examen intra- relations interpersonnelles Flashcards

1
Q

La communication interpersonnelles est-elle partout?

A

Oui!

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

les multiples facettes du soi

A
  • Comportementale ( présentation de soi / comment j’agis )
  • Affective ( estime de soi / comment je m’aime )
  • Cognitive ( connaissance de soi / ce que je suis )
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

La conscience des différentes dimensions du soi

A
  • Soi privé ( aspect de soi invisible aux autres )
  • Soi public ( aspect de soi visible pour les autres )
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

La connaissance de soi ( concept de soi )

A

Tout ce que je crois ou sait à propos de moi-même

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Les sources d’information sur soi

A
  1. Introspection.
  2. Perception de ses propres comportements.
  3. Appréciation directe ou indirect des autres.
  4. Comparaisons sociales.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Alexithymie

A
  • Difficultés liées à l’identification et l’expression de ses émotions ( évitement des émotions, somatisation ; hypertension, troubles alimentaires)
  • Porté à consulter un médecin et non un psychologue.
  • Porté à dire qu’il ne faut pas parler de ses émotions.
  • Compétence sociale restreinte.
  • Capacité de développer des relations intimes, mais ne parle pas de ses émotions.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Jugement réfléchi

A

la manière dont on pense que les autres nous perçoivent

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Pourquoi est-il important d’avoir une bonne connaissance de soi?

A
  • Plus facile communiquer lorsqu’on se connaît.
  • Impact sur les relations interpersonnelles.
  • Déterminer nos forces et nos faiblesses.
  • Améliorer la conversation interpersonnelle.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Comment avoir une bonne connaissance de soi?

A
  • Écouter les autres.
  • Se renseigner sur soi.
  • S’imaginer comment chacun voit autrui.
  • Se révéler à autrui.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Composante de l’estime de soi

A

Affective

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Déterminant de l’estime de soi

A
  • L’écart entre le soi idéal, réel et obligé.
  • Réussite en fonction de mes ambitions.
  • Approbation. ( théorie du sociomètre )
  • La comparaison avec autrui.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

La théorie du sociomètre

A
  • L’estime personnelle varie en fonction des situations sociales.
  • Plus tu es approuver et aimer par tes collègues, plus tu as d’estime.
  • Moins que tu es approuver et aimer par tes collègues, moins tu as d’estime.
  • Besoin fondamental d’être accepté par les individus que tu côtoie.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Comparaison sociale ( estime de soi )

A
  • Nous avons tendance à nous comparer avec nos semblables.
  • Comparaison avec des gens supérieurs et être associé à eux = sentiment de fierté.
  • Comparaison ascendante : se comparer à un individu que l’on estime supérieur à nous.
    Comparaison descendante : se comparer à quelqu’un que l’on estime inférieur à nous.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Comment conserver une estime de soi positive ? ( 7 techniques )

A
  1. Biais de complaisance : attribution des échecs à l’externe et des réussite à l’interne.
  2. L’handicap intentionnel.
  3. L’attention sélective : je suis pas bonne en math, MAIS je suis bonne en français.
  4. La sur confiance cognitive : je suis 110% certaine que j’ai raison ( ne pas prendre en compte les faits réels).
  5. Le biais de rétrospection : je le savais! diminution de la dissonance cognitive. Vivre un échec et dire que tu le savais que tu allais vivre un échec.
  6. Le biais de faux consensus : sur estimation que les autre vont se comporter comme moi. ( ce n’est pas grave, tout le monde le fait ).
  7. L’illusion de contrôle : j’ai gagner à cause de mes pierres, je n’ai pas gagné pcq j’avais pas mes pierres.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Comment améliorer son estime de soi ?

A
  1. Remplacer les croyances autodestructrices par des croyances constructives.
    Croyances autodestructives : porte sur soi ou le monde extérieur, qui renvoient une image négative. La petite voix intérieure qui dit ‘’ Fais pas ça, t’es pas capable.’’ peut affecter les relations interpersonnelles et l’estime de soi.

Ce qu’on doit faire : il faut les reconnaître exemple les voix, ensuite les remplacer par des croyances constructives qui n’est pas nécessairement des pensées positives qui pourra avoir un impact sur nous-même.

Croyance constructive : J’aimerais que tout le monde, mais ce n’est pas possible alors je vais seulement me concentrer sur les gens bien qui m’entourent.

Il existe des thérapies cognitives pour modifier les croyances autodestructives.

Croyance constructive renforce l’estime de soi puisqu’elles sont réalistes et positive.

Lacunes transformer en force.

Ensemble des croyances qui portent sur soi ou le monde extérieur qui renvoie une image positive de soi et une meilleure confiance de soi.

  1. S’entourer de gens soutenants.
  • Pas de relations toxiques.
  • Risque d’avoir des pensées autodestructives persévérante de soi.
  1. Avoir des objectifs réalistes.
  • Avoir des objectifs qui ont des chances de réussir puisque les réussites renforcent notre estime de soi.
  • Être conscient que les échecs ne signifient pas d’être nulle.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Les 3 illusions (théorie de Taylor et Brown)

A

Évaluation de soi plus positive que la réalité : J’ai de la facilité à me rendre intéressant.

Une exagération des perceptions de contrôle : Croyance de maîtriser le cours des événements, même si ce n’est que le fruit du hasard.

Un optimisme irréaliste : surestime les chances de succès versus la réalité.

Ce qui va nous induire à se sentir bien dans notre peau, à faire preuve de créativité et de motivation et ça peut avoir un impact positif sur les relations interpersonnelles.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Effets néfastes d’une estime de soi trop haute

A

Enfants rejetés surestimaient leurs compétences sociales, car ils ont une mauvaise correspondance de la perception de leur comportement et compétence sociale et ça n’intéresse pas les autres, de ce fait ils peuvent émettre des comportements agressifs sans même qu’il s’en rendre compte.

Même si les autres les rejettent ça ne les affectent pas, car ils ne se perçoivent pas ça comme une difficulté sociale. Leur vision d’eux-mêmes ne correspondent pas à la vision défavorable d’autrui.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Estime de soi et criminalité

A

Aucun lien entre la trop haute estime de soi et violence, délinquance, préjugés raciaux.

Mais…

Lien entre estime de soi haute et comportement à risque.

Chez certain criminel : estime de soi démesuré.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Auto efficacité (Bandura)

A

Comment avoir une estime de soi réaliste?

« Croyances que les gens ont en leurs capacités à produire des niveaux de performance donnés et à exercer une influence sur les événements qui affectent leur vie. »

Influencent la manière dont l’individu se sent, pense, se motive et se comporte.

Liens entre auto-efficacité, estime de soi et réussite : souvent, pour avoir des réussites il faut des compétences, donc un sentiment d’auto-efficacité réaliste en faisant ça nous développe une estime de soi positive.

Auto efficacité est comme le moteur de l’effet causale des autres concepts.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Les effets des réseaux sociaux 1ère étude (trait)
- Observation des autres comptes.

A

Davantage de comparaisons sociales ascendantes que descendantes.
Ascendante : comparaison à quelqu’un que l’on estime supérieur à nous.
Résultat : plus on utilise Facebook, moins on a une bonne confiance en soi.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Les effets des réseaux sociaux 2e études ( état )
- Observation du contenu des autres comptes.

A

Résultat : il n’y a aucune répercussion.

22
Q

Quand on fait une comparaison ascendante :

A

On s’auto-évalue plus de façon négative.

23
Q

Quand on fait une comparaison descendante :

A

On s’auto-évalue autant que l’autre et pas nécessairement négative ou positif.

24
Q

Composante de la présentation de soi et l’affirmation de soi

A

Comportementale ; comment j’agis / présentation de soi.

25
Q

Dimension du soi privé

A

cognitive

26
Q

Dimension du soi public

A

comportementale

27
Q

Les objectifs de la présentation de soi

A

Obtention d’avantage sociaux ou matériel : soutien et approbation d’autrui, amitié, pouvoir.

Maintenir ou rehausser son estime de soi : besoin intrinsèque.

But : créer ou maintenir une identité particulière. ( différent rôle selon la situation )

28
Q

Rôles et identité adaptée

A

Choix de rôles que nous jouons.
Improvisation varie selon la nature personnelle ou impersonnelle des relations et le besoin plus ou moins grands de nous distinguer.

29
Q

Les rôles

A

Comportements particuliers attendus d’une personne qui remplit une fonction déterminée dans un groupe.

30
Q

Relations impersonnelles

A

Conventions, socialement prescrit, vise à respecter les obligations comportementales liées à un rôle donné.

31
Q

L’identité adaptée

A

Image qu’une personne choisit de présenter aux autres à un moment donné.

32
Q

Relation personnelle

A

Notion de choix personnel et vise à affirmer son identité propre.

33
Q

Rôle ou identité adaptée?

A

Ceci varie selon le niveau de liberté de l’acteur et la situation.

34
Q

Les enfants imitent les adultes

A

Idée d’un apprentissage vicariant (modeling), jeux de rôles et intériorisation des rôles.

35
Q

Connaissance et détermination des identités et des rôles

A

Ceci est liée à la connaissance que nous avons des comportements particuliers. Notre perception d’autrui est à la base de la détermination de notre rôle.

36
Q

Comment choisir son rôle?

A
  • Rôles joués par les autres déterminent les comportements que nous devons adopter.
  • Attentes de chacun que l’autre se comportement en fonction de son rôle.
  • Un rôle n’existe qu’en relation avec les autres rôles.
37
Q

2 prescriptions des rôles :

A

Obligations et les attentes.

38
Q

Sommes nous toujours la même personne?

A
  • Nous avons la capacité à moduler notre personnalité en fonction des événements.
  • C’est d’ailleurs une fonction adaptative de plusieurs identités.

Donc, non nous ne sommes pas toujours la même personne.

39
Q

Pourquoi avons-nous l’impression de toujours être la même personne?

A
  1. L’adaptation de nos souvenirs à l’image de soi actuelle : nous sommes capables de réécrire notre histoire en fonction de nos idées, croyances et attitudes actuelles.
    But : éviter les incohérences entre l’image de soi passée et actuelle.
  2. Seulement certaines facettes de la personnalité sont modifiées à la fois : une bonne partie de notre soi demeure stable malgré ces changements.
    Nous avons certains traits de personnalité qui nous définissent peu et ceux qui sont central à notre Personnalité.
    But : préserver le vrai soi.
  3. Différentes identités, mêmes souvenirs : même passé aide à intégrer les différentes personnalités.
  4. Différentes personnalités, mêmes aptitudes physiques et psychologiques : même corps, mêmes perceptions sensorimotrices.

Il existe 2 extrêmes : la personnalité unique et rigide (pas d’adaptation) et le soi fragmenté (celle qui s’adapte).

40
Q

Les habiletés à moduler son image, comment ?

A

Calcul coûts/bénéfices et monitorage de soi (tendance à contrôler son comportement en fonction de la situation et des réactions d’autrui.)

41
Q

2 formes de présentation de soi :

A
  • Stratégique : créer une impression favorable, besoin de pouvoir et d’appartenance.
  • Authentique.
42
Q
A
  1. Se montrer agréable et gentil : Motivation est le besoin d’appartenance.
    - Émotion recherchée chez autrui : affection.
    - Comportement : complimenter, aider, se montrer en accord…
    - Ne doit pas sembler calculé!
    - Ce n’est pas tous les actes de gentillesses qui est stratégique.
  2. Faire la promotion de soi : motivation est de prouver sa compétence son habileté dans une situation.
    - Émotions recherchées chez autrui : respect, admiration et considération.
    - Comportements : se valoriser, raconter ses exploits, décrire ses performances.
    - Important : la crédibilité en avouant quelques faiblesses.
  3. Se montrer dominant et menaçant : motivation dominer autrui, satisfait le besoin de pouvoir. Le but est de maitriser la situation, avoir le contrôle.
    - Émotions recherchées chez autrui : peur
    - Comportements : menacer, critiquer, montrer un peu de colère.
    - Ne pas mélanger l’autorité. Plus tu es haut dans la hiérarchie, plus tu as de chance de dominer.
  4. Présenter une conduite exemplaire : motivation est de présenter une personnalité morale exemplaire.
    -Émotions recherchées chez autrui : culpabilité, honte…
    -Comportement : montrer de l’abnégation, aide, porter assistance.
    -Non sincère : vise à améliorer les autres.
  5. S’attirer l’aide et la sympathie : motivation est montrer l’image d’une personne malhabile et dépendante
    -Émotions recherchées chez autrui : sympathie, sentiment d’une obligation.
    -Tactique de supplication : conséquence sur l’estime de soi
    -Exemple : je ne suis vraiment pas bon pour faire la vaisselle, peux-tu la faire pour moi?
43
Q

L’affirmation de soi et les obstacles
1. Les obstacles liées à la personne
2. Les obstacles liées à la situation

A

Les obstacles liés à la personne :

  • L’anxiété en situation sociale : état d’appréhension et d’inquiétude lié fait d’entrer en communication avec autrui.
  • Isolement, évitement des situations sociales, possible source de frustration, peut nuire aux relations interpersonnelles.

Les obstacles liés à la situation :
- La pression du groupe : si je ne fais pas comme les autres c’est bizarre.
- L’obéissance à l’autorité : apprise à l’enfance, proportionnelle au pouvoir que détient l’autorité.

44
Q

Les demandes explicites :

A

Politesse et gentillesse apprises à l’enfance, le pouvoir des demandes inhabituelles.

  • L’attitude passive : grand manque de confiance en soi, on fait ce que les autres nous demande sans prendre en considération de nos propres intérêts.
  • L’affirmation de soi en tant qu’attitude : agir dans notre propre intérêt sans empiéter sur les droits d’autrui. Préférable qu’à l’attitude passive ou agressive, utile pour créer des contacts et gérer des conflits.
  • L’attitude agressive : concentration de ses propres besoins, peu d’intérêt pour les opinions, les valeurs, les croyances d’autrui. C’est paradoxe, car ces personnes sont extrêmement sensibles à la critique (conflit avec les autres).
45
Q

Pourquoi certains enfants développent-ils un attachement sécure contrairement à d’autres?

A

Sensibilité de la figure d’attachement aux besoins de l’enfant
Source efficace de réconfort
Capacité d’expression de la figure d’attachement permettant d’adapter ses réponses aux réactions de l’enfant
Développement d’un sentiment de confiance

46
Q

Que se passe-t-il à l’adolescence?

A
  • Décentration du cercle familial pour se concentrer davantage sur les relations avec les pairs.
  • Besoin de s’intégrer dans un groupe d’appartenance
  • Identité non construite encore = recherche de points de repère
  • Permet la sécurité nécessaire à l’exploration des enjeux liés à la différenciation de soi
    Trouver l’équilibre entre le groupe et la différenciation de soi
    Ex: Écouter la même musique que le groupe d’amis, mais porter un accessoire qui distingue la personne
47
Q

Le mode d’attachement développé à l’enfance détermine:

A
  • Le processus de séparation du jeune avec sa famille à la puberté et à l’adolescence
  • Le processus d’entrée en relation avec des individus à l’extérieur de sa famille (amitiés, relations amoureuses, relations de groupes avec les pairs)
48
Q

L’attachement sécure chez l’adolescent :

A
  • Début de la séparation et de la découverte de nouvelles relations et de l’identité de groupe à la puberté dans une curiosité paisible
  • L’estime de soi et la confiance aux autres développées à l’enfance sont maintenues
  • Développement de nouveaux attachements stables hors de la famille
  • Premières relations intimes stables
  • Première rupture difficile mais pas vécue comme une catastrophe
  • Bonnes aptitudes sociales qui permettent de se faire accepter pas les pairs
49
Q

L’attachement insécure-évitant chez l’adolescent :

A
  • Tendance à se tourner vers l’extérieur et quitter le milieu familial prématurément
  • Le trouvent menaçant OU n’y trouvent pas le soutien émotionnel nécessaire
  • Ont appris à se retirer ou à compter sur eux-mêmes lors de difficultés
  • Réactions potentiellement agressives sans tenir compte des conséquences sociales
  • Faible engagement en groupe
  • Relations intimes: difficultés lorsque le.la partenaire a besoin
    de proximité et de soutien
  • Les autres sont perçus comme menaçant leur intimité
  • Isolement OU hors de la maison et ses parents ne savent pas ce qu’il.elle fait
  • Souffrent du manque de contacts avec leurs pairs
  • Difficultés dans la gestion de leurs émotions
    Agressivité parfois, troubles externalisés (ex: consommation) ou intériorisés (ex: troubles alimentaires)
50
Q

L’attachement insécure-ambivalent chez l’adolescent

A
  • Peur de se sentir seul.e au monde
  • Difficulté à s’engager dans des relations intimes qui risquent de décevoir
  • Deuil éprouvant de l’enfance
  • Transformations dans les liens avec les parents sont vécues comme une menace de rupture
  • Difficulté dans le développement de l’autonomie
    Confusion considérable :
    Rester dans la famille ou se débrouiller seul?
51
Q

L’attachement insécure-ambivalent chez l’adolescent.e:
2 modes

A

1) Inhibé, passif: Manifestation de la dépendance relationnelle
Relation fusionnelle avec un pair ayant le même style d’attachement
Possessivité, hautes attentes affectives
Difficulté à s’affirmer
Lié à: anxiété, dépression, troubles phobiques

2) Instable et combattif
Humeur et comportements instables
Lié à: dépression, colère, troubles externalisés

52
Q

L’attachement désorganisé chez l’adolescent

A
  • Difficultés marquées de régulation émotionnelle
    Recours massif à l’agir pour contrôler leur environnement
  • Sentiment de vide et d’abandon
  • Faible estime de soi
    Quand ils.elles recherchent de la proximité ou de l’aide, les membres de la famille, les ami.e.s et les membres du groupe peuvent trouver leurs comportements et leurs émotions durs à comprendre.
  • Oscillation rapide entre la recherche de proximité et un sentiment d’étouffement
  • Caractère imprévisible de leurs réactions
  • Relations interpersonnelles difficiles
    Clivage entre les membres du groupe :
    Violence, agressivité