Guide de préparation OIIQ Flashcards
Quelle position pour douleur à l’épaule droite suite à chx laparoscopie
Position latérale gauche avec flexion du genou droit puisqu’elle permet
d’éloigner le gaz carbonique du diaphragme.
Critères permettant de donner congé au pt de chir d’un jour
absence de saignement ou d’écoulement de plaie excessif
état de conscience adéquat (alerte)
mobilité
maîtrise de la nausée et des douleurs postopératoires
accompagnement, etc.
On suspecte début de dépression après combien de temps
14 jours
La douleur chez la personne âgée se manifeste souvent par des symptômes atypiques tels que 2
la diminution des activités et la perte de l’autonomie fonctionnelle.
Quelle échelle utilisée si douleur ne correspond pas au non verbal par exemple chez PA qui ne veut pas déranger le personnel
échelle visuelle analogique
Différence entre syndrome malin des neuroleptiques et syndrome sérotoninergique
Les indices orientant vers un syndrome sérotoninergique comprennent la prise de médicaments sérotoninergiques, l’apparition rapide (p. ex., dans les 24 heures), et l’hyperréflexie, contrairement aux réponses réflexes souvent diminuées dans le syndrome malin des neuroleptiques.
L’horaire strict et complexe associé aux diverses médications
utilisées pour le traitement de la MP est une source de défis pour
les différents professionnels de la santé en milieu hospitalier
Un délai très court qui ne respecte pas l’horaire peut amener immédiatement des SEP ou akinésie/syndrome immobilisation
Le projet para-chutes
- Connaître les facteurs de risque de chutes et les conséquences d’une chute chez les résidents âgés de 65 ans
et plus. - Sensibiliser l’équipe clinique sur l’importance de prévenir
les chutes chez les résidents. - Démontrer la capacité à sécuriser l’environnement d’un
résident à l’aide du matériel présent dans une chambre
des erreurs (simulation in situ).
Vrai ou faux
Lors de la sélection d’un DAV pour un patient, les seuls critères à prendre
en considération sont les types de traitements intraveineux et le réseau
veineux.
Faux
Selon les lignes directrices de l’ACAV (2019a), la sélection du DAV est
déterminée selon neuf critères, lesquels permettent aux infirmières et aux
médecins de sélectionner le DAV le plus approprié à la trajectoire de soin du
patient ainsi qu’à son mode de vie.
Les critères sont les suivants :
* la fréquence voulue et la durée du traitement;
* le traitement prescrit (p. ex. : l’osmolarité, le pH, les propriétés vésicantes
ou irritantes);
* les antécédents d’accès vasculaires et l’anatomie du patient;
* les comorbidités du patient (p. ex. : état de la fonction rénale);
* l’âge et le stade de développement;
* les activités du patient (p. ex. : sport, emploi);
* l’intégrité de la peau;
* la préférence et le mode de vie du patient;
* les ressources offertes pour le soin et l’entretien du DAV.
VRAI OU FAUX Face à un patient autonome qui souffre d’une maladie chronique et
qui nécessite l’administration de thérapies intraveineuses de façon
intermittente, mais récurrente sur plusieurs mois, l’installation d’un
DAV sous-cutané (Port-a-cath ou chambre implantable) serait la plus
appropriée.
VRAI
Le DAV sous-cutané est en effet idéal pour les patients (ACAV, 2019a; Nickel
et al., 2024) :
* ayant des plans de traitement intermittents de longue durée (mois ou
années);
* étant atteints d’une maladie chronique combinée à un besoin de thérapie
intraveineuse régulière, intermittente ou fréquente, comme la fibrose kystique, l’anémie falciforme et le cancer;
* ayant un faible réseau veineux;
* étant actifs, car le cathéter est caché sous la peau et, lorsque non utilisé, il
ne limite pas les AVQ/ADV et l’activité physique, outre le sport de contact,
contrairement aux cathéters centraux introduits par voie périphérique
(CCIVP
Vrai ou faux Face à un patient « difficile à piquer » et nécessitant un traitement intraveineux d’une durée de deux semaines, le DAVC devient la seule option.
faux
Si le traitement intraveineux à administrer est compatible avec les indications d’un cathéter court périphérique, certaines étapes doivent être
effectuées par le personnel infirmier avant le recours à l’utilisation d’un
DAVC.
* Dilater les veines de votre patient à l’aide des techniques simples suivantes avant de tenter d’installer le cathéter court périphérique (ACAV,
2019a) :
Demander au patient de garder le membre plus bas que le cœur avant
d’installer le garrot;
- Appliquer de la chaleur sur le site choisi, pendant environ cinq minutes
ou selon le confort du patient, avant de d’installer le garrot.
* Si votre tentative est infructueuse, faire appel à un collègue expert de
votre unité ou de votre établissement.
* Si disponible dans votre établissement de santé, demander à avoir recours
à l’installation d’un cathéter court avec l’aide de l’échoguidance :
- Des infirmières formées à l’utilisation de l’échoguidance pour installer
des cathéters courts sont maintenant présentes dans plusieurs établissements de santé. Renseignez-vous auprès de votre supérieur.
* Si l’ensemble de ces interventions s’avèrent infructueuses, une demande
d’installation de DAVC peut alors être effectuée, comme le recommande
la Infusion Nurses Society (INS) (Nickel et al., 2024).
Vrai ou faux Le choix d’installer un DAVC à une ou à plusieurs lumières (voies) dépend
de la préférence de l’infirmière et du médecin ainsi que de la quantité de
traitements à administrer au patient (p. ex. : administration d’antibiotiques
intraveineux, produits sanguins, chimiothérapie).
Faux
Le nombre de lumières (voies) que possède un DAVC est une caractéristique importante à prendre en considération, car plus nombreuses sont les
lumières (voies), plus grands sont les risques de développer des complications comme une occlusion, une thrombose et/ou une bactériémie (ACAV,
2019b; Gorski et al., 2016; O’Brien et al., 2013). D’ailleurs, l’ACAV (2019a)
recommande, selon le plan de traitement, de sélectionner l’accès veineux
central ayant le moins de lumières (voies) possible afin de diminuer ces
risques de complications.
À elle seule, une bactériémie acquise par cathéter central augmente de 30 %
le risque de décès, prolonge le séjour hospitalier de 14 à 21 jours et représente de 34 000 $ à 56 000 $ en coûts supplémentaires à l’établissement de
santé (Yu, Jung et Ai, 2023).
Vrai ou faux 5. L’infirmière peut administrer un traitement intraveineux dans tous les DAV
périphériques et centraux, y compris les DAV sous-cutanés, SANS avoir
recours à une prescription médicale permettant d’y accéder.
Vrai
En effet, « outre les voies d’administration usuelle, l’infirmière peut administrer un médicament ou une autre substance par les voies entérale et
parentérale, par les accès vasculaires sous-cutanés, périphériques et centraux, de même que par les voies intrathécale et épidurale lorsqu’un cathéter
est déjà installé […] », comme le mentionne Le champ d’exercice et les activités réservées des infirmières et infirmiers (OIIQ, 2016). Aucune prescription
médicale n’est alors nécessaire. *
Une femme est primigeste lorsque sa première grossesse est en cours et primipare lorsqu’elle accouche pour la première fois.
Bon nombre de femmes ne commencent à prendre
de l’acide folique qu’après la conception, bien qu’il
constitue une importante mesure de prévention des
anomalies du tube neural.
Les anomalies du tube neural (ATN) représentent une cause de mortalité des nouveau-nés et figurent parmi
les dix principales causes de décès des enfants en bas âge
Les anomalies du tube neural affectent le cerveau, la
colonne vertébrale et la moelle épinière. Elles induisent
des troubles neurologiques et des difficultés d’apprentissage. Leurs répercussions sont graves et peuvent
même entraîner la mort; parmi elles, le spina bifida,
ouvert ou fermé, appelé aussi dysraphisme spinal, qui
résulte d’une fermeture incomplète du tube neural.
recommande aux femmes de commencer à prendre une
multivitamine contenant de l’acide folique deux à trois
mois avant leur grossesse, de continuer à la prendre pendant leur grossesse et après leur accouchement, et
ce, pour une période de quatre à six semaines suivant
l’accouchement ou encore jusqu’à la fin de la période
d’allaitement
Étant donné l’absence d’instabilité hémodynamique, il n’y a pas
besoin de thrombolyse. L’Apixaban est débuté. Après quelques
jours, Mme Singh semblant plus alerte et orientée n’a plus besoin
d’oxygène. Vous parvenez à faire l’enseignement sur l’anticoagulation auprès de la patiente, à l’aide de son fils.
But : éviter l’EP massive