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Stress et anxiété > Examen intra > Flashcards

Examen intra Flashcards

1
Q

de quel domaine provient le mot stress

A

métallurgie

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Q

quelle est la vision du stress de cannon?

A

on le vit passivement, suite à une perturbation de l’homéostasie

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3
Q

quelle est la vision du stress de Hans Seyle?

A

une réaction biologique que le corps produit pour faire face à une stresseur non-spécifique –> processus actif

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4
Q

quel est le principe qui relie les idéologies de Seyle et Cannon?

A

homéostasie

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5
Q

quel est le terme utilisé par Hans Seyle pour faire référence au stress?

A

syndrome général d’adaptation

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6
Q

nommer les étapes du syndrome général d’adaptation

A
  1. phase d’alerte : on mobilise nos défenses face au stresseur
  2. phase de résistance : on continue à activer notre corps pour se défendre
  3. phase d’épuisement : les ressources diminuent et le risque de maladie augmente (on s’épuise) –>stress chronique
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7
Q

quels sont les types d’effets du stress dans la théorie de seyle?

A

détresse : stress positif (stimulus plaisant et effet +)
eustress : stress négatif (stimulus déplaisant et effet -)

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8
Q

définition d’un stresseur maintenant

A

n’importe quel S (interne ou externe) qui déclenche une r de stress

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9
Q

définir allostasie

A

capacité du corps à demeurer stable en étant flexible (en s’adaptant)

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10
Q

définir stress physiologique

A

réponse bio et hormionale qui peut varier en intensité pour maintenir l’homéostasie

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11
Q

définir stress psychologique

A

occurrence d’événements de vie que la personne évalue comme stressants

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12
Q

définir stress perçu

A

comment une personne perçoit sa réponse aux situations qui lui causent du stress –> devrait être conceptualisé comme de la détresse

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13
Q

nommer les étapes du système d’adaptation qu’est le stress

A
  1. détection
  2. réaction
  3. réponse
  4. récupération
  5. rétroaction
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14
Q

quelles sont les fonctions du coping comme système d’adaptation

A
  1. évaluer constamment les demandes de l’environnement (trouver la plus dangereuse)
  2. garder son sang-froid devant les menances
  3. réagir de manière socialement acceptable
  4. ajuster nos actions pour répondre à l’environnement changeant
  5. se remettre plus rapidement des échecs
  6. être prêt à gérer les défis futurs et à déployer des moyens d’adaptation (avec la rétroaction et les apprentissages qui sont faits)
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15
Q

selon la théorie de l’ordre supérieur de la conscience et conditionnement, quel est la structure principale ?

A

amygdale : traite les S sensoriels reçus –> détecte ceux qui sont menaçants
pas en charge de mettre une valence émotionnelle

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16
Q

expliquer le circuit court de la peur

A

organe sensoriel -> thalamus -> amygdale
amygdale est connectée à plusieurs str corticales et ss-corticales. –> si elle détecte un S menaçant, va alerter les str corticales

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17
Q

expliquer le circuit long de la peur

A

organe sensoriel -> thalamus -> amygdale -> hippocampe et cortex préfrontal
le cortex préfrontal va mettre la réponse à off si décide que pas un S menaçant, ou la laisser à on. considère les éléments contextuels de la situation + mettre une valence émotionnelle

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18
Q

différencier stresseur absolu de stresseur relatif

A

absolu : qqchose qui met directemnet l’homéostasie du corps et la survie en danger -> universel
relatifs : impliquent l’interprétation subjective (CINÉ). peut présenter une menace ou un défi

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19
Q

expliquer la période sensible du développement de l’amygdale et l’impact que cela a

A

str du cerveau se dév pas en même temps
pdt adolescence : amygdale = hypersensible et cortex préfrontal est pas complètement développé –> système hyper-sensible qui se calme difficilement = ados stressés

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20
Q

quel est l’impact de vivre une période d’adversité de l’âge de 3 à 7 ans sur l’amygdale?

A

elle conserve une hypersensibilité à l’âge adulte

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21
Q

nommer les composantes à la réponse de stress aigu

A

comportementale
psychologique (cognitive et affective)
biologique

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22
Q

quelles sont les caractéristiques de la réponse de stress

A

mécanisme de survie primaire
mobilise l’énergie
intense (phase d’alarme)
temporaire

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23
Q

quels comportements adaptatifs sont possibles durant la mobilisation de l’énergie ?

A

fight : combattre le danger –> affronter le stresseur pour le vaincre
flight : fuir le danger –> minimiser le contact avec le stresseur
freeze : rarement adaptatif si c’est la seule réponse, mais peut etre + si la menace est loin (permet de préparer la réponse fight/flight plus adéquate)

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24
Q

quels sont les déterminants de la réponse de fight or flight ?

A

stable durant la vie
tempérament / trouble de santé mentale : anxiété = freeze, psychopathie = fight
expériences de vie : trauma = figer
développement : attachement insécure = figer
profil hormonal : plus de testo = fight, plus de cortisol/adrénaline = flight

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25
Q

expliquer le tend-and-befriend

A

réponse à un stresseur : prendre soin de.. et s’affilier –> fait du sens selon la perspective évolutionniste

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26
Q

comment le niveau d’éducation et le ses ont un impact sur le tend-and-befriend?

A

corrélation + : + SES/études <-> + les autres nous aident à apaiser notre réponse de stress

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27
Q

quel est l’impact du genre sur le type de réponse au stress?

A

elle dépend plus du contexte et d’autres caractéristiques (attachement) que du genre de la personne (les H aussi ont tendnace à faire du tend-and-befriend)

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28
Q

définir l’effet de tampon social

A

présence d’un autre humain peut atténuer l’intensité de la réponse de stress

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29
Q

selon quelles variables l’effet du tend-and-befriend varie?

A

familiarité (personne connue vs inconnue)
comportement de l’autre (soutien vs pas de soutien)
proximité de l’autre (en ligne, en présence..)
genre de l’autre (effet + si sexe opposé –> diminue encore plus la réponse de stress)

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30
Q

donner des exemples d’activité de déplacement

A

jouer dans ses cheveux, ronger les ongles, jouer avec les bagues

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31
Q

quelles expressions faciales sont associées au stress?

A

plus grande ouverture de la paupière supérieure
soulèvement de la lèvre supérieure

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32
Q

quel est le rôle de l’axe SAM

A

responsable de la mobilisation de l’énergie (phase d’alarme)
1. préparer les muscles (augmenter l’O)
2. détecter autres menaces potentielles : poils hérissés et pupilles dilatées
3. ne pas surchauffer : transpiration, mains moites

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33
Q

quel est le messager chimique de l’axe SAM

A

influx nerveux/neurotransmetteurs = hyper rapide

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34
Q

quel est le chemin de l’info pour activer le SAM

A

locus ceorelus -> neurones sympathiques -> formation réticulée -> glandes médullosurrénales -> cathécolamines (adrénaline + noradrénaline)

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35
Q

quel est le rôle de l’axe HPS

A

prépare le corps à résister ou à se réparer en atttendant que la menace passe sans épuiser ses ressources
les changements hormonaux permettent de limiter les conséquences de blessures potentielles (fonction rénale est ralentie, des endorphines sont produites et moins de sang est envoyé en périphérie)
ne pas tomber malade : améliore la réponse immunitaire
optimiser les ressources d’énergie : digestion sur pause + système reproducteur sur pause

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36
Q

quel est le messager chimique de l’axe HPS

A

hormones : glucocorticoïdes ou cortisol

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37
Q

quel est le chemin de l’axe HPS

A

hypothalamus -> CRH -> glande pituitaire -> ACTH -> zona fasciculata des glandes surrénales -> cortisol

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38
Q

quelle est l’habileté spéciale du cortisol?

A

capable de passer au travers de la barrière hémato-encéphalique

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39
Q

expliquer le fonctionnement de l’approach-avoidance-tast (AAT)

A

permet de mesurer le freexe
participants tiennent un joystick et se font présenter des visages à valence +/-
Si : + / on demande d’approcher OU - / éloigne = condition congruente
Si + / on demande d’éloigner OU + / on approche = condition incongruente
* Participants sont typiquement plus rapides pour approcher (vs. éviter) les stimuli positifs et éviter (vs. approcher) ceux négatifs
* Ceux ayant produit le plus de cortisol durant la tâche stressante précédente ont eu un délai de réponse plus long, donc d’abord un comportement de « freeze » = Participants qui sont stressés préalablement dans le labo = avoir plus tendance à figer

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40
Q

expliquer le trier social stress test (TSST)

A
  • Stresseur psychosocial : discours et tâche d’arithmétique mentale devant juges
    Exemple donné en classe au premier cours avec les membres du jury (entrevue pour job de rêve et demande de faire un décompte à l’envers)
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41
Q

expliquer le socially evaluated cold pressos test (SECPT)

A
  • Immersion de la main dans de l’eau froide (39 ◦F).
  • Jugement de la réaction des participants = ajoute un aspect social
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42
Q

comment on mesure l’acxtivation de l’axe hps?

A

avec le TSST
cortisol salivaire : collecté avec des salivettes ou écouvillons

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43
Q

où se trouve le cortisol réactif

A

dans le sang, la salive, les cheveux, les ongles ou l’urine (quand stress chronique)

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44
Q

définir cortisol basal

A

niveau de cortisol quotidien que tout individu produit au repos pour maintenir le fonctionnement normal de son organisme

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45
Q

comment on peut mesurer directement l’activation de l’axe SAM ?

A

rythme cardiaque
variabilité du rythme cardique
pression artérielle
quantité de sang expulsé par le coeur par minute
conductance de la peau

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46
Q

comment on peut mesurer INdirectement l’activation de l’axe SAM

A

alpha-amylase : présente dans le sang et varie // à l’activation cardiaque

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47
Q

quels aspects physiologiques expliquent que la cognition soit facilitée dans plusieurs cas pour donner suite au stress

A

via les effets du cortisol
via les effets du SAM (nerf vagal)

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48
Q

expliquer la théorie de la résistance physiologique

A

Tous les changements physiologiques d’une réponse de stress face à une menace ne doivent pas être considérés comme négatifs. L’activation (arousal) n’est pas délétère en soi.  Peut avoir des avantages pour la performance cognitive, faciliter l’adaptation et renforcir le système immunitaire

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49
Q

comment les biais attentionnels vers la menace sont affectés par le stress?

A

*Temps normal : on détecte plus les S menaçants que les S neutres
*Pendant stress aigu : moins capable de différencier les S menaçants des neutres - amygdale devient hypersensible aux S neutres et menaçants -> traite tout comme important

50
Q

on observe une relation linéaire entre l’augmentation des catécholamines et quel type de performance?

A

la performance cognitive (en mathématiques chez les étudiants)
la performance physique (chez les militaires en entraînement)

51
Q

quelle structure cérébrale serait la plus sensible au stress

A

cortex préfrontal

52
Q

comment le niveau de stress affecte les fonctions exécutives de manière générale?

A

Niveau de stress modéré : facilite fonctions exécutives (surtout mémoire implicite et quand tâche pas trop difficile – faible charge cognitive)
Niveau de stress élevé ou chronique :
- nuit à la formation de nouvelles traces mnésiques, surtout si elles demandent un raisonnement complexe et flexible (cortex préfrontal, hippocampe)
- améliore la performance de la mémoire implicite et aux tâches bien pratiquées (amygdale)

53
Q

expliquer la loi de yerkes-dodson

A

pour l’acquisition/consolidation d’info
Être trop stressé = nuisible
Être pas assez stressé = nuisible
Loi de Yerkes-Dodson : on veut être juste assez stressé, mais pas trop

54
Q

quel type de stresseur facilite la performance en mémoire implicite

A

stress extrinsèque aigu (ne provient pas de la tâche que tu fais)

55
Q

les effets d’un stress aigu extrinsèque sur la mémoire explicite varie selon quoi?

A

les niveaux de stress intrinsèque (induit par la tâche) et la difficulté de la tâche

56
Q

comment l’exposition à un stress aigu affecte le type d’exécution?

A

on tend à utiliser plus de stratégies rigides ou qui relèvent d’habitudes acquises (p. ex. stimulus-réponse, automatismes en perdant l’objectif de vue)

57
Q

quel est l’impact du stress sur la reconnaissance des émotions chez autrui

A

elle est facilité (adaptatif)

58
Q

quel est l’impact du stress sur la prise de décision normale

A

le stress pourrait mener à des comportements prosociaux surtout quand une interaction avec autrui est nécessaire pour gérer le stresseur

59
Q

quel est l’impact du stress sur l’attention portée aux indices sociaux de menace

A

elle diminue

60
Q

quel est l’Impact du stress sur l’empathie cognitive (H vs F)

A

H diminue suite à l’exposition
F augmente suite à l’exposition

61
Q

définir empathie cognitive

A

repose sur des tentatives plus délibérées de raisonner sur l’état mental de l’autre en utilisant, par exemple, des règles (c’est-à-dire des principes concernant les états mentaux et la manière dont ces états régissent les comportements) et/ou en se référant au soi

62
Q

différencier les émotions ressenties face à une menace immédiate ou anticipée

A

*Menace immédiate = peur
*Menace anticipée = anxiété. Peut être déclenchée par une réponse de stress ou peut générer une réponse de stress

63
Q

la réponse de fight est associée à quelle émotion

A

colère/agressivité

64
Q

la réponse de flight est associée à quelle émotion

A

anxiété

65
Q

la réponse de freeze est associée à quelle émotion

A

peur

66
Q

quelle est l’activation des système de stress physiologiques lorsqu’on ressent de la colère

A

SAM + , HPS neutre

67
Q

quelle est l’activation des système de stress physiologiques lorsqu’on ressent de la peur

A

SAM + , HPS + -> on a peur de ne pas être capable pcq demande du temps et on a pas encore vaincu le stresseur

68
Q

quelle est l’activation des système de stress physiologiques lorsqu’on ressent de l’impuissance

A

SAM neutre, HPS +

69
Q

définir empathie affective

A

Capacité de partager une expérience émotionnelle avec une autre personne afin de comprendre l’état émotionnel de l’autre

70
Q

comment le niveau de stress affecte l’empathie affective

A
  • Plus les niveaux de stress d’une personne augmentent, plus elle adopte une perspective egocentrique (mon expérience prend le dessus sur la tienne) vs allocentrique (je ressens ce que tu vis)  quand on est stressé, on est moins capable d’être empathique
  • Importance seulement si les deux personnes vivent des émotions différentes pcq on n’arrive pas à se comprendre, mais si les deux vivent la même émotion il n’y a pas de problème
71
Q

comment la réponse biologique de stress affecte les réponses émotionnelles ?

A

Les personnes avec des réponses cortisolaires légères et élevées rapportent plus d’émotions négatives (questionnaire après le stresseur expérimental) -> reprend le concept vu dans la mémoire (courbe en u inversé)

72
Q

pourquoi la vision générale du stress (-) est problématique?

A

1.Il n’est souvent pas possible d’éviter le stress.
2.MAIS le stress aigu procure aussi plusieurs avantages et peut être facilitant
3.Cette vision négative (être stressé d’être stressé) contribue à maintenir / nous faire vivre des effets négatifs lors de situations stressantes. Comment?
*Car notre vision du stress a des implications biologiques.
*Vivre du stress, tout en étant bombardés par le message que le stress est mauvais peut nous amener à s’inquiéter des effets négatifs de ce qu’on vit. Malheureusement, ces pensées intrusives et récurrentes occupant beaucoup d’espace cognitive et peuvent nuire plus qu’autre chose

73
Q

la réponse physiologique de stress aigu adaptative vs inadaptée dépend de quoi?

A

l’activation du corps au repos (baseline)
la vitesse avec laquelle la réponse de stress va revenir à son niveau de base (baseline)

74
Q

une intensification des réponses de freeze et de flight est associée à quoi?

A

*Une plus grande susceptibilité à vivre du stress (plus grande production d’hormones de stress – tant par le SAM que l’axe HPS)
*Moins bonnes stratégies de coping plus tard dans la vie

75
Q

selon le modèle transactionnel du stress et du coping, qu’est-ce qui détermine qu’une expérience de stress aura des conséquences + ou -?

A

la perception qu’on a de nos ressources et des demandes dans notre environnement

76
Q

quelles sont les étapes de l’évaluation selon le modèle transactionnel du stress et du coping?

A

première : le STRESSEUR
utile et contrôlable : défi
inutile et incontrôlable : menace
deuxième : ma RÉPONSE
utile et contrôlable : défi
inutile et incontrôlable : menace

77
Q

quelle est la contribution du modèle biopsychosocial de défi et de menace au modèle transactionnel du stress et du coping?

A

précise les processus psychologiques derrière les réponses de stress

78
Q

L’axe SAM augmente plus dans le défi ou dans la menace?

A

dans le défi : juste avec le rythme cardiaque on peut dire si la personne vit un état de menace ou de défi

79
Q

qu’est-ce qui détermine les RÉSULTATS des évaluations des individus?

A

les mindsets

80
Q

définir mindsets

A

ensemble de croyances et attitudes inconscientes que les individus ad0ptent pour simplifier les infos complexes et contradictoires auxquelles ils sont exposés -> nous oriente vers des associations, attentes et attitudes

81
Q

quels sont les mécanismes explicatifs derrière les growth mindsets et les fixed mindsets?

A

*Croyances sur l’effort (on doit en faire vs. non-nécessaire)
*Motivation en fonction des buts (performer vs. apprendre)
*Type de réaction face aux embûches rencontrées (impuissance vs. résilience)

82
Q

quelle est la différence entre le stress-can-be-enhancing mindset et le stress-can-be-debilitating mindset?

A

Enhancing : Être stressé peut être bénéfique, C’est possible de contrôler l’intensité de notre stress pour bénéficier de ses avantages, Le stress permet de grandir, surmonter des défis et se surpasser
debilitating : Il ne faut pas être stressé, Lorsqu’on est stressé, on doit à tout prix diminuer notre stress, Le stress nuit à la santé physique et mentale et à la performance

83
Q

quelle est la conclusion de l’étude de Crum p/r aux stress mindsets (montre vidéo aux travailleurs)

stress is enhancing mindset

A

un stress-is-enhancing mindset est associé à une activité cortisolaire modérée et un désir élevé de feedback.

84
Q

expliquer en gros l’étude de Jamieson (objectifs et conclu)

A

-> est-ce qu’on peut modifier les stress appraisals et quels seraient les effets sur la réponse de stress aigu physiologique et la performance à un examen?
Le groupe qui a lu le paragraphe ont mieux performé à l’examen pratique et à leur examen et ont montré moins d’activation de l’axe SAM

85
Q

c’est quoi l’optimisation du stress?

A

*Intégration des stress mindsets et stress appraisals : c’est important de montrer à la fois les côtés positifs et négatifs du stress (sans mettre l’emphase sur un aspect plus que l’autre = +)

86
Q

c’est quoi un mindset synergétique?

A

explique aux jeunes c’est quoi le stress + les réponses biologiques (aspect stress mindset et aspect growth mindset) -> intervention qui marche le mieux

87
Q

définir la sensibilité au stress

A

peur de vivre du stress
*Tendance individuelle à avoir peur des manifestations physique associées à l’anxiété issue de croyances que ces manifestations rendent malade, font perdre le contrôle ou créent de l’embarras.
*Plus grand prédicteur du développement de troubles anxieux (plus une personne croit que les conséquences du stress sont négatifs pour elle, plus elle a tendance à vivre de l’anxiété)

88
Q

quels sont les thèmes qui ont émergé des vidéos dans surfe ton stress?

A
  1. Mieux comprendre la réponse de stress
  2. Savoir comment réguler une réponse de stress
  3. Accepter qu’une réponse de stress puisse être utile
  4. Se sentir rassuré vis-à-vis une réponse de stress
89
Q

définir la positivité toxique

A

Le rejet ou le déni de toute émotion douloureuse ou désagréable qu’il est possible de ressentir face aux différents aléas de la vie. -> toxique si utilisé comme forme d’évitement du problème

90
Q

si on demande à un groupe de réprimer leurs émotions en regardant une vidéo (positivité toxique), quelles sont les résultats qu’on observe en comparaison avec un groupe contrôle?

A

augmentation du rythme cardiaque -> supprimer ses émotions désagréables de façon répétée pourrait en fait les augmenter, diminuer les émotions positives, et mener à une moins bonne adaptation sociale et un moindre bien-être.

91
Q

qu’est-ce qui explique les aspects négatifs de la positivité toxique ?

A

plus les gens cherchent à être heureux, moins ils ont de chances de vivre des outcomes positifs, incluant le bonheur -> standards trop élevés, stratégies inefficaces, surveiller les états émotionnels davantage

92
Q

différencier le coping de la régulation émotionnelle

A

coping : Atténuer les réponses de stress. Efforts mentaux et comportementaux réalisés pour gérer le stress
régulation émotionnelle : Tentatives d’influencer quelles émotions une personne a, quand elle ressent ces émotions et comment elle vit et exprime celles-ci en fonction d’un objectif (ex. atténuer l’intensité ou la durée d’une émotion négative ou amplifier l’intensité ou la durée d’une émotion positive)

93
Q

expliquer le process model of emotion regulation

A

le modèle organise différents types de stratégies que les gens utilisent pour réguler leurs émotions et les outcomes (effets) de ces stratégies
-> on sélectionne une situation qui a un impact émotionnel X
-> on essaie de changer la situation pour modifier l’impact émotionnel
-> on déploie notre attention sur la situation
-> on modifie la situation de la situation
-> on module la réponse émotionnelle

94
Q

nommer et définir les différentes familles de coping

A
  1. résolution de problème : tentative de déterminer ce qu’il faut faire pour résoudre les problèmes, réparer les erreurs ou les éviter à l’avenir
  2. recherche d’information : collecte d’info sur ce qui se passe et la manière de faire
  3. impuissance : réaction dans laquelle les pensées/étapes suivantes deviennent floues ou désorganisées
  4. s’échapper : tentatives d’éviter ou de se soustraire à des difficultés ou à des résultats non souhaités
  5. auto-suffisance : tentatives de régulation des émotions et des comp par le renforcement de la confiance et l’optimisme
  6. recherche de soutien : se tourner vers les autres
  7. déléguer : tentative d’amener d’autres personnes à faire le travail, à résoudre le problème ou à assumer les conséquences
  8. s’isoler
  9. Accommodation : tentatives d’appréciation authentique et d’adaptation de ses objectifs et préférences aux conditions existantes
  10. soumission : préoccupation/capitulation face aux aspects négatifs d’une situation stressante
  11. opposition : accuser d’autres personnes d’être à l’origine du résultats négatif
95
Q

comment les stratégies de coping se développent selon notre âge ?

A

quand on naît : niveau sensoriel : on détecte des sensations qui nous déplaisent = pleure pour que la personne qui s’occupe de nous prend soin de nous
En vieillissant, on accumule d’autres stratégies qui varient selon le développement de notre cerveau et la qualité de l’environnement dans lequel on se développe (affecte la manière d’utiliser nos capacités de régulations émotionnelles)

96
Q

différencier les stratégies de coping primaire des stratégies de coping secondaires

A

Est-ce que le stresseur est gérable selon les évaluations ?
a. Oui : meilleure option = stratégies de coping primaire (centrée sur le problème)
- c’est en portant des actions à la source (à l’origine de notre réponse de stress) visant à modifier le stresseur ou résoudre la situation stressante qu’on arrive à atténuer le stress
b. Non : meilleure option = stratégies de coping secondaires (centrées sur les émotions):
- Visant à changer les émotions associées au stresseur ou à contrôler leur intensité

97
Q

quel est l’objectif à court-terme des stratégies de coping secondaires?

A

fuir temporairement le stresseur et prendre une pause de notre réponse de stress (permet de se préparer à surfer la vague)

98
Q

quel est l’objectif à long-terme des stratégies de coping secondaire?

A

Comprendre le stresseur (d’où vient la vague) en le déconstruisant et le reconstruisant (CINÉ)

99
Q

définir la rumination

A

Se concentrer de manière répétitive et passive sur les causes et les conséquences de ses symptômes de détresse sans s’engager dans une démarche active d’adaptation ou de résolution de problèmes pour atténuer l’humeur perturbée

100
Q

comment les médias négatifs ont un impact ?

A

Chez les femmes seulement, lire des nouvelles négatives a mené à une plus grande réactivité cortisolaire face à un stresseur subséquent.

101
Q

définir l’émerveillement

A

état émotionnel qui survient lorsque les gens sentent qu’ils sont en présence de quelque chose de grandiose qui transcende leur cadre de référence actuel
Permet de réduire l’importance des préoccupations personnelles quotidiennes.

102
Q

quelles sont les deux composantes de l’émerveillement ?

A
  • sentiment d’immensité en réponse à la taille physique, sociale ou conceptuelle de l’entité qui produit l’émerveillement
  • besoin de mettre à jour son schéma mental actuel pour donner un sens à ce qui a produit l’expérience d’émerveillement
103
Q

définir le principe de biophilie

A

relation psychologique entre les humains et la nature due à la tendance innée à se concentrer sur la vie -> l’exposition à la nature permet de réduire le stress physiologique

104
Q

définir le sentiment d’auto-efficacité

A

croyance d’une personne sur sa capacité à mobiliser la séquence d’actions nécessaires pour atteindre un objectif personnel souhaité. Affecte les comportements, l’implication, l’effort, la persistance, l’auto-régulation et l’atteinte d’objectifs. Est essentiel à la gestion du stress.

105
Q

définir la flexibilité

A

être capable de combiner et varier ses stratégies de stress coping selon chaque situation spécifique (en fonction du niveau de contrôle/chances de réussite anticipées).

106
Q

comment la flexibilité et le sentiment d’auto-efficacité sont reliés?

A

Les personnes qui sont moins flexibles dans leur adaptation ont un répertoire de stratégies plus restreint et s’adaptent moins efficacement aux exigences spécifiques de la situation.
+ auto-eff <=> + flex

107
Q

définir la contagion de stress

A

Initiation d’une réponse physiologique et psychologique chez un individu qui n’a pas été directement exposé au stresseur après avoir observé un autre individu stressé

108
Q

nommer les types de contagion

A

croisement de stress **, débordement de stress (entre deux sphères p.ex. vie perso et travail) et trajectoires de stress (entre des périodes de vie p.ex enfant -> adulte)

109
Q

nommer les mécanismes proposés pour expliquer le croisement de stress

A

sociologiques, psychologiques, neurophysiologiques

110
Q

expliquer le mécanisme sociologique dans le croisement de stress

A
  1. Exposition passive (destins liés) p.ex. qqun dans l’autobus est stressé -> me rend stressée
  2. Obligation (attente de soutien et de réconfort de la personne non-exposée)
  3. Engagement (plus grande vulnérabilité aux stresseurs de l’autre)
    Forme d’empathie affective… d’où le synonyme « stress empathique » au lieu de contagion de stress
111
Q

expliquer le mécanisme psychologique dans le croisement de stress

A

Stress vicariant : on a besoin de voir que les autres sont stressés pour être alerte aux stimuli dangereux : l’observateur se projette vivre la situation stressante selon ses propres interprétations (appraisals) de la situation (menace vs défi) pour comprendre ce que l’autre ressent (nos évaluations cognitives -> réponses physiologiques de stress)
- La réponse physiologique de l’observateur est indépendante la personne qui subit le stress

112
Q

expliquer le mécanisme de la réponse neuro/physiologique de croisement de stress

A

Résonance de stress physiologique
- L’observateur partage la réponse de stress physiologique de la personne subissant le stresseur -> on produit le même nombre d’hormones de stress
- Augmentation proportionnelle entre l’activité de l’axe SAM ou HPS des deux personnes (synchronisation)
Théorie des neurones miroir : neurones qui miment l’activité cérébrale d’un autre membre de notre espèce

113
Q

quelles sont les caractéristiques déterminantes de la contagion de stress?

A

o Familiarité : familier > étrangers (mais quand même de la contagion quand avec étrangers)
o Modalité : en direct devant moi > fenêtre > enregistrement vidéo (proximité affecte la contagion de stress, mais quand même de la contagion à travers vidéos)
o Sexe : H = F
o Trait d’empathie : élevé > faible

114
Q

quel est le résultat de l’étude de contagion de stress parent-enfant?

A

Augmentation du rythme cardiaque de l’enfant quand il retrouve sa mère stressée

115
Q

quel est le résultat de l’étude de contagion de stress enseignant.e - élève?

A

Les symptômes d’épuisement de l’enseignant.e expliquent 5% de la variance de cortisol chez les élèves de leur classe

116
Q

quel est le résultat de l’étude sur la contagion de stress dans le couple

A

Plus il y avait résonance de stress (cortisol réactif) entre les partenaires durant le TSST, plus leur cortisol basal est corrélé au quotidien

117
Q

quel est le résultat de l’étude de la contagion de stress avec des étrangers? (Est-ce que vivre du stress vicariant en adoptant la perspective de la personne qui subit un stresseur permet une réponse de stress plus adaptative (défi) lorsque la personne aura à accomplir le même stresseur plus tard ? )

A

Les personnes ayant reçu l’instruction de prendre la perspective de l’autre ont eu une activation de stress plus grande que ceux dans la condition objective. Cette réponse plus forte était liée à une réponse plus adaptative lorsqu’elles ont elles-mêmes fait le TSST ensuite.
La contagion de stress et la prise de la perspective de l’autre permettent de se préparer à affronter des stresseurs!

118
Q

l’effet de tampon social est expliqué par quel autre concept?

A

la contagion émotionnelle

119
Q

quel marqueur biologique permettrait la contagion de stress et comment ça fonctionne?

A

Ocytocine = hormone de l’amour, de l’attachement et de la contagion de stress?  par l’ocytocine qu’on serait capable de percevoir les émotions des autres
 on peut pas se protéger du stress des autres (on est un tampon et les autres sont des tampons aussi)

120
Q

définir la co-rumination

A

Processus de régulation émotionnelle dyadique (entre deux personnes) lors duquel les membres de la dyade s’engagent dans des conversations soutenues et répétées sur les causes et conséquences d’un problème et les émotions négatives associées

121
Q
A

Stress et anxiété (1 decks)

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