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Perspective béhaviorale et cognitive > Examen mi-session > Flashcards

Examen mi-session Flashcards

1
Q

Quels sont les 2 grandes conception de l’Homme ?

A
  • innée

- acquis

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2
Q

Quelles sont les idées de Platon ?

A
  • Inné

- Tout est programmé d’avance

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3
Q

Quelles sont les idées d’Aristote ?

A
  • Feuille blanche

- Construit notre vie par notre environnement

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4
Q

Quelles sont les idées de Descartes ?

A
  • Innéiste
  • Début pensée scientifique
  • Fondateur rationalisme moderne (inné)
  • Dualisme âme-corps
  • Étude du corps, recherche du siège de l’âme (glande pinéale (pcq centre cerveau))
  • « Si l’oeil réfléchit la lumière, l’esprit réfléchit la pensée (début de l’introspection)»
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5
Q

Quelle sont les idées de Locke ?

A
  • Empiriste
  • Connaissances ne viennent que l’expérience
  • Empiriste moderne (s’oppose notions d’hérédité, observation faits)
  • Naissance associationnisme (associe stimulus à réponse)
  • Principe de contiguïté : Plus l’association est proche, + apprentissage vite
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6
Q

Quelle sont les idées de Locke et Hume ensemble ?

A
  • Science se divise en 2 (théorie + observation)
  • Début positivisme (observation faits, rejet introspection, apprend par association, connaissance vient nos sens)
  • Ex. Musique en écoutant, nourriture en goûtant
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7
Q

Quelle sont les idées de Külpe ?

A
  • Découverte pensée abstraite

- Fonctionnalisme (processus, fonctionnement)

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8
Q

Quelle sont les idées de Wundt ?

A
  • Création psycho scientifique
  • 1ier labo psycho expérimentale en 1879
  • Structuralisme
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9
Q

Quelle sont les idées de William James ?

A
  • Psycho américaine expérimentale

- sentiments ne produisent pas émotions, prise de conscience de nos réactions organiques (j’ai peur pcq je m’enfuis)

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10
Q

Comment le béhaviorisme a commencé ?

A
  • Naissance USA
  • Psycho scientifique moderne
  • Comportement
  • 1iere vague thérapie cognitive-comportementale
  • modification comportements observables
  • rct à la psychanalyse
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11
Q

Comment la théorie cognitive est-elle arrivée ?

A

2e vague de TCC

  • années 60, psychologie cognitiviste
  • individu influencé par environn. dans l’acquisition ses pensées, croyances et schémas
  • pensées ont une influence sur les émotions et les comportements
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12
Q

Explique la thérapie cognitivocomportementale contemporaire.

A
  • 3e vague de TCC
  • phénomènes psychologies : S’intéresse à leur fct qu’à leur forme
  • Développement de stratégies de changement contextuelles et expérientielles
  • Cause des troubles santé mental = intéraction entre individu et environn.
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13
Q

Explique la causalité circulaire

A

Intéraction entre environnement et individu

1) Environnement
2) Individu :
- Cognition : ce qui me vient à l’esprit spontanément
- Comportement : Ce que je fais
- Émotion : ce que je ressens
- Biologie
* * Interaction constante entre ceux-ci dans l’individu

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14
Q

Explique le conditionnement répondant/classique.

A

SI : Stimulus inconditionnel : (nourriture)
- stimulus déclenché par réponse réflexe, sans apprentissage
RI : Réponse inconditionnel : (salivation)
- réponse déclenché par stimulus réflexe, sans apprentissage
SN : Stimulus neutre : (cloche)
- stimulus déclenche pas réponse
SC : Stimulus conditionné : (cloche) (+ SI (nourriture)
- stimulus neutre par couplage avec SI, produit effet semblable
RC : Réponse conditionnée : (salivation)
- Réponse suscitée par SC

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15
Q

Qu’est ce que l’extinction ?

A
  • Réponses conditionnelles ou conditionnées peuvent être temporaires
  • Diminution d’une réponse apprise jusqu’à sa disparition complète. Dans le conditionnement répondant, elle se produit lorsque le SC (cloche) cesse d’être associé au SI (nourriture)
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16
Q

Quelles sont les «essentielles» pour que le conditionnement fonctionne ?

A

1) Loi contiguïté :
- Faire apparaître le SN juste avant ou simultanément avec le SI pour créer le pairage
2) Réponses conditionnelles sont + fortes si le SC stimule plusieurs sens (vision, ouïe)
3) + le stimulus originel est positif ou négatif (repoussant), + grand est le conditionnement

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17
Q

Qu’est ce que la généralisation ?

A
  • Tendance à réagir à un stimulus semblable au Stimulus qui était intervenu dans le conditionnement répondant. Elle se produit lorsqu’un Stimulus similaire au SC déclenche la réponse conditionnelle
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18
Q

Qu’est ce que la discrimination ?

A
  • Tendance à réagir différemment à deux ou plusieurs stimuli similaires. Dans le conditionnement répondant, elle se produit lorsqu’un stimulus similaire au SC ne déclenche pas la réponse conditionnelle.
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19
Q

Qu’est-ce que Watson à découvert (béhaviorisme)

A
  • identifie 2 types mouvements (explicites (on peut voir) + implicite (voit pas battement coeur))
  • Mouvement tjrs cause et constitue une rct à qqc (avoir faim aller manger)
  • provenance des stimulus = externe + interne
  • Mouvement rctionnels causés par stimuli : fct adaptation/ajustement
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20
Q

Quelle expérience est relié à Watson ? Explique la

A
  • L’expérience du Petit Albert
  • Albert = bébé 11mois
  • Rat blanc (SI) » Aucune crainte (RI)
  • rat (SI) + BRUIT = Sursaute (RI)
  • 7 fois : Albert effrayé par rat blanc, S = SC, R = RC
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21
Q

Comment est venu l’expérience du Petit Albert ?

A
  • Suite publication Pavlov (S-R sur animaux)
  • Watson fait de même, mais sur les humains (premier)
  • S’intéresse à la peur des enfants
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22
Q

Quelle est la conclusion du Petit Albert chez Watson ?

A
  • 5 jrs plus tard = Albert peur rat blanc + tout apparante blanc rat (barbe, lapin) : TRANSFERT (watson apele ça)
  • Possible conditionner rct émotives
  • Tout peut être appris conditionnement = devenir prévisible
  • «Donnez-moi une douzaine d’enfants sains… et je m’engage à en faire un spécialiste de mon choix ; médecin, commerçant, juriste…»
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23
Q

Pourquoi peut-on associé le conditionnement répondant dans la vie de tous les jours ?

A
  • Explication des goûts (vomir après avoir manger qqc et pu jamais en remanger)
  • Apprentissage de la peur
  • Apprentissage douleur
  • Apprentissage affectif
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24
Q

Qu’est-ce que Wolpe a apporté ?

A
  • Dév. traitement troubles anxieux, phobies : Désensibilisation systématique (basée sur théorie du contre conditionnement par inhibition)
  • 1er : chat (sujet d’étude) : choc électrique cage, ensuite faisait disparaître phobie en les nourrissant chaque fois qu’il approche cage
  • 2e : applique cette technique aux humains
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25
Q

Qu’est ce que la désensibilisation systématique selon Wolpe ?

A
  • Expose personne situation crainte

- Phobies, anxiété sociale, anxiété liée aux dysfonctions sexuelles

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26
Q

Qu’est ce que le déconditionnement/contre-conditionnement ?

A

But psychothérapie :

  • Déconditionner associations apprises
  • Nouvelle expo aux stimuli conditionnés en remplaçant les premiers sentiments par d’autres plus ajustés
  • Prendre contact graduellement avec les espaces qui causent l’anxiété soit en imagination, ou en in vivo (contact réel)
  • Exposition répétées sans association négative ou positive entraînant une baisse de l’anxiété jusqu’à l’extinction
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27
Q

Comment réussir un contre-conditionnement ?

A

1) Il faut trouver une nouvelle réponse incompatible avec l’émotion cible (Il faut considérer des réponses physiologiques à l’opposé (relaxation pour anxiété + Dégoût pour excitation sexuelle, agresseur)
2) Doit se faire graduellement (+ simple au + diff.)

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28
Q

Qu’est-ce que la désensibilisation systématique ?

A
  • Relaxation
  • Expo graduelle en imagination (hiérarchie) + relaxation quand anxiété monte (jacobson)
  • Exposition graduelle in vivo (hiérarchie) (Concret devant l’objet)
  • Expo prolongée ; habituation et pour modification cognitive
  • Expo répétée pour permettre généralisation
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29
Q

Explique les recherches de Thorndike ?

A
  • Enfermer un chat affamé dans cage (boîte à problème)
  • Placer nourriture proximité
  • Observer comportements chat + temps utilisé trouver solution (sortir cage)
  • Observations permettent comprendre comment s’opère l’apprentissage
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30
Q

Qu’est-ce que Thorndike pense de l’apprentissage ?

A
  • Apprentissage par essais erreurs
  • solution trouvé par hasard
  • Diminution progressive réactions inutiles
  • Fin apprentissage ; chat ouvre immédiatement loquet (temps utilisé trouver solution diminue + obtient même résultat d’un animal à l’autre (selon courbe apprentissage, seulement changement dans le temps)
  • Punition/récompense pas nécessairement garanti
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31
Q

Qu’est ce que le conditionnement par contingence et instrumental (opérant)?

A
  • Forme apprentissage consiste associer un comportement et ses conséquences
  • Probabilité qu’un comportement se produise dépend des conséquences qui y sont associées (Plus la force d’une conséquence est grande, plus l’apprentissage est rapide)

-

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32
Q

Qu’est-ce que la différence entre conditionnement répondant et opérant (instrumental) ?

A
  • Répondant : réflexe

- Opérant : Complexe (comportement)

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33
Q

Quels sont les 3 types de contingence ?

A

1) Neutre : Aucun effet sur la R
2) Renforcement
- Ajout d’un S AUGMENTE la probabilité réapparition de la R
- Suppression d’un S AUGMENTE la probabilité de la réapparition de la R
2) Punition
- Ajout d’un S qui DIMINUE la probabilité de réapparition de la R
- Suppression d’un S qui DIMINUE probabilité réapparition de la R

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34
Q

Qu’est-ce que le stimulus discriminatif ?

A

S particulier ou ensemble de S qui indique à l’organisme la possibilité qu’un comportement donné soit suivi d’une conséquence donnée

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35
Q

Qu’est-ce que l’agent de renforcement primaire et secondaire ?

A

1) Primaire : S entraîne satisfaction besoin biologique inné (nourriture, eau, sexe, attention, approbation)
- Moins privilégier, car crée dépendance au renforçateur et plus résistant à l’extinction
2) Secondaire : S entraîne une satisfaction n’ayant pas de valeur biologique intrinsèque (argent, biens matériels)

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36
Q

Qu’est-ce que le principe de contingence ?

A

Degré d’association entre la R et le renforcement ou la punition.
Si R est tjrs suivie d’une conséquence, la contingence sera maximale

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37
Q

Qu’est ce que la loi de contiguïté temporelle ?

A

Pour que sujet établisse un lien entre un comportement et son effet dans l’environn., les 2 événements doivent être rapprochés dans le temps.

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38
Q

Quels sont les programmes de renforcement ?

A

1) Renforcement continu (chaque fois que le comportement est adopté. + rapide)
2) Renforcement intermittent/partiel (Comportement pas renforcé chaque fois qu’il apparaît, + «efficace» et + résistant à l’extinction
3) Façonnement (Étape successives renforcées du comportement qui se rapproche de celui souhaité, pour atteindre le but)
4) Programmes à intervalles fixes (Renforcement différé ex. toute les semaines, fait lit = 10$)
5) Programmes à intervalles variables (Renforcement aléatoire) Ex. Contraventions automobilistes
6) Programmes à proportions fixes (Renforcement intermittent) Ex. Le 5e changement huile = gratuit
7) Programmes propositions variables (renforcement intermittent) Ex. mère achète parfois bonbons enfant quand celui ci accompagne magasin

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39
Q

Qu’est ce que le renforcement continu ?

A

Apprentissage plus rapide si la réponse est renforcée chaque fois

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40
Q

Qu’est-ce que le façonnement ?

A

1) Étapes successives renforcées du comportement qui se rapproche de celui souhaité
- comportements parfois très complexes, chacun d’eux se trouve sanctionné par un renforcement
- Skinner : façonnement du comportement par approximations successives (conditionnement opérant)
- série d’étape entre comportement base et R finale
- Dans le sens de cette R finale
- La plupart des comportements humains se façonneraient de cette manière(béhavioristes)
- Chaque fois qu’un individu ou qu’une institution veut obtenir l’apparitition d’un comportement de la part d’un partenaire ou d’un groupe de citoyens ; mettre en place les renforçateurs qui augmentent les chances de les voir se produire.

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41
Q

Qu’est-ce que l’extinction ?

A

La réponse tend à diminuer et même à disparaître en l’absence de la réponse

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42
Q

Qu’est-ce que le façonnement chez le pigeon de Skinner ?

A

Objectif : pigeon donne un coup de bec sur un disque lumineux chaque fois qui veut une graine nourriture

1) Pigeon recoit graine chaque fois qu’il occupe la moitié de la cage où est situé le disque
2) La graine n’est fournie que lorsqu’il se retrouve non seulement dans cette partie de la cege, mais qu’il a en plus, la tête tournée vers la cloison où est fixé le disque
3) Les séquences suivantes consisteront à faire toucher le disque avec le bec, et, enfin, à exiger qu’un coup de bec soit donné sur celui-ci pour que le comportement soit suivi de la récompense
4) on passe à la prochaine étape seulement quand la dernière est acquis

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43
Q

Qu’est ce que le façonnement des réponses ?

A

1) Renforcement continu : récompense ou punition est systématiquement présenté à chaque fois que le comportement se produit
2) Renforcement intermittent : récompense/punition se présente façon aléatoire
3) Renforcement positif : Événement/stimulus augmente la probabilité d’apparition d’une réponse
4) Renforcement négative : Stimulus désagréable enlever augment la probabilité d’apparitition d’une réponse
5) Punition positive : Ajout d’une conséquence désagréable
6) Punition négative : Retrait élément agréable

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44
Q

Quelle méthode Hull reproduit ?

A

laméthodehypothético‐déductive

1) Observation expérimentale
2) Construction système théorique
3) Hypothèses expérimentale
4) Vérification hypothèses

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45
Q

Qu’est ce qu’Hull formula ?

A

La loi hypothétique
- Force de l’habitude : fct croissante du nb renforcement
- Cette fct croît jusqu’a une limite physiologique
=Plusonserapprochedelalimitesousl’effetderenforcementsrépétés,pluslesrenforcementsdiminuentenimportance

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46
Q

Explique la courbe théorique de la force et l’habitude, d’Hull.

A

Même si on veut répéter plus les renforcements, il y a limite, stagnation (dans la force de l’habitude)

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47
Q

Qu’est-ce que le besoin (pulsion, tendance).

A
  • Stimulus important qui provoque réponse
  • Tension assez importante pour motiver à action
  • Motivation
  • Certain relié à survie individu (manger, boire, dormir, sexe)
  • D’autre ; secondaire/appris ; déterminé culture (Peut s’éteindre)
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48
Q

Qu’est-ce que l’indice ?

A
  • Suite au besoin (relation étroite fonctionnelle)
  • Quand, où et comment il répondra
  • Chaque indice est distinct d’un individu à un autre (resto chic ou fastfood)
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49
Q

Qu’est- ce que la réponse ?

A
  • cause : force motivationnelle besoin/influence directionnelle indice
  • pour processus prenne place : réponse doit être choisis et renforcée
  • Professionnelle : trouve réponses appropriés pour qu’elles puissent être renforcées
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50
Q

Qu’est-ce que le renforcement ?

A
  • événement qui renforce la tendance d’une réponse à être répété
  • Réduction tension (combler faim)
  • Probabilité réponses renforcées soit répétées augmente
51
Q

Résume ce que pense Dollard et Miller ?

A
  • état tension (besoin/pulsion) lié à un manque (soif) ou stimulus environn. (froid)
  • organisme cherche réduire tension ; motivation principale
  • sensation besoin ; rend plus attentif environn. et engendre action.
  • Extinction, généralisation, discrimination
52
Q

Qu’est-ce que la récupération spontané ?

A

Réapparition d’une réponse qui était temporairement disparue

53
Q

Kelly a élaborer quoi, explique.

A

Théorie des constructions personnelles, basé sur postulat suivant :

  • Individu décode réalité selon scientifique spontané qui tente prévoir/contrôler son environn.
  • Toute théorie peut avoir éléments vrais/faux
  • L’idée est pas avoir vérité absolue, mais accepter qui peut avoir plusieurs manières interpréter événements
54
Q

Qu’est-ce que le principe du scientifique ?

A
  • Théorie modifiée ou abandonnée lorsqu’elle mène à des prévisions erronés (alternativisme constructif qui permet l’adaptation de nos construits)
  • Individu peut construire et reconstruire de façon active son environn.
55
Q

Qu’est ce que le principe du scientifique permet ?

A

1) D’élaborerdenouvellesformulations
2) Devérifierlajustessedesesconstructions
3) D’élaborerdenouvellesstratégies
4) Dereleverlesdéfis
5) Deréglercertainsproblèmesdelavie

56
Q

Quelle est la vision des choses pour Kelly ?

A
  • Cognitif
  • processus individu ; canalisé psychologiquement par sa façon d’anticiper les événements
  • Individu ds sa globalité
  • cognitif : individu catégorise gens et objet et donne un sens événement vie
  • L’humain préoccupé futur et non passé (prévoir)
  • Individu actif devant environn. peut réagir
  • H = libre pcq négocie signification événements, mais limités pcq choix restreint aux constructions
57
Q

Quelle sont les postulat fondamentale dans la théorie des construits personnels ?

A
  • notion attente (prévisions, anticipation) : Construits personnels
  • Construis personnels permettent sélection seuls données pertinente en vue d’effectuer des prévisions et jugements efficaces
  • Permet une catégorisation rapide des perceptions relatives à un domaine d’application
  • Certaines de ses catégories sont universelles, mais interprétation peut différer une personne à une autre
  • 2 individus rct différentes, même stimulus
  • Chacun, perçoit, interprète, conceptualise monde/événement
  • préjugés (filtre) déterminent analyse d’un événement et des rct comportementales émises (construits influences nos pensées et émotions)
  • Personnalité = ensemble de construits
  • action permet réaliser prédiction
  • organise vision vie avec la tendance à vouloir confirmer continuellement
58
Q

Qu’est ce que la théorie des construits personnels?

A
  • processus psychologiques dirigés par façon dont nous anticipons événements
  • notion construits est anticipatoire
  • utilisons construits pour prédire et anticiper futur.
  • Rencontre d’une nouvelle personne/situation : passons inventaire de construits
  • Construits = processus automatique (sert donner sens événements
  • Construits : pas statiques (rejeter, modifier selon changement notre vie)
  • Synonyme construits : concept
  • Gens révèlent aspects de leur personnalité dans les construits qu’ils utilisent pour parler d’autres
59
Q

Qu’elles sont les 3 corollaires aux postulats de la théorie des construits personnels ?

A

1) Construction : expériences passées d’une personne permettent construire représentation l’univers
2) Individualité : Chaque individu est diff. car vécu expériences qui lui sont propres
3) Organisation : relations entre les construction sont développés

60
Q

Quand est-ce que nos construits sont inflexibles

A
  • Peut se reproduire chez les personnalité totalement déterminé par leurs expériences d’enfances
  • Incapacité adapter aux nouvelles situations
  • Si on s’adapte = alternativisme constructif (nous ne sommes pas contrôlés en tous points dans notre vie par nos construits ; nous sommes libres de les réviser/remplacer par alternatives
61
Q

Qu’est-ce que la construction d’un construit implique ?

A
  • similitudes/Différences
  • 3 éléments dont 2 semblables et un différent
  • Organisation dichotomique des concepts/classement bipolaire (ex. amical/inamical, intelligent/stupide, masculin/féminin)
  • Structure tertiaire (Objet évalué A peut se comparé objet évalué B semblable (pole de similitude) puis à l’objet C présentant caractéristiques opposées (pole de contraste)) ( Par ex. en voyant mes parents tendres et chaleureux (similitude) et punitifs (contraste), je construit le bon-mauvais de l’image parentale)
62
Q

Qu’est-ce qui arrive avec nos construits en vieillissant ?

A
  • Nos construits deviennent plus complexe
  • L’accumulation des rôles
  • Pour ceux qui se developpent moins bien, stagnant. Ne verront que le bien et le mal et auront tendance à présenter préjugés (limités)
63
Q

Un construit implique toujours quoi ?

A
  • Un construit implique tjrs un Pôle inverse
  • Type de construit :
    a) Submergés (Un des pôles ne peut verbaliser)
    b) Centraux (Fondamental et modification entraîne impact majeur dans système)
    c) Périphériques (Pas fondamental, modification possible)
    d) d’ordre supérieur (Construit qui se situe le plus haut dans la hiéarchie)
    e) subordonnés (Plus bas de la hiéarchie)
  • La plupart des construits sont conscients, mais découlent concept-trait préverbaux, antérieurs l’acquisition langage
  • Relié entre eux: Comportement vient pas juste d’un construit
64
Q

Quels sont les 11 corollaires de Kelly ?

A

1) Lecorollairedeconstruction (événement répété sont similaires, nous pouvons prédire comment nous expérimenterons un événement dans le futur)
2) corollaire de l’individualité (gens percoivent de manière différent un événement)
3) Lecorollaired’organisation (Nous arrangeons nos construits, selon nos patterns, selon notre façon d’en voir les similarités/différences)
4) Lecorollairededichotomie (Construits sont bipolaire, ex. si nous avons une opinion sur l’honnêté, elle doit aussi inclure l’idée de malhonnêté)
5) Lecorollairedechoix (Nous choisissons l’alternative qui nous convient le mieux, celle qui nous permet de prédire le résultat des événements anticipés anticipés)
6) Lecorollaireduchamp (Nos construits peuvent s’appliquer à plusieurs personnes/situations, ou peuvent être limité à une personne/situation)
7) Lecorollaired’expérience (Nos testons tjrs nos construits aux expériences de vie pour être sur qui sont tjrs utiles)
8) Lecorollairedemodulation (Nous pouvons modifier nos construits en fct des nouvelles expériences)
9) Lecorollairedefragmentation (Nous pouvons avoir des construits inconscients ou contradictoires)
10) Lecorollairedecommunauté (construits uniques, mais entre culture par ex. peuvent se ressemblés)
11) Lecorollairedesociabilité (Nous essayons de comprendre comment les autres pensent/prédisent ce qu’ils feront, et nous modifions notre comportement en conséquence)

65
Q

Quel est l’impact de l’intéraction avec l’environnement et les construits ?

A
  • Joue un rôle majeur pour aider la personne à se diriger vers la croissance personnelle
  • Individu, ne réagissent pas juste à l’environn. Ils le construisent, avec unicité, systématiquement et utilisent alors ces construits pour anticiper les événements
  • Ils utilisent les expériences antérieures pour créer de nouvelles hypothèses au sujet de nouveaux résultats
66
Q

Qu’est-ce que Kelly a developpé ?

A
  • Plusieurs modèles d’info venant de l’environn. pour décider une action
    1) Cycle circonspection-préemption-contrôle (CPC)
  • Considère toute facon possible (construits propositionnelles) de construire une situation donné, qui pourraient l’aidé à gerer la situation en cours
  • Phase préemption ; personne réduit le nb construit le plus possible et considère seulement ceux qui l’aideront à résoudre le problème
  • Phase controle : Personne décide du cours de l’action en choisissant le construit unique qu’elle croit le plus utile pour résolution problème
67
Q

Quelle est le dév. de la théorie des construits ?

A
  • Les gens agissent continuellement de cette façon
  • processus créatif/dynamique échanges entre individu et environn. avec construction et reconstruction à l’aide de l’expérience
  • But : maximiser compréhension de la personne et par le fait meme controle sur l’environn.
  • Individu bonne santé mantale = veut améliorer son système de prédictions en enrichissant la complexité de ses construits
68
Q

Les gens avec un système plus complexe sont en mesure de quoi ?

A
  • Gerer l’info qui n’ont pas de liens entre eux (désaccord)
  • Prédire comportement d’autrui
  • Établir distinctions fines entre personnes et les événements
  • Nos construits deviennent plus complexe (Degré de complexité diminue stress, semble mieux réagir aux situations stressantes)
69
Q

Quelles sont les techniques thérapeutiques ?

A
  • Kelly utilisent diff. techniques pour évaluer clients et favoriser croissance
  • «Il faut faire confiance à l’individu qu’on évalu»
  • Testing : manière de fournir de l’Info utile au thérapeuthe (info qui guide vers direction positif)
  • RCRT ou Rep Test : Meilleur outil diagnostique pour évaluer système de construits personnels
  • Série de jeux de rôles (en général aux antipodes de sa personnalité aide apprendre comportements alternatifs
  • Origine ne doit pas etre chercher dans traumatismes du passé, conception antipodes des thèses psychanalytiques dominantes alors en vigueur, ni même dans les stimulis extérieurs actuels à l’encontre du courant béhaviorisme, mais dans l’intéraction construits personnels-réalité
  • Construit entre en conflit avec d’autres
70
Q

Qu’est-ce que le Rep Test ?

A

1) Évaluer personnalité en lui faisant classer de façon systématique ses proches en fct des pôles similitudes et de contrastes d’attitudes prises à l’état brut (Compréhensif/critique, dynamique/faible, amical/inamical)
2) Définit répertoire de concept-trait caractéristiques du clients ( client pour éviter connotation doloriste de patient)
3) à partir du profil de personnalité, la méthode psychothérapique vise à dév. nouveaux construits, remodeler leur hiéarchie, modifier anciens construits en vue d’optimiser les prédictions

71
Q

Qu’est-ce que les troubles psychopathologiques pour Kelly ?

A
  • Conséquences du dysfonctionnements dans l’établissement des construits personnels :
    1) Imperméabilité ( Incapacité admettre élément nouveaux dans un domaine d’application)
    2) Incomplétude (répertoire du couples d’opposés trop rudimentaire pour tenir compte de la complexité du réel)
    3) Ou manque d’usage
72
Q

Quand est-ce que l’anxiété survient ?

A
  • individu ne peut prédire événements avec suffisamment précision (tout ce qui est inconnu ; événements se situent en dehors du domaine d’application de ses construits personnels)
  • Affronté nouveau ; risqué de déstabiliser son système de construits: un événement pénible mais prévue est mieux qu’un événement neutre/agréable dont il ne confirmerait pas les attentes
  • Ne pas avoir prise sur les événements, faute de construits adéquat
73
Q

Pourquoi une psychothérapie peut ne pas s’avérer efficace ?

A
  • Repli sur de vieilles croyances dogmatiques, préjugés rigides signent l’echec d’une attitude scientifique : adaptation souple du répertoire de ses construits personnels à une réalité complexe et mouvante
74
Q

Qu’est-ce que Tolman a fait ?

A
  • Rats placé dans un labyrinthe
  • Exposés à diverses situations
    1) Changement de la position de départ
    2) Blocage du chemin le plus court
    3) Inondation du labyrinthe..
75
Q

Comment se déroule l’expérience des rats ?

A
  • rat explore labyrinthe, dont les diff. couloirs mènent à un endroit
  • replace labyrinthe quand il est affamé et prend chemin le plus cout
  • Si chemin fermé, prend le 2e plus cout, etc.
  • Apprentissage pas insight (apprentissage soudaine)
76
Q

Qu’est-ce que Tolman a démontré avec les rats ?

A
  • apprentissage est plus que R-S
  • Signification du stimulus
  • animal apprend à ce qui mène à quoi
  • S-O-R (organisme)
  • oppose à Hull (réduction besoin qui est une condition nécessaire pour apprendre) ; a démontré qu’a l’absence de nourriture, les rats avaient appris qqc
77
Q

Qu’est ce que l’apprentissage latent ?

A
  • info qui bombardent l’organise à tout moment sont tous élaborées et transformées par cerveau
  • cartes cognitives
78
Q

Qu’est-ce que l’apprentissage selon Tolman ?

A
  • organisme se forme perception environn. et ensuite formule hypothèses quant aux moyens à prendre pour résoudre
  • élaboration structures «sign gestalt expection»
79
Q

Qu’est-ce que le principe de la carte cognitive ?

A
  • organisme détermine quelles sont les réponses les plus approriés selon les situations qui se présentent
  • Cartes cognitives organisent :
    1) ensemble d’info
    2) événements «sign» (indice)
    3) Un «signifié» (but; nourriture)
    4) moyen reliant les 2, à savoir les rct comportementales
  • Avec la répétition d’indices perceptifs ou neutres du départ acquièrent une signification pour le sujet et orientent ses réponses en fct d’un but
80
Q

Qu’est-ce que le «sign gestalt expection»

A
  • Organisation cartes cognitives
  • une fois élaboré, ces structures constituent des attentes ou «expection» du sujet
  • ces attentes lui permettent d’anticiper la suite des événements (sign) et des rct intégrées dans une structure
81
Q

Pourquoi Tolman se distingue du béhaviorisme ?

A
  • Un sujet est cognitivement actif et anticipe
  • apprentissage complexe n’est pas une séquence automatisée de comportements (Watson), ni une suite de connexions S-R établis par renforcement associé à un besoin (Hull), mais la construction mentale
82
Q

Quels sont les points majeurs de la théorie de Rotter ?

A
  • Personnalité ; relativement stable d’énergie potentielle permettant répondre aux situations façon particulière
  • Personnalité + comportement : changeante (si on change façon personne pense ou l’environn. lequel la personne répond = comportement changera)
  • Apprentissage social
  • Personne ; optimiste (maximiser renforcement naturellement, pas punition
  • Pas période critique où la personnalité est fixé
83
Q

Quels sont les composantes prédictrices du comportement ?

A
  • lepotentielducomportement
  • lesattentes
  • lavaleurderenforcement
  • lasituationpsychologique
84
Q

Qu’est-ce que le potentiel du comportement ?

A
  • Probabilité s’engager comportement particulier, dans situation spécifique ou lorsque différentes options présentent
  • Ex. dans une situation donné, plusieurs comportements ds lesquelles on peut s’engager. L’individu s’engagera dans celui qui à le plus haut potentiel
85
Q

Qu’est-ce que les attentes ?

A
  • Probabilité subjective que le comportement donné conduira résultat particulier ou renforçateur
  • avoir des attentes haut ou forte, individu confiant que le comportement conduira résultat
  • attentes basses, individu croit qu’il est probable que son comportement résultera en un renforcement
  • Si résultat égale, on s’engage dans le comportement qui a le plus haut attente (plus haute probabilité récompense)
  • attentes formés ; expériences passé (plus comportement a été renforcé dans le passé, plus les attentes seront hautes à ce qui le soit encore)
86
Q

Quels sont les 2 types d’attentes ?

A
  • Attente spécifique ou généralisée; probabilité apparition renforcement donné, selon la prévision qu’en fait la personne qui accomplit un act
  • spécifique : lorsqu’elle est lié à une situation particulière
  • généralisée : lorsqu’elle se rapporte à un ensemble de situations analogues
87
Q

Qu’est-ce que les valeurs du renforcement ?

A
  • niveau de préférance que l’on accorde a l’apparition du type de renforcement
  • Syn, pour résultat de notre comportement
  • valeur de renforcement à la désirabilité de ces résultats (si attentes sont bas, valeurs vont etre plus bas, donc - engagement/motivation, donc renforcement pas élevé)
  • les choses que nous voulons voir arrivé, que nous ne désirons pas éviter, ont une valeur de renforcement haute
  • Subjective : meme évenement/expérience peut varier au niveau du désir, selon expérience de vie individu (ex. punition = renforcement négatif enfant, éviter MAIS enfant peu attention punition = renforcement plus haute qu’être négliger
88
Q

Quel est le lien entre valeur du renforcement, attente, potentiel comportement ?

A
  • Renforcement ont une valeur selon dégré préférance
  • Si les attentes et les valeurs de renforcement sont hautes, alors le potentiel de comportement sera haut (probabilité réponse dépend pas juste valeur du renforcement, mais du lien que l’individu fait entre son comportement et renforcement)
  • Certaines valeurs sont générales, mais plupart différences individuelles
89
Q

Qu’est-ce que la formule prédictive ?

A
  • Potentiel comportement (Behavior Potentiel BP), attentes (Expectancy E) et valeur renforcement (RValue RV) : BP = f(E &RV)
  • formule = potentiel comportement fct attentes et valeur renforcement
90
Q

Qu’est-ce que la situation psychologique ?

A
  • Gens différents interprète la même situation différement (pas dans la force prédictive, mais important)
  • interprétation subjective environn. plutot que sens objectif stimuli, qui est significative pour eux et qui détermine comment ils deviendront (circonstance qui, pour une personne, ont un commun des caractéristiques liées à ses attentes et ses expériences passés
91
Q

Qu’est-ce que les besoins psychologiques ?

A
  • Lié au départ, à des tendances physiologiques

- Intéraction environn. transforment, précisent besoins selon expérience passé, les renforcement et attentes

92
Q

Quels sont les 6 catégories de besoins psychologiques ?

A

1) Besoin de reconnaissance/statut: être apprécier
- Besoin sentir compétent, obtenir position sociale, être vu meilleur que les autres
2) Besoin de protection/dépendance
- Besoin d’avoir autres personnes prévenir frustration ou satisfaire nos autres besoins
3) Besoin dedomination : être leader (pas juste négatif)
- besoin contrôler/diriger comportement autres (amis famille. Adopte ce que nous leur suggérons
4) Besoin indépendance : autonomie
- Besoin prendre propre décision, compter sois, développer habileté ; satisfaction direct, sans aide
5) Besoin d’amour/d’affection
- besoin accepté/aimé autres. Relation interpersonnelles
6) Lesbesoinsdeconfortphysique
- Besoin satisfaction physique; sécurité

93
Q

Qu’est-ce que le lien (locus) du contrôle ?

A
  • Attente généralisée prédira comportement gens à travers situation
  • Croyances généralisées; détermine renforcé ou pas dans vie (Internes, externes)
  • Externes, internes = pas statique, des fois gens externes deviennent internes. par apprentissage on eu contrôle sur renforcement dans certaines situations, meme si en général ils ont eu peu controle sur ce qui leur arrive
  • pas trait personnalité, mais une mesure reconnu psycho (dimension accessible à l’intervension, pas stable comme personnalitÉ)
94
Q

Qu’est-ce que le lieu (locus) de contrôle interne ?

A
  • responsabilité être renforcé ou pas repose sur eux ; echec/succes : leurs propres efforts
  • Résiste influence autres; accepte pas confronté pressions milieux si elle percoit désavantage
  • propension certaines abus (alcool/drogues)
95
Q

Qu’est-ce que le lien (locus) de contrôle externe ?

A
  • renforcement vit contrôler par chance/hasard/pouvoir des autres; leur effort a peu d’impact
  • percoivent comme victime et se dévalorise plus souvent
  • Angoisse : percoive monde imprévisible
96
Q

Quels sont les 2 types d’individus ayant un contrôle externe ?

A

1) Externes défensifs : Compétitifs
- Compétitifs et tjrs prêtent à rejeter sur causes extérieurs la responsabilité de leurs échecs
2) Externes authentiques : Attribut sur les autres, se dévalorisent
- Événements de leur vie, les échappe à leur maitrise

97
Q

Dans quelle situation le lieu de contrôle peut porter problème ?

A
  • Personne prise entre ses besoins qui ont pour elle une valeur élevé et des attentes peu élevé, dispose d’une faible liberté mouvement et risque de présenter des conduites névrotiques
  • Ex. Pourra éviter constamment situations où elle pourrait manifester son incompétence et la privera du même coup d’expériences qui pourraient modifier ses attentes
98
Q

Qu’est-ce que le dialogue intérieur selon Meichenbaum (son modèle cognitif behavioral) ?

A
  • Trouve réponse ; pas en examinant réalité obective, mais en décortiquant monologues intérieurs
  • Niveau clinique, faits objectifs constituent pas la principale préoccupation
  • Comportement humain ; construction et représentation personne fait de sa réalité, histoire et ce en conformité avec son humeur actuelle
  • Pensée/image automatiques et aux monologues internes (petites voix intérieure)
  • événements spontanées/plausibles, rarement remis en question
99
Q

Qu’est-ce que les processus cognitifs ?

A
  • façon idiosyncratique, dont chaque individu traite info qui reçoit
  • info intégrée façon unique pour chaque individu, car mécanismes psychologiques connues maquillent cette réalité d’une manière personnelle
  • Porte attention à la tendance (confirmation, heuristique mentaux, métacognitions)
100
Q

Qu’est-ce que la tendance à la confirmation ?

A
  • Individu cherche élément réalité confirmeront croyances, ignorant faits qui remetteraient en question système de valeur
  • attention sélective aux faits qui lui donnent raison
  • met en branle processus de construction du réel qui sera par définition, teintés de particularités individuelles
  • thérapeute vulnérable à ça, sera porter à confirmer première impression client (retient élément qui valide son intuition clinique en dirigant intervention en fct impressions)
101
Q

Qu’est-ce que l’heuristiques mantaux ?

A
  • 2e processus cognitif important ; prendre décision dans situation incertitude
  • heuristique disponibilité : tendance naturelle à faire appel aux éléments les plus facilement accessible pour comprendre/traiter info qui nous arrive
  • Heuristique de représentativité : Implique faussement plusieurs comme un échantillon adéquat de la réalité du phénomène
102
Q

Qu’est-ce que la métacognition ?

A
  • Les cognitions d’un individu constituent d’autres facteurs qui influencent la façon de penser
103
Q

Qu’est-ce que les structures cognitives ?

A
  • Système de croyance/préoccupation qu’entretient personne à l’égard comportement, monde, passé et futur
  • Principe organisateur central de son monde personnel
  • Selon Meichenbaum, ce qui distingue population clinique à normal
  • Système envahissant, facilement évoqué et perturbant, qté émotions accompagne, facilité reconnaître/interrompre et le degré d’ouverture à info
104
Q

Quel fait nouveau Meichenbaum affirme ?

A
  • Cognition cause pas émotion
  • Cognition/émotion occupe 2 côté de la medaille et influence mutuellement
  • privilégier une relation causale entre les 2, seraient nuisibles pour client
105
Q

Quels sont les habilités cliniques ?

A
  • malaises ou stress client provient conflit entre attente individu et réalité
  • lorsque dissonance = émotions négatives
  • Psycho cognitiviste doit identifier chez client (attente et croyance)
  • Première étape thérapeutique; faire prendre conscience client structures cognitives/représentation mentale identifiant répertoire comportemental.
106
Q

Explique comment peut on faire prendre conscience au client ses structures cognitives ?

A
  • Demander clients identifier pensée automatique
  • Utiliser représentation mentale d’un ou d’une série d’événement en y faisant ressortir cognitions qui y sont associés
  • Participer jeux roles/ jeux roles inversé
  • Suggerer auto-enregistrement des pensées automatiques
107
Q

Qu’est-ce que l’entraînement aux auto-instruction ?

A

Autres outils de Meichenbaum

  • Expérience enfants agressifs 3 étapes
    1) Parent/autre donne instructions verbales
    2) L’enfant formule lui-même instructions verbales à voix hautes
    3) Enfant formule instruction mentale et silencieuse
108
Q

Qu’est-ce que l’entraînement auto-distraction ?

A

Autre outils de Meichenbaum

- Occuper pensées sur différentes choses afin d’aider à demeurer concentré

109
Q

Qu’est-ce que les habilités cliniques permettent ?

A
  • En aidant client à chercher d’autres raisons qui pourraient expliquer le phénomène qui pose problème, la personne pourra
    1) prendre conscience du poids relatifs de sa perception
    2) Nuancer sa position
    3) adapter sa situation en conséquence
    4) dédramatiser situation
110
Q

Quelle est la vision de Beck ?

A
  • La pensée n’est pas seulement une conséquence de la dépression, mais un facteur maintien
  • Vision TCC (empirisme, collaboration, mesure du progrès réalisé, analyse du comportement)
  • Devenu une façon de travailler pour plusieurs troubles
111
Q

Quelles sont les croyances fondamentales, au 1ier niveau ?

A
  • Personnalité = structuré et organisé façon cohérente sous différent niveau
  • Schéma/croyances fondamentales sont la base
    1) structure cognitive profonde, stable et permanante qui filtre et colore l’analyse des événements (inconscient ou très peu conscient)
    2) Si le filtre est érroné, perception vie et monde est aussi erroné
    3) Si schéma est adapté, il sera aide précieuse
112
Q

Qu’est-ce qu’une constellation négative ?

A
  • Schémas regroupent généralement autour d’un thème commun
  • Exemple: thème de l’acceptation
    « il n’existeriendepirequed’êtrerejeté »
    « Jenepeuxsupporterlacolèredesautres»
    « J’aiabsolumentbesoind’êtrecompris »
    « Toutecritiqueéquivautà unrejetpersonnel»
  • Si ces croyances se retrouvent chez un même individu , il en résulte d’une constellation négative « Je dois être aimé et accepter par toute les personnes importantes de ma vie, sinon c’est terrible et innacceptable»
113
Q

Quels sont les croyances intermédiaire, au 2e niveau ?

A
  • Présomption/croyance conditionnelle
  • règles
  • attitudes
114
Q

Qu’est-ce que les présomptions ou croyances conditonnelles ?

A
  • croyance fondamentale, mais elles sont vécus comme certitudes plutôt que des hypothèses
  • Plus ou moins conscientes, parfois complètement inconsciente et perçu comme des certitudes
    «Si ceci est vrai, il en résulte de cela»
115
Q

Qu’est-ce que les règles ?

A
  • Sous forme de présomptions plutôt impérative dictant comportement (sois, autres, société)
    «Je dois, on doit, il faut»
116
Q

Qu’est-ce que les attitudes ?

A
  • façon stéréotypées de réagir que croyance fondamentale déclenche face aux événements (stratégie compensatoire)
  • Résultat prévisible et répétitif des présomptions ou règles
117
Q

Qu’est-ce que les processus cognitifs, 3e niveau ?

A
  • règles logiques de transformation l’info
  • Permet passé schéma inconscient aux pensées préconscients (pensées automatiques), puis aux pensées conscientes (pensées contrôlées)
  • Pensée humaine implique 3 niveaux
    1) schéma inconscient
    2) Pensée préconsciente (pensée automatique)
    3) Pensée consciente (pensée contrôlée)
118
Q

Pourquoi, au 3e niveau, parle-t-on d’erreurs de la pensée, d’erreurs de logique et même de distorsions cognitives ?

A
  • Pensée tout ou rien et la généralisation («Tout va mal dans ma vie, je fais rien de bon»)
  • L’étiquetage («J’étais impatient avec les enfants ce matin, je suis un père ingrat et incompétent»)
  • Conclusion hâtive («Mon mari n’a pas goûter au gateau que j’ai fait. Il pense que je cuisine mal»)
  • Filtre mentale et rejet positif («Ma vie est un pure échec à quoi ça sert continure ?»)
  • Personnalisation («Le fait que je ne puisse pas me débarasser de mes pensées morbides prouve à quel point je suis un incompétent»)
  • Exagération/minimisation («Je suis vrm pathétique». Je réagis pour des banalités.)
  • Raisonnement émotif («Je me sens coupable, j’ai du faire qqc de mal»)
  • Règles, attentes et standarts inutiles («Lucie ne m’a pas telephoner depuis que je suis en arrêt de travail, elle devrait savoir que j’ai besoin d’elle»)
119
Q

Qu’est-ce que le résultat de toute cette chaîne, 4e niveau ?

A
  • Structures cognitives conscientes et préconscientes se présentant sous la forme de la pensées (autoverbalisation, monologue ou dialogue intérieur) ou d’image mentales
  • provient du traitement de l’info par schémas et processus cognitifs
120
Q

Quelles sont les 2 types d’événements cognitifs ?

A

1) pensées contrôlées (discours intérieur/image mentale dont un personne a pleinement consciente et qui sont sous le contrôle de sa volonté)
2) pensées automatiques (psychanalyse, discours intérieur souvent différent de celui verbalisé
premiere cible clinique
- Précède émotions dysfonctionnelle
- personne considère plausible
- idiosyncrasiques
- + pathologie est sévère, + pensée sont inadapté
- souvent intérieurs et personne exprime pas ouvertement

121
Q

Quels sonts les 3 principales réactions déclenchées par les événements cognitifs ?

A

1) émotions
2) comportements
3) symptômes physiologiques

122
Q

Qu’est-ce que la triade cognitive de la dépression ?

A
  • Individu dépressif évalue expériences antérieures et actuelles ce qui l’amène à se voir comme un perdant, à considérer monde comme une source de frustration et à envisager l’avenir sous un jour sinistre
  • Vision de soi négatif «je suis pas bon, sans intéret)
  • Vision monde négatif «monde pas digne confiance»
  • vision d’avenir négatif «je vais rien connaitre d’autre que cette vie souffrance»
  • Encline aux erreurs de traitement info (difficulté=contastrophe/Montage+ sauter aux conclusions)
123
Q

Où vont les les cognitions erronés lorsque la dépression disparaît ?

A
  • cognitions erronés seraient latentes et ne devraient manifestes que dans certaines conditions de stress
  • objectif thérapie sera modifier fondamentale ces cognitions, mais aussi d’amener l’individu à prendre conscience des conditions dans lesquelles elles s’activent
124
Q

Qu’est-ce que la thérapie cognitive ?

A
  • 15 à 20 rencontres
  • corriger distorsions cognitives et les croyances dysfonctionnelles et constater que les interprétations des événements engendrent des émotions dépressives
  • enseigner au client à
    1) Prêter attention aux pensées automatiques négatives
    2) Se rendre compte que les pensées déclenchent émotions et des comportements problématiques
    3) Soumettre ces cognitions à un examen rigoureux pour y déceler les erreurs et les distorsions
    4) Substituer des interprétations qui sont plus proche de la réalité

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