EXAMEN INTRA Flashcards
2 catégories de TMG
Troubles psychotiques (schizophrénie)
Trouble de l’humeur graves et persistants (dépression majeure et trouble bipolaire)
TMG sont généralement liés à …
Une psychose
psychose - définition
affection mentale qui interfère avec le fonctionnement mental de l’individu; elle est considérée un trouble de la pensée qui altère l’évaluation de la réalité
DSM - différents diagnostics
schizophrénie
trouble schizo-affectif
trouble schizophréniforme (trouble temporaire)
trouble psychotique bref (trouble temporaire)
trouble bipolaire
dépression majeure avec psychose
TMG - 2 composantes
aspect rapide (peut aller très bien un jour et pas du tout le suivant)
récurrence (diagnostic ne s’efface pas : risque de rechute)
TMG = diagnostics à vie : impacts
stigmatisation pour le reste de la vie
décourageant pour la personne
Psychose
lié à déclencheur
n’arrive pas souvent
réaction extrême du cerveau car on vit des choses difficiles au niveau psychique/physique
symptômes liés aux TMG (+/-)
hallucinations (+)
idées délirantes (+)
discours désorganisé (trouble de la pensée) (+)
perte de motivation, de plaisir, ralentissement moteur, … (-)
manie
hypomanie
dépression
pensée magique
“pseudo-croyances en des liens non-démontrés ou non-causaux”
augmente susceptibilité à la psychose
idée délirante
n’est pas collectivement accepté
n’est pas basé sur la science
inhabituelle
ex: si apprise dans une secte =/= idée délirante (car acceptée dans la culture et apprise)
influencée par culture
un idée peut appartenir à plusieurs types
idées délirantes - types
persécution : des gens lui veulent du mal
grandiosité : choisi pour une mission …
biarre: pas “possible” (ex: on me vole mes organes avec un laser invisible)
de référence : tout fait référence à la personne
autres : délires religieux, somatiques, encapsulés
hallucinations - types
auditives (plus courant chez adultes)
visuelle (pas endormissement ou réveil)
sensorielle (typiquement négatif)
olfactive (pourriture, etc.)
discours désorganisés (trouble de la pensée) - type
incohérence : incohérence dans la phrase
néologismes : nouveaux mots
tangentiel (déraillement): saute d’un sujet à l’autre sans lien
discours sous pression : parle plus rapidement
discours distrait : change de suite suite à la moindre distraction
écholalie : répète tout ce qu’on dit
symptômes négatifs
alogie: parle peu
affect plat : ne semble pas avoir d’émotions
avolition : perte de motivation
anhédonie : perte de plaisir
ralentissement moteur
psychose - autres symptômes typiques
comportement désorganisés : gestes bizarres, se parler seul, sauter sur des voitures, etc.
symptômes cognitifs : difficultés de concentration, troubles de mémoire, d’attention, de fonctions exécutives
problème d’insight
déficit de cognition sociale
anxiété et dépression
émotions inappropriées
manie - critères diagnostics
A. humeur est élevée de façon anormale et persistante (euphorie, enthousiasme ou irritabilité) - au moins 1 semaine (ou autre si hospitalisation)
B. au moins 3 des symptômes (4 si humeur seulement irritable) persistants et intenses :
1. augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur (idées délirantes)
2. réduction du besoin de sommeil
3. plus grande communicabilité que d’habitude ou désir de parler constamment
4. fuite des idées ou sensations subjectives que les idées défilent
5. distractibilité
6. augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice
7. engagement excessif dans des activités agréables mais à potentiel élevé de conséquences dommageables
C. altération du fonctionnement, ou hospitalisation, ou caractéristiques psychotiques
D. symptômes ne sont pas dus aux effets d’une substance ou affection médicale générale
hypomanie - critères diagnostics
comme la manie mais au moins 4 jours
E. La sévérité n’est pas suffisante pour entrainer altération du fonctionnement ou hospitalisation et pas de caractéristiques psychotiques
dépression majeure - critères diagnostics
Au moins 5 symptômes présentations pendant 2 semaines (1 et 2 indispensables) + doivent avoir présenté un changement par rapport au fonctionnement antérieur
1. humeur dépressive ou irritabilité
2. diminution de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités du quotidien
3. perte ou gain de poids significatif (sans régime)
4. insomnie ou hypersomnie
5. agitation ou ralentissement psychomoteur
6. fatigue ou perte d’énergie
7. sentiment de dévalorisation ou de culpabilité
8. diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer, indécision
9. pensées de mort récurrentes, idées suicidaires récurrentes, tentatives de suicide
schizophrénie - critères diagnostics
A. symptômes caracéristiques : 2 ou + des manifestations suivantes sont présentes pendant un mois (majorité du temps) (1 des 3 premiers obligatoires):
1. idées délirantes
2. hallucinations
3. discours désorganisé
4. comportement grossièrement désorganisé ou catatonique
5. symptômes négatifs
B. dysfonctionnement social/du travail
C. durée : signes permanents de la perturbation persistent durant au moins 6 mois
D. exclusion d’un trouble schizo-affectif (critère A durant épisode maniaque ou dépressif) et d’un trouble de l’humeur (bipolaire)
E. exclusion d’une affection médicale générale due à une substance
schizophrénie - spécifications
premier épisode, épisode aigu, en rémission partielle, rémission totale
plusieurs épisodes, aigu, rémission, …
continu (symptômes)
non spécifié
avec catatonie (figé)
trouble schizophréniforme - critères diagnostics
critères de la schizophrénie, mais l’épisode a duré au moins un mois mais moins de 6 mois
trouble psychotique bref - critères diagnostics
on retrouve les critères de la schizophrénie, mais l’épisode a duré moins d’un mois
trouble schizo-affectif - critères diagnostics
Une période ininterrompue du trouble pendant laquelle, au même moment, il y a soit (1) un épisode de dépression majeure, (2) un épisode de manie ou (3) un épisode mixte alors que (4) la personne rencontre toujours le critère A de la schizophrénie
Au moins 2 des symptômes de la psychose sont présents pendant au moins un mois : délires, hallucinations, troubles de la pensée, comportement désorganisé, catatonie, ou symptômes négatifs
Les délires ou hallucinations ont eu lieu pendant au moins 2 semaines en l’absence de symptômes liés à l’humeur
Pendant une partie substantielle de la période active du trouble, la personne rencontrait les critères pour un des troubles de l’humeur suivant : 1) un épisode de dépression majeure, 2) un épisode de manie ou 3) un épisode mixte
Les symptômes ne sont pas dus à une autre cause telle qu’une condition médicale ou l’abus de substances
trouble schizo-affectif - spécifications
type bipolaire ou dépressif
les spécifications pour la schizophrénie (premier épisode, …)
troubles bipolaires - 2 types
bipolaire I: avoir eu au moins un épisode de manie avec ou sans épisode de dépression majeure
bipolaire II: avoir eu au moins un épisode d’hypomanie avec un ou des épisodes de dépression majeure
Trouble de dépression majeure - critères et spécifications
avoir eu au moins un épisode de dépression majeure, excluant les critères pour trouble bipolaire, schizophrénie et trouble schizo-affectif
spécifications :
épisode(s) unique/multiples
sévérité : faible/modérée/sévère
avec symptômes psychotiques
avec rémission partielle ou complète
Classification Philippe Pinel (1801) - aliénation
mélancolie = dépression
manie = agitation
démence = pertes de capacités
idiotisme = déficience intellectuelle
Emil Kraeplein : catégories diagnostiques claires (groupe de symptômes reliés à des catégories)
dementia praecox
insanité maniaco-dépressive
paraphrénies/paranoïa
Dementia praecos (“sénilité de la jeunesse”) - Augustin Morel
terme utilisé de façon descriptive
pas d’intention d’en faire une catégorie diagnostic
Dementia praecox - Kraepelin : 3 groupe de symptômes
catatonie
hébéphrénie : comportements erratiques et détérioration rapide des fonctions mentales (à l’adolescence) (aujourd’hui schizophrénie)
démence paranoïde : peurs étranges et sentiment de persécution
symptôme le plus commun de la démence précoce
hallucinations auditives
démence précoce - caractéristiques
début précoce
mauvais pronostic (“démence” implique une détérioration)
cours détérioratif marqué par une altération du fonctionnement social (contexte asilaire : difficile d’avoir un fonctionnement social normatif…)
Évolution de la classification de Kraepelin
- Dementia praecox
- Dementia praecox (trouble cognitif)
3. Dementia praecox
3. Paraphrénies (sans atteintes cognitives importantes) - Insanité maniaco-dépressive (trouble de l’humeur)
- Dementia praecox (trouble cognitif)
idée de Kraepelin - Pierre de Rosette
déduire ce qui se passe grâce aux symptômes
voulait prouver que étiologies différentes pour chaque troubles (anatomies et symptômes différents)
Qui a rejeté le terme démence précoce ?
Eugen Bleuler
Qui a introduit le terme schizophrénie ?
Eugen Bleuler
schizophrénie selon Eugen Bleuler
réfute l’idée d’une évolution nécessairement dégénérative
peut frapper plus tard
résultat d’un désordre biologique
s’attarde au contenu psychologique
voit un continuum en la schizophrénie et la maniaco-dépression
4A = critères qui représentent le plus le trouble
les 4A de Bleuler :
associations relâchées (affecte la capacité à raisonner/s’exprimer de façon cohérente)
affectivité inappropriée (manifestation d’émotions inappropriées aux circonstances)
ambivalence (émotions et attitudes contradictoires envers les gens)
autisme (retrait social et préférence pour son monde intérieur)
Karl Jaspers - vision
les expériences d’un individu peuvent être comprises si elles sont significatives selon sa personnalité et son histoire de vie (= les névroses)
les psychoses ne seraient pas compréhensibles et seraient donc explicables par un désordre biologique
Adolf Meyer - vision
à l’encontre de la classification stricte (Kraepelin)
croit en l’impact de l’histoire personnelle sur manifestation des symptômes
approche holistique : aspects bio, psycho et socio considérés de manière égale
Symptômes de premier ordre - définition (Kurt Schneider)
symptômes qui permettent de distinguer le vécu d’une personne ayant la schizophrénie d’une ne l’ayant pas
Symptômes de premiers ordre
pensées audibles
voix qui argumentent
voix qui commentent les actions
hallucinations somatiques
retrait de pensées
intrusion de pensées
diffusion de pensées (gens savent ce que je pense)
perception délirante
sentiments, impulsions ou actions imposées
psychose schizo-affective (Kasanin)
personnes se situant entre la schizophrénie et le trouble maniaco-dépressif
classification troubles psychiatriques - 1975
psychoses
démence précoce/schizophrénie
trouble schizo-affectif
maniaco-dépression
trouble bipolaire
dépression unipolaire
paranoïa
borderline
névrose
dépression névrotique
obsessions et compulsions
anxiété généralisée
phobies
Qualité de bonnes catégories diagnostiques
exhaustives et mutuellement exclusives
liées à une étiologie particulière
utilité d’une classification diagnostique
guider le traitement et prédire la réponse à celui-ci
prédire le pronostic
faciliter la recherche en permettent l’utilisation de groupes de participants homogènes
faciliter la communication entre professionnels
assurances
problèmes reliés aux catégories actuelles
ne sont pas exhaustives et mutuellement exclusives
comorbidités ++
les catégories devraient être liées à une étiologie particulière (n’est pas le cas, est plutôt un continuum)
les catégories devraient servir à guider le traitement et renseigner sur la réponse au traitement (le traitement est guidé par les symptômes et non par le diagnostic)
problème du trouble schizo-affectif pour la théorie dichotomique de Kraepelin
schizo-affectif comporte critères de schizophrénie et de trouble bipolaire (continuum)
signes avant-coureurs de psychose
isolement
manque de concentration
indécision
symptômes dépressifs post-psychose (phase résiduelle) - causes
réaction de deuil à la perte
trauma lié à l’épisode psychotique
conséquences d’abus de substances
plus de symptômes positifs
rechutes psychotiques
risque accru de violence
risque accru de suicide
plus de comorbidités médicales
complications légales
plus d’effets secondaires liés aux antipsychotiques
Brief psychiatric rating scale (BPRS) - utilité
évaluation des troubles psychotiques
RDoc - utilité
favoriser de nouvelles approches de recherche
regarder les troubles à travers domaines/symptômes (transdiagnostic)
ex: traiter l’autorégulation –>peut permettre d’aller mieux dans plusieurs troubles
épigénétique - définition
gènes “responsables” de séquences de gènes
facteur le plus reconnu en termes de risque de développer un TMG
histoire familiale
rôle des gènes dans les TMG
Les gènes augmentent la vulnérabilité à développer un TMG
eugénisme - définition
stériliser les gens contre leur gré
études familiales - conclusions
les problèmes de santé mentale se regroupent dans les mêmes familles
études de jumeaux (MZ vs DZ) - résultats & inteprétation
La concordance n’est pas 0 & MZ plus concordant que DZ
indique que la génétique a une contribution non négligeable dans la maladie mentale
étude d’adoption - utilité
séparer l’effet bio de l’effet environnemental
héritabilité vs environnementabilité - définitions
Héritabilité : proportion d’un trait (phénotype) causé par une contribution génétique
Environnementabilité : proportion de l’expression du trait (phénotype) relié à composantes environnementales
études sur E vs H - conclusions
trouble bipolaire : plus de risque H que schizophrénie
les risques ne s’additionnent pas
TMG = gènes + environnement (interaction)
limites des risques empiriques
mutation génétique vs transmission directe
Quels sont les 2 facteurs qui rendent difficile l’identification des gènes
gènes = gènes de susceptibilité/prédisposition (pas causalité)
hétérogénéité des TMG
Études de “linkage” - définition
régions du chromosome qui sont transmises ensemble, avec la maladie, d’nue génération à l’autres
Pas de conclusions importantes pour les études de linkage - raisons
plusieurs facteurs génétiques liés au même phénotype
Pléiotropie : un même gène pourrait être responsable de plusieurs phénotypes
Pénétrance incomplète : plusieurs personnes peuvent être porteurs des gènes sans avoir les phénotypes
Théories génétiques d’évolution des TMG
TMG : non-adaptés à la société moderne et se reproduisent moins
persistent à travers le temps par sélection-mutation génétique (facteurs environnementaux qui font muter les gènes ou permettent l’expression d’un gène)
Il semble y avoir un certain chevauchement des facteurs de risque génétiques communs pour la schizophrénie avec quels autres troubles
dépression
trouble bipolaire
trouble de la personnalité limite
Glutamate - schizophrénie
niveau anormal de glutamate dans le liquide rachidien
anormalité au niveau des récepteurs gétaminergiques
gène COMT
2 formes : MET et VAL
1 ou 2 copies de la variante VAL = plus à risque de développer des troubles de type schizophrénique si elles ont consommé du cannabis à l’adolescence
risque augmente avec la quantité, l’âge et la qualité
Pourquoi est-il difficile de faire la prévention et de détermine les facteurs à risque ?
hétérogénéité des gens avec des diagnostics similaires
22q11 : deletion syndrome - traits
prononciation nasale
traits du visage atypiques
difficultés d’apprentissage
problèmes cardiaques
hypocalcémie
d’autres désordres congénitaux
30x plus de schizophrénie
syndrome génétique
plusieurs anomalies touchant à plusieurs systèmes
combinaison bizarre de problèmes
étiologie schizophrénie
étiologie polygénique multifactorielle
problèmes si on identifiait les personnes à risque
problèmes éthiques : avortement, peut changer la vie d’une personne
si info partagée : refus emploi, assurances
étude liées aux endophénotypes -
trouver un gène lié aux hallucinations vs à la schizophrénie
plus facile vu le caractère hétérogène du trouble
Théories environnementales péri ou post-natales
complications obstétriques
infection pendant la grossesse
hypoxie foetale durant l’accouchement
diabète de grossesse
Quelle théorie péri ou post-natale est la plus soutenue empiriquement en rapport au risque que la personne développe un TMG à l’âge adulte
diabète de grossesse
virus - 6 théories
1.infection rétrovirale (virus vient toucher le génome, modifie les gènes et leur expression)
2.infection virale au cerveau (chez l’adulte)
3.infection virale à l’enfance
4.exposition de la mère à un virus durant la grossesse
5.réaction anormale du système immunitaire à un virus (créant modifications des tissus cérébraux)
6.la schizophrénie serait une forme de désordre immunitaire du cerveau
types de virus étudiés
virus répandus (influenza, rubéole, ITS, etc.)
exposition de la mère à un virus durant la grossesse - explications possibles
1.virus affecte directement le foetus durant la grossesse
2.réponse antivirale de la mère entraine production de cytokines (inflammation) qui entrainent des développements anormaux au cerveau
traumatisme/stress sévère chez la mère durant la grossesse - conséquences
débalancement du cortisol
affecte le développemetn cérébral du foetus
2e trimestre = plus important (5e = TPB / 6e = schizo)
toxoplasmose - définition
parasite
toxoplasmose - conséquences
causerait une infection similaire au virus –>donc réaction immunitaire affecterait le cerveau
naissance hivernales - conséquences et hypothèses
10%+ de personnes avec schizophrénie
hypothèses : virus, manque de vitamine D, faible luminosité dérange rythme circadien = impact sur température interne et développement du foetus
déficiences nutritionnelles pendant la grossesse - conséquences
périodes de famine = 2x plus de personnes avec schizophrénie à l’âge adulte
déficiences les plus problématiques
- acide folique (folate)
2.omégas-3
3.Rétinal (vitamine A) - vitamine D
- Fer
- Protéines/calories
complications obstétriques
hypoxie foetale
diabète de grossesse
hémorragies
faible poids de l’enfant
petite circonférence de la tête
complication obstétriques - poule ou oeuf des TMG?
prédisposition génétique fait en sorte que l’accouchement est plus difficile ou accouchement plus difficile est le facteur de risque
neuroanatomie des TMG
neuroanatomie modifiée chez TMG (mais contradictions entre les études)
études soutiennent dérèglements au niveau des circuits (communication synaptique)
modification de l’anatomie du cerveau
modifications apparaissent durant le trouble (effet du trouble + médicaments sur le cerveau)
ne prédit pas le trouble
le cerveau se modifie de la même façon pour plusieurs troubles
schizophrénie - maladie dégénérative ?
OUI : cas très sévères - déficits cognitifs importants
NON : reste
tâche - activation des neurones chez schizo vs contrôles
sujets schizo réagissent moins/moins de neurones qui s’activent (connections moins activées)
hypothèse neurophysiologique dominante - schizophrénie
dérèglement de la dopamine (trop D2, pas assez D1)
amphétamines agissent sur D2 et donnent symptômes similaires à la psychose
dopamine
renforcement positif et dépendance
GABA
régule l’anxiété
glutamate
apprentissage et mémoire
noradrénaline
joue un rôle dans les troubles de l’humeur
sérotonine
déséquilibre : dépression, suicide, comportements impulsifs, agressivité
neurphysiologie - à retenir
multiples systèmes et neurotransmetteurs sont impliqués dans les TMG
on s’intéresse plus aux interactions entre les systèmes
interactions avec l’environnement affectent neurotransmetteurs
rôle des cytokines suite à une infection
agissent sur le système motivationnel : aide l’organisme à survivre lors d’une infection
activation prolongée du système immunitaire : conséquences
débalancement de cytokines : explique en partie plusieurs désordres dont dépression
pandysmaturation : définition
signes discrets apparaissant dès l’enfance (schizophrénie)
pandysmaturation
développement visuel et moteur irrégulier
performance anormale aux tests neuropsychologiques
retard de croissance
signes ou traits retrouvés chez les TMG (même en rémission) et leur fratrie
déficit de l’odorat
déficit du mouvement de l’oeil
potentiels évoqués retardés
déficits sur tests neurocognitifs (attention, mémoire, fonctions exécutives)
signes chez enfants qui développement schizophrénie
signes posturaux et moteurs spécifiques
problèmes sociaux, d’isolement
problèmes les plus handicapants pour l’intégration communautaire et sociale
problèmes cognitifs
les déficits ne sont pas liés aux symptômes positifs
déficits neurocognitifs
motivation?
attention?
déficits cognitifs liés à la maladie?
certaines performances s’améliorent avec le traitement pharmaco (alors qu’il n’y a pas de lien entre symptômes positifs et problèmes cognitifs)
déficits en cognition sociale
reconnaissance des émotions
théorie de l’esprit : attribuer des intentions aux autres attribution
règles sociales
régulation émotionnelle
attribution : schizophrénie type paranoïde ou grandiose
évènements négatifs aux autres
évènements positifs à eux
attribution : dépression
évènements positifs : aux autres
évènements négatifs : de leur faute
neurodéveloppement normale
connections cérébrales augmentent jusqu’à 2 ans
déclin progressif en enfance
déclin exponentiel à l’adolescence
théorie neurodéveloppementale - schizophrénie
mauvaise élimination (trop de synapses éliminées, trop peu ou encore les mauvaises)
perte de myéline (mauvaise transmission d’info entre les neurones)