Experiences Flashcards
Grainger et Jacobs, 1996
• Questions des liens entre fréquence et voisinage orthographique
• Tâche de décision lexical (est-ce que le mot existe ou pas ?)
Hellyer 1962
• Étude liens entre répétition et mémorisation
• Tâche Peterson et Peterson + ajout variable répétition, différentes pour quatre groupes
• Plus on répète, mieux on retient
• Critique : plus de la mct que mlt
Rundus 1971
• Étude des liens entre répétition et mémorisation à long terme
• 20 mots à mémoriser, 1 toute les 5 secondes
• 2 choix pour la répétition des mots
• 2 tâche pour voir les mots retenus en MLT, rappel et reconnaissance
• Meilleur rappel que reconnaissance
Craik et Tulving (1975)
• Obj : apporter des arguments exp à la théorie de la profondeur de traitements proposée par Craik et Lockhart
• 3 groupes, 2 phases, la première est la même pour tous
• Le traitement sémantique permet une meilleur mémorisation
Hyde et Jenkins (1973)
• Obj : apporter des arguments exp à la théorie de la profondeur de traitements
• 2 phases, 4 groupes
• Vouloir apprendre n’a pas d’incidence, l’important est le traitement sémantique
Rose et Craik (2012)
• Est-ce que la profondeur de traitements affecté la MCT
• Même exp que C&T, différence sur le rappel (immédiat ou différé)
• Pas d’effet de la profondeur de traitement
Rubin et Kozin (1984)
• Les émotions associées à certains souvenirs
• Souvenirs précis et riches mais pas forcément juste
Talarico et Rubin (2003)
• Obj : Tester la fiabilité des souvenirs flash
• 12 septembre 2001, demande de souvenir du moment où ils ont appris pour l’attentat.
• 1, 6 et 32 semaines plus tard, même question
• La précision décline avec le temps mais la confiance dans l’exactitude du souvenir flash reste très forte
Godden et Baddeley
• Rôle du contexte physique dans la mémorisation
• Étudiant en club de plongée, mémorisation (2 variables), rappel (2 variables)
• Le contexte physique joue bien un rôle dans la mémorisation
Geiselmann et Glenny
• Mémorisation avec contexte virtuel
• 2 phases, encodage (les candidats doivent lire les mots soit en imaginant que c’est une voix soit féminine soit masculine qui leur lit) et récupération (reconnaissance des mots, prononcés sur sur un enregistrement, ce dernier contenant aussi des distracteurs)
• Ceux qui ont imaginés une voix masculine reconnaissent mieux les mots prononcés par une voix masculine et inversement
Aggleton et Waskett
• Effet du contexte sur une période longue, ici 10 à 20 ans, expérience rare
• Musée viking, les participants sont choisis pour avoir été dans ce musée il y a 10 à 20 ans et doivent rappelé le plus d’objet présent dans le musée.
• 3 groupes : 1 contrôle (on demande un rappel deux fois), 1 qui a senti l’odeur viking avant le rappel et le dernier aura aussi l’odeur viking mais seulement pour le 2e rappel
• Effet de contexte.
Craik et Lockhart
Plus on s’attache au sens, mieux on mémorise
Standing
• codage propositionnel ou analogique
• 3 groupes ; 1 qui doit mémoriser des images ordinaires, 1 qui mémorise des images marquantes et 1 qui doit mémoriser des mots. Chaque item est observé 5 secondes.
• font varier le nombre d’items à mémoriser, peut aller jusqu’à 10000 pour les images ordinaires
• résultats : les images sont bcp mieux rappelé que les mots
Brady
• tester la précision de la mémorisation des images en mlt
• 2 phases : 1-> apprentissage de 2500 images, 2-> tâche de reconnaissance juste après
• images très ressemblantes
• très bonnes mémoire des images
Simon et Chaza
• La mémorisation et le niveau d’expertise des joueurs d’échecs
• Trois niveaux d’expertise (expert, intermédiaire et novice)
• Tâche de mémoire avec soit configuration réelle soit configuration aléatoire
• Résultats : les mêmes dans les performances aléatoire, un peu meilleur suivant le niveau avec les performances réelle
• Les experts n’ont pas de capacités supérieur juste des chunk qui permettent de mieux se remémorer