examen SVS-1110 Flashcards
Les familles d’aujourd’hui sont __________ sur les plans…
diversifiées
Quelle est la différence entre divorce et séparation
divorce = acte légal
Vrai ou Faux ? Pour parler de garde partagée il faut absolument que la garde se répartisse 50/50.
Faux, mais il faut au moins un pourcentage de 30/70
Qu’est-ce qu’un famille recomposée ?
Renvoie à la situation de personnes mariées ou vivant en union de fait ayant une garde permanente, partagée ou occasionnelle d’un ou de plusieurs enfants issus d’une précédent union (qui doit s’être soldée par une séparation, un divorce ou un veuvage)
Vrai ou Faux ? Aujourd’hui 75% des enfants en familles séparées et 60% des enfants en familles recomposées ne présentent pas de difficultés particulières.
Faux, 75% des enfants en familles séparées et 70% des enfants en familles recomposées
Vrai ou Faux ? 1 québécois sur 3 né à la fin des années 1990 a vécu en famille monoparentale
Vrai
Vrai ou Faux ? les unions de fait sont 2 fois plus fragile, en terme d’instabilité conjugale
Vrai
Les jeunes vivant des ______ _______ sont plus à risque de vivre des ______ _______
Transitions familiales / difficultés d’adaptation
Vrai ou Faux ? la séparation est un évènement
Faux, elle est un processus et vient généralement dans un contexte familial déjà perturbé
La séparation amène trois choses difficile, nommez-les.
Stress chez les enfants et les parents, affecte le climat et les conditions de vie objectives de la famille, peut marquer le début d’une série de transitions
Vrai ou Faux ? la séparation a peu de conséquences positives sur les enfants
Vrai
La _______, plutôt que la ________, est la transition qui a le plus d’impact sur l’adaptation des enfants.
Séparation / Recomposition
Vrai ou Faux ? les séparations familiales semblent être vécues plus difficilement par les adolescents.
Faux, les recompositions
Les transitions sérielles (________) mutiplient les risques que les jeunes développent des problèmes d’adaptation
Transitions multiples
Quels sont les 2 facteurs les plus importants afin de minimiser les impacts de recomposition ?
Les styles parentaux (démocratique de préférence) et la qualité des relations parent/enfant et enfant/nouveau parent (= processus relationnels)
Dans les familles séparées quel sexe représente généralement la continuité et quel sexe représente la discontinuité ?
Mère / Père
_____ % des pères garde contact avec leurs enfants après une séparation et _____% perde le contact.
40% / 25%
Dans tous les cas (séparation ou recomposition), qu’est-ce qui favorise une meilleure adaptation du jeune ?
Une relation coparentale de qualité
Qu’est-ce qui joue un rôle majeur, dans les recompositions ou séparation, dans l’adaptation des enfants peu importe la structure familiale ?
Les conflits entre les ex-conjoints
Quels sont les points importants d’une bonne coparentalité ? (5)
Solidarité, soutien, coordination, cohérence, implication
En interprétant un conflit (conjugal), quels sentiments le jeune peut vivre ?
culpabilité, peur, responsabilité, impuissance
Vrai ou Faux ? c’est la séparation qui traumatise les enfants
Faux, c’est la perte d’un parent et les conflits qui ne se résolvent pas
Vrai ou Faux ? la garde partagée est de moins en moins populaire
Faux, l’inverse
Le niveau d’adaptation des jeunes en garde ______ est supérieur à ceux en garde unique, et égal à ceux en garde _____ _____
partagée / biparentale intact
5 spécificités de la recomposition familiale qui peuvent jouer sur le niveau d’adaptation de la relation familiale.
Tous les individus ont un deuil à faire, il y a rencontre de 2 histoires familiales différentes, la relation parent/enfant prime sur la relation de couple, la circulation des enfants entre maisonnées et peu de liens légaux entre enfant et beaux-parents
Vrai ou Faux ? les enfants ont généralement leur mot à dire lors d’une recomposition.
Faux, c’est plus souvent une décision entre les adultes
__ ________ _______ n’est pas une réalité homogène.
La recomposition familiale
Nommez les 4 modes de régulation au sein des familles recomposer.
Substitution : le beau-parent dans la nouvelle famille substitut au parent manquant
Pérennité : Coparentalité optimale, beau-parent plus un soutien
Exclusion : L’enfant qui se promène 1 sem/1 sem, pendant que son parent reste continuellement avec les enfants de son nouveau partenaire
Monoparentalité : Le parent qui a toujours élevé ses enfants seul et qui ne veut pas de l’implication du nouveau parent
Réagir est normal, c’est un signe d’adaptation, mais quelles sont les réactions possibles d’un jeune face à la recomposition ?
Fantasme de réconcilier les parents, vivre un conflit de loyauté, sentiment d’abandon, refus de l’autorité du beau-parent
Vrai ou Faux ? le style parental permissif est associé à une meilleure adaptation.
Faux, c’est le style démocratique
5 tâches psychologiques à accomplir afin de soutenir un jeune dans son adaptation à la séparation.
comprendre, se dégager et continuer, faire face à la perte et arrêter de culpabiliser, accepter l’état permanent et développer l’espoir de nouvelles relations
4 choses importantes à faire, en tant que parents, avec un enfant pour aider son développement malgré la séparation.
expliquer les raisons concrètes de la fin de la première union aux enfants, permettre l’expression des émotions, clarifier certains faits de base et permettre le maintien de sentiments positifs et les contacts avec les deux parents biologiques
5 choses à faire, en tant que parents, lors d’une recomposition.
Ne pas précipiter les choses, permettre le développement d’une relation positive et respectueuse avec le beau-parent, ne pas entretenir des rêves irréalistes, continuer à impliquer le parent non gardien et clarifier les règles et tenter de ménager un coin à chacun
2 choses importantes à faire avec les nouvelles fratries.
réaliser des activités tous en commun et le traitement égalitaire de tous les membres.
Nommez les 5 catégories de facteurs expliquant l’adaptation des jeunes.
Les caractéristiques du jeune, les caractéristique des parents, les trajectoires, les processus relationnels et l’accès à des ressources
Les familles séparées et recomposées ont besoin : de figures parentales ______ et aimantes ; de grandir à l’abri des conflits _______, _______ et chroniques ; de maintenir leurs liens d’_______ ; d’avoir accès à des ressources ______ et _________ ; d’être amenés à poursuivre leur vie d’enfant ou d’adolescent.
démocratiques
fréquents / intenses
attachement
sociales / économiques
Les _____ __ _______ sont un ensemble de comportements problématiques qui occasionnent un dysfonctionnement (physique, cognitif, social, affectif, etc.)
problèmes de comportement
Vrai ou Faux ? Les problèmes de comportement sont rarement en cooccurrence
Faux, l’inverse
On évalue les problèmes de comportements grâce à 5 facteurs, en évaluation qualitative.
La durée, l’intensité, la sévérité, la fréquence et la précocité des actes
Nommez les 3 façons de classifier les problèmes de comportement.
Dimension concernée : extériorisés ou intériorisés
Présence d’un trouble : TDAH, TOP, TC
Évaluation qualitative de leur typicité et sévérité : durée, intensité, sévérité, fréquence et précocité
Modèle de hiérarchisation de Campbell nomme trois degrés, nommez-les.
Agaçants, mais typiques
Typiques, mais exagérés
Symptômatiques
Chaque jour il y a, au Québec, __ hospitalisations suite à une tentative de suicide et __ suicides complétés
8 / 3
Vrai ou Faux ? le suicide est la 2e cause de mortalité chez les 12-14 ans.
Faux, chez les 15-19 ans
__% des suicides complétés sont des hommes.
78%
Les 15-24 ans sont _________ parmi la population qui souffre de détresse psychologique
surreprésentés
Le taux de suicide chez les ____ et moins est sous-estimé.
14 ans
Vrai ou Faux ? les clientèles des centres jeunesse sont de 4 à 8 fois plus à risque de suicide.
Vrai
Vrai ou Faux ? un enfant de 6 à 12 ans peut commettre une tentative de suicide.
Vrai
Aborder le suicide avec les jeunes passe par 4 choses.
s’informer, en parler, préciser et rectifier
Quelles sont les 6 dimensions du concept de la mort ?
Finalité irréversibilité universalité causalité imprévisibilité sa propre mort, individualité
Nommez les 4 classes de facteurs associés au suicide .
Prédisposants : relié à l’histoire de vie, rendant vulnérable
Contribuants : accentuent le niveau de risque
Précipitants : déstabilisant, peut agir comme déclencheur
Protecteurs : protection face au risque
Vrai ou Faux ? l’effet d’un seul facteur de risque peut amener une personne à se suicider
Faux, c’est l’effet cumulatif de plusieurs
La “triade létale” comprend :
dépression, problèmes de toxicomanie et troubles de comportement ou de personnalité
Vrai ou Faux ? Les personnes possédant la “triade létale” serait 20 fois plus à risque de suicide que la population générale
Faux, c’est 30 fois
Quels sont les 4 avantages de la grille d’estimation de la dangerosité d’un passage à l’acte ?
Intègre en un seul et même outil l’évaluation de l’urgence suicidaire
elle permet de trouver des leviers d’intervention
elle cible les facteurs susceptibles d’être associés au passage à l’acte
elle cible les symptômes liés à des problèmes de santé mentale
Voici les 7 facteurs les plus déterminants d'un éventuel suicide : 1- le \_\_\_\_\_\_ 2- les \_\_\_\_\_\_ de suicide antérieures 3- la capacité à \_\_\_\_\_ un \_\_\_\_\_\_ 4- l'usage de \_\_\_\_\_\_\_\_ 5- la capacité à se \_\_\_\_\_\_\_ 6- la présence de \_\_\_\_\_\_ 7- la capacité à prendre \_\_\_\_\_ \_\_ \_\_\_\_\_
1- COQ 2- tentatives 3- espérer / changement 4- substances 5- contrôler 6- proches 7- soin de soi
Quels sont les 3 principes de base à respecter en intervention auprès d’une personne suicidaire ?
respecter ses limites
se faire aider
consulter au besoin
Selon l’OTSTCFQ, quelle notion doit-on lever si notre jugement professionnel nous porte à croire que la sécurité de notre client est compromise ?
confidentialité
La déprime est ?
une réponse émotive normale et passagère que l’on éprouve tous à un moment ou à un autre
La dépression est ?
une modification importante du fonctionnement ; manque d’intérêt pour ses activités
Vrai ou Faux ? la dépression existe chez les jeunes et survient uniquement dans les familles à problèmes
Faux, la dépression existe chez les jeunes oui, mais pas seulement dans les familles à problèmes. Quoiqu’ils soient plus à risque
Vrai ou Faux ? C’est une malédiction d’être choisi par un jeune en difficulté
Faux, c’est un privilège
existe-t-il différents types de TDA/H ? comment les reconnaître?
oui. 3 types différents :
- inattention prédominante
- hyperactivité/impulsivité prédominante
- mixte
comment le TDA/H complexifie la vie des enfants touchés et celles de leurs parents ?
Enfants :
-problèmes d’apprentissage
-comportement sociaux inadaptés
-plus susceptible de développer des symptômes d’anxiété, de dépression, de somatisation ou des troubles de la conduite
Parents :
- doivent fournir davantage de supervision et d’encadrement à l’enfant
- faire face à une fréquence élevée de crise de colère, de chicanes et de batailles avec la fratrie
Quelles sont les grandes familles d’intervention pour les enfants présentant un TDA/H, qui visent-elles et que sait-on de leur efficacité ?
- Médications psychostimulantes ou non psychostimulantes
- interventions psychoéducatives : vise une information, une formation et es la méthode la plus efficace avec médication
- interventions comportementales : manipuler le contexte afin de diminuer la probabilité d’apparition du comportement nuisible : méthode qui a de bon résultat avec médication
- programmes d’entraînement aux habiletés sociales : enseigner la habiletés de base sociale : méthode qui a de bon résultat avec médication
- Interventions cognitives-comportementales : vise à augmenter la maîtrise de l’enfant sur ses propres comportement : effets positifs sur l’impulsivité et l’agressivité, mais moins bon sur l’inattention et l’hyperactivité
- programmes d’entrainement aux habiletés parentales
Comment intervenir de manière efficace auprès d’un enfant ayant un TDA/H ?
1- bien connaître le TDA/H et ses limites
2- reconnaître les limites des interventions
3- bien évaluer les déficits du jeune et ses ressources
4- intervenir auprès de l’enfant plutôt que de traiter seulement les symptômes
5- choisir les interventions en fonction des besoins du jeune et des ressources de son milieu
6- intervenir de façon intensive et à long terme
7- se concerter entre milieux et entre intervenants
Quelle est la différence entre le TC et le TOP ?
le TOP ne violent pas la loi ou les droits d’autrui, le TC est beaucoup plus axé sur la délinquance
Est-ce que la présence d’un TOP annonce un TC ? expliquez votre réponse.
Non. Même si très souvent le TC est accompagné d’autres problèmes de comportement, cela ne veut pas dire que le jeune souffre ou a souffert d’un TOP avant. Plus de la moitié des enfants avec un TOP n’ont pas souffert d’un TC.
Comment les comportements des parents peuvent-ils influencer l’apparition et le développement du TOP et du TC ?
- dans le cas où les pratiques disciplinaires des parents sont punitives et instables (échanges coercitifs)
- le contrôle coercitif, le parent enseigne ainsi à l’enfant qu’il est payant d’augmenter la fréquence de ses comportements désagréables.
- caractéristiques parentales : présences de troubles psychopathologiques, de comportements antisociaux, de criminalité ou d’isolement social
Comment l’environnement social plus distant (conditions socioéconomiques, communauté, milieu scolaire) peut-il influencer l’apparition et le développement du TOP et du TC ?
Socioéconomiques :
-niveau de pauvreté des parents
-niveau de pauvreté du voisinage
-isolement social des parents
Communauté :
-un voisinage à haut taux de criminalité
-être témoin de violence dans les quartiers pauvres
-exposition plus fréquente à des modèles d’adultes violents
-préjugés raciaux
-consommation de drogue
Milieu scolaire :
-rendement scolaire faible, échecs scolaires, absences répétées injustifiées
-faible sentiment d’appartenance à l’école
-se regroupent avec d’autres jeunes qui présentent des comportements déviants
-comportement des professeurs influencés par les caractéristiques des enfants
TC =
Trouble de conduites
TOP =
Trouble d’opposition / provocation
Quels sont les principaux programmes d’intervention destinés aux jeunes manifestant un trouble des conduites ou des problèmes d’agressivité? quels sont les principes de base et les concepts centraux de ces programmes? quelles clientèles sont visées? quelles sont les modalités d’intervention?
Programme The Incredible years :
Objectif : réduire et prévenir les troubles des conduites actuels et futurs
Clientèle : enfants de 2-8 ans, parents et professeurs
Modalité d’intervention : les vidéos, les jeux de rôle, la pratique guidée et le live feedback
Programme Functional Family Therapy (FFT) :
Objectif : traiter les comportements agressifs et antisociaux des adolescents
Clientèle : adolescents 11-18 ans et les parents
Modalité d’intervention : 3 étapes = engagement et motivation, changement de comportement, généralisation
Programme The Anger Coping Program (ACP) et The Coping Power Program (CPP) :
Objectif : traiter les troubles de conduite par un format de petit groupe
Clientèle : le premier, s’adresse seulement aux jeunes, le 2e aux jeunes et leurs parents (8-12 ans)
Modalité d’intervention : les 2 ont pour cible les processus sociocognitifs grâce à des techniques cognitivo-comportementale, tel que l’entrainement d’auto-contrôle
Programme Thérapie multisystémique (MST) :
Objectif : traitement individuel pour les jeunes
Clientèle : les jeunes, leurs parents et leur communauté
Modalité d’intervention : tenter de modifier le plus possible les facteurs de risques présents dans l’écosystème du jeune
Certaines personnes déconseillent l’intervention de groupe auprès des jeunes présentant un TC ou des problèmes d’agressivité, pourquoi? leurs craintes sont-elles fondées?
ils ont peur de l’effet négatif de contagion par les pairs, mais leurs craintes ne sont pas fondées, car une méta-analyse a démontré que l’influence négative entre pairs est généralement plutôt rare.
Comment est-il possible d’appliquer les lignes directrices de ces programmes dans la pratique quotidienne d’un intervenant social? quelle en est l’efficacité ?
Comment est-il possible d’appliquer les lignes directrices de ces programmes dans la pratique quotidienne d’un intervenant social?
Intégrer une variété de techniques d’interventions validées empiriquement et promouvoir des techniques d’intervention généraux au lieu de spécifiques
Travailler en collaboration avec les autres professionnels impliqués auprès de l’enfant et de sa famille
Poursuivre les recherches (évaluation) des programmes
etc.
Que sait-on de l’efficacité de ces interventions?
Généralement, les approches comportementales sont plus efficaces
Les programmes présentés dans le texte sont reconnus pour leur efficacité et leurs bons résultats
Comment définir la pauvreté ?
c’est être à l’écart de l’ensemble de la société et exclu des ressources, des chances et des sources de bien-être subjectives et objectives qui sont facilement à la protée des autres
Un enfant peut être pauvre sur les plans _____ et ______
social / culturel
Quelle est la différence entre pauvreté et pauvreté extrême ?
pauvreté = sans avoir, mais avec un certain pouvoir et savoir
pauvreté extrême = sans avoir, sans pouvoir et sans savoir
la pauvreté est souvent _______ et ________
transitoire / dynamique
Quels sont les 3 facteurs importants dans la mesure des impacts de la pauvreté sur le développement des enfants ?
Moment où ça arrive
Durée de temps de l’état de pauvreté
Profondeur de la pauvreté
Vrai ou Faux ? En 2012, 1 enfant québécois sur 8 vivait dans une famille à faible revenu
Faux, c’est 1 sur 7
Environ ___% des enfants vivent de la pauvreté persistante.
10 % vraie réponse 9.7%
La pauvreté persistante veut dire sur ____ ans et plus
4
En 2011, combien en % des familles canadiennes ont vécu une situation d’insécurité alimentaire, dont 2.8% grave ?
16%
Quelles sont les caractéristiques des familles plus à risque de connaître la faim à cause d’une extrême pauvreté ?
monoparentale vivant de l'aide sociale autochtones 2 petits salaires parents avec problèmes de santé
Nommez les 3 facteurs qui peuvent contribuer à la pauvreté.
- l’emploi et sa répartition (le fait qu’il n’y ait pas assez d’emplois pour tous, partout)
- l’inégalité des salaires et des revenus (l’écart entre les riches et les pauvres)
- le niveau des dépenses sociales (une bonne redistribution de la richesse par les politiques sociales contribue à diminuer la pauvreté)
Plus l’inégalité entre les _____ dans un pays est _____, plus cela affecte négativement le ____-____ des enfants.
revenus / grande / bien-être
Qu’est-ce qui, comparé aux autres provinces canadiennes et aux autres pays, donne au Québec plus de chance de se tirer de la pauvreté ?
les politiques sociales
La pauvreté la plus dévastatrice pour les enfants se caractérise par sa ______ et par le _____ ___ ____ _____.
persistance / moment où elle survient
Sur quels plans les conséquences importantes de la pauvreté peuvent survenir, pour l’enfant ?
cognitif, scolaire, socioémotif et comportemental
Décrivez l’effet en cascade de la pauvreté sur le développement de l’enfant.
la pauvreté affecte d’abord le plan cognitif de l’enfant (quotient intellectuel), lui donnant de la difficulté à l’école, lui donnant de la difficulté à avoir un diplôme, lui donnant de la difficulté à se trouver un emploi payant et ainsi sortir de la pauvreté
Quels sont les facteurs les plus importants pour expliquer le bien-être de l’enfant ?
la qualité de l’environnement social et économique
Éléments à cibler dans la lutte à la pauvreté, Macro et Exosystème :
- plus grande accessibilité à l’éducation
- plus grande accessibilité à des logements adéquats
- politiques sociales soutenantes
Éléments à cibler dans la lutte à la pauvreté, Microsystème :
- intervenir auprès des parents
- développer des milieux de vie de qualité
Éléments à cibler dans la lutte à la pauvreté, Ontosystème :
- veiller au développement des forces de base qui permettent aux enfants de réussir à l’école
- développer l’empowerment du jeune
En intervention auprès de la clientèle pauvre il importe de prendre conscience de nos croyances, nos préjugés, nos attitudes et nos valeurs au sujet de la pauvreté, mais aussi 4 autres choses :
partir du vécu quotidien de ces familles
reconnaître leurs problèmes de survie
comprendre leurs résistances
développer un réel lien de confiance