Infos compliquées à retenir Flashcards

1
Q

Ordre des facultés dans les 3 critiques de Kant

A

CRP : entendement légifère sur raison, sensibilité, imagination
CRpratique : raison pratique légifère sur entendement, imagination, sensibilité
CFJ : ps de faculté législatrice, accord libre des facultés entre elles.

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2
Q

Déf jugement déterminant et réfléchissant

A

1° subsumer le particulier sous le général : le général est déjà connu et suffit de l’appliquer à un cas particulier
2° subsumer le général sous le particulier : le général n’est pas connu, et on y réfléchit à partir du particulier

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3
Q

Sentiment inférieur et supérieur (pur) de plaisir ou peine dans le jugement de goût

A

Sentiment inférieur est indétachable de l’existence de l’objet
Forme supérieur (qui est celle du plaisir et peine esthétique) n’est liée à aucun attrait sensible. Entre entendement et imagination, il y a libre accord. Imagination réfléchit la forme de l’obj pr elle-m. L’obj ns intéresse en tant qu’il a une forme. = Imagination reproduit la forme pour elle-m et alors l’entendement peut dire que c’est beau. Il y aurait là une universalité sans concept.

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4
Q

§23 CFJ

A

Le beau de la nature concerne la forme de l’obj qui consiste ds la limitation. En revanche, le sublime pourra être trouvé ds un obj pour autant que l’illimité sera rpz en lui ou grâce à lui et que néanmoins, s’y ajoutera par la pensée, la notion de sa totalité.

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5
Q

Sublime dépasse l’imagination de 2 manières ?

A

Sublime mathématique = l’absolument grand (§25)
Sublime dynamique : est sublime ce qui plaît immédiatement par opp à l’intérêt des sens
= Plaisir à voir puissance esprit, au-delà de l’imagination, à contenir cet illimité.

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6
Q

Qu’est-ce que l’Idée esthétique ?

A

Fais le lien entre le sensible et le suprasensible. Inverse de l’Idée rationnelle : intention de l’imagination pour laquelle on trouve pas de concepts adéquats. Elle est indéterminée.
§49 : représentation de l’imagination qui donne bcp à penser, sans pourtant qu’aucune idée déterminée, càd qu’aucun concept, ne puisse lui être approprié […]
Production de formes librement par l’imagination.
IE crée une 2nde nature, où les phénos st immédiatement des évents de l’esprit. IE exprime ce qu’il y a d’inexprimable ds l’irrationnel.
Lien avec le génie

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7
Q

Interdit kantien

A

Le champ du l’exp est indépassable. Nv mode de connaissance par la figure exemplaire du génie. On atteint ainsi l’absolu, qui est interdit par Kant. Génie en passe par une intuition supérieure.

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8
Q

Quadruple racine de la raison suffisante : 3 gds principes permettent de rendre de compte du monde de la rpz

A

Causalité, espace, temps. + principium individuationis. Causalité tisse le voile de Maya, en tant que synthèse entre espace et temps. Le réel empirique est devenir, chgt, il se donne à ns comme le contenu de nos intuitions formelles a priori de l’espace et du temps.

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9
Q

1ère phrase du MVR

A

le monde est ma représentation

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10
Q

§2 sur le sujet

A

Le sujet est le substratum du monde, la condition invariable, tjrs sous-entendue de tt phéno, de tt objet ; car tout ce qui existe, existe slt pour le sujet.
MAIS je ne connais mon corps qu’en tant qu’il est soumis à la rpz = c’est un obj.

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11
Q

§17 sur le principe des rpz

A

Nous voulons savoir le principe de ces rpz […].

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12
Q

Passage à l’int du corps

A

Soumis à la rpz, le corps trouvait sa place : ns apparaissait du dehors, objet immédiat. LA, Schopenhauer passe à l’int du corps. Corps perçu du dedans = La VOLONTE

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13
Q

Déf de la volonté

A

La volonté est la somme de toutes les forces conscientes et inconscientes qui se manifestent dans l’univers. Inséparabilité corps/volonté, ce par quoi la Volonté se manif.

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14
Q

§20 sur corps/volonté

A

Ainsi, mon corps n’est pas autre chose que ma Volonté devenue visible.
= Relation corps/voolonté d’abord éprouvée in concreto comme vérité absolue et immédiate.

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15
Q

Motifs = explication de la Volonté

A

NON, motifs expliquent que l’ici et le mtn. N’explique pas que je veuille. VOLONTE EST SANS RAISON : GRUNDLOS.

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16
Q

§21 sur la chose en soi

A

La chose en soi, c’est la volonté uniquement ; à ce titre, celle-ci n’est nullement représentation […]. La volonté est la substance intime, le noyau de toute chose particulière, comme de l’ensemble […]

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17
Q

Déf objectité de la Volonté

A

Formes phénoménales que peut prendre la Volonté

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18
Q

Déf herméneutique

A

philo de l’interprétation.

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19
Q

Rapport esthétique

A

on comprend que ce que l’ont voit, le visible, manif une force. Primat de la force sur la forme.

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20
Q

Art Michel Serres, La Traduction I

A

compare Gerhard et Turner
1° : rpz du monde, la mécanique, la causalité, inventaire de ttes les forces classiques
2° Turner ce n’est plus spectacle = ‘‘tout se renverse, la matière, la peinture, triomphent du dessin, de la géométrie, de la forme.

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21
Q

déf Idée

A

Les idées sont les formes les plus claires de la manifestation de l’essence qui est donc la volonté. Ce sont les différents degrés d’objectivation des idées qui donnent la pluralité des objets. N’est ps soumise au principe de raison, ni au chgt, ni à la pluralité.
§25 : degrés déterminés et fixes de l’objectivation de la Volonté, en tant qu’ell est chose en soi et, comme telle, étrangère à la pluralité.

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22
Q

§30 connaissance des Idées

A

Il s’ensuit que les Idées sont complètement étrangères à la sphère de la connaissance du sujet considéré comme individu. = suppression de l’individualité dans le sujet connaissant.

23
Q

Connaissance dans le monde de la rpz

A

Co est au service de la volonté. Co ne connaît que les obj ds leur relations, qu’à titre de choses particulières. (faut bien penser le rapport des objets avec le corps, et dc rapport direct ou indirect avec la Volonté). Relation se spécifie ds 4 classes de rpz : temporelle et spatiale, causale, conceptuelle ou logique.

24
Q

Contemplation

A

rencontre fortuite, exp en profondeur. Co s’affranchit de son rapport à la Volonté : sujet devient pur sujet connaissant.
§34 sujet devient ‘‘clair miroir de l’objet, de telle façon que tt se passe comme si l’obj existait seul, sans personne qui le perçoive’’. Alors ce qui est connu est ‘‘l’Idée, la forme éternelle, l’objectité immédiate de la Volonté’’.
= On passe de la raison à l’intuition (sans médiation, relation directe, fusion avec l’objet car la Volonté qui s’exerce ds l’obj est la mm que celle ds le sujet). Il s’agit de saisir ce que la Volonté a manifesté à travers l’obj.
= relation esthétique.

25
Q

déf génie

A

On a tous en ns une part de génie; simple différence de degré et lui peut en jouir de manière plus continue, connaît les Idées de manière + profonde (§36). Lui est pur sujet connaissant, il est un mode de connaissance ca ril accède et donne accès aux essences, sujet contemplatif (§37). Il sait entrevoir la Beauté, dans la mesure où accède aux essences et ns y fait accéder. Intensité de la perception, sensibilité accrue et capacité à se détacher de la volonté personnelle (§38).

26
Q

§45 sur le génie

A

Il exprime sur le champ de manière définitive ce qu’elle [la nature] n’avait fait que balbutier.
Pk ? Ds la Nature, chaque Volonté qui s’exprime est contrariée par une autre = elles s’etr’empêchent de s’exprimer. Donc monde de la nature est aussi parfait que ce qu’il peut, ms qu’imparfaitement. Artiste a le pressentiment, devine, à l’intuition de ce que la nature voulait ds ce qu’elle n’a pas pu faire.
Il faut distinguer 3 temps : le temps antérieur d’une origine, le temps présent de la volonté, le temps postérieur de l’art. Ce temps de l’art consiste essentiellement à faire coïncider les 2 premiers temps dans l’instant esthétique. Co du génie vient tjrs en partie d’un a priori.

27
Q

Bergson

A

Activité de l’esprit consiste à enchainer. Nature ns contraint à produire des montages sensori-moteurs. On perçoit une situation et on agit. Automatisation d’une partie de notre vie. Disgression continuelle = tt est situé sur un mm plan du pov de l’effort de l’esprit, enchainement ‘‘superficiel’’. Modèle associatif
Autre manière est approfondissement successif. Romps les enchainemement.

28
Q

Benjamin, art 3os ‘‘L’oeuvre d’art à l’air de la reproductibilité technique’’

A

Art moderne perd la contemplation (perception obéit à une historicité, dc déterminée et se modofie). Perception d’abord contemplative, carac sacré de l’oeuvre. MAIS prck oeuvre art devient reproductible, acquiert une ‘‘valeur d’exposition’’, et une nvlle causalité apparaît, qui ns enchaine ds le champ esthétique. –> ciné.
Mélancolie.

29
Q

Sublime §39

A

Sublime vient de l’absence de tte vie organique : ‘‘impassible et indifférent, il [sujet connaissant pur] n’est occupé qu’à reconnaitre les Idées ds les obj mm qui menacent et terrifient la Volonté’’.
Jouissance de l’annihilation provisoire de notre Volonté. Ce avec quoi je suis en rapport écrase ma Volonté.

30
Q

Génie chez Schelling

A

La poétique est nvlle forme de co. Le génie réconcilie l’activité de la cs et l’incs, unité immédiate de la nature et de l’esprit.

31
Q

§51 sur l’a priori schopenhauerien du génie

A

le poète au contraire [de l’historien] est comme le mathématicien qui construit ces rapports a priori, dans l’intuition pure, et qui les exprime, non tels qu’ils sont dans la figure dessinée, ms comme ils st ds l’idée que ce dessin doit rpz.

32
Q

Qu’est-ce que la perfection de la nature, ou sa beauté ?

A

Accomplissement de l’Idée d’organisme, càd ce qui subordonne les parties à l’harmonie du tout.

33
Q

Worringer, 1907, Abstraction et Einfühlung

A

Ce st 2 gdes pulsions en art :
2° sorte de sympathie, le mvt qu’on observe chez les autres est reproduit en soi = jouissance objectivée de soi. Cela correspond aux arts aux formes organiques.
1° art abstrait ne figure rien, avec à son fondement une angoisse devant l’espace et le chaos du monde = se réfugie ds l’abstraction. Ds formes abstraites, je parviens à des formes pures qui se soustraient au devenir chaotique et menaçant du monde. Abstraction précède Einfühlung.

34
Q

L’Idée se manif sous 2 aspects

A

la forme qui repose sur l’espace, signe de l’expression de la Beauté.
Le temps, expression complète de la Volonté = on a affaire à la grâce.

35
Q

§45, déf de la grâce

A

La Grâce est la rpz exacte de la Volonté, au moyen d’un phéno situé ds le temps.
= mvt

36
Q

§45, déf du Caractère

A

Rpz de la Volonté à son plus haut degré d’objectité, je veux dire à ce degré où l’individu, comme manifestation d’un côté particulier de l’Idée de l’humanité, prend une signification particulière et révèle sa signification nn par la simple forme, mais par tte espèce d’actions

37
Q

Le sens immanent au sensible

A

Oeuvre doit ps être illustration d’un concept, ni Allégorie. L’oeuvre d’art doit porter sa signification en elle-m, de façon immanente. L’oeuvre d’art manif une Idée, mm si génie n’a aucune intention ds son oeuvre.

38
Q

Signification nominale (ext) / signification réelle (int)

A

§48 La signification ext consiste ds l’importance d’une action par rapport à ses suites, pour et ds le monde réel. Elle dp dc du principe de raison. La signification int […], consiste ds la profondeur des vues qu’elle ns ouvre sur l’Idée d’humanité.
Signification ext renvoie à une dimension historique.
Signification intérieure signifie illustration d’un idéal nn narratif, promotion d’une pure qualité.

39
Q

Déf quiétif

A

ce qui s’opp au motif (action) c’est ce qui ns apaise, c’est le non-motif.

40
Q

Hiérarchisation des arts

A

Degré ds la manif de l’Idée. Il y a des forces grossières et subtiles., certaines se manif matériellement, d’autres spirituellement.
Architecture : incarnation conflit pesanteur/résistance + fait voir la lumière.
Sculpture
Peinture : dématérialise les corps
Arts littéraires : poésie peut entrer ds les psychismes et introduire du mvt.

41
Q

La tragédie

A

est ds les arts litt : Tragédie +++ importante (§51 le plus élevé des genres poétiques), on y voit ‘‘la volonté luttant avec elle-m, ds tte l’épouvante d’un pareil conflit’’. Elle montre en mm temps manière dt le héros parvient à s’en affranchir ds une sagesse supérieure, quiétif qui nait de l’épreuve du conflit. Tragédie fait voir la vraie nature de l’existence.

42
Q

Musique

A

Soustraite complètement au monde de la rpz, a une signification intrinsèque, en rapport avec ‘‘l’essence du monde et notre propre essence’’ §52. Elle est une ‘‘reproduction de la Volonté au mm titre que les Idées elles-m’’. Le plus dématérialisé des arts, elle est au-delà des mots. Atteint un niveau de généralité qui en fait un monde isolé en soi. Il va jusqu’à dire que c’est ‘‘la chose en soi’’. Elle ns montre une signification profonde.
Elle permet d’extraire de la particularité de la scène la signification générale (et métaphysique) qu’elle a. Elle rend nécessaire ce qui apparraissait comme contingent.

43
Q

Hoffmann, Ecrits sur la musique, à propos de la 5ème symphonie de Beethoven

A

La musique instrumentale méprise ‘‘tte aide et tte intervention ext, exprime avec une pureté sans mélange cette quintessence de l’art qui n’appartient qu’à elle, ne se manif qu’en elle’’.
// Schopenhauer, musique ns affranchit du monde.

44
Q

// Musique Nietzsche §86 de La Naissance de la Tragédie

A

On ne saurait en aucune manière rendre exhaustivement la symbolique universelle de la musique au moyen du langage prck elle symbolise une sphère qui se situe au-dessus de tt phéno, et avant tt phéno.

45
Q

Didier Huberman, L’image survivante, livre consacré Aby Warburg, consacre un chapitre au fondateur de l’histoire moderne

A

Winckelmann : histoire travaillée par une norme esthétique atemporelle. Néoclassicisme en partie fantasmé. Dès lors, histoire de l’art serait constituée de grandeur et décadence, à l’aune de cette norme, permettant de mesurer pr chaque époque proximité et distance à l’égard de cette norme.
// Nietzsche, s’il y a grandeur et décadence, c’est peut ê en vertu d’une norme mais ext, qui ne le place ps en juge.

46
Q

Volonté et représentation en allemand

A

Vorstellung / Wille
= Radical “Vor-“ signifie “devant”, “avant”, ou “en face de”. Indique que ce qui est perçu est placé “devant” la conscience pr ê observé.
Cela souligne l’idée que la réalité telle que nous la connaissons est toujours médiatisée par notre perception, jamais directement accessible dans son essence brute.

47
Q

Livre III, à propos de la musique et de son carac éternel

A

Elle pourrait en qq sorte ‘‘subsister, alors mm que l’univers n’existerait pas’’.

48
Q

L’exp esthétique est 1ère étape vers quoi (Fondement de la morale, mémoire 184o)

A

L’exp de la pitié, qui est le fondement de la morale. La contemplation permet de voir l’unité de la Volonté. La compassion, en dissipant le leurre de l’individuation phénoménale, m’ouvre à l’unité essentielle des êtres, celle-là qui s’exprime dans la sublime parole des Upanishads, ‘‘Tat Twam Asi : Tu es ceci, Cet autre, c’est toi.’’ Souffrance de l’autre est spectacle qui déchire le voie de Maya.
La Volonté se manif en 1er par égoïsme chez les hommes.
Comprendre que la multiplicité était illusion, plus de différence entre le moi et le non-moi, la différence entre soi et les autres. Idée de saisir la volonté pr ce qu’elle est. Partant du principe que la souffrance est le lien commun, on sera moins déçu et on s’identifiera mieux aux autres.

49
Q

Est-ce que la volonté est principe du monde ?

A

NON, c’est l’idée d’une antériorité par rapport à la connaissance. Le monde est la traduction de la Volonté.

50
Q

Proust et Schopenhauer

A

Minutes de félicités ds la contemplation de l’essence des choses, révélée par une sensation commune au pz et au passé (la vision éblouissante et indistincte de Venise ds Le temps retrouvé). Moment de contemplation esthétique, où la ville devient un pur objet de beauté, transcendant les désirs personnels et les préoccupations quotidiennes. Venise, ainsi perçue, offre au narrateur une félicité similaire à celle décrite par Schopenhauer : un moment de paix et de rédemption, où la volonté est mise en suspens et l’individu est entièrement absorbé par la beauté du moment. Lui aussi saura que l’ê qui peut goûter l’essence intemporelle des choses est lui-m intemporel.

51
Q

§52 sur l’écoute d’une symphonie

A

Pendant que ns sommes tout occupés à écouter l’exécution d’une symphonie, il ns semble voir défiler devant ns tous les évènements possibles de la vie et du monde ; pourtant si ns y réfléchissons, ns ne pouvons découvrir aucune analogie entre les airs exécutés et nos visions.
= Le pur sentiment antérieur à tte connaissance est ici donné sous la condition minimale de la mise en ordre du temps. Elle ns ramène directement très loin au-delà de l’ordre phénoménal (les sentiment vécus) à la chose en soi, la Volonté, par un mvt du cœur si irrésistible que le monde qui défile à l’envers semble pvr disparaître.

52
Q

L’idée de justice éternelle, LIvre IV

A

Cette justice n’a ps un caractère compensatoire prck la dimension temporelle est ici abolie et la peine et la faute doivent ê si étroitement liées qu’elles ne font qu’un. = Différents visages de la Volonté. Page 445, Schopenhauer décrit le sentiment soudain et dépaysant qui saisit l’homme alors que déchirement principe d’individuation, et qui permet de parvenir à une connaissance + élevée. Justice éternelle est aussi celle qui reconnaît l’identité de ce qui apparaît comme étant différent, ou même en conflit. Celui qui a eu accès à cette connaissance + élevée voit que la distinction entre l’individu qui fait le mal et celui qui le souffre est une simple apparence, qu’elle n’atteint ps la chose en soi, que la volonté, est à la fois vivante chez tous deux. Le bourreau et le patient ne st qu’un. Celui-là se trompe en croyant qu’il na ps sa part de la torture ; et celui-ci, en croyant qu’il n’a pas sa part de la cruauté. La volonté qui vit et se manif chez tous les hommes est une, ms ses manif se combattent et s’entre-déchirent. Mais qd déchirement voile de Maya, alors l’égoïsme, csq de ce principe, s’évanouit avec lui ; les motifs autrefois si puissants perdent leur pvr, et à leur place, la connaissance parfaite du monde, agissant comme calmant de la volonté, amène la résignation, le renoncement et même l’abdication de la volonté de vivre.

53
Q

Le jeu des forces pour expliquer que la nature exprime l’Idée de manière imparfaite

A

Ds la pensée n°2o9 de Der handschriftliche Nachlass, Idée de dissension intérieure enracinée ds l’être de l’homme. Tt homme doit lutter éternelle contre lui-même, comme on lutte contre un ‘‘monstre dt les têtes coupées repoussent tt de suite’’.