Integrateur Flashcards
Sorte de maltraitance
Maltraitance physique
Psychologique
Sexuelle
Matérielle/financière
Organisationnelle
Âgisme
Violation des droits
Outils de dépistage de maltraitance
EASI : détection du phénomène de l’abus aux aînés aide d’encourager le clinicien à approfondir son investigation ou de demander au client d’être référé vers une évaluation spécialisée par les services sociaux.
DACAN : questionnaire de dépistage de l’abus chez l’aidants natures permettant de dépister la présence de sévices chez l’ainé
Arbre décisionnel en mains : soutenir les innervant dans une réflexion éthique
Interventions maltraitance
Déclarations
Soutiens
Collaboration
Documentation et collecte de données : 1 entrevu avec victime, 2 avec agresseurs
Consultation
Douleur en fin de vie
Manifestation : PRSTU, outils
Douleur multidimensionnel, appréhension de la mort
Agir sur les facteurs qui touche le seuil de tolérance : sommeil, anxiété, état dépressif,délirium,
solitude, visite
Élimination en fin de vie
Intestin continu de produire des déchets
Constipation possible, jugement clinique
Possibilité de rétention urinaire (agitation), BS
Sonde urinaire
Soins hygiène régulier
Dyspnée en fin de vie
Signes objectifs : tachypnée, tirage, râle
Diminuer effort respiratoire = augmenter la qualité de vie et confort
Technique non pharmacologique : monter la tête de lit, donner de l’O2 LN, ventilateur diriger
vers le visage, ouvrir fenêtre
Technique pharmacologique : Opioïdes diminuent la demande ventilatoire, anxiolytique, bronchodilatateur (versed, morphine, dilaudid, scopolamine)
Critère de dépression chez les patients TNCM
• Humeur dépressive (obligatoire)
• Perte d’affecte positif ou de plaisir(obligatoire)
• Isolement ou retrait social
• Trouble de l’appétit
• Trouble du sommeil
• Agitation ou ralentissement psychomoteur
• Fatigue ou perte d’énergie
• Irritabilité
• Sentiment de dévalorisation, de désespoir ou de culpabilité excessive
• Idées suicidaires ou tentative de suicide
3/10 pendant 2 semaine = dépression
Dépistage et évaluations dépression
- Examen clinique de l’état mental
- Établir l’histoire de santé
- Outils d’évaluation
~ EDG : 4 questions, 15 questions, 30 questions
~ Cornell : évaluation en cotexte de démence - Dépression probable ou confirmer = examen clinque de suivi de l’état mental et grille d’évaluation de
l’urgence suicidaire - Pharmacothérapie
Facteurs précipitant de risque de chute
Médicaments
~ Augmente le risque avec le nombre de médicament différent administrer
~ Risque augmente lorsqu’il y a eu une modification de la médication dans les 3 dernier jours
~ Psychotrope, Rx cardiovasculaire, diurétique, opioïde, hypoglycémiant
• Contention physique
• Facteurs environnementaux : tapis, lieux encombrés, beaucoup de meuble, hauteurs du lit
Détecter facteurs de risque de chute
B : facteurs biologique
C : facteurs comportementaux
S : facteurs socioéconomique
E : facteurs environnementaux
Manifestations clinique de HTO
• Étourdissement
• Scotomes (petits points noirs dans le champ
visuel)
• Faiblesse
• Perturbation de l’état de conscience
• Fatigue
Interventions possible de HTO
• Augmenter l’apport en sel ad 10 g dans la diète et de boire de 2 à 2.5 litres par jour
• Ingestion rapide de 500 ml d’eau augmente de façon immédiate et signification la PA, recommandé de garder un verre d’eau sur la table de nuit et de le boire avant le lever du matin.
• Croiser et décroiser les jambes à quelques reprises, s’accroupir (augmente le retour veineux). • Élever la tête du lit de 10 à 20 degrés (position stimule le système rénine angiotensine- aldostérone et la sécrétion de vasopressine, ayant comme effet de diminuer la diurèse nocturne et de prévenir l’étourdissement… lors du lever).
• Prendre de petits repas fréquents, faibles en glucides et se lever tranquillement après le repas (afin d’éviter une autre forme D’HTO, soit l’hypotension post –prandiale).
• Réduire ou cesser la consommation d’alcool (effet vasodilatateur)
• Éviter toutes manœuvres vagales (prévenir la constipation).
• Éviter les chaleurs excessives (effet vasodilatateur).
• Faire de l’exercice physique de façon modérée et sécuritaire (L’immobilité est un facteur de risque de l’HO).
• Prévenir les risques de chute (Tenir un journal de bord).
• Bas de contention et bandes de compression (augmente le débit cardiaque et par conséquent la PA / … : améliore le retour veineux en réduisant l’accumulation des fluides dans les membres inférieurs.
• Réviser la médication et suggérer un changement d’heure PRN pour diminuer les manifestations de L’HO durant le jour.
• Changer graduellement de position (permet au système nerveux autonome de s’adapter).
Examen post-chute
• Inspection
• Palpation
• Signes vitaux
• PQRSTU malaise dominant
• Recherche cause des chutes
Manifestations du syndrome post-chute
• Anxiété
• Perte d’initiative.
• Refus de se mouvoir.
• Tendance rétropulseur avec flexion des genoux
lors du lever au fauteuil *peut mener à une nette régression psychomotrice.
• La rétropulsion lors de la position debout se manifeste par l’appui du pied sur le talon et les orteils en griffe.
• La marche est précautionneuse, les pieds semblent aimantés au sol, les mains s’agrippent au mobilier ou au soignant.
Interventions du syndrome post-chute
• Redonner la confiance
• Sécuriser
• Adapter l’environnement
• Éliminer les facteurs responsables de la chute
Processus décisionnel de contention
- Évaluation initiale et continue
- Analyse des avantages et effet Indésirables
- Planification des soins
- Évaluations des interventions
- Établissement d’une documentation
Alternative à la contention
• Gestion des comportements perturbateurs
• La communication prothétique (diversion, réminiscence, orientation à la réalité)
• Planification de rencontres avec la famille
• Application d’un horaire d’élimination régulier
• Adaptation ou révision de la routine
• Stabilité des intervenants
• Continuité dans les soins à donner
• Surveillance adéquate
• L’alarme de positionnement
• Le détecteur de mouvement
• Achat de meilleurs souliers
• Ajout de bandes antidérapantes au sol
• Abaissement du lit au plus bas
• Éclairage suffisant
• Fournir une aide technique
• Fauteuil confortable et adapté à la morphologie de l’usager
• Intégration des membres de la famille
• Les coussins sur le plancher près du lit
• La modification du fauteuil ou du fauteuil roulant
Communication de base
- S’efforcer d’établir le contact avec la personne pour obtenir son attention et s’assurer que le message est bien reçu.
- Considérer la personne comme une personne qui désire communiquer, mais qui en est incapable avec les moyens habituels de communication, en raison des déficits sensoriels et cognitifs liés à son état.
- Valoriser la personne atteinte d’un TNCM lorsqu’elle effectue le moindre geste ou signe de communication pour maintenir chez elle cette envie de communiquer, et de l’encourager à maintenir son autonomie et un contact avec son monde social.
- Faire preuve de patience et d’imagination pour surmonter les obstacles liés aux troubles de la communication et pour répondre au mieux aux besoins tant physiques que psychologiques de la personne.
- Essayer de rendre chaque contact avec la personne aussi agréable que possible pour entretenir une bonne relation thérapeutique.
Principe de communication favorisante avec un patient TNCM
T : ton neutre
V : visage souriant et détendu
A : attitude agréable et détendu
Stratégie pour surmonter les barrière de la communication lorsque le soignant est l’émetteur
• Attirer son attention en frappant à la porte et en la saluant.
• En la nommant par son nom tout en la regardant dans les yeux avec le sourire aux lèvres, le visage détendu
et/ou en la touchant délicatement.
• Entré dans son champ visuel sans surprendre la personne.
• Réduire les bruits environnants.
• S’installer, idéalement, à la même hauteur.
• Parler lentement et clairement avec des phrases simples et courtes.
• Lorsque la personne ne donne pas de signe qui indique qu’elle comprend :
L’inf. répète simplement sa demande ou l’information qu’elle tente de transmettre, sans hausser la voix.
(En passant, baisser le ton attire bien plus l’attention qu’en le haussant.)
• Joindre la parole aux gestes sans infantiliser.
• Mimer, démontrer, pointer, étiquettes, illustrations, images, pictogrammes.
• Donner des choix de réponses limités. Si elle ne peut faire de choix. On fait ce choix en respectant ses
goûts.
• Formuler des questions simples où elle peut répondre par oui ou non.
• Éviter les questions qui font appel à la mémoire à court terme.
• Orienter la conversation sur ses talents.
• Accepter l’humeur du moment.
• Choisir le moment des échanges.
Intervention non pharmacologique lors de SCPD
Multisensorielle
Centré sur l’émotion
Environnementales
Cognitives
Centré sur l’activité physique
Récréative et occupationnelles
Béhavioriste