Final Flashcards
Pmt additionnel sur chaque dollar emprunté ou reçu sur épargne
Taux nominal (i)
Équation taux d’intérêt réel (r)
r = Taux nominal (i) - Taux d’inflation (𝜋)
Axes du marché du crédit (fonds prêtables)
y = Taux d'intérêt réel (r) ie coût du prêt x = Qt ($)
Qui est derrière la courbe d’offre du marché du crédit (fonds prêtables) ?
Prêteurs (Épargnants) qui sont prêt à différé leur consommation en mettant des liquidités de côté pour fructifier (revenu d’intérêt).
Qui est derrière la courbe de demande du marché du crédit (fonds prêtables) ?
Emprunteur (débiteur): Agents économiques (ménage, entreprise) qui ont besoin de financement (ex: maison, nouvelle ligne de montage).
Sur quel taux les gens se base pour la prise de décision?
Taux réel (r): Gain/Coût réel corrigé de l’inflation qui a de l’impact sur le pouvoir d’achat. Ex: Placement de 1k$ à 5% (i) sera à 1,05k dans un an, mais si l’inflation est de 3%, le taux réel r est 2%.
Courbe de d’offre et de demande de crédit: Déplacement SUR la courbe
∆ r ou Qt
Courbe de demande de crédit: Déplacement de la courbe
Anticipation (Confiance: droite, Pessimisme: Gauche)
Changements dans la perception des occasions d’affaires
Changement politique économique (Augmentation emprunt du Gouvernement: Droite)
Demande de crédit: Changement de politique économique: Effet d’éviction
Gouv fait un gros déficit: Augmentation courbe de crédit (droite). Gouv émet des obligations ie demandeur supplémentaire. Compétition de demande augmente les taux d’intérêt.
Courbe d’offre de crédit: Déplacements de la courbe
Changement dans les motifs d’épargne:
Gauche: Optimisme (dépenser plus, épargner moins. Verser dividendes)
Droite: Pessimiste (Épargner plus (ex: héritier). Conserver bénéfice)
Banques, sociétés de gestion d’actifs, fonds spéculatifs (hedge funds), fonds capital de risques, etc
Intermédiaires financiers
Objectif Intermédiaires financiers
Transfert (canalise) les fonds les offreurs vers demandeurs ie acheminer l’épargne des prêteurs à ceux qui veulent emprunter.
Actifs (3) des intermédiaires financiers
Réserves bancaires : numéraire (billet/pièce) gardé dans les coffres
Actifs liquides: accès immédiat: ex: dépôt dans d’autres banques et sans risque (ie pas de ∆ valeur)
Actif à long terme: MAJORITÉ (prêt consenti LT ménages/entreprises, hypothèque, immos)
Effet de substitution
Hausse des taux d’intérêt = hausse qt offerte des fonds prêtables. Épargne plus si taux est élevé. Effet qui à le plus d’impact: Pente positive Offre.
Effet de revenu
Raisonnement alternatif à effet de substitution (mais moins d’impact que effet substitution) : Besoin d’épargner moins si le taux d’intérêt est élevé. Ex: Placer moins pour avoir 500k$ pour retraite si taux est à 8% que 2.
Passifs (3) des intermédiaires financiers
Dépôt à vu : MAJORITÉ: Opération courante (ex: dépôt compte chèque) exigible immédiatement (échéance nulle).
Emprunt CT: Prêt obtenu de d’autre institution financière (ex: prêt à un jour).
Dette LT: Remboursement plus d’un an
Banque est inverse de moi
Je dépose (actif) ie passif pour la banque (elle me DOIT, elle me verse des revenus d’intérêts).
Problème d’échéance
Majorité passif sont CT et actifs sont LT. Utilisation de levier financier: Peu de capitaux propres ie majorité des actifs sont financé par des passifs.
3 fonctions économiques d’intermédiaires financiers (qui réduisent leur risques de faillite)
- Prêt rentable / emprunteurs solvable
- Transformation des échéances
3 Gestion du risque
Transformation des échéances
Désapariment: Transforme passif CT (ex: dépôt à vue) en actif LT (ex: prêt hypothécaire). Permet les investissement LT (plus de rendement).
Gestion du risque (2 stratégies) par les intermédiaires financiers
Diversification: Portefeuille varié peu probable que tous les actifs aient un mauvais rendement en même temps. Mais, même très diversifié, mais attention aux effets de contagion (ex: hypothèque en 2008).
Transfert de risque aux actionnaires et gouvernement: ex: Société d’assurance dépôt garantie 100k$ par déposant.
Effet de levier: Impact de baisse de valeur actif
Passif demeure identique, affecte directement les capitaux propres (si CP négatif = insolvabilité = faillite).
Faillite d’une banque d’importance systémique nationale (BISN)
Too big to fail: Faillite d’une BISN peut avoir des impact plus destructeur que 20aine de faillites de petites banques. Intervention presque certaine.
Mesures de surveillance imposée au BISN pour réduire risque de faillite (2)
Soumettre un testament en cas de faillite: Plan de vente d’actif et remboursement de passif
Réduire le risque et augmenter les CP.
Marché du crédit: Pays A (r = 4%) vs Pays B (r = 8%), impact si capitaux peuvent voyager
A va placer à B (taux plus interessant), ie diminuer l’offre de A, donc r augmente à 6%, et inversement augmente offre à B, donc r va diminuer à 6%.
Risque crée par les transfo d’échéance
Ruée bancaire: Actif non liquide vs passif liquide: Perte de confiance: Si les déposants craignent de ne pas récupérer leur dépôts par de fonds nécessaires pour retrait.
Pourquoi les prêteurs veulent-ils augmenter le taux d’intérêt nominal lorsque l’inflation augmente?
Pour conserver le rendement réel, car i = r + 𝜋
a) L’emprunteur de 1$ aura à payer 1 an plus tard
b) Le pouvoir d’achat corrigé du 1$ emprunté - montant payé un an plus tard =
a) 1$ + taux d’intérêt nominal (i)
b) r ie prix réel du prêt ie prix corrigé de l’inflation
Impact sur bilan lorsque: Client fait un pmt de 7k$ (4k intérêt et 3k capital)
Actifs = 4k, car Réserve augmente de 7k (aiment total), Actif LT diminue de 3k (remboursement de capital) CP = 4k, car revenu d'intérêt augmente les CP.
Impact sur le bilan lorsque: Banque consent un prêt étudiant de 5k$
Actif = 0, car Actif LT Augmente de 5k, réserves diminue de 5k
Impact sur le bilan lorsque: Vol de 10k$
Actif (10), car réduction de 10k de réserves
CP (10)
Impact sur le bilan lorsque: Subi un défaut de pmt, l’investissement de 20k$ n’a plus aucune valeur
Actif LT (20k), CP (20k)
∆ des prix d’actif: Théorie des marché efficient
∆ résulte d’anticipations rationnelles basées sur infos sur rentabilité
vs ∆ basé sur comportements grégaires: bulle spéculative, biais cognitifs
Pourquoi les institutions conservent seulement une petite partie des dépôt en réserve?
Les retraits et nouveaux dépôts s’équilibrent
3 fonctions de la monnaie
- Moyen d’échange (facilite le commerce vs troc (double coïncidence des besoins)
- Réservoir de valeur (aspect temporel)
- Unité de compte (comparaison de valeur)
Support physique (billet, pièce) 5% M2
Monnaie numéraire (fiduciaire)
Masse monétaire (M2)
Monnaie numéraire ET dépôt (scripturale/virtuelle: écriture comptable)
PIB nominal
Valeur marchande totale des B&S finals produits dans un pays au cours d’une période donnée (affecté par ∆ prix et ∆ Qt)
PIB réel
Valeur production à prix de base constant (affecté par ∆ Qt)
Théorie quantitative de la monnaie
M2 / PIB nominal = Ratio stable
Constance LT entre Qt monnaie en circulation et grosseur de l’économie
Théorie quantitative de la monnaie: Implication d’un ratio stable: Taux croissance M2 = Taux de croissance PIB nominal, impact sur taux d’inflation
Taux croissance M2 = Taux de croissance PIB nominal
ie Taux croissance M2 = Taux d’inflation + Taux de croissance PIB réel
ie Taux d’inflation = Taux de croissance M2 - Taux de croissance PIB réel
Vitesse de circulation de la monnaie
PIB nominal / M2
Inverse théorie Qt de la monnaie
Nombre de fois que la monnaie sert dans une année: Plus circule rapidement, moins on a besoin de monnaie pour supporter l’économie
Inflation
Augmentation générale des niveaux de prix
Déflation
Inflation négative ⚠️ Taux d’inflation qui baisse, mais reste positif n’est PAS une déflation
Hyperinflation
Niveau général des prix double en 3 ans (effet d’entraînement: ex suite à déficit = impression bcp de monnaie = croissance extrême M2)
Cause de l’inflation
Croissance moyenne de M2
ie plus il y a de monnaie en circulation, plus les gens dépensent. Donc, pression à la hausse sur prix B&S, plus il y a inflation.
Conséquences de l’inflation (3)
- Coûts de logistique (de menu)
- Distorsions prix relatif
- Politique contre productive
Conséquence de l’inflation: Coût de logistique (de menu)
Coût supporté par entreprise pour changer prix et le faire savoir
Conséquence de l’inflation: Distortion des prix relatifs
Réduit l’efficacité de l’activité économique: Ex Prix relatif 1$, si suite à inflation A monte à 2$ (pour conserver marge) et B reste à 1: A vendra moins, B vendra plus, mais ne sera pas rentable
Conséquence de l’inflation: Politiques contre-productives
Intervention/Incitatif inefficace (solution pire que le problème d’inflation). Ex: Contrôle des prix entraine file d’attente, rupture de stock, marché noir.
Bénéfices de l’inflation (2)
- Seigneuriage (recette gouvernementale suite émission monnaie)
- Stimuler activité économique: Salaire fixe ie baisse coût du travail (réduit salaire réel) ie augmente demande de travail et baisse taux d’intérêt.
La Banque des banques et du gouvernement
Banque Centrale (BdC)
BdC est en charge de la politique monétaire (3)
- Supervise institution financière
- Influe sur taux d’intérêt clés
- Indirectement, détermine M2
Mandat unique de la BdC
Maintenir l’inflation basse, stable et prévisible
Taux directeur
Taux cible du financement à un jour: taux BdC souhaite que les institutions se prêt/emprunt mutuellement
1% annuel
Coefficient de réserve désirée des institutions
Équilibre risque-rendement (garder assez de réserves pour rencontrer obligation, mais pas trop pour être rentable. Les banques ont trop/pas assez de réserve selon leur coefficient.
Coût pour maintenir coefficient de réserve désirée
Taux cible de financement à 1 jour (overnight rate)
Courbe de demande de réserve
Pente négative (plus sa coute cher d’emprunté, moins on emprunte)
Courbe d’offre de réserve
Courbe verticale: Imposé par la BdC ie contrôle la Qt monnaie en circulation (M2)
Courbe d’offre de réserve: Fourchette cible
Limites toujours disponible par BdC ie pas avantageux d’emprunter à plus de 1,25% ou de prêter sous 0,75% Plancher: 25 pts de base sous taux directeur (1%): BdC va accepter les réserves en échanges de 0,75%
Plafond: 25 pts de base au-dessus du taux directeur (1%): BdC va prêter à un taux de 1,25%.
Taux cible du financement à un jour
Taux directeur 1% annuel x 1/365
Opérations d’open market: 2 Stratégies pour atteindre la cible (1%)
Achat: Augmenter les réserves, baisse taux d’intérêt
Ventes: Diminuer les réserves, augmente taux d’intérêt
Si dans le marché, les banques se prête à plus que 1,25% = réserves trop rare. Lorsque BdC achète des titres à revenu fixes auprès des institutions, elle ajoute des réserves de liquidité, donc diminue le coût du financement (taux d’intérêt). Inverse: Vente ie retire réserves (deviennent plus rares)
Taux d’escompte
Taux directeur 1% + plafond 0,25 = 1,25%
BdC Contrôle indirect inflation et M2
Inflation: dépend décisions dépenses/achats des gens
M2: BdC contrôle le numéraire seulement (petite partie), mais indirectement les dépôts dépôt pcq contrôle le taux d’intérêt. Influence sur M2 ie contrôle indirect sur taux d’inflation, car Taux inflation = Taux croissance M2 - Taux de croissance PIB réel
Gestion des réserves bancaires permet BdC d’influer sur taux financement 1 jour, offre de monnaie, inflation et taux d’intérêt réel LT, pourquoi LT?
Décision d’investissement basé sur taux LT (anticipation) soit effet politique monétaire. Si taux d’inflation est relativement stable, taux CT influence les anticipations du LT (1 prêt de 10 ans = 10 prêts de 1 an)
Déplacements courbe de réserve (pente négative de demande)
Expansion/contraction économique
∆ Besoin de liquidité
∆ Qt obligatoires de réserves
Carte de crédit = monnaie?
Faux, Monnaie = actif, Crédit = passif (pmt par carte de crédit = emprunt)
Chèque = monnaie?
Faux, moyen pour accéder aux fonds qui eux sont de la monnaie
Bitcoin remplacera devise?
Faux, pas couverts par assurance dépôt, pas réservoir de valeur fiable, valeur instable
Fluctuations économiques (cycles économiques)
Changement court terme du de croissance du PIB réel (comparaison avec PIB tendanciel).
∆ imprévisibles et périodiques
Récession
PIB réel baisse pendant 2 trimestres consécutifs (croissance économique NÉGATIVE)
3 composantes qui déterminent une récession (3 D)
Durée,
Diffusion (étendue),
Dimension (Amplitude)
Expansion
Période entre récession
Dépression
Récession prolongé + Taux de chômage > 20%
Loi Okun
Relation négative: Augmentation PIB réel 3% = Baisse taux de chômage
3 caractéristiques des fluctuations économiques
- Covariance
- Faible prévisibilité
- Persistance
Caractéristique des fluctuations économiques: Covariance
Forte corrélation: Relations (+/-) entre évolution des variables (consommation, investissement, emploi/chômage) et évolution PIB réel (cycle économique)
Caractéristique des fluctuations économiques: Faible prévisibilité
Durée très ∆, faible capacité prédictive (stat permet prédire fin récession 2 mois avant)
Caractéristique des fluctuations économiques: Persistance
Si croissance, probablement en croissance au trimestre suivant (et vice-versa)
Au début d’une récession, la courbe de demande de travail se déplace vers la gauches (4 raisons)
- Baisse de prix des extrants (B & S) ie baisse revenu
- Baisse demande des produits (effet mode, baisse dépenses/augmentation de l’épargne des ménages)
- Baisse de productivité du travail
- Hausse des prix des intrants (pétrole, énergie, coût de production)
Lors récession: Impact des salaires rigides à la baisse sur baisse de demande des travail
La production (PIB) va baisser encore plus, effet amplifié sur baisse de la Qt demandée.
3 théories sur sources de fluctuations économiques
- Théorie Cycles réels
- Théorie Keynésienne
- Théorie Financière et monétaires
Théorie sur sources de fluctuations économiques : Théorie Cycles réels
Accent sur ∆ productivité et techno
pas idéal pour prédire récession
Théorie sur sources de fluctuations économiques : Théorie Keynésienne
Accent sur les ∆ anticipations
Responsabilité des autorités d’intervenir pour de réguler l’économie (politique contra cyclique)
Théorie sur sources de fluctuations économiques : Théorie Financière et monétaires
Accent sur ∆ Qt monnaie en circulation (ie ∆ des prix et des taux d’intérêt) auto-régulation: équilibre ce fait tout seul.
Théorie Keynésienne: Esprit d’animaux
Troupeau: pessimisme/optimiste général qui modifie habitude qui influence la consommation, l’investissement et le PIB
Théorie Keynésienne: Effet de cascade
Effet d’entraînement: moins de consommation = perte de revenu = moins d’investissements
Théorie Keynésienne: Effet multiplicateur
Choc mineur (+ ou -) amplifie les impacts plus importants Cercle vicieux: Baisse de confiance = baisse de consommation = baisse de revenu = baisse de production = augmentation chômage = baisse de consommation = baisse de production...etc.
Effet multiplicateur réduit demande de travail encore plus par d’autres effets (3)
Baisse des prix des actifs
Hausse des défauts de paiements
Hausse des faillites
Causes (4) des reprises partielles à moyen terme déplace demande travail vers droite
- Politiques gouvernementales expansionnistes
Forces du marché: - reconstruction des inventaires
- Progrès techno
- Remise du système bancaire (obtention de crédit)
Politique monétaire expansionniste
Intervention état: Moyen artificielle pour retrouver l’équilibre. Diminuer taux d’intérêt = augmenter inflation = stimule les dépenses.
Baisse salaire réel: Déplace droite courbe demande de travail et gauche Offre.
Récession 2008-2009
Impact sur consommation et investissement
Effet multiplicateur:
1. Éclatement bulle immobilière (Prix maison a doublé en 10 ans): Baisse de prix = effondrement secteur consommation
2. Baisse abrupte consommation (maison = actif important)
3. Spirale défaut de paiements entraîne faillites bancaires
Théorie de Keynes: Effet multiplicateur: Prophétie auto réalisatrice
Entreprise anticipe une hausse de la demande, embauche des travailleurs ce qui stimule la consomation
PIB tendanciel
Niveau du PIB réel aurait si pouvait éviter les fluctuations économique et maintenir au taux de croissance stable pendant une période prolongée
Reprise complète
Suite aux politiques expansionniste, la demande du travail augmente au-delà demande initiale (avant récession), situation améliorée (effet multiplicateur)
Politiques contra cycliques visent à
réduire l’intensité et amplitude des fluctuations économiques et lisser le taux de croissance du PIB
Politique restrictive pour ralentir l’économie, pourquoi? (2)
- Diminuer l’inflation en réduisant la croissance de M2
2. Empêcher formation de bulle et Atterrissage en douceur
Politique monétaire expansionniste
BdC diminue taux d’intérêt à CT pour stimuler l’économie:
Baisse taux financement 1 jour = baisse taux LT = Augmente consommation/investissement ie augmente demande B & S = Demande travail vers droite
Open Market Achat: inflation
Politique monétaire restrictive
Open market de Vente : diminue réserve, augmente le taux d’intérêt, diminue emprunt, diminue croissance M2.
D’autres instruments de la BdC en combinaison avec opérations Open market (3)
- Motif des Qt obligatoires de réserves
- Fourchette cible taux financement 1 jour
- Assouplissement quantitatif
Assouplissement quantitatif
Augmenter M2 en imprimant de la monnaie
L’efficacité de la politique monétaire dépend de…
l’anticipation des taux d’intérêt et d’inflation:
Si BdC annonce le maintient d’une politique monétaire expansionniste (ie maintient taux nominal a LT), anticipation LT va faire diminuer taux d’intérêt réel LT anticipé
Taux réel LT anticipé =
Taux nominal LT anticipé (BdC) - taux d’inflation LT anticipé
Taux financement 1 jour (nominal) s’approche de 0%
Si inflation est négative, le taux d’intérêt réel sera positif: Intérêt réel = Nominal 0% - Inflation (-2) = 2% ie baisse investissement/demande de travail
Politique budgétaire: 2 variables
Gouvernement: ∆ Dépenses publiques et ∆ Revenu: impôts et taxes
Stabilisateurs automatiques
Sans intervention, toujours là. Ex: Impôt et assurance-emploi: Plus de versement quand l’emploi est bas, mais reçoit plus de cotisation quand l’emploi est fort.
Solde budgétaire =
T (Revenu gouvernemental: taxe et impôt) - G (dépenses publiques)
Mesures discrétionnaires
Mesures ponctuelles adopté délibérément en réponses aux fluctuations
Ex: crédit d’impôt à la rénovation, baisse de taxe, programme de dépenses en infrastructure
Multiplicateur des dépenses publiques Mg =
Mg = PIB / G (dépense)
Multiplicateur des dépenses publiques Mg: Hausse de 1$ de G: 3 scénarios possibles
- Modifie pas les autres termes (Y + 1) = C + I + (G+1) + Ex - Im : Mg = 1/1 = 1
- Fait aussi augmenté C de 1$: (Y + 2) = (C+1) + I + (G+1) + Ex - Im : Mg = 2/1 = 1
- Effet d’éviction (pire scénario): Fait diminuer I de 1 : Y = C + (I - 1) + (G+1) + Ex - Im : Mg = 0/1 = 0
Multiplicateur des impôt: Baisse d’impôt de 1$: 4 scénarios possibles
- Fait augmenté la consommation de 1$: (Y + 1) = (C+1) + I + G + Ex - Im : Multiplicateur = 1/1 = 1
- Effet multiplicateur: Double effet ie Plus de consommation crée plus de revenu, donc plus de consommation:
(Y + 2) = (C+2) + I + G + Ex - Im : Multiplicateur = 2 - Effet multiplicateur combiné à effet d’éviction:
(Y + 1) = (C+2) + (I-1) + G + Ex - Im : Multiplicateur = 1 - Effet multiplicateur combiné à augmentation des import:
(Y + 1) = (C+2) + I + G + Ex - (Im 1) : Multiplicateur = 1
Politiques budgétaires et marché du travail: 2 avantages, 2 inconvénients
+ Assurance emploi
+ Subvention salariale
- Gaspillage fonds publiques (projet inutiles)
- Temps de transmission (délais: effet seulement lorsque la situation s’améliore déjà)
Moyens pour freiner l’expansion: 3 politiques restrictives
BdC augmente taux d’intérêt
Gouv augmente impôt et réduit dépenses pupliques
Politiques expansionnistes sont appropriées lorsque…(2)
- Récession
2. Anticipation trop pessimiste
Si le taux d’inflation est de 2%, est-ce que c’est bon que le taux nominal soit de 0%
Oui: Taux réel = nominal 0 - inflation 2 = -2% ie incite l’emprunt pour investissement et conso
Efficacité de production
Concentrer sur ses forces en utilisant les facteurs de production (K, H)
Avantage absolu
Produire plus d’unité
Avantage comparatif
coût d’opportunité plus faible
Avantage comparatif =
Perte (renonce) / Gain
Accroître l’efficacité de l’économie mondiale en exploitant…
l’avantage comparatif : Biens vendus moins cher
Gains diffus
Macro (global) = ∑ millions petits gagnants > ∑ centaines grands perdants
Gagnants/perdants, les pays imposes des…
Barrières commerciales (tarif douaniers): Sources de revenu et protection producteurs locaux
Degré d’ouverture au commerce international =
Ex/PIB et Im/PIB
Balance commerciale =
Exportations nettes = Ex - Im
Ctb nationale d’un pays =
PIB (∑Revenu = ∑ Dépense)
Balance des paiements =
Compte courant + Compte à capital financier = 0
Balance des paiements (def)
CTB internationale: À chaque fois q’un montant entre ou sort du pays
Compte courant =
Exportation nette (balance commerciale) + Revenu de facteurs nets provenant de non résidents + Transfert net provenant de non résidents
Revenu de facteur net
Entrés (provenant de non résident) - sorties (versé à des non résident)
Ex: Dividendes versé par Cie Américaine - Paiement d’intérêt d’obligation canadienne à des japonais
Transfert net
Entrés (provenant de non résident) - sorties (versé à des non résident)
Ex: Cadeau provenant de ma tante du UK - Aide internationale versé à Haïti
Compte capital finacier
Transaction d’actif Entrés - sortie:
Chinois achète terrain ici - Canadien qui achète une entreprise en France
Donc, solde positif ie étranger ont acquis plus ici que nous ailleurs dans le monde.
Rappel Compte courant + Compte capital financier = 0
Terme de l’échange
Indice de pouvoir d’achat généré avec Exportation: Combien on peut importé avec seulement les recettes de l’exportations.
Le Canada est un exportateur net de produits de base et importes des produits transformés. Impact si prix du pétrole augmente
Génère plus de revenu pour Canada (export pétrole) ie terme de l’échange s’améliore vs lors chute, le terme de l’échange se détériore
Mal hollandais ex: Sable bitumineux
Adaptation normale: Exploitation élevé sable bitumineux pcq revenu élevé, ce qui fait augmenter la valeur du $CAN, donc rend exportation des autres biens (secteur manufacturier) moins interessant pour les étrangers.
Nike nuit-elle aux travailleurs du Vietnam?
Nike: 4$ à 5$ par jour dans mauvaises conditions vs Fermes: 1$ à 3$ par jour conditions encore pires.
Donc, Nike est la meilleure alternative (coût d’opportunité), danger de comparer avec salaire/condition d’ici
Le commerce permet les gains de spécialisation ie
Gains économique globaux lorsque pays se spécialise dans activités où détient l’avantage comparatif. Le commerce permet de se procurer des biens dans lesquels ont a pas d’avantage comparatifs.
Déficit commercial
Balance commerciale négative ie Ex < Im
Pourquoi ce n’est pas grave d’avoir un déficit commercial avec un pays?
Pcq il sera équilibré par balance commerciale positive avec d’autres. Il n’est pas nécessaire Ex = Im entre les pays pour équilibre (épicier ne m’achète pas la même quantité de fruit que je lui achète)
Pourquoi le compte courant n’est pas inclus dans PIB
PIB = ctb nationale qui inclus Ex - Im, mais ne tiens pas compte des revenu de facteur et transfert (cab internationale)
Salaire travailleur chinois qui travail en Inde et retourne en Chine
Revenu de facteur
Canadien envoie un pmt à un vignoble français pour une caisse de vin
Importation
Avantage et inconvénient d’avoir une devise commune (ex Euro)
+ : Élimine le risque de taux de change
- : Perdre le pouvoir de la politique monétaire (taux unique)
Taux de change nominal (déf)
Nbr unité d’une devise étrangère on peut acheter avec une unité de devise nationale (avec 1$CAN)
Taux change nominal =
e = unités devise étrangères / 1 unité devise nationale
ex: Si taux de change $CAN avec $USD est de 0,8 ie avec 1$CAN je peux acheter 0,80 $USD
Régime de taux de change (3)
- TdC flexible (flottant)
- TdC fixe
- TdC administré
Taux de change flexible (flottant)
Plus courant: Pas d’intervention, marché O/D détermine le taux et valeur d’équilibre
TdC fixe et TdC administré
Intervention par Gouvernement établis/maintient une valeur arbitraire ou intervient pour influer sur ∆ en achetant/vendant des devises
Marché des changes : offre et demande
O = offre de $CAN contre devise étrangère (vendre $CAN)
D = Demande de $CAN contre devise étrangère (Achat de $CAN en vendant des devise étrangère)
O canadienne = D étrangère et D Can = O étrangère
e fixe > e*
Offre excédentaire ie devise est SOUS-ÉVALUÉ vs devise étrangère. Gouvernement achète des devises locale pour maintenir le taux fixe (plus élevé que l’équilibre)
Impact d’une devise surévalué sur inflation
Diminue coût d’importation pour consommation locale, aide a garder prix bas et réduire l’inflation. Pour y arriver, le gouvernement vend sa devise pour créer une offre supplémentaire.
Convertir pour comparer prix en $CAN =
Prix devise étrangère x (1$CAN/ $Devise étrangère)
Taux de change réel
Affecte décision: Parité du pouvoir d’achat: comparaison. Combien un panier coûterait en $CAN au Canada et coûterait en $CAN à l’étranger
Si le même taux d’inflation, peu de différence entre nominal et réel
Taux de change réel =
= (prix en $CA panier canadien x e) / Prix en Yuans panier chinois
Taux de change et Ex/Im
$CAN s’apprécie le Canada exporte moins en Chine et importe d’avantage de produits chinois.
ie Relation négative entre Ex et taux de change: Hausse TdC ie ça coute plus cher aux étrangers d’acheter ici, mais ça coute moins cher d’importer (relation positive avec Im)
Taux de change et PIB
Puisque PIB = C + I + G + Ex - Im
Si le taux de change augmente : baisse export et hausse Importation = Baisse PIB
Impact sur PIB de maintenir artificiellement TdC sous-évalué
TdC plus faible décourage importation (acheter peu à l’étranger) et encourage exportation ie stimule PIB. Politique monétaire expansionniste (baisser taux d’intérêt): Baisse le rendement, les investisseurs veulent moins instrument financier canadien, donc diminue demande $CAN = baisse taux de change = augmente export = favorise PIB
Taux de change et taux de chômage
Hausse du TdC = diminue Ex = diminue demande de travail = augmentation taux de chômage