Final Flashcards
Procédé tertiaire pour éliminer le phosphore et son fonctionnement
Déphosphatation biologique:
- induire une forme de stress induite chez certaines souches bactériennes
- anaérobie: bactéries relarguent P en milieu ambiant
- aérobie: bactéries emmagasinent une grande quantité de P
Traitements tertiaires non appropriés aux petites municipalités
Osmose inverse
Désinfection (UV et ozone)
Procédés secondaires qui doivent être adaptés dans les régions froides (ou non appropriés en hiver)
Lits bactériens: rendement trop faible en hiver
Disques bactériens: dans un bâtiment fermé pour éviter les températures extrêmes
Épurage par lagunage: accumulation des mo en hiver et microalgues inactives et déversement au printemps après quelques semaines d’activité microbienne
Paramètres de base mesurés pour caractériser l’eau
- demande biologique en oxygène
- demande chimique en oxygène
- carbone total dissous
- permanganate de potassium
- conductivité
- turbidité
- pH
- coliformes
Méthodes physiques pour éliminer le maximum de polluants
Propriétés physiques déterminent le type de traitement applicable
- dégrillage
- sédimentation
- filtration
Méthodes chimiques pour éliminer le maximum de polluants
Propriétés chimiques à l’origine de divers traitements
- coagulation
- précipitaiton
Procédés biologiques pour éliminer le maximum de polluants
Font appels aux réactions biochimiques permettant d’éliminer notamment les polluants organiques
Enzymes microbiens transforment les polluants selon les voies biochimiques habituelles
Étapes traitement collectif typique des eaux usées
- Traitement préliminaire (physique ou mécanique)
- Traitement primaire (physique et physico-chimique)
- Traitement secondaire (chimique et biologique)
- Traitement tertiaire ou de finition (physique et biologique)
- Traitement des boues formées (contrôle des décharges, valorisation ou incinération)
Prétraitement ou traitement préliminaire
Dégrillage & tamisage
Dessablage
Dégrillage
- débris grossiers retenus par une série de barreaux
Dessablage
- Passage de l’eau dans une chambre de décantation où le stable et les autres particules denses sédimentent au fond d’un bassin
- huiles et graisses peuvent être enlevées à cette étape
Traitement primaire (méthodes)
Décantation
Bassins de décantation primaire (décanteurs horizontaux ou décanteurs circulaires)
But du traitement primaire
- débarasser des particules inorganiques de grande dimension
- conçu pour enlever environ 70% des MES
Décantation
- dans un ouvrage bétonné rectangulaire ou circulaire
- particules sédimentées forment la boue primaire qui est raclée/aspirée et évacuée
- 1 à 2h de rétention pour atteindre une performance adéquate
- T de l’eau influence le t de sédimentation
Bassins de décantation primaire: décanteurs horizontaux
- rectangulaires
- eau à traiter arrive par une extrémité du bassin et ressort par l’autre
- racleur de surface pour évacuer les matières flottantes et écume
Bassins de décantation primaire: décanteurs circulaires
- flux radial
- eau à traiter injectée au centre et vers le haut avant d’atteindre la périphérie et être évacuée
Buts du traitement secondaire
- vise à enlever la MO qui n’a pas été retenue par le traitement primaire
- dépend de l’action de divers organismes vivants (bactéries, levures, champignons, algues, plantes, enzymes spécifiques)
Traitements secondaires (méthodes)
- biodégradation par mo
- procédés à biomasse fixée (lits bactériens, disques biologiques
- procédés à biomasse en suspension (boues activées, chenaux d’aération, réateurs biologiques séquentiels, épuration par lagunage (étangs facultatifs, étangs aérés, étangs aérobie, étangs anaérobie), étang de polissage ou de maturation)
Biodégradation par mo: principe
- s’appuie sur les besoins énergétiques des bactéries, champignons, qui en présence ou non d’oxygène, vont dégrader les composés chimiques
- nécessite source d’énergie et éléments nutritifs (C, N, P, S, K, Ca, Mg)
Procédés à biomasse fixée: lits bactériens (principe)
- enceinte bétonnée qui contient un matériau de remplissage
- efficacité dépend de la colonisation du matériau de remplissage par les mo et maximisée en utilisant des polysaccharides à la surface des matériaux (facilite la rétention des mo sur le support)
- formation de filtre biologique
- croissance constante des mo conduit à une augmentation de la biomasse, qui peut se traduire en un colmatage
- possibilité d’augmenter la charge hydraulique en faisant recirculer une partie de l’eau usée traitée
Lits bactériens: avantages, portée
- simplicité de fonctionnement
- faible consommation d’énergie
- tolérance vis-à-vis surcharges passagères
- petites stations de traitement qui demandent peu de surveillance
- requiert plus d’espace que d’autres systèmes
- pays chauds: associés au développement de larves d’insectes nuisibles
- pays froids: rendement trop faible en hiver
Procédés biomasse fixée: disques biologiques (disques bactériens): principe et portée
- plaques circulaires fixées sur un axe central horizontal qui les fait tourner
- biomasse qui se détache des disques est entraînée avec l’eau traitée et sédimente dans un bassin de décantation
- pour les petites municipalités
- pour pays nordiques, tempérés ou tropicaux
- pour max d’efficacité: installer dans un bâtiment fermé pour éviter les températures extrêmes ou prévenir la croissance d’insectes nuisibles
Disques biologiques: avantages et inconvénients
- simples à utiliser
- occupent un espace restreint
- fiables (permet de tolérer des surcharges à cause de la quantité importante de biomasse microbienne)
- desquamation du biofilm due à la présence de certaines substances toxiques
- présence d’odeurs
- possible bris de l’axe de support des disques
- divers bris mécaniques
Limites des procédés biologiques
- coûts
- grandeur des bassins
- nature des polluants biodégradables organiques
- dégradation parfois incomplète
- durée de traitement relativement longue
- formation de boues biologiques en quantités importantes à traiter
Procédés à biomasse en suspension: boues activées
- en 2 étapes: bassins d’aération et bassin de décantation
- succès dépend de présence d’une forte concentration de mo dans le bassin d’aération (mo doivent être maintenus en suspension et apport en O2 constant assuré)
- problème si présence de trop grand nombre de bactéries filamenteuses qui provoque le gonflement des boues et rend la sédimentation plus difficile
Procédés à biomasse en suspension: chenaux d’aération
- système de boues activées à faible charge polluante fonctionnant selon un mode d’aération prolongée
- peu coûteux pour les petites communautés en milieu rural (10K-500K)
Procédés à biomasse en suspension: réacteurs biologiques séquentiels
- fondé sur le principe des boues activées
- 5 étapes:
1. Ajout de l’eau dans le bassin qui contient déjà des boues provenant du cycle de réaction précédent
2. Période de réaction
3. Arrêt de l’aération, décantation, formation des flocs
4. vidange de l’eau traitée et soutirage d’une partie des boues
5. Démarrage d’un nouveau cycle
Réacteurs biologiques séquentiels: Avantages et portée
- une partie des boues reste au fond du bassin et cela évite d’avoir à les faire circuler à nouveau à partir du bassin d’aération
- pour traiter les eaux de grandes villes
- plutôt destiné à des communautés de quelques centaines ou milliers de personnes
Procédés à biomasse en suspension: épuration par lagunage: principe
- bactéries couplées à des plantes qui accumulent les polluantes
Procédés à biomasse en suspension: épuration par lagunage: avantages, inconvénients et portée
- facile à utiliser
- peu coûteux
- procédé à faible charge organique sans recirculation des boues
- permettent l’enlèvement DBO
- capacité de réduire les mo pathogènes
- entretien minimal
- consommation énergétique réduite
- espace requis
- temps de rétention long
- petites municipalités rurales ou certaines industries isolées
Types d’étangs (épuration par lagunage)
- étang non aéré facultatif
- étang non aéré aérobie
- étang non aéré anaérobie
- étang aéré facultatif
- étang aéré aérobie
Étangs facultatifs
- 3 zones:
1. zone aérobie
2. zone facultative
3. zone anaérobie - généralement construits à même le sol
- doivent être imperméables
- petites municipalités (<300 habitants)
- simple à faire fonctionner
- pas d’équipement complexe
- économique
- peu d’entretien
- fiable
- efficaces
Étangs aérés
- temps de rétention environ 20 jours
- aération mécanique permet de maintenir une performance minimale en hiver
Étangs aérobie
- pour traiter charge polluante plus importante que dans l’étang facultatif
- rarement pour les eaux usées domestiques
- nécessite un invertissement pour assurer une forte aération
Étang anaérobie
- pour eaux usées très concentrées en MO
Étang de polissage ou de maturation
- pour enlèvement maximal des mo pathogènes
- permet l’enlèvement de virus et parasites
- charge polluante faible
- temps de rétention 18-20 jours
Buts du traitement tertiaire
- étape de polissage des eaux si la qualité de l’effluent obtenue est insuffisante ou nécessité accrue de protéger le milieu récepteur
= enlèvement des matières nutrities + désinfection des eaux + enlèvement additionnel DBO et MES
Traitements tertiaires (procédés)
- Procédés physiques (filtration, UV)
- Procédés physico-chimiques (coagulation, désinfection)
- Procédés biologiques (enlèvement des composés azétos et phosphorés)
Filtration (procédés physiques)
Type lent ou type rapide
Filtration filtre lent
- nettoyés par circulation d’eau propre à contre-courant
- sensibles au colmatage
- permet le développement d’une population microbienne à la surface des grains de sable similaire aux filtres bactériens
- permet oxydation MO résidelle et matières nutritives
Filtration filtre rapide
- charge hydraulique plus importante à cause de l’utilisation de particules de sable de plus grande dimension
- fort débit prévient la formation d’un filtre biologique (inconvénient)
Charbon actif (procédé physique)
- utile pour l’adsorption de MO
- employé sous forme de poudre fine ou de granules à la surface des filtres de sable ou dans des systèmes fermés dans lesquels circule de l’eau
- réduit DBO
- diminue la couleur d’un effluent
- possibilité de réactiver le charbon lorsque les particules sont saturées de MO en le chauffant au four, ce qui détruit la MO
Osmose inverse (procédés physiques)
- pression appliquée > pression osmotique à l’aide de pompes sur la solution la plus concentrée de manière à forcer le passage des molécules d’eau ou de solvant vers la solution d’eau plus pure
- façon d’épurer les eaux usées qui contiennent des sels ou de la MO n’ayant pas été retenue lors des étapes précédentes
- coûteuse
- populaire pour la désalinisation dans les régions où on doit utiliser de l’eau usée pour l’irrigation agricole
Désinfection (procédés physiques)
- quand les eaux usées contiennent beaucoup de mo
- pour la protection des zones de baignade ou de loisir et la réutilisation des effluents pour l’irrigation agricole
- but = détruire les organismes pathogènes ou indicateurs de pollution
- via utilisation de l’ozone ou de UV
Ozone (désinfection)
- coûteux: doit être produit sur place en faisant passer de l’air sec à travers une décharge électrique de haut voltage
- peut générer des molécules ou des composés dont les effets sur la santé et l’environnement ne sont pas connus
- conditions contrôlées: grand pouvoir d’oxydation qui permet de tuer les mo et améliorer les propriétés organileptiques
Rayons UV (désinfection)
- désinfecte les eaux usées
- temps de réaction ourt (5-15 secondes vs 30 minutes avec le chlore)
- problèmes: présence de MES + charge microbienne importante augmente la turbidité de l’eau qui rend le rayonnement moins efficace
Coagulation (procédé chimique)
- pour précipiter cetaines particules non sédimentées ou éliminer phosphate
- pour particules fines qui persistent dans l’eau après traitements primaires et secondaires
- floculer avec des agents de coagulation pour faire sédimenter
- alun = substance la plus utilisée
- pour éviter la libération d’ions Al dans l’eau: coagulants à base de Fe, polyélectrolites
- permet l’élimination de 90% du phosphate
Désinfection (procédés chimiques)
- composé le plus utilisé = chlore gazeux qui est peu coûteux, facile à obtenir, très soluble dans l’eau, toxique pour l’ensemble des mo, la concentration résiduelle dans l’eau favorise l’action à LT, mais en présence d’ammoniaque ou de substance organiques, le Cl résiduel forme des composés organochlorés qui sont cancérigènes
- peut employer le dioxyde de chlore qui ne réagit pas avec l’ammoniaque et gén;ere moins de substances toxiques
But des procédés biologiques (traitements ternaires)
éliminer les matières nutritives (N, P)
Fonctionnement système de biofiltration
- biofiltres dans un bassin rempli de matériau filtrant de faible granulométrie
- immergé ou non
- alimentation de l’eau usée par le haut ou le bas
- habituellement aérobie
- injection contre-courant ou dans le même sens
- avec support organique ou inorganique
Pourquoi n’est-il pas nécessaire d’avoir un bassin de décantation des boues avec un biofiltre?
La pollution particulaire résiduelle retenue par le biofiltre et biodégradée par les batéries ou récoltée lors du lavage du biofiltre
Types d’installation utilisées pour les biofiltres à support organiques et à support inorganique
- résidence isolée
- petites municipalités
- station de traitement de plus grande dimension
- municipalités de quelques dizaines ou centaines de milliers de personnes
Intérêt de la tourbe comme support pour la biofiltration
- Filtration physique: retient/dégrade les matières solides en suspension grâce à ses fibres végétales
- Filtration chimique: retient/dégrade des solides dissous grâce à sa polarité
- Filtration biologique: retient/dégrade N, P, C, métaux lourds, hydrocarbures, pesticides, solvants organiques, agents odorants, odeurs grâce aux mo
- structure suffisamment poreuse, composée d’agrégats de tiges et de feuilles de sphaignes peu décomposés qui favorisent la rétention, l’adsorption et une intense croissance microbienne
Fonctionnement d’un système à base de microalgues
= biotechnologie solaire
- pour éliminer les matières nutritives
- croissance des algues en bassin
- enlèvement des sels azotés et phosphorés par transformation en biomasse agale
- précipitation des photphates à cause de l’élévation de pH
- élimination de l’azote ammoniacal par entraînement gazeux
- oxygénation de l’eau –> croissance mo aérobies
- action bactricide
Procédé tertiarie complémentaire pour l’élimination des matières nutritrives qui peut être remplacé par les microalgues
Substitut pour le traitement tertiaire conventionnel car élimine aussi les matières nutritives, en plus d’offrir des possibilités de recyclage et autres usages
Recyclage biologique permis par le traitement par microalgues
- peut être intégré à des chaînes alimentaires
- permet la production des organismes ayant une valeur nutritionnelle certaine
Fonctionnement d’un système d’épuration par épandage souterrain
- processus chimiques, physiques et biologiques qui enlèvent les polluants au moyen d’un matelas colmatant
- eau percole dans la première couche traversée et est ralentie lorsqu’elle atteint la couche de sol naturelle qui est moins perméable
- l’accumulation d’eau (milieu saturé) forme une biomasse microbienne très active (matelas colmatant) qui est responsable de l’essentiel du traitement
Avantages et inconvénients d’une épuration par épandage souterrain
- peu coûteux
- entretien minimal
- permet d’utiliser le lieu de traitement à d’autres fins
- nécessite une grande surface
- peut causer des dommages à l’environnement si son installation est défectueuse
Fonctionnement de filtres intermittents
- constitué d’un lit de sable grossier qui repose sur une couche de pierre concassée dans laquelle sont enfouis des drains collecteurs
- eau usée uniformément appliquée sur toute la surface du filtre et percole à travers le milieu filtrant et PC avant d’être recueillie par les drains collecteurs
- rôle important des processus biologiques qui sont optimisés par une bonne aération
Fonctionnement de marais artificiels
- types d’écoulement possibles: vertical, horizontal et horizontal de surface
- propriétés épuratrices dépendent des plantes et des mo
Avantages et inconvénients d’un marais artificiel
- flexibilité selon le type d’écoulement voulu et performances souhaitées
- utilisation de plantes
- implantation d’espèces végétales autres que celles souhaitées qui peuvent modifier la performance épuratoire
- favorise la prolifération des insectes
- odeurs peuvent se développer en présence de décomposition anaérobie
Traitement des boues de décantation (procédés)
- épaississement
- stabilisation
- déshydratation
- séchage
- compostage
Épaississement (traitement boues récantation)
- utilisé pour augmenter la concentration de matières solides dans la boue en enlevent une partie de l’eau qu’elles contiennent
- par gravité ou flottation
Stabilisation (traitement boues récantation)
- pour favoriser la destruction des mo et la réduction du potentiel de biodégradation de la MO et des odeurs
- chimique: ajout de chaux vive qui augmente le pH et l’action bactériostatique et bactéricide stoppe la croissance microbienne
- biologique aérobie: favorise l’oxydation de la MO via aération prolongée
- biologique anaérobie: transformation de la MO par des bactéries, permet de réduire la charge polluante avec production de biogaz
Déshydration (traitement boues récantation)
- ajout de réactifs minéraux pour faciliter la séparation de l’eau et des matières solides
- vise à diminuer la teneur en eau des boues mécaniquement par centrifugation, filtres à bandes ou filtres-presses
Séchage (traitement boues récantation)
- permet l’obtention d’un matériau presque sans humidité et ayant jusqu’à 90% de siccité, ce qui favorise la réduction des boues en granules avant l’incinération ou valorisation comme fertilisant
Compostage (traitement boues récantation)
- favorise la valorisation directe
- permet stabilisation MO par oxydation microbienne
Aération prolongée à des boues de décantation
= stabilisation biologique aérobie
- favorise la réduction de la MO
Pourquoi un traitement anaérobique possible pour les boues de décantation mais impossible pour les eaux usées?
- car la température de l’eau est trop basse et la concentration de MO trop faible
- possible pour les boues car implique des bactéries méthanogènes qui sont sensibles à la température
Pourquoi le séchage est-il peu utilisé comme traitement de boues de décantation?
- coûteux
- serait souhaitable de récupérer le flux thermique provenant d’un foyer extérieur à la station d’épuration des eaux, ce qui n’est pas toujours possible et très coûteux
Moyens pour réduire les mauvaises odeurs avant leur dissémination à l’extérieur de la station d’épuration
- accroissement de l’aération des eaux
- réduction de la charge organique
- lavage par une solution aqueuse
- bioépuration des gaz
Structure et fonction d’une fosse sceptique
- souterraine
- fibre de verre ou béton
- capacité de plusieurs milliers de litres
- conçue pour décanter les MES plus denses que l’eau
- huiles et graisses s’accumulent à la surface et peuvent être recueillies
- lieu de digestion anaérobie de MO qui s’accompagne de formation de gaz
- temps de rétention court pour l’eau
- boues y séjournent pendant quelques années pour décomposer complètement la MO
Principales propriétés physiques pour décrire la qualité d’un effluent industriel
- couleur
- turbidité
- température
- conductivité
Contenu en MO des effluents industriels caractérisés par:
- DBO
- DCO
- COT