Français - Voltaire Flashcards

1
Q

Ne va pas le voir maintenant, il est débordé.

« va » ou « vas » ?

A

Pas de faute.
t, il est débordé.
« va » ou « vas » ?

À l’impératif – mode qui nous permet d’exprimer un ordre, un conseil ou une défense –, il faut écrire « va », sans « s ».
Va me chercher ce document.

Seule exception : « vas‑y », où l’on entend bien ce « s », qui doit être suivi d’un trait d’union.
Vas‑y tout de suite.
Remarquez bien l’absence du « tu » à…
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Nos experts

« VA » OU « VAS » ?
À l’impératif – mode qui nous permet d’exprimer un ordre, un conseil ou une défense –, il faut écrire « va », sans « s ».
Va me chercher ce document.

Seule exception : « vas‑y », où l’on entend bien ce « s », qui doit être suivi d’un trait d’union.
Vas‑y tout de suite.
Remarquez bien l’absence du « tu » à l’impératif.

Précisions de l’expert
Néanmoins, lorsque « y » est suivi d’un verbe à l’infinitif (ce qui est rare), on ne met pas de « s » à « va ».
Va y accrocher ton manteau.
Va y comprendre quelque chose !

Au présent de l’indicatif, on écrit en revanche « tu vas », avec un « s ». Dans ce cas, le pronom « tu » est exprimé, alors qu’il est sous‑entendu à l’impératif.

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2
Q

Il les a fait travailler un peu avant le dîner.
« elle s’est fait faire »

A

no faute
« elle s’est fait faire »

S’il est suivi d’un verbe à l’infinitif, « fait » – participe passé du verbe « faire » ou « se faire » – est invariable.
Les clients, elle les a fait entrer dans son bureau.
Elle s’est fait faire des mèches.
Ils se sont fait longtemps attendre.

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3
Q

C’est urgent, occupe‑t‑en ce matin.
« Comment va-t-il ? », mais « Va-t’en ! »

A

Faute
Si ça écourte => -t-
si ça se réfère à “toi” => -t’

« Comment va-t-il ? », mais « Va-t’en ! »
Astuce
Trait d’union ou apostrophe : comment savoir ce qu’il faut mettre ?

Le « t » que l’on utilise pour faciliter la prononciation entre un verbe conjugué, se terminant par une voyelle, et un pronom personnel (« il », « elle », « on ») est encadré par deux traits d’union : Comment va‑t‑il ? Aura‑t‑on le temps ? « C’est parfait », déclare‑t‑elle.

En revanche, le « t » qui résulte de l’élision du pronom « toi » (c’est‑à‑dire de la suppression des voyelles « o » et « i ») après un verbe conjugué à l’impératif est précédé d’un trait d’union, mais suivi d’une apostrophe : Va‑t’en ! Remets‑t’en !
L’apostrophe est en effet un petit signe qui indique toujours qu’une voyelle a été supprimée – voire deux, comme dans les deux exemples ci‑dessus.

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4
Q

Est‑ce qu’un rendez‑vous demain, à 15 heures, vous conviendrait‑il ?

« Est-ce que la directrice est là ? », « La directrice est-elle là ? »

A

On peut dire : « Est‑ce que la directrice est là ? » ou « La directrice est‑elle là ? »

En revanche, il est incorrect de dire : « Est‑ce que la directrice est‑elle là ? » On ne peut en effet associer les deux tournures, « est‑ce que » + inversion du sujet (« est‑elle »).
La phrase correcte est :
a) Est‑ce qu’un rendez‑vous demain, à 15 heures, vous conviendrait ?
b) Un rendez‑vous demain, à 15 heures, vous conviendrait‑il ?

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5
Q

Ce médicament peut‑être pris toutes les six heures.
« peut être » ou « peut-être » ?

A

« peut être » ou « peut-être » ?

Si l’on peut remplacer l’expression par « probablement », c’est qu’il s’agit de l’adverbe « peut‑être », et le trait d’union est obligatoire : Il est peut‑être dans ce dossier.

Sinon, il n’y a aucune raison de mettre un trait d’union entre le verbe « pouvoir » conjugué à la 3e personne du singulier du présent de l’indicatif et le verbe « être » : Il peut être gentil, mais la plupart du temps il est agressif. (« Il probablement gentil » = IMPOSSIBLE : il ne faut donc pas écrire « peut‑être »).

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6
Q

« Comment allez‑vous, ce matin ? » demande t’il à son patient.
« Comment va-t-il ? », mais « Va-t’en ! »

A

« Comment va-t-il ? », mais « Va-t’en ! »

Trait d’union ou apostrophe : comment savoir ce qu’il faut mettre ?

Le « t » que l’on utilise pour faciliter la prononciation entre un verbe conjugué, se terminant par une voyelle, et un pronom personnel (« il », « elle », « on ») est encadré par deux traits d’union : Comment va‑t‑il ? Aura‑t‑on le temps ? « C’est parfait », déclare‑t‑elle.

En revanche, le « t » qui résulte de l’élision du pronom « toi » (c’est‑à‑dire de la suppression des voyelles « o »…
Plus d’explication
La phrase correcte est :
« Comment allez‑vous, ce matin ? » demande‑t‑il à son patient.

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7
Q

Les pâtes ne sont pas bonnes, je les ai faites trop cuire.
« elle s’est fait faire »

A

=> fait + verbe infinitif? alors fait est invariable

S’il est suivi d’un verbe à l’infinitif, « fait » – participe passé du verbe « faire » ou « se faire » – est invariable.
Les clients, elle les a fait entrer dans son bureau.
Elle s’est fait faire des mèches.
Ils se sont fait longtemps attendre.
La phrase correcte est :
Les pâtes ne sont pas bonnes, je les ai fait trop cuire.

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8
Q

Va lui dire que j’arrive dans deux minutes.

A

« va » ou « vas » ?

À l’impératif – mode qui nous permet d’exprimer un ordre, un conseil ou une défense –, il faut écrire « va », sans « s ».
Va me chercher ce document.

Seule exception : « vas‑y », où l’on entend bien ce « s », qui doit être suivi d’un trait d’union.
Vas‑y tout de suite.
Remarquez bien l’absence du « tu » à…

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9
Q

Ils se sont fait connaître grâce à Internet.

A

« elle s’est fait faire »

pas de faute
=> fait + verbe infinitif? alors fait est invariable
S’il est suivi d’un verbe à l’infinitif, « fait » – participe passé du verbe « faire » ou « se faire » – est invariable.
Les clients, elle les a fait entrer dans son bureau.
Elle s’est fait faire des mèches.
Ils se sont fait longtemps attendre.

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10
Q

Est‑ce que la réunion s’est‑elle bien passée ?

A

« Est-ce que la directrice est là ? », « La directrice est-elle là ? »
On peut dire : « Est‑ce que la directrice est là ? » ou « La directrice est‑elle là ? »

En revanche, il est incorrect de dire : « Est‑ce que la directrice est‑elle là ? » On ne peut en effet associer les deux tournures, « est‑ce que » + inversion du sujet (« est‑elle »).
La phrase correcte est :
a) Est‑ce que la réunion s’est bien passée ?
b) La réunion s’est‑elle bien passée ?

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11
Q

Tes erreurs, sers‑t’en pour progresser.

A

pas de faute
Trait d’union ou apostrophe : comment savoir ce qu’il faut mettre ?

Le « t » que l’on utilise pour faciliter la prononciation entre un verbe conjugué, se terminant par une voyelle, et un pronom personnel (« il », « elle », « on ») est encadré par deux traits d’union : Comment va‑t‑il ? Aura‑t‑on le temps ? « C’est parfait », déclare‑t‑elle.

En revanche, le « t » qui résulte de l’élision du pronom « toi » (c’est‑à‑dire de la suppression des voyelles « o » et « i ») après un verbe conjugué à l’impératif est précédé d’un trait d’union, mais suivi d’une apostrophe : Va‑t’en ! Remets‑t’en !
L’apostrophe est en effet un petit signe qui indique toujours qu’une voyelle a été supprimée – voire deux, comme dans les deux exemples ci‑dessus.
Rappelons que l’impératif est le mode qui nous permet d’exprimer un ordre, un conseil ou une défense.

Précision de l’expert
Dans « Donne‑m’en un peu ! », on met également un trait d’union entre le verbe et le pronom qui s’y rattache, mais une apostrophe après le « m » pour indiquer l’élision du pronom « moi ».

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12
Q

Nous ne savons pas encore s’ils l’
exclueront
.
« je vérifierai » et « je conclurai », « je vérifierais » et « je conclurais »

A

« JE VÉRIFIERAI » ET « JE CONCLURAI », « JE VÉRIFIERAIS » ET « JE CONCLURAIS »
À la 1re personne du singulier, les terminaisons « ‑erai » (sans « s » = FUTUR) et « ‑erais » (avec « s » = CONDITIONNEL) sont celles des verbes du premier groupe – c’est‑à‑dire tous ceux qui, à l’infinitif, se terminent par « ‑er », sauf « aller ».

Pour ces verbes du premier groupe, on conserve, au futur et au conditionnel, le « e » de l’infinitif avant le « r » à toutes les personnes.
« Vérifier » (FUTUR) : je vérifierai, tu vérifieras, il vérifiera, nous vérifierons, vous vérifierez, ils vérifieront.
« Vérifier » (CONDITIONNEL) : je vérifierais, tu vérifierais, il vérifierait, nous vérifierions, vous vérifieriez, ils vérifieraient.

« Conclure », « exclure » et « inclure » sont, eux, des verbes du troisième groupe. Il ne faut donc jamais mettre de « e » entre le « u » et le « r », puisqu’il n’y en a pas à l’infinitif (les verbes « concluer », « excluer » et « incluer » n’existent pas).
« Conclure » (FUTUR) : je conclurai, tu concluras, il conclura, nous conclurons, vous conclurez, ils concluront.
« Conclure » (CONDITIONNEL) : je conclurais, tu conclurais, il conclurait, nous conclurions, vous concluriez, ils concluraient.

Précisions de l’expert
Les verbes « envoyer » et « renvoyer », qui font bien partie du premier groupe, sont toutefois irréguliers au futur (j’enverrai, tu enverras…) et au conditionnel (j’enverrais, tu enverrais…).

Le verbe « cueillir » (comme « accueillir » et « recueillir ») est un verbe du troisième groupe, mais c’est une exception. En effet, au futur (je cueillerai, tu cueilleras…) et au conditionnel (je cueillerais, tu cueillerais…), ses terminaisons sont semblables à celles des verbes du premier groupe.

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13
Q

Que t’a‑t’il répondu finalement ?
« Comment va-t-il ? », mais « Va-t’en ! »

A

oui faute sur “-t-il”
Trait d’union ou apostrophe : comment savoir ce qu’il faut mettre ?

Le « t » que l’on utilise pour faciliter la prononciation entre un verbe conjugué, se terminant par une voyelle, et un pronom personnel (« il », « elle », « on ») est encadré par deux traits d’union : Comment va‑t‑il ? Aura‑t‑on le temps ? « C’est parfait », déclare‑t‑elle.

En revanche, le « t » qui résulte de l’élision du pronom « toi » (c’est‑à‑dire de la suppression des voyelles « o » et « i ») après un verbe conjugué à l’impératif est précédé d’un trait d’union, mais suivi d’une apostrophe : Va‑t’en ! Remets‑t’en !
L’apostrophe est en effet un petit signe qui indique toujours qu’une voyelle a été supprimée – voire deux, comme dans les deux exemples ci‑dessus.
Rappelons que l’impératif est le mode qui nous permet d’exprimer un ordre, un conseil ou une défense.

Précision de l’expert
Dans « Donne‑m’en un peu ! », on met également un trait d’union entre le verbe et le pronom qui s’y rattache, mais une apostrophe après le « m » pour indiquer l’élision du pronom « moi ».

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14
Q

Depuis qu’elle s’est faite opérer, elle ne porte plus de lunettes.

A

« elle s’est fait faire »
S’il est suivi d’un verbe à l’infinitif, « fait » – participe passé du verbe « faire » ou « se faire » – est invariable.
Les clients, elle les a fait entrer dans son bureau.
Elle s’est fait faire des mèches.
Ils se sont fait longtemps attendre.

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15
Q

Que propose‑t’il pour sortir de l’impasse ?

A

La phrase correcte est :
Que propose‑t‑il pour sortir de l’impasse ?

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16
Q

Cette histoire les a bien faits rire !

A

La phrase correcte est :
Cette histoire les a bien fait rire !

17
Q

Arrivera‑t’il à convaincre les jurés ?

A

La phrase correcte est :
Arrivera‑t‑il à convaincre les jurés ?

18
Q

Elle s’est fait arracher deux dents de sagesse.

A

ok
S’il est suivi d’un verbe à l’infinitif, « fait » – participe passé du verbe « faire » ou « se faire » – est invariable.
Les clients, elle les a fait entrer dans son bureau.
Elle s’est fait faire des mèches.
Ils se sont fait longtemps attendre.

19
Q


va-t-on
pouvoir mettre ces cartons ?

A

« Comment va-t-il ? », mais « Va-t’en ! »

Trait d’union ou apostrophe : comment savoir ce qu’il faut mettre ?

Le « t » que l’on utilise pour faciliter la prononciation entre un verbe conjugué, se terminant par une voyelle, et un pronom personnel (« il », « elle », « on ») est encadré par deux traits d’union : Comment va‑t‑il ? Aura‑t‑on le temps ? « C’est parfait », déclare‑t‑elle.

En revanche, le « t » qui résulte de l’élision du pronom « toi » (c’est‑à‑dire de la suppression des voyelles « o »…
Plus d’explication
La phrase correcte est :
Où va‑t‑on pouvoir mettre ces cartons ?

20
Q

Nous allons en parler au principal interressé.

A

interesser => 1 “r” avec un “é” avant comme tous les mots de la même famille

Le verbe « intéresser » ne prend qu’un « r » (au milieu du mot), lui‑même précédé d’un « é » (avec un accent aigu, donc), comme tous les mots de la même famille (« désintéressé », « intéressement », « intérêt », etc.) : Je m’intéresse à ce sujet. Des prix intéressants.
La phrase correcte est :
Nous allons en parler au principal intéressé.

21
Q

Alors, qui sont les demi‑finalistes ?

A

1* demi devant un nom => invariable et “-“
2* demi derrière un nom => s’accorde en genre mais pas en nombre et PAS de “-“