final Flashcards

1
Q

L’application de permet de résoudre plus facilement la version “ de la bière” du problème de Wason.

a. La règle de conjonction
b. Schéma d’autorisation
c. L’effet d’atmosphère
d. La disponibilité heuristique

A

b. Schéma d’autorisation

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2
Q

La règle du problème à quatre cartes Wason est la suivante: “ S’il y a une voyelle d’un côté, il y a un nombre pair de l’autre côté “. Disons que vous êtes présenté avec A, 8, M, et 13 sur chacune des quatre cartes. Pour voir si la règle est valide, vous devrez etourner les cartes montrant

a. 8 et M.
b. A et M.
c. A et 13.
d. 8 et 13.

A

c. A et 13.

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3
Q
Considérez le syllogisme suivant:
Si c'est un rouge-gorge alors c'est un oiseau. 
C'est un oiseau. 
Par conséquent, c'est un rouge-gorge.
Dans l'exemple ci-dessus, "Par conséquent, c'est un rouge-gorge" est une \_\_\_\_\_\_\_\_ d’un syllogisme \_\_\_\_\_\_\_\_\_ .
a. Prémisse; catégorique
b. Conclusion; catégorique
c. Prémisse; conditionnel
d. Conclusion; conditionnel
A

d. Conclusion; conditionnel

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4
Q

La validité d’un syllogisme dépend de :

a. La vérité de ses prémisses.
b. La vérité de sa conclusion.
c. Sa structure.
d. À la fois la vérité de ses prémisses et la vérité de sa conclusion

A

c. Sa structure.

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5
Q

Les stéréotypes sont renforcés par tous les éléments suivants SAUF

a. L’heuristique de disponibilité.
b. Les corrélations illusoires.
c. L’attention sélective.
d. Le principe de falsification.

A

d. Le principe de falsification.

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6
Q

Derrick a acheté une nouvelle voiture, une Ford Mustang, il y a moins d’un mois. Alors qu’il est assis dans la circulation, Derrick dit à sa petite amie: «Les Mustangs doivent être la
voiture la plus vendue maintenant, je ne me souviens pas en avoir vu autant sur la route que
récemment. Le jugement de Derrick est probablement biaisé par:
a. L’heuristique de représentativité.
b. L’heuristique de disponibilité.
c. La corrélation illusoire.
d. Le schéma d’autorisation.

A

b. L’heuristique de disponibilité

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7
Q

Faire des conclusions probables basées sur des preuves implique un raisonnement :

a. Déductif
b. De syllogisme
c. Inductif
d. Conjonctif

A

c. Inductif

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8
Q

Le problème du cercle, dans lequel la tâche consiste à déterminer la longueur d’une
ligne à l’intérieur d’un cercle, a été proposé pour illustrer :
a. Comment les analogies peuvent être utilisées pour résoudre des problèmes.
b. Les analyses de moyens-fins.
c. La représentation et la restructuration.
d. L’espace du problème

A

La représentation et la restructuration.

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9
Q

Les jugements sur le sentiment de proximité à une solution ………….. , avant la
résolution d’un problème d’insight et …………………… avant la résolution d’un
problème de non-insight.
a. Augmente progressivement; augmente progressivement
b. Augmente progressivement; augmente soudainement
c. Augmente soudainement; augmente progressivement
d. Varie de manière imprévisible; varie de manière imprévisible

A

c. Augmente soudainement; augmente progressivement

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10
Q
  1. La fixation fonctionnelle serait la plus faible pour un :
    a. nouvel objet.
    b. objet familier.
    c. objet fréquemment utilisé.
    d. objet avec une fonction spécifique
A

a. nouvel objet.

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11
Q
Les actions qui amène le problème d'un état à un autre sont
connues comme :
a. états intermédiaires.
b. sous-objectifs.
c. les opérateurs.
d. ensembles mentaux.
A

c. les opérateurs.

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12
Q
  1. L’expérience de Kaplan et Simon présentait différentes versions du problème du damier mutilé. Le but
    principal de leur expérience était de démontrer que :
    a. les gens arrivent subitement à la solution d’un problème d’insight, mais avancent plus
    méthodiquement vers la solution d’un problème de non-insight.
    b. L’ensemble (set) mental d’une personne peut empêcher de trouver une solution à un
    problème.
    c. les gens doivent souvent revenir en arrière dans l’espace du problème pour arriver à une
    réponse à un problème.
    d. la façon dont le problème est représenté peut influencer la facilité de résolution de
    problèmes.
A

la façon dont le problème est représenté peut influencer la facilité de résolution de
problèmes.

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13
Q

Dans la résolution de problèmes analogiques, le problème …………………… est le problème qu’un individu
essaie de résoudre, et le ………………………….. problème, qui a été résolu dans le passé, est utilisé comme
guide pour atteindre cette solution.
a. source; cible
b. cible; source
c. prototype; cible
d. Exemplaire, source

A

b. cible; source

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14
Q
  1. Le problème de radiation peut être résolu en utilisant
    a. La représentation et la restructuration.
    b. Les analyse de moyens-fins.
    c. Les jugements de chaleur.
    d. L’ensemble (set) mental.
A

a. La représentation et la restructuration.

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15
Q

. Quelle propriété ci-dessous n’est PAS l’une des caractéristiques qui rendent le langage humain unique?

a. Structure hiérarchique
b. La communication
c. Gouverné par des règles
d. Elle implique l’arrangement d’une séquence de symboles.

A

b. La communication

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16
Q

L’expérience de Pollack et Pickett sur la compréhension de la parole a révélé que lorsque les participants
prenaient des mots individuels retirés des conversations (mots isolés présentés sans contexte), ils pouvaient
identifier:
a. 100% des mots prononcés par leur propre voix.
b. 50% des mots prononcés par leur propre voix.
c. 50% des mots prononcés par d’autres avec un accent semblable au leur.
d. Aucun des mots prononcés par d’autres.

A

b. 50% des mots prononcés par leur propre voix.

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17
Q

L’effet de fréquence des mots se réfère au fait que nous répondons plus :
a. Lentement à des mots de basse fréquence que des mots de haute fréquence.
b. Lentement aux lettres apparaissant dans les non-mots que les lettres apparaissant dans les mots.
c. Rapidement à des lettres qui apparaissent plusieurs fois dans un mot que juste une fois dans un
mot.
d. Rapidement à des phonèmes qui apparaissent plusieurs fois dans un mot plutôt que juste une
fois dans un mot.

A

a. Lentement à des mots de basse fréquence que des mots de haute fréquence.

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18
Q

Les études d’ambiguïté lexicale montrent que les gens accèdent à des mots ambigus basé sur:
a. L’identification d’une seule signification pour ce mot.
b. La signification dominante de chaque définition du mot.
c. Le mot qui vient immédiatement avant et le mot qui vient immédiatement après le mot ambigu
dans la phrase.
d. Une progression ascendante (bottom-up) de la compréhension du sens.

A

b. La signification dominante de chaque définition du mot.

19
Q

. L’approche interactionniste de l’analyse syntaxique

a. La sémantique est activée seulement à la fin d’une phrase.
b. La sémantique est activée lors de la lecture d’une phrase.
c. La structure grammaticale d’une phrase détermine l’analyse initiale.
d. La sémantique est seulement activée pour lever l’ambiguïté.

A

b. La sémantique est activée lors de la lecture d’une phrase.

20
Q
  1. L’étude du mouvement des yeux de Tanenhaus et ses collègues a présenté aux participants différentes
    images pour interpréter la phrase: «Mettez la pomme sur la serviette dans la boîte. Leur résultats supportent
    a. L’approche de première syntaxe.
    b. L’approche interactionniste.
    c. Le modèle de chemin de jardin à analyser. L
    d. L’approche de première syntaxe et l’approche interactionniste
A

b. L’approche interactionniste.

21
Q

Pas tous les membres des catégories de tous les jours ont les mêmes caractéristiques. La
plupart des poissons ont des branchies, des nageoires et des écailles. Les requins n’ont pas
d’écailles, pourtant ils sont toujours catégorisés en tant que poissons. Cela pose un problème
pour :
a. L’approche des prototypes
b. L’approche des exemplaires
c. L’approche définitionnelle
d. L’approche de ressemblance de famille

A

c. L’approche définitionnelle

22
Q

L’approche définitionnelle de la catégorisation :

a. N’est pas bien adaptée aux objets géométriques, mais fonctionne pour des objets familiers du quotidien.
b. Définit des critères précis appelés ressemblances de familles que tous les membres de la catégorie doivent avoir.
c. Ne fonctionne pas bien pour la plupart des objets naturels comme les oiseaux, les arbres et les plantes.
d. A été proposé pour remplacer l’approche prototype.

A

c. Ne fonctionne pas bien pour la plupart des objets naturels comme les oiseaux,

23
Q
  1. Lequel des ensembles de données de temps de réaction suivants illustre l’effet de la typicalité pour la
    catégorie des oiseaux, compte tenu des trois essais suivants?
    Essai 1: Un hibou est un oiseau. Essai 2: Un pingouin est un oiseau. Essai 3: Un moineau est un oiseau.
    a. 583: 518: 653 msec
    b. 518: 583: 653 msec
    c. 583: 653: 518 msec
    d. 653: 583: 518 msec
A

c. 583: 653: 518 msec

24
Q

. Un avantage de l’approche exemplaire par rapport à l’approche des prototypes est que l’approche
exemplaire fournit une meilleure explication pour :
a. Les grandes catégories
b. Des items familiers
c. Des catégories variables
d. Les ressemblances de famille

A

c. Des catégories variables

25
Q
Comment l'économie cognitive est-elle représentée dans l'exemple suivant? La
propriété est stockée sur le nœud :
a. peut voler; oiseau
b. peut voler; canari
c. des plumes; autruche
d. oiseau; manchot
A

a. peut voler; oiseau

26
Q

Le modèle de réseau sémantique prédit que le temps nécessaire à une personne pour
récupérer des informations sur un concept doit être déterminé par :
a. la quantité d’informations contenues dans chaque concept.
b. la distance qui doit être parcourue à travers le réseau.
c. la typicité de l’information contenue dans chaque concept.
d. la représentativité de l’information contenue dans chaque concept.

A

b. la distance qui doit être parcourue à travers le réseau.

27
Q

Collins et Quillian ont expliqué les résultats des expériences d’amorçage en
introduisant le concept de dans leur modèle de réseau.
a. Propagation de l’activation
b. Économie cognitive
c. Typicalité
d. Propagation de retour

A

a. Propagation de l’activation

28
Q

. Lequel des modèles suivants est un modèle connexionniste proposant que les
concepts sont représentés par une activité répartie sur un réseau?
a. Théorie du réseau sémantique
b. L’approche prototype
c. Théorie du traitement distribué parallèle
d. Amélioration due à l’amorçage

A

c. Théorie du traitement distribué parallèle

29
Q

. L’apprentissage a lieu dans un réseau connexionniste à travers un processus de
dans lequel un signal d’erreur est transmis à partir des propriétés des unités.
a. Dégradation progressive
b. Vérification d’erreur
c. Propagation de l’activation
d. Propagation de retour

A

d. Propagation de retour

30
Q

Lequel des éléments suivants n’est PAS une propriété de l’approche connexionniste?
a. Le fonctionnement des réseaux connexionnistes n’est pas totalement perturbé par les
dommages.
b. Les réseaux connexionnistes peuvent expliquer la généralisation de l’apprentissage.
c. Avant tout apprentissage dans le réseau, les poids dans le réseau sont déjà établis pour
catégoriser les items.
d. Le modèle connexionniste est plutôt complexe et implique des composants tels que des unités,
des liens et des poids de connexion

A

c. Avant tout apprentissage dans le réseau, les poids dans le réseau sont déjà établis pour
catégoriser les items.

31
Q
  1. Selon l’hypothèse S-F, notre capacité à différencier les êtres vivants et les artefacts dépend d’un
    système de mémoire sémantique qui distingue et .
    a. sensations; faits
    b. attributs sensoriels; fonction
    c. nœuds de série; concepts familiers
    d. réseaux séquentiels; ressemblance familiale
A

b. attributs sensoriels; fonction

32
Q
2. Selon l'approche , il existe certains types de concepts qui ont des circuits
neuronaux spécifiques dans le cerveau.
a. De catégorie sémantique
b. Des neurones miroirs
c. À facteurs multiple
d. sensoriel-fonctionnel
A

a. De catégorie sémantique

33
Q
Pour la plupart des adultes de plus de 40 ans, la bosse de réminiscence
décrit la mémoire améliorée pour:
a. enfance et adolescence.
b. adolescence et jeune adulte.
c. jeune adulte et moyen âge.
d. enfance et âge moyen.
A

b. adolescence et jeune adulte.

34
Q

. L’étude de Schrauf et Rubin sur les «deux groupes d’immigrants» a montré
que la réminiscence coïncidait avec des périodes de changements rapides,
survenant à un âge normal pour les personnes émigrants tôt dans la vie, mais
passant à 15 ans plus tard pour ceux qui émigraient plus tard. Ces résultats
soutiennent :
a. L’hypothèse cognitive
b. L’hypothèse de l’image de soi.
c. L’hypothèse de répétition narrative.
d. L’hypothèse autobiographique.

A

a. L’hypothèse cognitive

35
Q

Une leçon à tirer de la recherche sur les mémoires flash est que :
a. Les répétitions d’expositions ne peuvent pas les expliquer.
b. La confiance des gens dans leur propre mémoire prédit leur
précision (haute confiance = haute précision).
c. L’extrême vivacité d’un souvenir ne signifie pas qu’il est précis.
d. Ils sont permanents et résistent à l’oubli.

A

c. L’extrême vivacité d’un souvenir ne signifie pas qu’il est précis.

36
Q

. L’idée que nous nous souvenons mieux des événements de la vie parce
que nous rencontrons les informations encore et encore dans ce que
nous lisons, voyons à la télévision et parlons avec d’autres personnes
s’appelle :
a. Hypothèse de répétition narrative.
b. Hypothèse cognitive.
c. Hypothèse d’image de soi.
d. Hypothèse de réminiscence.

A

a. Hypothèse de répétition narrative.

37
Q

. Selon l’approche de la mémoire , ce que les gens
rapportent en tant que souvenirs est basé sur ce qui s’est réellement
passé et sur d’autres facteurs tels que d’autres connaissances,
expériences et attentes.
a. Spécifique à l’événement
b. De source
c. Constructive
d. De désinformation

A

c. Constructive

38
Q

Dans l’expérience «la guerre des fantômes», les reproductions des
participants contenaient des inexactitudes basées sur :
a. La répétition narrative.
b. Les erreurs de suggestions.
c. Les attentes culturelles.
d. Le traitement superficiel.

A

c. Les attentes culturelles.

39
Q

L’expérience dans laquelle on demandait aux gens de porter des
jugements de renommée sur des noms célèbres et non célèbres illustrait
l’effet de sur la mémoire.
a. Répétition répétée des noms distinctifs.
b. Erreurs de source
c. Spécificité de codage
d. Erreurs de schémas

A

b. Erreurs de source

40
Q

se produit lorsque la lecture d’une phrase conduit
une personne à s’attendre à quelque chose qui n’est pas explicitement
déclarée ou nécessairement impliquée par la phrase.
a. Perspective de l’observateur
b. Inférence pragmatique
c. Mémoire prospective
d. Narration automatique

A

b. Inférence pragmatique

41
Q

Dans l’expérience au cours de laquelle les participants se sont assis dans
un bureau et ont ensuite été invités à se souvenir de ce qu’ils ont vu dans le
bureau, les participants se «souvenaient» de certaines choses, comme des
livres, qui n’étaient pas là. Cette expérience illustre l’effet des sur la
mémoire.
a. Schémas
b. Scripts
c. Confabulations
d. Biais

A

a. Schémas

42
Q

L’effet de désinformation se produit lorsque la mémoire d’une personne
pour un événement est modifiée par des informations trompeuses présentées
:
a. Avant l’événement.
b. Pendant l’événement.
c. Après l’événement.
d. Toutes ces réponses

A

c. Après l’événement.

43
Q

Dans l’expérience de «l’effet de désinformation» de Lindsay, les participants ont vu une
séquence de diapositives montrant un homme volant de l’argent et un ordinateur. Cette
présentation de diapositives a inclus la narration par une oratrice qui a décrit ce qui se passait
dans les diapositives comme elles ont été montrées. Les résultats ont montré que l’effet de
désinformation était plus grand lorsque la présentation d’informations trompeuses postévènement était
a. Visuel.
b. Auditif, quel que soit le genre du locuteur.
c. Auditif venant d’un locuteur femme
d. Auditif venant d’un locuteur homme

A

c. Auditif venant d’un locuteur femme

44
Q

Quel énoncé ci-dessous n’est pas vrai, basé sur les résultats de la recherche de la mémoire?
a. Les suggestions peuvent créer de faux souvenirs pour les événements qui se sont
produits pendant l’enfance.
b. Les suggestions peuvent créer de faux souvenirs pour un événement vécu
récemment.
c. Bien que les témoignages oculaires soient souvent erronés, les personnes qui
viennent de visionner une bande vidéo d’un crime sont assez aptes pour choisir
l’auteur de l’infraction.
d. De nombreuses erreurs judiciaires ont été commises à la suite de témoignages
erronés de témoins oculaires.

A

c. Bien que les témoignages oculaires soient souvent erronés, les personnes qui
viennent de visionner une bande vidéo d’un crime sont assez aptes pour choisir
l’auteur de l’infraction.