sur les comportements délinquant
- Enfance : les enfants ne commettent pas de crime au sens ou on entend habituellement (même s’ils peuvent voler qqch, ou faire mal a qqun)
- 9 à 12 ans : arrive souvent une période d’exploration de petite délinquance
Exemple : petits vols, vandalisme, consommation de drogue, etc. - Pas accuser en cours
- 13 à 17 ans : la majorité des personnes commettent quelques méfaits alors que certains s’en donnent à cœur
Exemple : agressions physique et sexuelles, vols, vente ou consommation de drogues, conduits avec facultés affaiblies, etc. - Age adulte (18 à 65 ans) : très grande majorité ne commentent pas de crime sérieux (les individus s’assagissent en vieillissant)
- Troisième âge (65 ans +) : très rare qui volent ou agressent autrui
explique ce qui explique les différences de comportements délinquants selon les groupes d’âge
- Le corps change avec le temps, ce qui entraine de nouvelles possibilités et de nouvelles limitations
- La maturation est liée à des développements sur le plans biologique, psychologique, cognitifs et moraux
- L’âge est aussi relié à la situation familiale, professionnelle et économique d’un individu
explique les différences entre les filles et les garçons avec les comportements délinquants
- Les ado filles et femmes sont moins nombreuses que les gars et les hommes à commettre des activités qui portent gravement atteinte à autrui.
Les parents peuvent avoir tendance à davantage encourager leurs filles que leur fils à prendre soin des autres (socialisation). - Les filles se distinguent également par le fait qu’elles sont moins susceptibles de persister dans la délinquance
-rare sont les femmes qui persistent dans une carrière criminelle
Les filles auraient davantage tendance à intérioriser leurs problèmes
Les garçons ont davantage enclins à évacuer leurs difficultés vers autrui et donc commettre des activités délinquantes
comment est ce que la théorie de la tension explique les différences entres les garçons et filles
que les gars et les filles réagissent différemment face à ce sentiment dd tension/frustration
- Intérioriser= se force pour adhérer aux normes sociales
La tension génère des émotions négatives telles que la colre , l :anxiété ou de culpabilité.
- Pour les hommes, l’implication dans la délinquance peut être une façon de comparer
explique les distinctions en fonction des mots/circonstances entre les gars et les filles
- L’agression des filles serait surtout une réponse à une attaque personnelle : réputation, intégrité, jalousie, rumeur, etc.
- Les gars serait surtout pour préserver la solidarité du groupe et pour conserver leur réputation de durs
explique comment le statut socioéconomique influence le développement de la délinquance
- Pauvreté, exclusion économique, frustration de statut
- Certaines études démontrent que les ado de toutes strates sociales emblent avoir le même niveau de délinquance
- si le statut socioéconomique n’est pas relié à la délinquance, mais que les jeunes arrêtés par les policiers proviennent des milieux défavorisés, cela pourrait vouloir dire que le système de justice est discriminatoire.
nomme les constats des études de Hindelang et al de 1979
(Leurs travaux cherchent à expliquer pourquoi les jeunes des classes défavorisées ont plus de chances de se faire détecter pour un crime ou d’être formellement accusés.)
- Les jeunes de classes défavorisées commettent des crimes plus graves (exemple : des vols de plus grande ampleur).
- les crimes très graves (vols qualifiés, tentatives de meurtre, etc.) sont majoritairement commis par des jeunes défavorisés.
- Ex : Si 30% des jeunes de toutes les classes sociales commettent un cambriolage, ceux des classes défavorisées en commettent, en moyenne, plus que les autres.
- Les jeunes des classes défavorisées ont plus souvent des antécédents criminels et sont connus des policiers.
- Les jeunes des classes défavorisées sont généralement moins coopératifs avec les autorités.
- Les parents des jeunes défavorisés semblent avoir un moins grand contrôle sur leurs adolescents.
- Finalement, les victimes des crimes, tout comme les agents de contrôle- social (professeurs policiers, travailleurs sociaux) font preuve de discrimination.
- On aura ainsi recours plus rapidement aux mécanismes officiels du système de justice avec les jeunes défavorisés.
you are doing gooddd
yes
facteurs qui explique la surdélinquance
- Les valeurs
Certains groupes ethniques ont tendance à développer des valeurs antisociales
ces valeurs antisociales — la tension engendré par leur exclusion
La violence = moyen de prendre sa revanches pcq on les désavantage et les conduit à la pauvreté - Défavorisation
Certains groupe d’immigrants sont moins favorisé économiquement que la moyenne de la popu. (même chose pour autochtones)
- C l’aspect socioéconomique qui affecte le taux de délinquance et non l’ethnicité à proprement parler
Ex : observe taux de criminalité plus élevé chez les haïtiens à mtl que chez l’ensemble de la popu. Ils sont surreprésentés das certains quartiers défavorisés : mais les blancs des mêmes quartiers ont aussi haut taux criminalité que eux donc ethnicité veut rien dire - Discrimination
Certaines ethnicités sont victimes de discrimination, cela a été vrai depuis toujours et partout, même si les groupes discriminés changent.
- Quand on parle esclavage, on pense au US mais c arrivé aussi bcp au Québec
- Même si nous sommes mtn égaux face à la loi, il existe encore plusieurs formes de discrimination à l’égard des personnes racisées
