Images Flashcards
Fiche imagerie ischémie

.

Fiche imagerie inflammatoire

Fiche imagerie processus tumoral

Hémorragies : Imagerie médicale
Rx :
phase aigue ou subaigue : hématome a une densité hydrique non spéc –> se confond avec les structures musculoligamentaires adjacentes
phase chronique : calcifiés –> lignes radio opaques
Echo :
premiers jours : Anéchogène : NOIR
15 jours d’évolution : coaguler –> plus échogène donc Blanc
3 indications :
- polytraumatisé avec instabilité hémodynamique “FAST”
recherche d’une hémorragie dans une séreuse
si patient trop instable pour TDM
- PEC des lésions musculaires
- saignements profonds comme kystes ovariens hémorragiques
TDM :
Hématomes profonds ++++++
Sans injection : affirmer l’hémorragie
Avec inj : rechercher la cause (Anévrisme, plaie vasculaire …)
Artériographie :
embolisation
IRM : +++++ surtout en radioneuro +++
- hyperaigu (quelques heures) : hypo T1 et hyper T2
- aigu (J1-J3) : iso ou hypo T1 et T2
- subaigu précoce (J3 - J7) : Hyper T1 et Hypo T2
- subaigu tardif (J7 - J14) : Hyper T1 et Hyper T2 au centre de l’hématome // couronne hypo T1 et T2
- chronique (après J14) : Hypo T1 et T2
Scintigraphie aux hématies marqués au Tc99m :
saignement digestif occulte lorsque les méthodes arteriographiques et endocopiques sont NEG
Pas en urgence !!
+++ En urgence l’examen de 1ère intention est le plus souvent l’échographie suivi de la TDM ++++
Imagerie ostéoarticulaire
- Rx en 1ère intention pour l’app locomoteur sf si polytraumatisé => TDM
Attention fractures qui atteignent que l’os spongieux –> visible qu’a l’IRM ou scinti
Pareil, os médullaire –> IRM
Augm densité : Liée à activité ostéoblastique :
- os : arthrose avec condensation, tumeur benigne à croissance lente avec Réact° condensante de l’os adjacent, p° d’os par une tumeur comme l’ostéosarcome, anomalie dvlpmtale, intoxication, CAL OSSEUX
Scinti –> voir si actif ou NON
- tissus mous : calcification ou corps étrangers
Dim densité :
- focale –> ostéolyse (tumeurs, infection)
- diffuse –> déminéralisation (ostéoporose, infection, immobilisation prolongée, algodystrophie)
- TDM :
traumatologie / pathos inf ou tumorales
- IRM : le plus performant
os cortical : NOIR en T1 et T2
MO : hyper T1 iso/hyper T2
os trabéculaire peu visible
muscles faciles à distinguer des tendons et ligaments
+++ pour la recherche d’oedèmes ou d’infiltration tumorale dans l’os médullaire / traumatismes, tumeurs, infections… des muscles / ruptures tendons, ménisques, ligaments
Le plus souvent Hypo T1 hyper T2 cf oedème
mais Rx avant l’IRM pour l’analyse de l’os cortical
- Echo :
((muscle : isoéchogènes
tendons, ligaments : hyperéch.
os : hyperéch. avec un cône d’ombre post
liquides : Anéchog. ))
indications :
- rech épanchements IA –> Anéchogène
- l° ligam ou tend ; l° musc –> interruption de la continuité des fibres et/ou zones d’hypoech ou hétérogènes (hémorragies, oedèmes)
- tumeurs des tissus mous
Scinti osseuse : SO
très bonne Se –> Hyperfixation
- focale : fissure par ex
- régionale : algodystrophie, inf. par ex
- multifocale : métastases
- générale : ostéopathie métab
limites : superposition de pièces osseuses ; difficulté de déterminer quelle pièce osseuse se rattache à l’hyperfixation
–> TDM
l’augmentation de l’activité ostéoblastique ne permet pas de distinguer processus tumoral malin d’une atteinte bénigne (ex : tassement vertébral hyperfixant en SO qu’il soit de nature bénigne ostéoporotique ou maligne métastatique)
indications SO :
- explo sd douloureux souvent après premier bilan d’imagerie peu conclusif
- explo sd douloureux général inexplique
- Bilan d’extension initial et suivi d’un cancer ostéophile condensant –> en 1ère intension cf Se +++
- processus septique (ex : ostéomyélite)
- rech et éval. de tumeurs osseuses bénignes (ex : ostéome ostéoïde; dysplasie fibreuse) ou malignes (ostéosarcome)
- explo désordres métab osseux (ex : ostéopathie métab, maladie de Paget)
de même évaluation d’une anomalie osseuse déja connue :
- caractère récent ou ancien d’une lésion osseuse
- caractère métabolique actif ou non d’une l° osseuse
Souvent couplé à la TDM –> +++ pour la Spé
- TEP au F-FDG :
oncologie cf métab glucidique
+ performante que la scintigraphie osseuse dans l’éval. de certaines tumeurs osseuses non ostéoïdes comme le Sarcome d’Ewing
Imagerie SNC
- Dg : IRM ou TDM
TDM 3 minutes environ (URGENCES) :
subst blanche –> - dense => + NOIRE
subst grise –> + dense => BLANCHE
LCS , eau, air, graisse : hypodense => Noir
os –> hyper –> blanc
injecté N : augm densité art, veines, et plexus choroïdes
IRM 20 minutes –> indications : compression médullaire / tumeurs cérébrales (bilan préthérapeutique)
- Interventionnelle :
Angiographie par cathéterisme : invasif (ponction par art humérale, fémorale) + irradiant (Rx X)
- Explo Neuro en médecine nucléaire :
Tomoscintigraphie (emetteur de gamma comme le 99mTC ou 123I) ou TEP (18F-FDG) :
perfusion cerébrale (tomoscinti au 99mTC) / métabolisme glucidique (TEP au 18F-FDG)/ versant présynapsique de la synapse dopaminergique (FP-CIT* à l’ 123I = DATSCAN en scinti ou fluoroDopa 18F-DOPA en TEP) / dépot de plaques amyloïdes
important : MRP passent la BHE contrairement aux produit de contraste donc si les produits de contraste diffusent –> Rupture de cette barrière
Pour le DATSCAN pas besoin d’arreter des ttt antiparkinsoniens agonistes ou antag car ceux ci agissent au niveau post-synaptiques
18F-DOPA reflet de la synthèse dopaminergique versant pré-synaptique –> arret ttt antiparkinsoniens 12h avant ++++
N : fixation homogène et symétrique du MRP sur l’ensemble du cortex et des nyx gris centraux
P : asymétriques / ou symétrique mais densité anormale
DAT Scan et TEP à la F-DOPA peuvent aider au dg differentiel entre sd parkinsonien et tremblements essentiels
parkinson : dégénerescence nigriostriée avec atteinte du versant PRE synaptique au niveau striatal / asymétrie avec hypofixation du traceur controlatéral aux signes cliniques
Tremblement essentiel : PAS d’atteintes neurodég sous jacentes et images pré-synaptiques N +++
Dans la maladie d’Alzeimher –> traceurs de la plaque amyloïde en TEP ++

Imagerie ORL
- OS temporal : TDM / IRM
TDM : le canal semi circ lat est le plan axial de rf
IRM : étude des cavités du rocher, MAI et angles ponto cerebelleux
séquence écho de spin classiques (T1 avant et après inj de gadolinium, T2 avec suppression du signal de la graisse)
séquences 3D à forte pondération T2 dites liquidiennes
Imagerie Thoracique
1) Check list avant d’interpréter RX thor de face
- identité patient et date du cliché
- acquisition debout : niveau hydroaérique gastrique
- cadrage : des apex jusqu’aux culs de sacs pleuraux latéraux et inf
- inspiration : symétrie des clavicules avec proc. epineux
- contraste : distinguer rachis thoracique du médiastin
2) interprétation dans le plan de lecture suivant : Rx face
- tissus mous extrathoraciques, seins
- cadre osseux : rachis, cotes, clavicules, scapula
- médiastin : trachée, coeur, vx, lignes médiastinales
- hile : taille, position, densité
- plèvre : diaphr, costale, médiastinale
- champs pulmonaires : taille, situation, symétrie de transparence
- zones cachées : apex pulmonaires, hiles, rétrocardiaque, rétrodiaphragmatique
- sous le diaphragme : NHA gastrique
Rx de profil non systématique (+ irradiant)
si Profil : gauche systématique pour minorer la taille du coeur ++++ : nodules, masse, condensation alv, atélectasie / explorer les espaces clairs, rétrosternal et rétrocardiaque / objectiver un épanchement pleural de faible abondance de localisation post ou scissural enkysté
Face en expiration profonde –> majorer un petit pneumothorax ou confirmer corps etranger endobronchique obstructif
Rx X atténues –> opacités –> Blancs
Rx X transmis –> Clarté –> NOIR
3) TDM ++++
-
fenêtre Médiastinale : niveau 30UH largeur 350UH
- structures tissulaires et vasculaires avec injection de PC +++
- fenêtre parenchymateuse : niveau -400UH largeur 1600UH
- fenêtre osseuse : niveau 500UH largeur 1500UH
Imagerie Cardiovasculaire
- Orientation des plans de coupe (TDM, IRM, scinti) –> selon le VG : Image
- plan grand axe vertical : 2 cavités
- plan grand axe horizontale : 4 cavités
- plan petit axe perpendiculaire aux 2 précédants
=>Analyse précise des 5 parois du VG (ant, septale, inf, latérale et apicale)
- autres orientations possibles : selon le plan de chasse du VG ou infundiculum pulmonaire
- synchro à l’ECG
- Angiographie plus pour les gestes
-
echo / doppler
- plaques d’athérome : hypo (plaques molles et thrombus) ou hyper échogène avec cone d’ombre post si calcification
-
TDM avec injection tout le temps en cardio (sauf recherche sang frais ou mesure score calcique reflet du RCV)
- angio-TDM pulmonaire si suspicion d’EP ou bilan malformatif
- angio-TDM pulmonaire aorte (anévrisme, coarctation = rétrécissement de l’aorte, dissection)
- angio-TDM des coronaires
-
Scinti
- ventriculographie isotopique : albumine ou GR marques au 99mTc => FEV
- traceurs de la perfusion myocardique : cations lipophiles marqués au 99mTc
- autres traceurs : métab glucidique F-FDG –> ischémie = hyperfixation du fait de la glycolyse anaérobie +++ ou encore scinti à la 123I-MIBG : évaluer et quantifier l’innervation sympathique du myocarde
-
IRM : synchro à l’ECG indispensable +++++et il faut tenir compte des mouvements respiratoires ++++
- séquences écho de gradient utilisés +++++
- Mesure de la FE, de la masse myocardique et des VTD et VTS indexés à la surface corporelle du patient
- possibilité d’utiliser des sequences d’echo de spin pour lequel le sang apparaitra en hyposignal (NOIR) pour etudier le tissu ou paroi des gros vx
- cartographie des flux possible
- séquences de perfusion et de rehaussement tardif
- évaluer la perfusion myocardique et anomalies structurelles du myocarde
- ARM : angiographie par résonnance magnétique

Imagerie de l’abdomen
-
ASP
- +/i opacifications (sulfate de baryum, Iode)
- améliorent l’analyse du contenu des organes creux (liseré muqueux), volume, forme des organes
- transit
- corps étrangers, surveillance de lithiase rénales
- +/i opacifications (sulfate de baryum, Iode)
-
TDM (5-10 minutes)
- pas besoin d’etre à jeun
- Normal
- entéro-scanner : sonde ; a jeun
- coloscanner : on gonfle le colon au CO2 ; a jeun ; laxatifs pour vider le colon / pas de biopsie ni de résection
- organes pleins et creux
- recherche d’air extradigestive
- vascularisation
- anévrismes, sténoses des vx
- l° traumatiq
-
IRM : en dernier en général sauf K du rectum
- pas besoin d’être à jeun
- pondéré en T2 très utile car les structures liquidiennes non circulantes seront en hypersignal +++
- T1 liquides en hypo
- caractérisation des l° kystiq et solides
- suivis des entéropathies infl chroniques
-
Echo => 1ère intention en abdo sf K du rectum
- organes pleins
- abdominale : à jeun depuis plus de 6h
- étudier epaisseur de la paroi
- VB, voies viliaires, vessie car l’echo etudie bien les liquides et l° kystiques
- limités chez patients en surpoids
-
Scinti
- RGO
- motricité dig
- évaluer f° hépatiq
Anatomie polygone de Willis

Coupe sagitale médiane pondérée en T1 de l’encéphale

Coupe axiale pondérée en T2 de la fosse post

Coupe axiale du cerveau pondérée en T1 avec inj de Gadolinium (Fleshig)

Coupe coronale ou frontale pondérée en T2 (CHARCOT)

Vue lat et Med hémisphère Gauche

Angio IRM
Artères de l’encéphale

Angio-IRM
Veines de l’encéphale

Coupes IRM
(A) coronale pondérée en T2
(B) sagittale médiane pondérée en T1
(C) coronale pondérée en T1 après injection de gadolinium de l’hypophyse

Coupe axiale pondérée en T2 de la colonne cervicale par le disque intervertébrale C7-T1
a

Coupe axiale pondérée en T2 vert. lombaire L3
.

Angiographie conventionnelle par cathé –> opacification artère carotide interne par inj. de l’art. cérébrale ant. Gauche
.

TDM cérébral sans et avec injection
NORMAL
.

IRM cérébrale Normale
T1 : subst. blanche => Hypersignal
subst. grise => Hypo
T2 : inverse
Si on recherche prise de contraste au niveau des méninges tumeurs ou inflammation on fait une T1 avec injection de gadolinium => Il y aura augm intensité (PLUS BLANCHE) par rapport au T1
Important : Le tissu cérébral normal ne prend normalement pas le contraste après injection de Gadolinium car ne traverse pas la barrière HE. différent des MRP !!!!!
Pas obligé d’injecter contrairement à la TDM pour observer les vx –> séquences angiographiques sans injection
IRM hypophysaire
L’hypophyse est exploré uniquement en IRM ++++
T1 / T1 inj / T2
Normal :
- antéhypophyse : isosignal T1 et T2
- posthypophyse : hypersignal T1 spontané cf ADH
T1 inj : l’antéhypophyse se réhausse de manière homogène du fait de l’abscence de BHE
Exemples d’hypodensité en TDM SANS injection
.

TDM SANS injection : exemples d’hyperdensités
.

IRM cérébrale les différentes séquences
Normale
.

- Graisse intraorbitaire : Hyper toutes les séquences
- Air : Hypo toutes les séquences
IRM médullaire
moelle épinière explorée uniquement en IRM comme l’hypophyse
comme le cerveau pour SG et SG
IRM cérébrale T1 sans inj
Hématome en f° du temps
..

Tumeurs cérébrales en TDM et IRM
souvent entourés d’un oedème vasogénique en plage, mal limité et atteint préférentiellement la substanche BLANCHE CONTRAIREMENT à l’oedème ischémique cytotoxique !!!
- TDM :
Hypodense du fait de l’augm de l’eau libre
TEP au 18F-FDG –> bilans et recidives
effet de masse
engagements sous falcoriel / temporal / amygdalien
- IRM :
Hypo T1
Hyper T2 et T2 flair
TEP 18F-FDG CERVEAU
.

Tomoscinti au DATSCAN
.

Le putamen
Le putamen constitue la partie latérale du noyau lenticulaire, dont la partie médiale est le pallidum. Il est bordé latéralement par la capsule externe qui le sépare du claustrum.
Les deux fonctions principales du putamen sont la régulation des mouvements et l’influence de différents types d’apprentissages. Pour ce faire, cette structure utilise les neurotransmetteurs GABA, l’acétylcholine et l’enképhaline.
Le putamen joue également un rôle dans des maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson.
Imagerie de l’ischémie cérébrale
Entraine un oedème cytotoxique qui touche plutot la substance grise dans les premières heures.
- TDM : hypodensité (discrète au debut puis de plus en plus marqué)
- IRM : + sensible que TDM à la phase précoce ++++ cf. ttt de reperfusion de l’AVC ischémique
Séquence de diffusion indispensable au Dg –> Hypersignal dès la première demi-heure
T2 et FLAIR : apparition de l’hypersignal jusqu’à 6h après
Angio TDM/IRM :
non opacification ou visualisation de l’artère occluse cf caillot
TUMEURS CÉRÉBRALES EN TDM ET IRM
Croix Noire : Parenchyme
croix blanche : oedème +++
TDM :
hypodense rehaussée après injection
IRM :
T1 : hypo
T2/FLAIR : hyper

IRM cérébrale de lésions kystiques avec effet de masse et engagement
en coupe sagittale T1 sans injection (A)
en coupe coronale T1 après injection de gadolinium (B)
.

Malformation de Chiari
La Malformation d’Arnold-Chiari est une malformation congénitale du cervelet. C’est une maladie rare, due au fait que la partie inférieure du cervelet, au lieu de reposer sur la base du crâne s’engage dans le trou occipital (foramen magnum) normalement occupé par le tronc cérébral, augmentant ainsi la pression sur la moelle épinière et le cerveau et pouvant causer de multiples symptômes.
Tonsille cérébelleuse = amygdale cérébelleuse
Ptôse = position anormalement basse Ectopie = Hernie = organe qui se positionne anormalement
Malformation de Chiari de Type 1
La malformation de CHIARI type I correspond à une position basse des amygdales cérébelleuses dans le foramen magnum
La Malformation de Chiari est définie par une hernie dans du foramen magnum de plus de 5mm. On parle également de « ptôse des amygdales cérébelleuses » supérieure à 5 mn.
On parle d’Ectopie en cas de ptôse de 3 mm à 5 mm.
Moins de 3 mm est considéré comme une variante de la normale.
Malformation de Chiari de type 2
Chiari type 2 (source @ medscape.com)
La malformation de CHIARI type 2 correspond à une malformation extensive du système nerveux central, caractérisée par une élongation en forme de poche formée par le 4e ventricule (qui se modifie), les structures du tronc cérébral et le vermis du cervelet (partie qui sépare les deux lobes du cervelet). Les anomalies ostéo-durales (os et dure mère) réduisent les dimensions de la fosse cérébrale postérieure. Elle est le plus souvent (mais pas toujours) associée à un mélyo-méningocèle (spina-bifida).
Le fait primitif de la Malformation de Chiari de Type 2 semble être une séquelle d’un dysraphisme spinal (fissure de la colonne vertébrale) survenu à la 4eme semaine de gestation. L’hypothèse du rôle de la carence maternelle en folates est évoquée comme cause.

Amygdales cérebelleuses
= Tonsilles cérebelleuses

CHIARI type 1 VS type 2
.

IRM coupe coronale
Dg et coupes ?
.

TDM cerebrale sans injection
Dg ?
.

IRM
DG ?
A : diffusion ++++
seulement pour AVC ischémique => Hypersignal
B : FLAIR
C: Angio-IRM

Imagerie hémorragie cérébrale
TDM :
sang frais –> Hyperdense
puis Hypodense cf. dégradation de l’Hg
Hématome extra dural : lentille biconvexe hyperdense entre dure mère et voûte osseuse
Hématome sous dural : croissant à concavité interne hyperdense entre arachnoide et dure-mère / Plus étendu en général que l’extra dural
Hématome sous arachn. : secondaire à rupture d’anévrisme souvent / hyperdense entre pie mère et archn. / citernes base du crane ou fond des sillons corticaux
Hématome intra-cérébral : hyperdensité dans parenchyme cérébral.
recherche des causes de l’épilepsie, sd démentiel, tremblements et mvmts anormaux ?
IRM
Résumé imagerie SNC
IRM 1ère intention affections médicales neurologiques
SB en hyper T1 / Hypo T2 FLAIR
SG en hypo T1 / Hyper T2 FLAIR
TDM –> Traumatologie
Sang frais –> Hyperdense en TDM / signal variable à l’IRM
Imagerie métabolique : MRP spécifiques pour perfusion cérébrale, métab glucidique, dépots des plaques amyloïdes
TDM rocher normal coupe axiale
.

IRM de l’angle ponto cérebelleux séquence liquidienne (ORL)
.

Indication imagerie cf sémio ORL
Oreille externe et moyenne
- OE et OM : souvent surdité de transmission
- Patho aigues
TDM permet etude des osselets et des parois
complications endocranienne d’une otite moyenne et/ou d’une mastoïdite –> TDM ou mieux, l‘IRM permet de rechercher un abcès Intracranien, une thrombophlébite cérébrale, voire signes de méningite ou labyrinthite
TDM/IRM –> rechercher signes d’ostéites dans le cadres des otites externes nécrosantes
scinti au 99mTc-diphosphonate –> infos complémentaires à l’imagerie morpho pour le dg d’ostéite
- Patho chroniques
image
explo des vertiges –> IRM oreille interne
nerf cochléovest et facial –> IRM pas de TDM

Indication imagerie cf sémio ORL
Oreille interne et traumas du rocher et nerf facial
- Oreille interne :
TDM –> morpho du labyrinthe osseux
IRM –> liquidien donc sd cochléovestibulaires (surdité de perception, acouphènes, vertiges), eliminer un neurinome du VII + verifier signal des liquides de l’oreille.
- Trauma du rocher :
TDM
Trauma nerf facial :
TDM et IRM devant une paralysie faciale périph
mastoïdite droite
TDM et IRM
.

Schannome ou neuronome du nerf auditif
.

imagerie cervico faciale non oncologique
1) Fosses nasales et sinus paranasaux
première intention : TDM
sinusite aigue simple –> pas d’imagerie sauf si disfonctionnement rhinosinusien chronique (> 3mois) ou complication d’une sinusite aigue (orbite, encéphale d’une ethnmoïdite)
rechercher une sinusite d’origine dentaire –> dentascanner
cone beam (tomographie X à faisceau conique) –> alternative pour sinusite chronique ou foyer dentaire (aigue = piège)
2ème intention : IRM –> bilans d’extention et surveillance post-thérapeutique en complément de la TDM
2) Trauma massif facial
TDM : fractures du massif facial –> classification de Lefort
3) Glandes salivaires
echo en 1ère intention
si obstacle incertain ou tumeur suspectée –> IRM (Sialo-IRM)
La scinti peut conforter le dg d’hyposialie par analyse dynamique de la sécrétion du MRP
4) VADS
viscères, vx et nds lymph => TDM avec filtre adapté aux parties molles
avec injection si suspicion d’abcès cervical profond ou devant des signes de cellulite extensive
5) Thyroïde
echo
TDM massif facial N
coupe coronale
fenetre osseuse
.

TDM massif facial N
coupe axiale
.

Ethmoïdite en TDM
.

IRM tumeur du nasopharynx
Bilan d’extension
.

Cancers VADS
TDM ac injection / IRM
TEP au 18F-FDG –> bilan d’extension tumeur du nasopharynx sur l’image en TEP / en cas d’adénopathie métastatique sans porte d’entrée elle permet de detecter la tumeur primitive dans 30 à 50% des cas

Rx de face
les lobes
.

Sémio Rx Thorax
- Rx X atténues –> opacités –> Blancs
- Rx X transmis –> Clarté –> NOIR
- plus c’est opaque –> plus c’est dense –> donc plus c’est BLANC ++++
- en terme d’opacité : calcification > tissu > graisse
-
clarté = diminution de l’opacification = NOIR
- remplacement du tissu N par de l’air
-
Localisations :
- Médiastinales
- Sup : au dessus crosse de l’aorte
- Moy
- INF : sous la carène
- ANT : en avant de l’aorte ascendante et du coeur
- moy
- Post : derrière une ligne passant à 1 cm en arriere du bord ant des corps vert
- parenchymateuses
- pleurale : opacité déclive (épanchement); clarté (pneumoth); opacité avec angles de raccordement doux (lésions pleurales)
- pariétale : clartés pariétales témoignent de la présence anormale d’air dans la paroi –> cause la plus fréquente = emphysème pariétal accompagnant un pneumothorax
- Médiastinales
- une fois la lésion identifiée
- limites nets (réguliers ou irréguliers ?) ou flous ?
- si limites nets irréguliers sont ils macrolobules, microlobules ou spiculés ?
- Forme ?
- densité ?
- taille ?
- limites nets (réguliers ou irréguliers ?) ou flous ?
Non indications Rx du thorax
NON INDICATION :
- maladies respiratoires non tumorales
- maladies CV
- maladies tumorales –> pas d’indication dans le dépistage et rares indications pour le suivi entre 2 TDM
- bilan préanesthésie –> pas chez les moins de 60 ans sans comorbidités Cardio-Pulm
- Réa : pas indique chez patient stable NON ventilé
- Urg : seulement si suspicion de perforation oesophagienne, dissection aortique ou rupture d’anévrisme
Sémio TDM thoracique
- étude du médiastin
-
taille
- aorte ascendante N<45mm sinon anévrisme
- art pulm N<29mm sinon forte suspicion HTP
-
Contenu : vx, dissection aortique, EP, gg, épanchements
- taille des gg lymph N<10mm, morpho, densité
- nx lymph à centre graisseux = Benin
-
taille
-
étude du parenchyme
- 2 syndromes
- alvéolaire : parenchyme pulmonaire BLANC (HYPERDENSE) au sein duquel on parvient encore à distinguer les bronches normalement aérées (encore noires) : signe du bronchogramme aérique. La condensation alvéolaire est SYSTEMATISEE à un segment et associée à un sd infectieux clinique et biologique (pneumopathie infectieuse souvent). autres causes possibles : OP cardiogenique ou non; pneumopathie d’aspiration par fausse route ; hémorragie pulm ; infarctus parenchymateux complicant une EP, pneumonie médicamenteuse
- interstitiel : liquide ou cellules anormales dans l’interstitium pulm ou un épaicissement de la paroi des alvéoles / micronodules (<3mm), nodules ou plages en verre depoli
- 2 syndromes
scinti pulmonaire => perfusion et ventilation pulmonaire
- recherche d’EP
- hypofixation en perfusion mais pas en ventilation à la phase aigue
- bilan préopératoire d’un K pulm
TEP au F-FDG
- caractériser les nodules pulmonaires
- bilans d’extension des K pulm, réponses aux ttt et recidives
- Bilan de la maladie infl (ex : sarcoïdose) ou infectieuse (ex : infection de prothèse)
Densite en TDM
si tu connais ca juste besoin de reflechir c’est de la logique pure
+++

Dg de cette Rx thorax ?
2 masses spiculées lobaires sup Droite

Rx N du thorax F et P avec les repères importants
.

Rx patient admis aux urg pour AEG et dyspnée ?
spiculé = poitu, forme d’aiguille

Patient avec double K pulmonaire droit
Dg ??
(1) = nodule lobe sup D
(2) masse lobe moyen ou inf ?
pour savoir :
si son bord se confond avec bord droit du coeur => lobe Moyen
Ici il ne se confond pas, il est donc dans le plan plus postérieur donc inférieur Droit +++

Dg ?
Epanchement pleural bilatéral
opacité dense, homogène, non systématisée, effaçant les contours des éléments de voisinage, non rétractile, limitée par une ligne bordante concave en haut et en dedans = ligne de Damoiseau
La différence avec une atélectasie pulmonaire se fait sur les signes de déviation médiastinale : vers l’opacité en cas d’atélectasie, vers le côté sain en cas de pleurésie

Dg des 2 cas ?
.

Dg?
.

TDM thoracique fenêtre médiastinale et parenchymateuse
.

TDM thoracique médiastinal injecte
.

TDM thoracique fenêtre médiastinale coupe axiale
Différentes anomalies
Base des bases

Dg ?
.Adénocarcinome pulmonaire

Mésothéliome en TDM
a ne pas confondre avec épanchement pleural

épanchement pleural en TDM
.

Dg de cette TDM thoracique en fenêtre parenchymateuse ?
.

Dg de ces 2 TDM thoraciques ?

scinti thoracique EP récente
.

TEP -Scan bilan d’extension masse pulmonaire droite
.

Coronaro et coroscanner
Dg?
+++.

Rappel sur le trajet des coronaires
Base des bases

echo / doppler cardio
.

exemples echo et doppler en cardio
.

Angio TDM Anatomie N
.

La plupart des MRP sont CI chez la FE (femme enceinte) +++
+++
séquence ciné-IRM en cardio
.

séquence IRM morphologique “sang noir” pondéré en T1
.

Cartographie des flux en cardio

IRM de perfusion myocardique
donc avec injection de gadolinium
.

Grands syndromes CV et leurs moyens d’explo
- sténose
- echo / TDM
- >70% = seuil opératoire
- Anévrisme
- TDM +++++++
- sacciforme = en sac ou fusiforme = en fuseau
- Dissection
- clivage artériel entre intima et media
- hématome spontanément HYPERdense en TDM
- classification de Stanford
- A : aorte ascendante
- B : au dela de l’artère subclavière G
- urgence –> sd aortique aigu avec l’hématome intramural de l’aorte et ulcère athéromateux pénétrant
- TDM en 1ere intention
- suivi : IRM possible
-
TVP
- 1ère intention : echo
- abscence de flux en doppler et caillot complètement ou partiellement occlusif dans le vaisseau
- –> EP –> angio TDM voire scinti (plus rarement)
IRM cardio
grand axe vertical
rehaussement tardif : 10minutes apres injection
T1
de même épanchement péricardique +++

Angio TDM aortique plan axial
Dg ??

Angio TDM d’une dissection aortique
Stanford type ?
réponse : B (après l’art. sub-clavière G)
La dissection débute par une « porte d’entrée », rupture de la paroi interne (intima) permettant le décollement de cette dernière en pleine media (partie moyenne de la paroi). Ce décollement s’étend le plus souvent d’amont en aval et forme une poche de sang circulant, le « faux chenal », séparé du « vrai chenal » (la lumière de l’artère) par un flap (constitué par la paroi décollée). Plus rarement, la progression se fait en rétrograde : d’aval en amont (un tiers des cas).

Pathologie des coronaires en imagerie
-
Test d’ischémie couplé à l’imagerie
- echo, IRM ou scinti
- confirmer ou non le Dg de maladie coronaire, pronostic et indication thérap
- repos / après stress myocardique
- echo scinti => possible de couplé à l’effort
- IRM => Impossible (l)
- Imagerie des coronaires : TDM (coroscanner) et coronarographie
-
Viabilité myocardique : 3 techniques
- IRM injecté +++++++
- scinti au 201Tl
- TEP au FDG
image +++

scinti myocardique au 99mTc
Il s’agit d’une épreuve d’effort dont il faut bien connaître les modalités de prescription (et d’interprétation !) pour l’ECN.
- Indications :
– Dépistage d’ischémie coronaire d’effort devant une symptomatologie évocatrice (angor)
– Suivi sous traitement après SCA et/ou angor (efficacité de l’angioplastie)
– Suivi de maladies de système : sarcoïdose, maladie de Wegener (vascularite c’est-à-dire une inflammation des vaisseaux sanguins. Dans la maladie de Wegener ceux sont les petits et moyens vaisseaux qui sont atteints et parallèlement il y a une granulomatose c’est-à-dire un amas de cellules sous la peau qui forme comme des petites bosses)
- Réalisation de l’examen :
En pratique, le médecin a le choix entre deux produits radioactifs : le Thallium 201 et le MIBI (il oriente son choix en fonction du poids du patient, du terrain cardiologique…). En présence d’un cardiologue, le patient va effectuer son épreuve d’effort (pédaler sur un vélo statique ou tapis roulant) pour réaliser un effort significatif qui conditionnera l’interprétation de son examen : par paliers, l’effort devient de plus en plus intense. Le plus souvent, cet effort n’excède pas 15min.
Les paramètres suivis pendant l’effort sont la fréquence cardiaque, la pression artérielle et l’ECG.
Ensuite, une première série d’images est réalisée après injection du radiotraceur : il s’agit de la scintigraphie myocardique d’effort. Le patient est mis au repos pendant 2h puis est réalisée la deuxième série d’images : scintigraphie myocardique de repos.
En cas d’effort insuffisant ou de contre-indication relative (prothèse de hanche, gonarthrose invalidante), on peut avoir recours à l’injection d’un vasodilatateur : la persantine (dipyridamole) en l’absence de contre-indication (asthme, BPCO, AVC récent). La théophylline et la caféine sont des antagonistes de la persantine (à bien présider au patient avant la réalisation de l’examen).
Interprétation de l’examen :
Pour être contributive, une épreuve d’effort au cours d’un scintigraphie myocardique de dépistage d’ischémie doit être maximale (>85-90% de la fréquence maximale théorique atteinte), démaquillée (arrêt de tout traitement bétabloquant) et avec une charge suffisante (notée en watts).
Le médecin compare la série après l’effort et au repos : on peut individualiser 2 situations typiques
– Ischémie myocardique : hypofixation de la paroi myocardique (hypoperfusion) à l’effort avec reperfusion complète au repos (fixation normale du traceur)
– Infarctus/nécrose myocardique : hypoperfusion superposable à l’effort ET au repos
Le traitement des différentes séries d’image permet de calculer la FEVG, des paramètres volumétriques (volume télésystolique, volume télédiastolique…) et de mettre en évidence des troubles de la cinétique du ventricule gauche.
Après une scintigraphie myocardique positive, il est nécessaire de demander une coronarographie pour faire le bilan exhaustif des lésions coronariennes (sténoses) et réaliser le traitement adéquat (angioplastie/stent).

Scinti myocardique
+++
on ne voit que le VG sur une scinti myocardique
VD non explorable sa perfusion etant beaucoup plus faible et sa paroi plus mince +++
Par rapport au scanner les coupes +++ ((donc inversions))
coupe horizontale : 4 cavités Rien inverser
axe vertical : inversé Antérieur et inférieur par rapport à la logique
pareil petit axe inversé pour ant et inf

Reperes scinti
.

exemple nécrose ou ischémie chronique (hibernation)
territoire ??
Inferieur

Dg différentiels des SCA
+++
myocardite : IRM seulement +++

Insuffisance cardiaque (Imagerie)
- IC
- evalué à l’echo, IRM ou ventriculographie isotopique –> FEVG
- souvent cavités cardiaques (surtout G) sont dilatées
- élargissement silhouette médiastinale avec index cardiothoracique > 0,5
- OP cardiogénique : opacités flaconneuses bilat, lignes de Kerley de type B (2 à 3 mm de largeur et 1 cm de longueur) prédominants aux bases et/ou type C (lignes B vues de face) + épanchement pleural bilat souvent
- TDM : physiopath de cet OP : epaicissement des septas interlobulaires à prédominance apicale lié à la dilat veineuse pulm, verre dépoli par engorgement alv et épanchement pleural
Imagerie : rx et TDM ici

Lignes de Kerley
On en distingue 4 types :
- Les lignes A, centrales, dirigées vers le hile.
- Les lignes B, les plus fréquentes sont horizontales, périphériques et situées dans l’espace (sinus costo-diaphragmatique). Elles se rencontrent chez les patients présentant une pathologie cardiaque, et plus particulièrement ceux qui ont une atteinte des valves mitrales, associée à une élévation de la tension artérielle de l’appareil pulmonaire. On les observe également dans d’autres pathologies pulmonaires, associées à :
- Livedo de Ehrmann
- Lupus érythémateux disséminé
- Une leucémie.
- Une réticulose : Toute affection caractérisée par une prolifération des cellules réticulaires et des histiocytes. On distingue les réticuloses primitives : histiocytoses malignes, dont on rapproche la maladie de Hodgkin et les réticulosarcomes et les réticuloses secondaires à des infections comme le kala-azar ou par surcharge comme la maladie de Gaucher, de Hand-Schüller-Christian, etc.
- Un cancer.
- Une sarcoïdose.
- Une silicose. Elles sont le résultat d’un oedème (collection de liquide) et de l’accumulation de poussière, ou encore de calcifications des régions situées entre les lobules pulmonaires : les septums interlobulaires.
- Les lignes C sont des opacités apparaissant sous forme d’un petit filet (opacités réticulaires)
- Les lignes D, plus épaisses et plus longues, siègent dans les régions en avant et en haut des poumons.
A –> apex
B : bases
C : bases + apex
D : patho interstitielle chronique avec forme réticulaire

Anévrismes
.

Semio imagerie abdo
- péritoine
-
pneumopéritoine
-
TDM ++++
- clarté aérique dans la cavité abdominale en dehors des lumières digestives
- causes : perforation organe creux; passage d’air depuis l’extérieur
- souvent en avant sous la paroi abd, en avant du foie, sous le ligament rond proche du lit vésiculaire)
- ASP (à eviter)
- debout
- face inf des coupoles diaphr
-
TDM ++++
-
ascite
- echographie : liquide anéchogène donc noir
- TDM
-
infiltration de la graisse péritonéale
- augm densité des tissus graisseux infiltres par de l’eau
- imagerie en coupe, JAMAIS d’ASP
-
pneumopéritoine
- TD
-
dysphagie
- TOGD : differencier dysphagie organique des fonctionnelles (atteinte motrice)
- fibro et TDM si tumeur
-
sd occlusif
- NHA en dehors de l’estomac
- occlusion digestive = NHA + distension significative des anses grêles au dela de 30mm
- la cause d’un NHA dans la vessie est soit une fistule avec le TD soit sondage vésical qui a introduit de l’air
- echo, TDM, IRM pour les NHA
-
anomalie de la paroi digestive
- ECHO
-
TDM
- <3mm
- densité tissulaire qui se rehausse après inj PC
- réhauss et épaisseur modifié si processus isch, infl, tumoral, inf
-
dysphagie
- foie et voies bil
-
calculs vésiculaires
- pas toujours calcifiés surtout les biliaires +++++
- visibilité echo > TDM +++++
- ECHO : hyperéchogènes avec atténuation post (cône d’ombre post)
-
anomalies voies biliaires
- dilatation : tubulée de contenu anéchogène en écho
- si lésion tumorale suspéctée => TDM inj
- cholangio IRM : calibre, présence de sténoses multifocales, épaicissements pariétaux et dilatation de l’arbre biliaire
-
surcharge hépatique
-
graisse : stéatose
- Echo : hyperéchogène
- TDM : hypodense : Plus NOIR que foie ou rate
-
fer
- pas détectable à l’echo
-
IRM = référence
- chute du signal dans le parenchyme
- plus la chute est importante plus il y a de fer => pas besoin de biopsies
-
graisse : stéatose
-
calculs vésiculaires
- sd tumoral
-
lésions kystiques = liquidiennes
- echo : liquidien pur => Anéchogène avec renforcement post des ultrasons
- IRM T2 pour les contenus liquidiens
-
lésions solides ou tissulaires
- echo : souvent hypoéchogène sans modification du fx d’ultrason en arrière +++
- TDM / IRM avec inj (IRM plus performante)
- formations liquidiennes et kystiques ne se rehaussent pas après inj
-
lésions kystiques = liquidiennes
echo Nodules ou masses hépatiques
.

TOGD principe
.

lavement opaque principe
.

Anatomie omentum
Un omentum (épiploon) est un pli double ou une extension du péritoine à deux feuillets qui relie l’estomac et la portion proximale du duodénum à des organes abdominaux adjacents ou à la paroi abdominale.
Le grand omentum (grand épiploon) est un important repli péritonéal suspendu comme un tablier à la grande courbure de l’estomac et à la partie proximale du duodénum. Après être descendu, il se replie vers l’arrière pour s’attacher à la face antérieure du côlon et du mésocôlon transverses.
Le petit omentum (petit épiploon) relie la petite courbure de l’estomac et la partie proximale du duodénum au foie. Il unit également l’estomac à une triade de structures qui cheminent, au niveau de son bord libre, entre le duodénum et le foie.
Un ligament péritonéal est un double feuillet péritonéal qui unit un organe à un autre ou à la paroi abdominale.
TDM injecté abdo
repères
.

TDM abdo avant et après inj
Dg ?
.

Examen ?
dg ?
.

Coloscanner

IRM abdo
T1
T2
cholangio IRM
++

Anat Veine porte
.

Echo de contraste abdo
Tumeur qui se réhausse

Pneumopéritoine imagerie
.

Ascite
Les 2 examens qu’on peut réaliser ?
ici ascite péri hépatique en TDM


Imagerie d’une infiltration infl de la graisse

dg d’une occlusion en imagerie ?
NHA en dehors de l’estomac
occlusion digestive = NHA + distension significative des anses grêles au dela de 30mm
echo, TDM, IRM pour les NHA

Aspect N ou P paroi dig en imagerie?
ECHO
TDM
N <3mm
densité tissulaire qui se rehausse après inj PC
réhauss et épaisseur modifié si processus isch, infl, tumoral, inf

Calculs vésiculaires à l’écho
.

Stéatose en imagerie
Surcharge hépatique en fer
Rappel cf TDM :
Foie plus dense que le rein donc plus noir à l’écho
-
graisse : stéatose
- Echo : hyperéchogène
- TDM : hypodense : Plus NOIR que foie ou rate
-
fer
- pas détectable à l’echo
- IRM = référence
- chute du signal dans le parenchyme
- plus la chute est importante plus il y a de fer => pas besoin de biopsies

Kyste en imagerie
lésions kystiques = liquidiennes
echo : liquidien pur => Anéchogène avec renforcement post des ultrasons
IRM T2 pour les contenus liquidiens

Dg de cette IRM ?
.

Echo vésicule biliaire
2 anomalies ?
.

Echo foie dg ?

Dg de cette IRM ?
.

Scinti hépatobiliaire N
.

scinti séquestration splénique
.

2 TEP patho en imagerie de l’abdo
.

atélectasie ou épanchement pleural ?
Bronchectasie / distension thoracique
La différence avec distension thoracique en imagerie ?
La bronchectasie ou bronchiectasie ou dilatation des bronches (DDB) est une dilatation des bronches chronique, le plus souvent acquise à la suite d’une maladie des bronches, du poumon ou de la plèvre. Elle est caractérisée par une dilatation des bronches de petit et moyen calibre et s’accompagne souvent d’une expectoration mucopurulente abondante, qui traduit l’infection surajoutée. Elles peuvent être localisées ou diffuses.
La différence avec distension thoracique en imagerie ?
ERRATA
ERRATA