Initiation Flashcards

1
Q

Boiterie antalgique

A

’imaginer qu’il y a un caillou dans la chaussure d’un marcheur ou encore qu’un clou transperce la semelle de sa chaussure. Douleur chaque fois qu’il prend appui sur ce pied, il cherchera à diminuer l’inconfort en relâchant son appui sur ce pied le plus rapidement possible. Autrement dit, la phase d’appui est raccourcie du côté affecté, ce qui entraîne une démarche caractéristique comportant des foulées inégales et de durée différente, par laquelle la phase d’appui du membre douloureux est raccourcie et celle de la jambe normale est prolongée.

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2
Q

boiterie du moyen fessier

A

En cas de déficience du moyen fessier, le bassin bascule en dedans à chaque pas

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3
Q

Test FABER

A

The patient’s tested leg is placed in a “figure-4” position, where the knee is flexed and the ankle is placed on the opposite knee. The hip is placed in flexion, abduction, and external rotation (which is where the name FABER comes from). The examiner applies a posteriorly directed force against the medial knee of the bent leg towards the table top. A positive test occurs when groin pain or buttock pain is produced. Due to forces going through the hip joint as well, the patient may experience pain if pathology is located in the hip as well.

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4
Q

Syndrome d’accrochage

A

Le syndrome d’accrochage se définit par le tendon du supra-épineux qui frotte sur le ligament coraco-acromial créant, ainsi, une irritation au niveau du tendon. La douleur apparaît sur la face antérieure de l’humérus. Les mouvements de flexion (élever le bras vers l’avant), d’abduction (élever le bras sur le côté) et de rotation externe de l’épaule (tourner le bras vers l’extérieur) deviennent restreints et douloureux.

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5
Q

Manœuvre de Lasègue

A

L’élévation du membre inférieur, en gardant le genou en extension, reproduit la douleur sciatique en cas de compression d’origine discale des racines du nerf sciatique L5 et S1. Le signe de Lasègue est un signe clinique qui désigne une douleur apparaissant entre la zone lombaire et le pied lorsque la jambe du patient allongé est relevée tendue. C’est un signe caractéristique de la sciatique car il révèle une hernie discale au niveau des vertèbres lombaires L4-L5 ou L5-S1.

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6
Q

Paralysie du nerf radial

A

innervation/paralysie sensitive de la main ; surtout moteur : c’est le nerf de l’extension et de la supination.

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7
Q

signe de Gowers

A

désigne un patient qui est obligé de se servir, en plusieurs étapes, de ses mains et de ses bras pour passer de la position agenouillée à la position debout, en raison du manque de force des muscles des hanches et des cuisses.

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8
Q

Boiterie du grand fessier

A

rétropulsion des épaules et des bras dû à une paralysie

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9
Q

Démarche en varus

A

Un membre ou un segment de membre en varus est tourné, dévié en dedans, vers l’axe du corps.

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10
Q

Démarche en valgus

A

Caractère de ce qui est dévié vers l’extérieur

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11
Q

Paralysie du quadriceps

A

Une personne dont le muscle quadriceps est paralysé est incapable d’étendre la jambe contre résistance et prend l’habitude de comprimer la partie distale de sa cuisse pendant la marche afin d’éviter de fléchir le genou par inadvertance.

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12
Q

acromion

A

apophyse osseuse (extrémité osseuse) de forme triangulaire et aplatie, prolongeant l’omoplate en haut et en dehors de l’épine scapulaire.

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13
Q

Carpus

A

groupe d’os du poignet

1-radius 2-ulna ou cubitus 3-métacarpiens A-scaphoïde ou naviculaire B-lunatum ou semi lunaire C-triquetrum ou pyramidal D-pisiforme E-trapèze F-trapézoïde G-capitatum ou grand os H-hamatum ou os crochu.

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14
Q

ensemble de tendons de muscles situé au niveau de l’articulation de l’épaule

A

coiffe des rotateurs

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15
Q

L’olécrane

A

« extrémité du coude », est l’épiphyse proximale du cubitus formant une saillie au niveau du coude

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16
Q

os coxal

A

Os formant avec le sacrum la ceinture pelvienne. Os antéro-latéral de la ceinture pelvienne, il unit le membre inférieur au tronc. C’est un os plat, hélicoïdal, pair et asymétrique. L’os coxal (Os Coxae) ou os iliaque est l’os de l’articulation de la hanche qui constitue, avec le sacrum et le coccyx, le bassin.

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17
Q

os de l’ouie

A

os temporal, marteau, enclume, étrier

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18
Q

’ulna

A
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19
Q

Articulation talo-crurale

A

C’est l’articulation de la cheville

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20
Q

Talus

A
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21
Q

Patella

A

Rotule

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22
Q

Ménisque interne

A
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23
Q

Démarche en tandem

A

marcher la pointe d’un pied touchant le talon de l’autre

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24
Q

Chorée de Huntington

A

Dégéneresence cerveau neurotransmetteurs. Des mouvements anormaux se déclarent d’un côté du corps, généralement au niveau des bras et du visage. Les mouvements faciaux (légères grimaces) et les problèmes d’élocution figurent parmi les symptômes. Quand la personne est en proie à des émotions, les symptômes ont tendance à s’accentuer et à empirer. À mesure que la maladie évolue, les mouvements anormaux, presque violents, s’accélèrent et apparaissent sans raison. Le patient est atteint de la danse de Saint-Guy (chorée). Le stade avancé s’accompagne de signes de démence souvent graves.

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25
Q

L’hémiballisme

A

L’hémiballisme: mouvements stéréotypés involontaires d’apparition rapide, de nature violente, et désordonnée, de très grandes amplitudes, limités à une moitié du corps, et touchant essentiellement le membre supérieur.

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26
Q

Grand polygone de sustentation

A

Le polygone de sustentation est la zone au sol, sur laquelle le corps repose en équilibre. Le pied si on se tient sur un pied. Les deux pieds + la zone entre les deux pieds (interpodale) dans une position debout classique. Plus c’est grand plus c’est stable.

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27
Q

Décubitus ventral

A

la personne est à plat-ventre

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28
Q

Crise tonico-clonique

A

C’est le plus spectaculaire des symptômes épileptiques. Appelée aussi, grand mal, cette crise comprend deux phases distinctes : une phase tonique et une phase clonique. D’où son appellation de crise tonico-clonique.

Phase tonique : elle est caractérisée par des contractions et des convulsions musculaires prolongées provoquant un état de rigidité et de contracture généralisée du corps. Cette phase dure de 10 à 30 secondes ;
Phase clonique : elle est caractérisée par des spasmes et des secousses désordonnées et violentes affectant la face et les membres. Cette phase dure de 30 secondes à 2 ou 3 minutes.

29
Q

Crise d’absence

A

Les absences épileptiques sont un type de crise généralisée. Elles comportent de brèves périodes de non réceptivité, souvent de nombreuses fois par jour.

épisodes pendant lesquels son regard est fixe et que le médecin constate un modèle typique de l’électroencéphalogramme

30
Q

Test de Babinski

A

Test de Babinski: Le signe de Babinski (ou signe de Koch) est la réponse en extension dorsale du gros orteil lors de la recherche de ce réflexe cutané plantaire.

On appelle signe de Babinski le réflexe inverse : le gros orteil se dirige vers le dos du pied (extension).

31
Q

Position décortiquée

A

Posture de décortication: flexion des membres supérieurs et extension des membres inférieurs due à une lésion supérieure au noyau rouge du mésencéphale

32
Q

Position décérébrée

A

Posture de décérébration: extension et pronation des membres supérieurs et extension des membres inférieurs due à une lésion inférieure au noyau rouge du mésencéphale

33
Q

Démarche spastique

A

A. La démarche « en fauchant » de l’hémiplégique

Elle est caractéristique, le membre inférieur en extension décrivant à chaque pas un arc de cercle plus ou moins évident, mais dans tous les cas, la pointe du pied et son bord externe viennent racler le sol.

B. La démarche paraparétique

C’st une démarche en fauchant bilatérale. Elle est enraidie, lente, les membres inférieurs en extension et frottant le sol par leur pointe et leur bord externe.

34
Q

Démarche parkinsonienne

A

Démarche parkinsonienne

Dans les formes typiques, relativement évoluées, le diagnostic est évident : démarrage lent, parfois bégayant (« enrayage cinétique ») avec piétinements sur place. Une fois initiée, la marche s’effectue de façon soudée, à petits pas lents et traînants, le tronc antéfléchi, et le ballant automatique d’un ou des deux bras a disparu.
Dans les formes toutes débutantes, la marche peut être normale, à l’exception du ballant automatique d’un bras.

35
Q

Démarche ataxique

A

Pas d’équilibre lorsque les pieds sont joints…

36
Q

Fluoxétine

A

(Prozac)

ISRS

37
Q

Fluvoxamine

A

(Luvox)

ISRS

38
Q

Paroxetine

A

(Paxil)

39
Q

Citalopram

A

(Celexa)

ISRS

40
Q

Escitalopram

A

(Cipralex)

ISRS

41
Q

Sertraline

A

(Zoloft)

ISRS

42
Q

ISRS

A

ISRS diminuent la recapture de la sérotonine dans le neurone pré-synaptique. Davantage de neurotransmetteurs reste donc dans la fente synaptique plus longtemps, ce qui permet de compenser pour le taux de sérotonine plus bas chez certaines personnes déprimées.
Anti-depresseur

43
Q

Tricycliques

A

Les tricycliques agissent principalement en bloquant les pompes à recapture des synapses sérotoninergiques et noradrénergiques. Résultat : davantage de sérotonine ou de noradrénaline de disponible dans la fente synaptique. Comme les personnes dépressives ont souvent un taux anormalement faible de ces substances, les tricycliques compensent et améliorent ainsi l’humeur de la personne.

44
Q

Tricycliques

A

Amitriptyline

45
Q

Tricycliques

A

Clomipramine

46
Q

Tricycliques

A

Tricycliques

Imipramine

47
Q

Tricycliques

A

Tricycliques

Desipramine

48
Q

Tricycliques

A

Nortriptyline

49
Q

IMAO :

A

les inhibiteurs de la monoamine-oxydase

50
Q

IMAO

A

(IMAO)Tranylcypromine

51
Q

IMAO

A

Phénelzine

52
Q

ISRNS

A

Venlafaxine (Effexor)

53
Q

ISRNS :

A

Duloxétine (Cymbalta)

54
Q

ISRND

A
  • Bupropion (Wellbutrin
55
Q

ISRND

A

Atomoxétine (Strattera)

56
Q

ISRND

A

inhibition de la recapture de la noradrénaline et de la dopamine. Elle se lie spécifiquement aux transporteurs de la dopamine, mais son effet comportemental a souvent été attribué à l’inhibition de la recapture de la noradrénaline

57
Q

ISRS anti-5HT2 :

A

inhibiteur des recapteurs de sérotonine et un antagoniste du récepteur 5-HT2A. Cependant, contrairement aux inhibiteurs sélectifs des recapteurs de sérotonine tels que la fluoxétine (Prozac), les effets antidépresseurs de la trazodone peuvent être dus à son effet antagonique à l’emplacement du récepteur 5-HT2A3.

58
Q

ISRS anti-5HT2 :

A

Trazodone (Desyrel)

59
Q

Antagoniste Alpha-2 :

A

Mirtazapine (Remeron)

60
Q

Antagoniste Alpha-2 :

A

antagoniste des récepteurs 5-HT2A et 5-HT3 (récepteurs activés par la sérotonine) et alpha-2 présynaptiques de la noradrénaline. Le résultat de ces actions est l’augmentation des transmissions noradrénergique et sérotoninergique (5-HT1)7.

61
Q

Dermatomes

A
62
Q

Cerveau

A
63
Q

(Prozac)

ISRS

A

Fluoxétine

64
Q

(Luvox)

ISRS

A

Fluvoxamine

65
Q

(Paxil)

A

Paroxetine

66
Q

(Celexa)

ISRS

A

Citalopram

67
Q

(Cipralex)

ISRS

A

Escitalopram

68
Q

(Zoloft)

ISRS

A

Sertraline

69
Q
A