Examen intra Flashcards

1
Q

Quels sont les 4 thèmes qui seront traités en classe cette année ?

A

Paradoxe de la sécurité; surveillance, traitement différentiel, haute police et légitimité

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2
Q

quelles sont les 3 raisons pourquoi malgré plus de sécuritisation il y a aussi un plus grand sentiment d’insécurité.

A

1) mesures de sécurité (ex. : profilage raciale qui ciblent une population déjà marginalisée; 2) moyens de plus en plus grands des agences de sécurité; 3) langage sécuritaire qui est de plus en plus appliqué à toute sorte de situation

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3
Q

Shepticly, haggerty donne une définition de la surveillance moderne. Donnez cette définition et quelles sont les deux critiques qu’on peut lui faire.

A

Selon Shepticky et Haggerty, la surveillance c’est tout intérêt systématique porté aux données personnelles dans le but d’influencer, gérer, autoriser, contrôler.

Les deux remarques qu’on peut faire c’est le fait que premièrement la surveillance est quelque chose qui s’exécute depuis très longtemps et qu’elle est donc un
phénomène qui n’est pas nécessairement mal en soi. Cependant, la surveillance moderne vient briser les liens entre les citoyens et L’état en ce sens ou un certain déséquilibre s’est crée entre les pouvoirs et les droits de l’État de gérer, contrôler et ceux des citoyens à une vie privée.

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4
Q

Quels sont les deux objectifs de Brodeur dans son texte sur la haute police de 2008.

A

Il veut répondre aux critiques de osn textede 1983 et montrer qu’il y a encore bcp de recherche à faire sur la haute police et que c’est encore un sujet légèrement méconnue.

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5
Q

quelles sont les agences sous la juridiction du ministère de la sécurité publique ?

A

GRC, SCRS, ASFC, Services correctionnels Canada, commission des libérations conditionnelles du Canada.

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6
Q

quelle est la commission qui a fait suite à l’affaire Arhar et quelles furent ces recommandations principales ?

A

C’est la commission O’connor qui a examiné le cafouillage de la GRC dans l’affaire Ahrar.

Les deux recommandations furent de :
prioriser les mécanismes d’examen plutôt que les mécanismes de surveillance afin d’avoir une plus grande indépendance.

Et aussi de créer un super CSARS qui superviseraient toutes les activités de sécurité nationale et de renseignement qui assurerait leur transparance et leur imputabilité en plus de prendre les plaintes de citoyens

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7
Q

expliquez la différence entre un mécanisme d’examen et un mécanisme de surveillance

A

Un mécanisme d’examen surveille la légalité des opérations, la régulairté de celle-ci et doit faire rapport aux autorités politiques compétentes.

Un MÉCANISME DE SURVEILLANCE doit faire les mêmes choses, mais s’Intéresse aussi au quotidien opérationnel de l’organisme au day to day operations ce qui suggère une ingérence qui peut briser son indépendance.

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8
Q

quelles sont les deux initiatives annoncées par Ralph Goodale et qui sont inspirées du rapport O’Connor ? Décrivez leurs rôles.

A

La premiére initiative est un comité parlementaire sur les activités de sécurité nationale et de renseignement qui 1) visent à observer le cadre législatif, financier de ces opérations. 2) Vise à surperviser les activités de renseignement des ministère en sécurité nationale sauf s’Il s’agit d’opérations en cours (on ne veut pas s’Introduire pour ainsi briser notre indépendance comme le disait O’connor.

La deuxième initiative qui est toujours à venir est un office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement. On ne sait pas encore quel rôle leur sera confié

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9
Q

Expliquez le principe de la cloison anti-contamination et l’enjeu de la communication de la preuve.

A

Évidemment, pour assurer le secret de leurs opérations, la confidentialité de leurs sources les agences de renseignement sont peu enclines à partager du renseignement puisque s’il est admis en preuve, ils devront dévoiler leurs méthodes, leurs techniques, la provenance des renseignement et ainsi potentiellement exposer des partenaires, ce qui serait problématique.

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10
Q

expliquez la différence entre preuve et renseignement

A

Une preuve est une information juridique qui permet de prendre une décision judiciaire ou d’appliquer des pouvoirs coercitifs.

Un renseignement est un type d’information beaucoup plus fluide qui permet d’assurer une certaine certitude dans un monde d’incertitudes et de prendre une décision cohérente dans un monde incohérent.

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11
Q

quels sont les deux solutions qu’on a proposé à ce dilemme de communication de la preuve ?

A

Cours secrètes (renseignement écouté à huit clos comme avec l’exemple des certificats de sécurité)

sinon, avoir un renseignement qui respecte les normes de la preuve comme fait le MI5

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12
Q

en quelle année a été créée le CST, de quelle façon et quel était son «ancêtre» ?

A

le CST a été crée par DÉCRET en 1973 et son ancêtre était le CEU soit le Canadian examination unit qui visait à fournir du renseignement stratégique militaire pour soutenir l’effort de guerre britannique.

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13
Q

aujourd’hui quels sont les 3 mandats du CST ?

A

protéger les infrastructures communicationnelles et informationnelles du Canada, récolter du renseignement à l’étranger (Signalétique) et assurer le renseignement nationale, c’est-à-dire le support opérationnel et techniques aux organismes fédéraux.

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14
Q

Différencier le SCRS du CST

A

CST fait bcp de renseignement à l’étranger et intercepte des métadonnées, communication

le SCRS fait beaucoup plus du renseignement intérieur et travaille bcp avec des sources humaines

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15
Q

quel est le double mandat de L’ASFC et quelles sont les 3 responsabilités qui en découlent ?

A

L’ASFC a un double mandat de protéger la frontière, mais aussi de faciliter les échanges commerciaux.

Elle a donc la responsabilité de récolter les frais de douanes, appliquer la loi sur L’immigration, et appliquer la loi sur l’agence canadienne de L’inspection des aliments.

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16
Q

Dans le texte de Monahan et Palmer, pourriez-vous expliquer le débat qui fait rage dans la littérature ?

A

Oui en fait le débat nous dit que la surveillance est en train d’envahir nos vies, qu’elle est très invasive.

Monahan et Palmer objecte plutôt que la surveillance effectuée en ce moment est plutôt une surveillance de routine des américains. Qu’on collecte bcp de données et qu’on extrait du renseigneemnt de ces données après du data mining. Cependant, bcp de données ne seront jamais utilisée, C’est alors comme si on ne les avait jamais collecté dans le sens ou elles n’ont pas d’impact.

Ensuite, on revient avec le fait que certains disent que big brother envahit nos vies. Cela ne peut pas être vrai puisque big brother témoigne de la surveillance de l’état alors que maintenant c’est plutôt le secteur privé qui nous surveillance étant donné cet contractualisation de la surveillance.

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17
Q

expliquer brièvement les 3 problèmes dont on accuse les fusions centers.

A

1er problème : inefficacité : coûtent cher, peu de résultats; Problème d’accès à l’information, manque de formation pour analyser l’information, on ne sait pas à qui se rapporter

2e problème : Dérive des missions (on s’Intéresse à des objectifs secondaires qui n’ont pas de liens avec le mandat original) : la façon dont on recrute les employés (bcp des acteurs policiers, du milieu de la santé du secteur privé qui sont locaux), la façon dont les fusions centers sont organisés (focus différent d’un fusion centers à l’autre, pas d’acteur central pour coordonner), il est effectivement possible que les fusions centers se mettent à se concentrer sur des problèmes locaux qui n’ont pas de lien avec le contre-terrorisme.

le 3e problème porte sur la protection des libertés civiles : ces données sont collectées parfois par le sectuer privé qui n’a pas le même soucis de protection des données. Bref, on a pas bien encadré cela. Aussi, des regroupements de manifestants, groupes de libertés civiles sont surveillés alors que ce n’est pas une menace terroriste patente et concrète. Enfin, il faut souligner que beaucoup de personnes ont maintenant accès à des informations de sécurité nationale, des ifnormations privilégiées et il faut s’assurer qu’il n’y ait pas de débordements.

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18
Q

expliquez ce que sont les équipes intrégrées à la sécurité nationale et quels sont leurs mandats ?

A

leurs mandat est d’Accroitre léchange d’informations entre différents partenaires et aussi d’accroite la capacité policière d’arrestation ou de mise en accusation des partenaires.

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19
Q

expliquez ce qu’est le centre intégré d’évaluation du terrorisme qui est en quelque sorte le fusion centers canadien

A

Ce centre vise à coordonner le renseignement des partenaires et à produire des analyses pour ceux-ci. Il peut aussi échanger du renseignement avec des organismes similaires dans le conglomérat des five eyes.

en terminant, il est sous la responsabilité du SCRS et est surveillé par le CSARS.

20
Q

Il y a bien sûr de nouveaux joueurs en sécurité nationale. Ces nouveaux joueurs présentent des caractéristiques intéressantes. Quelles sont-elles ?

A

1) ces nouveaux joueurs épousent bien la mentalité de L,intégration des ressources. Il faut collborer pour être plus efficaces et ainsi limiter les coûts
2) ils créent des réseaux professionnels officieux. Ils entretiennent des contacts informels entre eux, discutent, créent des liens pour ensuite développer le désir de collaborer
3) ils changent de culture organisationnel. Maintenant, on comprend Limpératif de collaborer et on socialise à l’aide de cet impératif. On surpasse cette dynamique de compétition et la culture organisationnelle vient cimenter le tout.

21
Q

expliquez ce qu’est le centre anti-fraude du Canada, ses mandats et quels sont ces partenaires.

A

Le centre anti-fraude vise à renseigner, donner conseil, enquêter sur tous les types de fraudes existants. Il a un mandat de prévention, de donner des services aux victimes, de donner de l’information et de fournir une unité de renseigenment criminel.

Elle a un partenariat avec L’OPP, VISA, le bureau de la concurrence et elle recrute aussi des personnes âgées afin de pallier à l’augmentation de la fraude envers les ainés. Ces employés peuvent donc donner des conseils, informations ou aider avec le processus de plainte.

22
Q

Dites-moi pourquoi il est important de s’intéresser à la sociologie des organisations en sécurité intérieure ?

A

Il est important de comprendre pourquoi ils s,INtéressent à certians sujets plutôt que d’autres, comment ils percoivent le monde pour mieux saisir leur manière d’agir.

23
Q

définissez ce qu’Est une culture organisationnelle ?

A

C,est une culture réduite, sélective centrée sur une tâche spécifique qui façonne la vision du monde et qui est aussi façonné par celui-ci

EN fait, une culture occupationnelle comprend une histoire, des traditions, des coryances, des justifications, des règles de conduite.

Bref, une culture occupationnelle met en lumière de manière sélective certains faits accorde de limportance à certains faits plutôt qu’à d,autres. Elle est donc une paire de lunette qui teinte notre façon de penser, d’interpréter et donc de se comporter.

24
Q

quelles sont les deux propositions qu’on peut retirer de l’étude de la culture occupationnelle ?

A

La première est que la culture occupationnelle teinte la façon dont on pense et comment on interragit avec LE PUBLIC.

La deuxième est que la culture occupationnelle peut être un obstacle majeur à la mise en place de réformes. On l’a bcp vue dans le milieu policier dans les 30 dernières années.

25
Q

Nous avons vu que la considération qui est apporté aux grades officiels ne correspond pas nécessairement à la considération apporté aux marques officieuses. Nommez des considérations officieuses qui ont pourtant une grande important dans la considération, la lgéitimité et de s’imposer

A

L’ancienneté
l’éducation (peut aider ou nuire)
l,Utilisation de la force
l,accès à des informations privilégiées.
le genre de clientèle avec qui on travaille
capacité à participer à une sociabilité relâchée
l’affiliation à une hypermasculinité

Bref, cela aura un impact sur comment on classifie un outil de travail, sur comment on eprcoit les collègues et comment on exerce le métier.

26
Q

décrivez-moi les deux cultures occupationnelles traditionnelles policières et sécuritaires.

A

la culture POLICIÈRE TRADITIONNELLE : on ressent une grande inadéquation entre la luttre au crime, la dimension de traval social et le travail administratif.
La culture po. traditionnelle comporte aussi un désir de faire le bien, de partiicper à la dimension morale de la société de lutter contre le crime et ainsi arrêter les bad guys. C’est le moteur de L,action : utiliser les pouvoirs coercitifs pour faire le bien.
La culture policière traditionnelle a aussi un ethos masculin, c’est-à-dire uen façon d’être et se comporter relative à la masculinité. On valorise la force, l’agressivité. Bref, la fin justifie les moyens.

la culture occupationnelle traditionnelle du milieu SÉCURITAIRE comporte une dimension importante relié au secret. la capacité d,avoir accès à des secrets renforce son prestige dans la communauté du renseignement.
Elle comporte aussi un fort habitus de compétition alors que les agences compétitionnent entre elles pur du budget, pour être capable d’imposer ces priorités pour la définition des menaces, pour valoriser certaines technologies plus que d’autre.s

Elle comprend un ethos de suspicion et de précaution. elle a intérêt à démontrer l’incertitude du futur et montrer la chaos dans lequel on vit pour continuer à obtenir du budget.

27
Q

quels sont les bouleversements qui ont amenés la nécessité de changer la culture occupationnelle dans le milieu sécuritaire ?

A

Impératif de coopération
budget
mondialisation
technologies accesibles aux masses
arrivées de femmes et des minorités sur le marché du travail
nouvelles législations (plus de moyens et de possibilités et on peut les saisir en collaborant)
centralisation et restructuration
privatisation (plus de contrats alloués au secteur privé)
nouvelles logiques d’anticipation (gestion du risque et prévention)
question de transparence et de respect des droits humains

28
Q

Au final, qu’est-ce qu’il faut prendre en compte pour e^tre capable d’instaurer des réformes dans le milieu de la sécurité ou de la police ?

A

Il faut prendre en compte cette culture organisationnelle. Comment les gens percoivent leur emplois, qu’est-ce qui est particulièrement significatif pour eux. Est-ce que cela supporte ou nuit à leur travail ?

29
Q

Décrivez-moi ce qu’est une instution vorace selon les mots de Louis Cosner. Donnez des caractéristiques une institution vorace.

A

Une institution peut être vorace dans le sens ou elle collecte énormément d,Informations disparates. Cependant, Cosner parlait plus d’une insitution corace comme étant une institution qui vise une loyauté totale de la part de ses employés, une institution qui vise une identification totale à la culture organisationnelle qu’elle valorise, l’image que veut se donner l’institution.

Une institution vorace vise en ce sens à éliminer la compétition d’autres rôles sociaux. ELle vise aussi à ériger des frontières entre les initiés et les non-initiés.

30
Q

Avec la définition qu’on a vue d’une instiution vorace. Est-ce que la CIA en est une ? Justifiez votre réponse.

A

Oui, la CIA peut effectivement être considérée comme une institution vorace. En ce sens ou elle vise à avoir une forte emprise sur ces employés (contrôle du temps, ), on valorise en quelque sorte une resocialisation en ce sens ou on valorise le mariage et les amitiés endogamme, on a plusieurs eactivités de socialisation qui se font intra-groupe. On inculque beaucoup aux gens le sens qu’ils sont spéciaux, qu’ils travaillent piur un organisme prestigieux. Ainsi, on renforce un habitus du secret et le mépris pour d’autres organisations de sécurité.

Enfin, on choisit aussi des gens d’un patriotisme indéfectible, ajouter avec cela une cérémonie qui rend le tout très officiel : signature de documents, serment, etc.

31
Q

expliquez ce qu’est une socialisation profesionnelle

A

On inculque les comportements, pratiques, compétences à avoir. Ce qui N’est pas écrit dans les livres, soit le savoir normatif. L’employé apprend aussi les valeurs. Bref, tout ce que ça prend pour bien intégrer une agence sécuritaire.

32
Q

quels sont les impacts d’une culture organisationnelle vorace sur les possibilités de collaborer ?

A

tant qu’on considère de potentiels collaborateurs comme étant des insitutions inférieures, la possibilité d’avoir une réelle coopération d’égal à égal ne sera pas possible. De tels changements de culture organisationnelle peuvent prendre bcp de temps.

33
Q

qu’est-ce que vise à démontrer le texte de Bonnelli et Ragazzi et qu’apporte-t-il dans le débat ?

A

Le débat dans la littérature porte sur le fait que plusieurs disent que la technologies a clairement tout changer dans la façon de faire du renseignement et le focus de celui-ci (intercepter des ocmmunications, etc.)
Bonnelli et Ragazzi visent à démontrer que les pratiques Low tech (tenue de dossier, rédaction de rapport, rencontre de source) peuvent encore perdurer dans ce monde technologique et que les sources humaines peuvent aussi être encore une aprtie importante du travail de renseignement. Les agents du renseignement français sont encore socialisé de cette façon et la culture occupationnelle traditionnelle du service smeble perdurer.

34
Q

et décrivez comment les services français organisent leur opéraitons et le recrutement ?

A

On recrute encore beaucoup de spécialistes des sciences. Humaines. Généralement, on consulte un dossier et si on veut l’annoter ou clarifier certaines choses on part consulter notre source humaine.

35
Q

Quelles sont les leçons qu’on peut retirer du renseigenment français et de la collborations inter-agences ?

A

Qu’il existe parfois des différences extreêment significatives dans la façon d’Organiser ses opérations et que cela va avoir un impact dans la façon dont on doit organiser de la collboration.

36
Q

Nommez et expliquez-moi les pathologies organisationnelles ?

A

Il y a d’une part,
le problème de la multiplicité des interfaces (systèmes incompatibles entre eux, amène donc des données incomplètes et amène un taux d’erreur dans les analyses)
cécité associationnelle (manque de liens horizontaux. L’information circule trop à la verticale pour prendre des décisions parce que problème d,attribution sécuritaire, on détermine mal qui a accès à quoi)

bruit (beaucoup d’informations est collectée, mais manque d’info de valeur, utile, de qualité. Le problème est qu’on ne peut tout traiter. Différence entre décision de collecter et d’analyser. parfois, on perd la notion du pourquoi cela a été collecté, cela complexifie donc l’analyse.

surcharge informationnelle (trop d’informations, pas assez d’analyste. Les systèmes veulent constammetn être fournie en donnée, mais manque de qualité dans ces données.

défaut d’enregistrement (des données qui seraient utiles ne sont tout simplement pas collectées ou non enregistrées

37
Q

quels sont les trois problèmes qu’amènent ces pathologies organisationnelles. Décrivez-les

A

cela amène un fossé informationnels et un silo informationnel.

Par fossé informationnel, on veut dire que parce qu’il y a des divisions distinctes dans un service de police, certains sont très spécialisés et que des bases de données différentes existent, il est possible qu’on ne soit pas capable d’établir des liens entre les différents crimes ou entre les évènements

Rétention du renseignement : on garde L,information afin de compétionner sur des budgets, pour avoir le prestige d’avoir résolu une certaine enquête

Par silo informationnels, on veut dire que par manque d’habiletés collective à traiter l’information (manque de formation, pas d’habilitation sécuritaire on en revient à l’impossibilité ou la réticence à faire circuler l’information par manque du droit de savoir. On manque aussi encore la possibilité d’établir des liens horizontaux.

38
Q

Vrai ou faux : ces pathologies peuvent amener un manque de créativité et d’innovation.

A

Certes, quand on reste toujours dans le même type d’enquête sans liens avec d’autres agences et qu’on navigue toujours dans les mêmes eaux, il est très possible qu’on se emtte dans un mode de routine et qu’on pense toujours aux mêmes techniques d’enquêtes, aux mêmes suspects habituels et qu’on ait en quelque sorte des oeillères qui diminuent l’innovation et qui renforce toujours plus ce manque de collaboration. De ce fait, on manque encore de vision transnationale du crime, même si ces crimes transnationaux prennent une expansion en meêm temps que les opportunités légales et qu’on s’intéresse pas encore assez à des types de crimes qui sont bien plus dommageables pour la société que les crimes plus communs. Notons par exemple la criminalité envirionnementale.

39
Q

Expliquez pourquoi au 19e siècle on a sentie le besoin de raffiner nos techniques d’identification. Quelles ont été les méthodes qui ont vue leur apparition ?

A

Au 19e siècle, il y a eu tout le phénomène de l’urbanisation et donc de l’anonymat qui en découlait. Il se produisait réellement une problématique de contrôle social. On ne reconnaissait plus, on était pas capable d’identifier les personnes que l,on fréquentait au quotidien. Le problème était le même pour les services de polices. Le shériff n’avait plus la possibilité de reconnaitre les criminels par exemple. Il a alors fallu s’intéresser aux éléments de criminalistique soit comment identifier les criminels et créer des archives criminelles

Puisuqe la photographie faisait aussi son apparition à cette époque on s’est dit qu’on pouvait donc identifier les gens par ce moyen. Cependant, il est rapidement survenue des problèmes de classement. C’est à ce moment que Louis Bertillon a développé un système de classement plus sophistiqué aux organisés de ces archives criminelles et developpé le bertillonnage soit un façon d’identifier les criminelles par des caractéristiques comme les lèvres, le contour de la tête.

40
Q

On se doute certainement que le 11 septembre a eu un impact sur les pratiques d’identification. Décrivez comment.

A

En fait, après le 11 septembre, les cartes permettant l’identification se sont multipliés (NEXUS, permis de conduire PLUS), mais se sont transformées dans leur utilité. Par exemple, on a modifié le passeport pour qu’il soit prêt à recevoir des données biométriques d’identification, on lui ajouté une puce électronique, une photo numérique permettant la reconnaissance faciale.

41
Q

Nommez deux raisons à cette expansion de cartes d’identification ?

A

Traité bilatérale CAN-USA qui visait à développer de meilleurs outils d’identification afin de mieux sécuriser les frontières (smart borders) et l’autre raison porte sur le fait que la contre-façon et ses méthodes se sont raffinées.

42
Q

Nommez 3 raisons pourquoi l’inde a développé un système national d’échantillon biométriques.

A

1- accéder aux services sociaux (gens pauvres n’ont souvent pas de cartes d’identification)
2- éviter fraude et corruption dans les services sociaux
3- surveillance (population itinérantes, migrants internes)

43
Q

nommez 3 problèmes existants avec ce système biométrique

A

1- pas de législation sur la collecte, l’utilisation, le stockage de ces données.
2- difficultée de prendre les empreintes digitales si on travaillait bco de nos mains
3- enjeux de tensions raciales

Il faut toujours comprenre L’historique d’un pays, d’un système d’identification afin de comprendre comment il est aujourd’hui. Il n’est pas rare que des systèmes d’identification se sont mis en place pendant des épisodes de tensions raciales, par exemples. Tensions entres les sicks et les hindouistes, par exemple.

44
Q

expliquez les 3rôles des systèmes d’identification

A

1- L’identification à proprement dit (répondre à la question qui êtes-vous)
2- l’authentification (répondre à la question êtes-vous vraiment ce que vous prétendez être. Souvent la plupart des systèmes sont des systèmes d’authentification et on les confond pour des systèmes d’identification
3- La 3e rôle est l’évaluation. On vise à vous catégoriser en fonction de plusieurs critères différents afin d’établir un profil ou de vous profiler.

45
Q

Qu’est-ce que la notion du double de données ?

A

La notion du double de données est en quelque sorte le fait que nous avons un profil de nous sur le digital, l’internet qui est particulièrement complet qui connait nos goputs, nos habitudes de consommation et avec laquelle on peut effectivement nous évaluer nous profilier. C’est en quelque sorte notre double, mais sur internet.

46
Q

Et expliquez les problèmes reliés à l’identification

A

1-on a pas la capacité de pouvoir modifier ces profils, aider aux interprétation de ce double de données et il peut ainsi se produire des erreurs d’interprétation

2-Ces technologies restent alimentées par des données incomplètes, tronquées qui ainsi amènent un risque d’erreur dans l’identification

3- Certes, il serait pertinent que ces technologies d’identification et leur programmation, soit le seuil de tolérance entres autres soient discutés sur la sphère publique. Le processus est très opaque et nous avons aucune idée de comment ils sont alimentés, réglée, etc.

4- seuil de tolérance aux erreurs : plus on augmente la tolérance, plus il y a de risques de faux positifs et de faux négatifs et donc que ce soit la mauvaise qui soit identifié

5- finalement, il y a une certaine vulnérabilité de groupes déjà marginalisés. des groupes étaient stigmatisés auparavant par de spratiques d’identification, on ne pense pas que la numérisation va retirer ces problématiques, voire même les crystalliser.

47
Q

Expliquez ce qu’on veut dire lorsqu’on parle du changement spatio-temporel dans les pratiques d’identification ?

A

On veut dire qu’on veut maintenant identifier, authentifier les individus à distance et avant soit une identification préalable.