Examen intra Flashcards
Qu’est-ce que le PMIP ?
Perception
Préparation
Protection
Action
Rétroaction
Quelles sont les catégories de gens difficiles ? (6)
L’agressif
L’agressif-passif
Le négativisme
Le manipulateur
L’huître
Le blâmeur-accusateur
Qu’est-ce que L’agressif ?
Il créer des situations de violence.
Il attaque ouvertement en trouvant les points faibles de l’autre
Il critique de façon blessante, humiliante, méprisante
Il est harcelant, menaçant, hostile
Il provoque l’attaque, la vengeance, la soumission, la fuite, le rejet
Quelques stratégies efficaces…
Éviter les réactions instinctives
Tenter d’isoler et de réduire les stimuli
Laisser de l’espace
Faire ventiler
Utiliser les silences
Disque rayer
Repli stratégique
Ignorance intentionnelle
DESC
Qu’est-ce que L’agressif-passif ?
Il déguise l’hostilité sous une forme détournée, sans explosion!
Il attaque avec sarcasme et subtilité de façon condescendante.
Il argumente par des propos qu’il trouve logiques
Il argumente en réfutant toute
responsabilité (il n’a pas voulu dire cela, on comprend mal, etc.)
Quelques stratégies efficaces…
Ne pas prendre l’attaque personnelle
Rendre explicite l’implicite
Clarification
Confrontation
Qu’est-ce que Le négativisme ?
Il n’est jamais satisfait, pessimiste et plaintif, sans toutefois être méchant en général.
Il rejette le blâme sur les autres.
Il est une victime perpétuelle.
Il laisse les autres décider, mais n’est jamais satisfait des décisions prises.
Il est incapable de s’exprimer de façon directe… « Oui… mais! »
Quelques stratégies efficaces…
Ne pas lui donner raison lorsqu’il se plaint
Éviter d’adopter le rôle du sauveur/bourreau
¨L’empowerment¨
La clarification
La refocalisation
Le déflecteur
Qu’est-ce que Le manipulateur ?
Il utilise le charme, les distractions, la culpabilisation par exemple.
Il veut inspirer la sympathie tout en méprisant l’autre.
Il décide pour l’autre sans que l’autre s’en aperçoive.
Il utilise la confrontation indirect (sous-entendus) sans attaque ouverte.
Quelques stratégies efficaces…
Lui démontrer que vous voyez bien sa tentative de manipulation
La confrontation
DESC
Qu’est-ce que L’huître ?
Il exaspère l’interlocuteur lorsqu’on le questionne.
Il utilise le silence pour nous faire sentir petit, pas important, pour se venger.
Il se referme sur lui, se dit incompris.
Il utilise davantage le langage non-verbal.
Quelques stratégies efficaces…
Tenter de réer un climat de confiance
Écoute active
Questions ouvertes
Composer avec le silence
Disque rayer
Qu’est-ce que Le blâmeur-accusateur ?
Il recherche constamment les erreurs chez les autres et souhaite vous faire sentir incompétent.
Il critique sans cesse et s’s’exprime avec de nombreuses généralisations (toujours, jamais)
Il cherche à vous faire douter afin de prendre du pouvoir sur vous.
Il souhaite vous rendre responsable de tout (narcissique et manque d’autonomie)
Le blâmeur-accusateur utilise à profusion le ¨Vous/tu¨
Quelques stratégies efficaces…
Vous devez faire vous faire confiance.
L’ignorance intentionnelle
Le recadrage
L’enquête négative
Types de messages qui entraînent des attitudes défensives ? (5)
Le contrôle (gagnant-perdant)
La neutralité (indifférence)
La stratégie (mensonge/manipulation)
La supériorité (arrogance)
Le dogmatisme (intolérant/intransigeant)
Types de messages qui entraînent des attitudes positives ? (5)
La description (Je reformule, message au JE)
L’orientation (recherche de solution)
L’empathie (compréhension de l’autre)
L’égalité (respect)
Le relativisme (J’écoute l’autre même si les idées, les perceptions sont divergents)
Techniques de base de la communication ?
5
Établir un bon contact avec le
citoyen
Inciter la collaboration
Prendre ou reprendre le contrôle d’une situation
Faciliter la recherche de solutions
Résoudre des
situations problématiques complexes
Quelles sont les 9 types de question ?
Ouverte
Fermée
La question du type « pourquoi »
Claire
Question unique
Question objective
Question franche
Question adaptée
Les questions intermédiaires
Qu’est-ce qu’une question ouverte ?
Lorsque j’utilise une question ouverte je permets la relance chez mon interlocuteur.
Je l’invite à poursuivre, expliquer, nuancer et développer ses propos (idées, sentiments, émotions). Je fais appel à sa manière de pensée, de voir, de sentir ainsi qu’à ses opinions. Je lui laisse lui le champ libre afin d’élaborer
Qu’est-ce qu’une question fermée ?
Lorsque j’utilise la question fermée, je limite mon interlocuteur à des réponses closes avec peu de perspectives, à moins qu’il soit très motivé à élaborer davantage. La question fermée restreint à une réponse définie, limitée. Elle laisse peu de place à l’élaboration
Dans certains cas ce type de question peut être pertinent lorsque je désire avoir de l’information factuelle (heure, endroit, nombre, quantité, etc.) concise et précise. Elle devrait représenter qu’une minime partie de l’ensemble des questions que je pose pendant un entretien.
Qu’est-ce qu’une question du type « pourquoi »
Ce type de question amène généralement l’interlocuteur à élaborer des réponses abstraites où il parle peu ou pas de lui-même, à partir de lui-même (il cherche à se couper de ses émotions en s’éloignant de lui-même, des faits). Ça l’écarte du contact avec ce dont il fait l’expérience. On est loin du « ici et maintenant », on se retrouve dans un univers intellectuel hypothétique et abstrait. Le pourquoi entraîne un déploiement de mécanismes de défense basés sur la rationalisation.
La réponse que l’interlocuteur donne à mon « pourquoi » est au mieux une explication « intelligente », une justification, une rationalisation ou une intellectualisation qui nous avance peu toutefois sur la compréhension commune des faits. Il cherche plutôt à se dégager de ses responsabilités et à se disculper.
Par l’explication, l’interlocuteur nous offre un exposé où il me donne des détails qui cherchent à faire comprendre et rendre acceptable sa pensée, ses attitudes et son comportement.
Par la justification, l’interlocuteur me fournit des raisons qui cherchent à l’excuser, à prendre sa défense. Il fait l’étalage de preuves le déculpabilisant.
Par la rationalisation, l’interlocuteur fait un exercice logique afin de donner une certaine cohérence et crédibilité à sa perception des faits. Il fait généralement appel subtilement aux pratiques de la culture environnante pour me (se) convaincre.
Par l’intellectualisation, l’interlocuteur nous présente le fruit d’une cogitation
cérébrale de grande envergure. Il peut faire appel à diverses notions, théories ambiguës en se servant d’eux pour porter des jugements douteux.
Aussi, la question du type « pourquoi » peut-être interprété de façon négative par mon interlocuteur, parce que souvent empreint d’un ton accusateur. Le « pourquoi » laisse la plupart du temps sous-entendre, une forme d’accusation, un jugement de ma part avec une connotation dépréciative. L’interlocuteur peut facilement alors se sentir offusqué, attaqué, discrédité.