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Développement du langage > Examen mi-session > Flashcards

Examen mi-session Flashcards

1
Q

Les 3 pôles de la communication

A
  1. Réciprocité
  2. Circularité
  3. Inter-Subjectivité
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Q

Qu’est-ce que la communication

A

Échange d’information entre un émetteur qui produit un énoncé et un récepteur à qui l’énoncé est destiné et de ce qui l’émetteur sollicite l’écoute et/ou une réponse explicite ou implicite.

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3
Q

Réciprocité

A

Lorsqu’on communique, on définit le type de relation qu’on veut avec la personne, donc la manière qu’on s’adresse avec la personne. La réciprocité est d’accepter ou non le choix de position que l’autre propose.

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4
Q

Circularité

A

La personne ne parle pas seul, la parole revient.

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5
Q

Inter-subjectivité

A

Partage l’émetteur transmet au récepteur et le récepteur partage en fonction de ce qui est dit

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6
Q

La transmission (communication) se fait à l’aide de 4 signes

A
  1. Langage des signes (LSQ, geste)
  2. Dessins, pictos, couleurs
  3. Code verbal (signes vocaux, langue oral)
  4. Code graphique (langue écrite)
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7
Q

Comment se fait le transfert de l’information ?

A

Se fait au moyen d’un message qui a reçu une certaine forme, qui a été codé par le biais d’un système de signes issus d’une convention préétablis et systématique.

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8
Q

Les 5 facteurs de la communication

A
  1. L’émetteur et le récepteur
  2. Message
  3. Contact
  4. Contexte et référent
  5. Le code ensemble conventionnel de signes
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9
Q

L’émetteur et le récepteur

A

En situation d’échange
Communication bidirectionnelle : l’émetteur transmet son message, mais la manière dont le récepteur va répondre, l’émetteur devrai s’ajuster. Le récepteur va changer en fonction de ce qui est transmis

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10
Q

Message

A
  • Durée, forme, contenu et efficacité variable
  • à qui on s’adresse et aux réactions
  • contexte (cours de 3 ou 6h)
  • Le nombre de personne ; une classe VS un enfant
    • Message plus efficace en groupe restreint
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11
Q

Contact

A

Canal physique :
Communication directe : air
Communication indirecte : téléphone, texto, courriel, livre, journaux, film, communication, vidéo

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12
Q

Contexte ou référent

A

**Situation à laquelle le message renvoie.
Contexte situationnel : les connaissances partagés, les expériences vécus ensemble
Impact sur le contexte situationnel : en fonction de ce que tu sais, tu adaptes le message. En maternelle, ils doivent apprendre à trouver suffisamment d’info pour que le récepteur comprenne ce qui est dit.

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13
Q

Le code

A

Ensemble conventionnel de signes commun, en totalité ou en partie, au locuteur et à l’interlocuteur.
** Signes peuvent prendre différentes formes (gestuel, linguistique et non linguistique)

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14
Q

Les types de relation

A
  • Asymétrique
  • Symétrique
  • Hiérarchique
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15
Q

Relation asymétrique

A

Expert en haut du novice
Une personne en position autre qui apporte à l’autre quelque chose qu’elle n’a pas.
** Coach, parent, tutorat

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16
Q

Relation symétrique

A

Au même niveau
Coopératif. Ils ont la même position,
** 2 enseignantes, 2 enfants, 2 médecins..

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17
Q

Relation hierarchique

A

Quelqu’un supérieur à l’autre
Pas réciproque, abus d’autorité
** hArcèlement, enfants abusés, M.Lecours

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18
Q

Communication linguistique

A

Oral, geste, écrit

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19
Q

Communication non-linguistique

A

gestuel (naturel, pas LSQ), dessin/picto, mouvement corporel, expression faciales, proxémie (espace vital)

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20
Q

Communication paralinguistique

A

Intonation/prosodie

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21
Q

Les dimensions de la communication

A

Contenu et relation

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22
Q

Problèmes de communication

A

Désaccord ou confusion au plan de l’une de ces dimensions, parfois même au plan des deux dimensions à la fois

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23
Q

Métacommunication

A
  • Réflexion = Aller plus loin
  • Utiliser la communication pour rétablir et analyser la communication
  • Gérer des problèmes de communication
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24
Q

Caractéristiques du langage

A
  1. Caractère universel (les enfants passent par la même étape)
  2. Spécifique à l’humain
  3. Créatif (aucune limite)
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25
Q

Quel genre de phénomène est le langage ?

A

Est un phénomène cognitif : comprendre, produire, pas directement observable

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26
Q

Les 2 volets du langage

A

Expression et compréhension

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27
Q

Les composantes du langage

A
  1. Expressif (phonologique (sons), orthographe (graphème)
  2. Morphologie : composition des mots
  3. Syntaxique : Phrase
  4. Sémantique : Sens
  5. Pragmatique : Règles de la communication
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28
Q

Béhavioriste qui explique le langage

A

Langage appris par renforcement social. Modèle utilisé en clinique. Enfants naissent comme des cruches vides et on valorise les comportements

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29
Q

Innéisme qui explique le langage

A

LAD (langage acquisition device)

Quelques choses d’innés qui fait en sorte qu’on n’a pas à apprendre

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30
Q

2 situations essentiels pour l’apprentissage du langage

A

Social

Individuel

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31
Q

Situation sociale

A

Un environnement social parlant à l’enfant. Lui apprends et l’expose à une langue. Développement linguistique.

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32
Q

Situation individuelle

A

L’enfant doit avoir un équipement neurophysiologique qui soit intégré et fonctionnel. Être capable de percevoir les sons (système auditif), produire les sons (organes), et avoir la capacité de comprendre (cognitif/intellectuelle, cerveau)

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33
Q

Fonctionnalisme basé sur l’utilisation

A
  • IMportance de la dimension pragmatique du langage : fonctions, intentions, contextes réels de communication.
  • Centré sur la réussite de la communication, c’est à dire l’atteinte du but poursuivi.
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34
Q

Modèle écologique

A
  • Relation entre les êtres vivants et le milieu dans lequel ils évoluent
  • Couches systémiques : interactions réciproques et bidirectionnelles.
  • L’apprenant peut influencer les autres sytèmes
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35
Q

Cognitivismes

A
  • Modèle développemental (langage fait partie du développement cognitif)
  • Prérequis cognitifs (niveau atteint pour développement)
  • Modèle empirique
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36
Q

Socioconstructivisme

A
  • Étayage : Rendre l’enfant autonome, en l’accompagnant de moins en moins
  • ZDP : zone proximal de développement ; défi adapté, zone où il peut y avoir des apprentissage
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37
Q

Qu’est-ce que la langue &

A

Ensemble de mot qui appartiennent aux membres d’une même communauté
Système organisé (code) qui repose sur des règles (convention)
Instrument de communication au service du langage
Produit social qui est acquis et dépendant du contexte
Est une langue vivante

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38
Q

Qu’est-ce que la parole ?

A

Concrétisation à la fois de la faculté de langage et de la connaissance d’une langue donnée.

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39
Q

Les 4 paramètres de la parole

A
  • Débit/Fluidité
  • Voix (vibration des cordes vocales)
  • Articulation/prononciation (position/mouvement des organes articulatoires)
  • Résonance (oral/nasal)
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40
Q

Qu’est-ce que le discours ?

A

Réalisation concrète, orale ou écrite, de la langue considérée comme un système abstrait.
Enchaînement d’énoncés (phrases) sur un thème précis.
Plusieurs types de discours (narratif, expressif, argumentatif, incitatif, informatif…)

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41
Q

Qu’est-ce que la compréhension ?

A

Concrétisation d’une partie des connaissances qu’un individu a de sa langue.

  • Concerne le volet réceptif (comprendre les mots pour expressif)
  • Implique (entendre, perception des sons, associer les suites de sons à un sens).
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42
Q

Développement du langage à l’école

A
  • Phonologique (ch/j/rc/tr/br)
  • Pragmatique (règle de la communication)
  • Syntaxe (lecture/écriture)
  • Vocabulaire
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43
Q

Les 3 composantes du langage

A
  • Forme (comment dire?)
  • Contenu (sens du message, sémantique, quoi dire?)
  • Utilisation (pragmatique, pourquoi dire ça ? à qui? où? )
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44
Q

La forme (comment dire ?)

A
  • Phonologie
  • Morphologie
  • Syntaxe
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45
Q

Contenu (sens du message, sémantique, quoi dire ?)

A
  • Les idées que l’on peut exprimer ou comprendre

- Lexique

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46
Q

Utilisation (pragmatique, pourquoi dire ça, à qui, où?)

A
  • Intentions de communication
  • Les habiletés conversationnelles
  • Types de discours
  • Règles du discours
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47
Q

Phonologie

A

Science qui étudie la fonction des sons dans les langues et les règles de combinaison des sons qui forment la parole.

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48
Q

Phonétique

A

Branche de la linguistique qui étudie l’inventaire et la structure des différents sons qu’il est possible d’articuler dans une langue.

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49
Q

Phonème

A

Le phonème est la plus petite unité dépourvue de sens que l’on puisse délimiter dans la chaîner parlée. On parle des unités phoniques non-signifiantes permettant de différencier les mots entre eux

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50
Q

La production des sons

A

Les sons sont formés par l’air sort des poumons et qui passe par diverses structures physiologiques : larynx, pharynx, cavité buccale, langue, voile du palais, palais dur…

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51
Q

Classement des sons

A
  • Consonnes : obstacles à la sortie de l’air
  • explosive = obstacle complet
  • constrictive = espace plus petit
  • Voyelles : aucun obstacle
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52
Q

Que peut-on observer dans les paroles de l’enfant pour analyser son développement sur le plan phono ?

A
  • Inverse-t-il des sons dans les mots ?
  • Remplace-t-il des sons par d’autres ?
  • Enleve-t-il des sons dans les mots ?
  • Comprend-t-il ou produit-il les mots longs ?
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53
Q

Quel est le lien entre l’oral et l’écrit ?

A

Graphème, l’unité minimal de l’écriture. Permet de représenter les phonèmes.

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54
Q

Les différents graphèmes

A

Simple : 1 lettre

Complexe : Diagramme, trigramme

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55
Q

Nous avons un système alphabétique opaque, qu’est-ce que cela signifie ?

A

Que nous n’avons pas toujours le même graphème pour le même phonème

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56
Q

Morphologie

A

Ensemble des règles gouvernant l’organisation interne des mots, c’est-à-dire les règles de combinaison entre les morphèmes racines pour constituer des mots (règles de formation des mots) et la description des formes diverses que prennent ces mots selon la catégorie de nombre, de genre, de personne…

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57
Q

Que travail la morphologie ?

A
  • Formation des mots (familles de mots, prefixe/suffixe…)
  • Variations qui subissent les mots dans la phrase
  • Accords grammaticaux (genre/nombre)
  • Conjugaison des verbes (personnes/temps)
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58
Q

Les genres de morphèmes

A

Libres : plus petite unité de son

liés : on ne peut les utiliser seuls, on doit les mettre avec une racines

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59
Q

Dérivés des morphèmes

A

Préfixe, suffixe, forme des nouveaux mots

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60
Q

Quel rôle jouera la composante morphologique lors des apprentissages scolaires ?

A
  1. Lecture ; compréhension, comprendre des nouveaux mots

2. Écriture ; terminaison, orthographe grammaticale, accord, orthographe lexical

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61
Q

Quoi observer chez l’enfant pour analyser son niveau de développement au plan morphologique ?

A
  • Former (inventer des mots à l’aide de préfixe/suffixe connus)
  • Erreur dans l’application des règles (sontaient)
  • Conjuguent-ils les verbes ?
  • Accordent-ils en genre et en nombre ?
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62
Q

Syntaxe

A

Les règles par lesquelles on combine en phrases les unités significatives

  • Les mots se combinent entre eux pour former des phrases selon les règles précises et complexes
  • On fait référence à l’ordre des mots porteurs de sens, emploi des mots de relation (coordination et conjonction), formulation des différents types de phrases
    • les constituants obligatoires
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63
Q

Que peut-on observer chez l’enfant pour analyser son niveau de développement sur le plan syntaxique ?

A
  • Omission de mots
  • Ordre des mots
  • Longueur des énoncés (complexités des phrases)
  • Types de phrases
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64
Q

Sémantique

A

Faut référence au contenu de la communication au sens du message
- Composante de la langue qui est constituée de l’ensemble des règles réagissant la signification des mots et des énoncées.

65
Q

Sémantique ; Quoi dire ?

A
  • Vocabulaire : sens des mots (lexique)
  • Lexique : ensemble des mots et leur sens dans une langue.
    • Mots compris et produits d’un certain moment du développement
66
Q

trois types de relation

A

Signifiant- signifié
relation entre les objets
relation entre les évènements

67
Q

Relation signifiant-signifié

A

Les mots servent à donner un nom aux choses et

a tout ce qu’on fait. Ils servent à parler, comprendre et se faire comprendre.

68
Q

Signifiant

A

Mot étiquette verbale

69
Q

Signifié

A

Sens du mot = animal domestique

70
Q

Que requiert la sémantique lexical ?

A

La connaissance intuitive des propriétés sémantiques des mots

71
Q

Que permet le lexique mental, qui est organisé en catégorie sémantique

A
  1. Faire des liens entre le sens des mots

2. Favoriser la récupération des mots (*accès lexical)

72
Q

Les compétences nécessaires pour le lexique mental

A
  • reconnaître qu’un mot peut avoir plusieurs sens
  • compétence à catégoriser les mots
  • compétence à reconnaître les antonymes/synonymes
73
Q

Que peut-on observer chez l’enfant pour analyser son niveau de développement sur le plan sémantique?

A
  • Types de relations exprimées
  • Vocabulaire (juste, précis, variée)
  • Cherche-t-il ses mots?
  • Peut-il classer des mots en catégories sémantiques ?
  • Peut-il évoquer des mots en lien avec une catégorie particulière ?
  • Est-ce que l’enfant comprends ou peut faire des devinettes (étiquette verbale/sens)
  • Comprend-il les concepts (temps et espace)
74
Q

Pragmatique

A

Ensemble des règles relatives à l’expression d’intentions de communication à un ou à plusieurs interlocuteurs, dans des contextes sociaux variés.

75
Q

Les 3 dimensions pragmatique du langage

A
  1. Fonction du langage (intention de communication, fonctions du langage)
  2. Contexte de la communication (habiletés conversationnelles : adaptation au contexte situationnel)
  3. Règle du discours (règles conversationnelles : production de différents types de discours)
76
Q

Intentions de communication

A
  • Centrée sur soi
  • Centrée sur le message
  • Centrée sur l’interlocuteur
77
Q

Centré sur soi

A
  • Exprimer un état, goût, besoin
  • critiquer, renforcer, etc..
  • se défendre, etc.
78
Q

Centrée sur le message

A
  • Demander, répondre
  • Dénommer, décrire, donner des détails
  • Rapporter des faits, etc…
79
Q

Centrée sur l’interlocuteur

A
  • Donner une consigne, demander une action…

- Convaincre, négocier, argumenter…

80
Q

Fonctions du langage

A 
Instrumental
Régulatrice
Interlocutionnelle
Personnelle
Heuristique
Imaginative
Informative
81
Q

Instrumental

A

Sert à satisfaire les besoins

82
Q

Régulatrice

A

Sert à contrôler les comportements

83
Q

Interlocutionnelle

A

Sert à rentrer en relation avec les autres

84
Q

Personnelle

A

Sert à se définir, à exprimer ses sentiments

85
Q

Heuristique

A

Sert à découvrir, explorer et connaître. L’enfant veut apprendre quelque chose qui va lui permettre de progresser au niveau cognitif

86
Q

Imaginative

A

Sert à créer un univers de fiction

87
Q

Informative

A

Sert à informer et s’informer (donner factuelle comme l’heure, pas d’apprentissage)

88
Q

Les habiletés conversationnelles à développer

A
  • Attendre son tour
  • Porter attention aux autres
  • Se montrer interessé par la situation de communication
  • Rester dans le sujet
  • Corriger/modifier son message
  • Demander des clarifications
89
Q

Prendre en considération l’interlocuteur et le contexte

A
  • Sélection de la forme linguistique appropriée
  • Utilisation de rituels conversationnels
  • User de comportements physiques adaptés
  • Utilisation de formules de politesse
  • Ajustement selon le canal de communication
  • Ajustement selon le contexte global de communication
90
Q

Les règles du discours

A
  • Donner la quantité d’info nécessaire, pas trop mais ce qu’il faut
  • Ne pas dire n’importe quoi, faire du sens et rester dans le sujet
  • Pertinence
  • Clarté des propos (être direct)
  • Cohérence, débuter, maintenir et terminer
91
Q

Quoi observer pour savoir si l’enfant à des problèmes au niveau de la pragmatique

A
  • Est-ce qu’il respect le sujet ?
  • Est-ce qu’il regarde la personne à qui il parle?
  • Quand commencer et arrêter de parler ?
  • Semble-t-il motivé par la communication ?
92
Q

La compréhension

A

Intégration et utilisation des stratégies non linguistiques et linguistiques permettant de décoder le message communicatif exprimé par un interlocuteur

93
Q

Stratégies linguistiques

* Compréhension

A

Analyse des mots, énoncés phonologiques, morphologiques, , syntaxe, sémantique

94
Q

Stratégies non linguistiques

* Compréhension

A

Gestes, objets, contextes, intonations de la voix, expressions faciales.

95
Q

Pour comprendre, l’enfant a besoin de….

A
  • Porter attention à ce qu’on lui dit
  • Bien entendre
  • Percevoir les sons du langage
  • Posséder une bonne mémoire verbale
  • Arriver à attribuer une signification aux éléments de langages entendus.
96
Q

Pour arriver à attribuer une signification aux éléments de langage entendus, l’enfant doit …

A
  • Pouvoir aller rechercher des infos dans sa mémoire
  • se servir des connaissances qu’il a déjà apprises
  • Faire des liens, pouvoir associer les connaissances entre elles
  • se référer au vocabulaire qu’il a appris
  • Utiliser sa logique
  • Tenir compte du contexte
  • Déduire certaines informations qui n’ont pas été dites
97
Q

Quoi observer chez l’enfant pour vérifier son niveau de compréhension ?

A
  • Voir dans son visage
  • Réaction
  • Peut-il redire ce qui vient de se passer ?
98
Q

Relations entre les composantes du langage

A

Pour développer la compétence à communiquer de façon appropriée, l’interrelation des différentes composantes est essentielle

99
Q

3 modèles pour les relations entre les composantes du langage

A
  1. Modèle d’organisation modulaire
  2. Modèle formaliste
  3. Modélisation : approche fonctionnelle
100
Q

Modèle fonctionnel

A

La pragmatique constitue le principe à l’organisation générale du langage
- L’enfant doit avoir et envie de communiquer
Vision hollistique : intervention en contexte de communication réels et authentiques, c’est à dire :
- Répondant à des vrais besoins de communication
- Contextes, processus complet

101
Q

Causalité

A

Cause à effet

102
Q

Corrélation

A

Lien entre deux variables

103
Q

Facteurs culturels

A

Bilinguisme

104
Q

Bilinguisme

A
  1. Mal géré : submersion/bilinguisme
  2. Bien géré : Mieux organisé, créatif, habiletés métalinguistiques plus développé, meilleurs en résolution problème, 2em culture
105
Q

Facteurs sociaux et économiques

A
  • Revenu familial

- Revenu social

106
Q

Facteurs environnementaux

A
  • Milieu familial
  • Facteurs relatifs aux environnements fréquenté par l’enfant
  • Facteurs relatifs aux interactions de l’enfant avec les personnes de son environnement autre que familial
  • Les relations entre les milieux (important)
  • Facteurs personnels (bio, intellectuel et cognitif, affectifs)
107
Q

Milieu familial

A

A. Facteurs personnels des enfants
B. Facteurs relatifs à la relation parents-enfants
C. Facteurs relatifs à la composition et fonctionnement familial

108
Q

Facteurs personnels des enfants

A
  • Degré de scolarisation de la mère
  • Âge de la mère
  • Problème de consommation
  • Santé mental de la mère
  • Problème langagier
  • Attitude envers les apprentissage
  • Connaissance sur le développement de l’enfant
109
Q

Facteurs relatifs à la relation parents-enfant

A
  • Attitudes parentales au plan des pratique éducatives
  • Relation d’attachement (surprotection = facteur de risque)
  • Qualité de la relation (engagement interpersonnel)
  • Perceptions de l’enfant
  • Stimulation de la communication
  • Quantité = parler beaucoup,
  • Qualité = varié, riche et précis
  • Lecture d’histoire (facteur de protection +++), commencer tôt et avoir beaucoup de livre
110
Q

Facteurs relatifs à la composition et au fonctionnement familial

A
  • Présence d’une fratrie (protection)
  • Qualité du fonctionnement familial
  • Rang de l’enfant dans la famille
  • Type de famille
  • Évènement traumatisants (deuil, déménagement…)
111
Q

Facteurs relatifs aux environnements fréquentés par l’enfant

A
  • Les enfants de 2-3 ans qui fréquentent une forme ou autre de service de garde ont un meilleur développement sur le plan du lexique et des capacités conversationnelles que les enfants qui restent avec leur mère
112
Q

Facteurs relatifs aux interactions de l’enfant avec les personnes de son environnements autre que familial

A
  • Variété d’expériences langagières (plusieurs modèles, nombre d’interlocuteur, différents manières de s’exprimer)
  • deux types d’interactions possibles (symétriques, asymétriques)
113
Q

Facteurs biologique

A
  • Santé
  • Sexe
  • Facteurs neurologiques
  • Facteurs visuels
  • Facteurs auditifs
  • Facteurs liés à l’intégrité des systèmes respiratoires, phonatoires et articulatoire
114
Q

Facteurs neurologiques

A

Côté gauche pour le langage.

Aires spécialisées

115
Q

Air de Broca

A

Production de la parole (programme moteur qui fait bouger les organes articulatoires)

116
Q

Air de Wernicke

A

Compréhension du langage

117
Q

Territoire de Greschwind

A

Aspect graphique, lecture et écriture, les éléments complexes du langage

118
Q

Exemples de problèmes associés à des facteurs neurologiques

A
  • Dyspraxie verbale

- Aphasye (cellules endommagés dans une partie du cerveau)

119
Q

Système respiratoire

A

Poumons, bronches, trachée, diaphragme, muscles intercostaux.
Souffler pour parler et faire les sons

120
Q

Système phonatoire

A

Larynx (différents cartilages, cordes vocales, glotte, différents muscles…)
Produire les sons

121
Q

Problèmes liés à un mauvais fonctionnement ou à une malformation des organes phonatoires

A

Hauteur de la voix
Intensité de la voix
Producction des mots

122
Q

Système articulatoire

A
  • mobile (langue, joue), immobile (dents, palais), supra-glottiques (nasale, orale)
  • Moduler les sources sonores produites par la vibration des cordes vocales
123
Q

COmment le système articulatoire produit les sons

A

Certains muscles font bouger les articulatoires mobiles, le mouvement des articulateurs modifie la configuration des cavités supra-glottiques ce qui modifie la résonance des cavités et produit ainsi des sons différents.

124
Q

Exemples de problèmes reliés à un mauvais fonctionnement et/ou malformation des organes articulatoires

A
  • Problèmes d’articulation (zozotement, sigmatisme interdental)
  • Problèmes de résonance (rhinolalie ouverte (parle du nez), rhinolalie fermé (cavité nasale bouché))
125
Q

Facteurs visuels

A

Mouvement des lèvres

  • voir le non verbal (expressions faciles, gestes, contextes)
  • lecture/écriture
  • attention conjointe (voir les objets, associer le nom à l’objet)
126
Q

Le sexe de l’enfant

A

Se développe plus rapidement chez les filles dû à la maturation et les hormones

127
Q

La santé physique

A
  • État de santé général (va avoir moins d’occasion d’être stimuler s’il est souvent couché et à l’hôpital)
  • Bébé de petit poids = plus à risque
128
Q

Les facteurs cognitifs et intellectuels

A
  • Potentiel/niveau de développement cognitif/intellectuel

- Fonctionnement cognitif

129
Q

Potentiel/niveau de développement cognitifs/intellectuel

A
  • Permanence de l’objet : capacité de se représenter les objets ou les personnes qui ne sont plus directement perceptibles par nos sens.
  • Fonctions sémantique/symbolique du langage : capacité qu’à l’enfant de se représenter les objets ou évènement qui ne sont pas perceptibles à l’aide de symbole.
  • Fonction symbolique explique : imitation différé, jeu symbolique, langage représentatif (utiliser des mots pour parler d’objet/personne qui ne sont pas présent)
130
Q

Fonctionnement cognitif

A
  • Habiletés cognitives

- Habiletés métacognitives

131
Q

Habiletés cognitives

A
  • Attention
  • Perception, discrimination
  • Reconnaissance, association
  • Organisation & catégories sémantiques
  • Mémoire
  • Transfert et généralisation
132
Q

Attention

A

Sélective : capacité d’attention, voire de résistance à la distraction

  • Processus cognitif et actif
  • Durée variable
  • Nature des difficultés (sélectionner ce qui est important, être capable de résister aux distractions, voir non verbal, attention conjointe…)
133
Q

Perception et discrimination

A
  • N’est pas synonyme de réception sensorielle
  • Habileté à identifier les stimuli d’un ensemble de stimuli
  • Analyse des propriétés du stimulus capté
  • Décision sur les similarités ou la dissemblance des stimuli suite à l’identification des traits de distinction pertinents
134
Q

Exemple des difficultés reliés à la perception et discrimination

A
  • distinguer/différencier des mots qui se ressemblent
  • analyse acoustique
  • discrimination visuelle
  • discrimination auditive (feu, vœux)
  • Agnosie : distinguer la parole du bruit
135
Q

Reconnaissance et association

A
  • Mettre en relation le stimulus sonore perçu avec les connaissances antérieures (déjà emmagasiné dans la mémoire) afin de la reconnaître et de l’associer
  • Lexique phono d’entrée : reconnaissance association
136
Q

Exemple de difficultés reliés à la reconnaissance et l’association

A
  • Difficulté à reconnaître le stimulus perçu : c’est-à-dire récupérer sa forme correspondante dans le lexique
137
Q

Organisation et catégories sémantiques

A
  • Catégoriser l’information pour entreproser

- Important pour la récupération des mots et l’attribution d’un sens aux mots reconnus

138
Q

Stratégies utilisées avec organisation et catégories sémantiques

A
  • Médiation : un mot ou un symbole forme un lien entre 2 entités
  • Association : un mot ou un symbole aide à en rappeler un autre
139
Q

Mémoire

A
  • Mémoire à long terme et immédiate
  • Courses des difficultés (mnémoniques limités et stockage inefficace)
  • Conséquences des diffidultés
140
Q

Stratégies permettant de stocker à long terme

A
  • Élaboration : lien connaissance antérieurs
  • Répétition
  • Catégorisation (réseau sémantique)
  • Visualisation (couleur)
141
Q

Mémoire phonologique

A

Sous-entend l’habileté humaine à répéter des séquences phono nouvelle ou des pseudos-mots isoles à l’oral, et ce, immédiatement après les avoir entendus. La mémoire phono est impliqué dans la rétention momentanée et la répétition sous-vocal des stimuli verbaux que le sujet voit/entends.

142
Q

Transfert et généralisation

A
  • Appliquer les connaissances et habiletés antérieurement apprises dans la résolution de nouveaux problèmes mais similaires.
  • Comment favoriser le transfert & généralisation des apprentissages ?
143
Q

Habiletés métacognitives

A

Capacité de l’enfant à gérer ses habiletés cognitives

- Différentes habiletés métalinguistiques (conscience phono/morpho-syntaxique/sémantique/pragmatique)

144
Q

Facteurs affectifs

A
  • Attitude envers la communication
  • Tempérament (social et extravertie)
  • Attitude face au risque d’erreur
  • Immaturité affective
  • Troubles émotifs
  • Estime de soi
145
Q

L’apprentissage de la communication

A
  • Communication consiste à transmettre un message. Certaines habiletés qui se développent en début de vie sont la base de la communication.
  • L’enfant communique bien avant de parler.
146
Q

Précurseurs à la communication

A
  • Contact visuel
  • Attention conjointe
  • Intentions de communication
  • Imitation motrice vers l’imitation verbale
  • Tour de rôle
  • Compréhension non verbal
  • Permanence de l’objet
  • Catégorisation
  • Pointage
  • Attention
147
Q

Phases du développement précoce de la communication

A
  • Attention partagé
  • Engagement personnel
  • Attention conjointe
  • Émergence du code symbolique
148
Q

Développement

** Attention partagé

A
  • 0-2 mois
  • Enfant et l’adulte se superposent
  • Communication est d’ordre affectif
  • Parent = joue les 2 roles, attire l’attention de l’enfant et répond au pleure
  • Enfant = enfance passif en communication, il n’y rien d’intentionnel, capable de tourner la tête en fonction d’un bruit
149
Q

Développement

**Engagement personnel

A
  • 2 à 6 mois
  • Enfant et adulte commencent à prendre conscience l’un à l’autre ainsi que le message
  • L’enfant : attention, début de participation, sensibilité à la direction du regarde de l’adulte
150
Q

Développement

** Attention conjointe

A
  • 6-12 mois
  • Habileté à différencier une entité parmi plusieurs et à noter sa présence. Le fait pour l’enfant et l’adulte de suivre du regard l’objet dont il est question dans l’interaction
  • entre 6 et 8 mois ; désignation à la demande, l’adulte provoque des situations de demande
151
Q

Développement,

** Émergence du code symbolique

A
  • environ 12 mois
  • Apprentissage de l’étiquetage
  • Référence conjointe s’établit maintenant en suivant la structure du dialogue (nomme les objets et évènements, l’adulte aussi. L’enfant prends plus de place dans l’interaction.
152
Q

Les parents jouent un rôle fondamental dans l’apprentissage de la communication

A
  • Façonnent les conduites communicationnelles de l’enfant
  • Mettent en mots le monde qui entoure l’enfant
  • Lient leur discours à l’activité de l’enfant
  • Sélectionnent les comportements appropriés
  • Adaptent et modifient leurs actions en fonction des progrès de l’enfant
  • Proposent des défis réalisables à l’enfant
  • Fournissent un modèle verbal approprié.
    • Engagent l’enfant dans des activités favorisant l’action conjointe (activité routinière ++)
153
Q

Ajustement du langage adulte

A
  • Ajustement de la syntaxe
  • Ajustement du vocabulaire
  • Sujets appuyés sur le contexte
  • Modification de la prosodie (intonation)
  • Usage abondant d’expressions faciales et de gestes
  • Recours fréquent aux questions et aux félicitations
  • Rituels verbaux fréquents (coucou avec couvertes)
  • Interprétations des comportements de l’enfant
154
Q

Acquisition langagière

A
  • Prénatal
  • Communication pré-linguistique
  • Transition à la communication
  • Communication linguistique proprement
  • Communication linguistique proprement dite
155
Q

Période prénatale

** Acquisition langagière

A
  • Système auditif fonctionnel dès la 25ieme semaine de gestation, et proche de l’adulte à 35 semaine
  • Distingue la parole humaine des bruits environnants
  • Entend la voix de sa mère et celles des autres personnes de l’environnement
  • Distingue la prosodie
  • Réagit aux variations d’intensité, de fréquence et de structure des sons de la parole
    • Permet la familiarisation avec langue maternel, modelage sensoriel, calibrage
156
Q

Communication pré linguistique

** Acquisition langagière

A
  • 9 -18 mois
  • Attention sélective
  • Discrimination
  • Pas de mots
  • Beaucoup d’exercices articulatoires
157
Q

Transition à la communication linguistique

** Acquisition langagière

A
  • 9-18 mois
  • Début de l’intentionnalité
  • Début du développement des habiletés conversationnelles
  • Début de construction du répertoire des sons
  • Vers 9 mois ; découverte des sens des mots en contexte, compréhension de courtes phrases, cheminement vers la capacité à utiliser des mots pour communiquer.
158
Q

Communication linguistique, proprement dites

** Acquisition langagière

A
  • 18-36 mois
  • Augmentation fulgurante du vocabulaire
  • Combinaisons de 2, puis 3 et puis 4 mots
  • Combinaisons de mots = communiquer des contenus plus élaborés dont les relations entre objets
  • Capacité à soutenir le dialogue
159
Q

Communication linguistique proprement dites

** Acquisition langagière

A
  • 36-60 mois
  • Augmentation importante des moyens morphosyntaxiques
  • Ajout des relations entre évènements sur le plan sémantique
  • Ajout des discours narratif et argumentatif sur le plan pragmatique
  • Développement des habiletés métalinguistiques

Développement du langage (1 decks)

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