Examen I Flashcards
Vrai ou Faux. Jusqu’au milieu des années 1970, l’appellation « psychoéducation » recouvrait, entre autres, un programme universitaire de formation d’éducateurs spécialisés
Vrai
Quand on réfère au terme « psychoéducation », on doit le considérer à la lumière de la perspective du développement ___________________________ de chacun de ses éléments constitutifs
Historique
La psychoéducation est issue du travail des éducateurs spécialisés qui travaillaient auprès de _____________________.
Jeunes inadaptés
Vrai ou Faux. La psychoéducation est issue de la psychologie, et les premiers psychoéducateurs étaient des psychologues.
Vrai
Vrai ou Faux. La psychoéducation est une spécialisation de la psychologie, qui met l’accent sur le volet éducatif du comportement de la personne.
Faux
Vrai ou Faux. D’autres professionnels de l’éducation spécialisée peuvent se référer aux concepts de la psychoéducation pour leur pratique professionnelle ou pour les contenus de leurs programmes de formation.
Vrai
Vrai ou Faux. Le modèle « Guindon » peut être considéré comme une théorie de l’adaptation psychosociale d’un jeune dans sa communauté
Faux
Les psychoéducateurs cherchent à développer des valeurs et des compétences par l’établissement _______________________ à travers un vécu partagé, lors d’activités visant le développement de la personne.
d’une relation significative
L’évolution de la recherche et de la formation universitaire dans le domaine fait que les références conceptuelles fondamentales de la psychoéducation s’appuient sur :
la psychologie américaine
L’établissement de la psychoéducation comme une discipline distincte de la psychologie est d’abord dû, historiquement:
D. À la réalité de la pratique professionnelle sur le terrain
Vrai ou Faux. Dans le modèle « Guindon », qui visait chez les jeunes l’actualisation des forces vitales du MOI, chacune de ces forces représentait une étape de la rééducation
Faux
Le « modèle Guindon », premier modèle psychoéducatif, proposait une conception originale de la ____________________ des jeunes inadaptés auxquels étaient proposés des étapes de rééducation.
La prise en charge
Selon le modèle de Gilles Gendreau, l’intervention psychoéducative est une intervention spécialisée qui, en utilisant __________________ d’un jeune aux prises avec des difficultés spécifiques d’adaptation, soutient ce jeune dans sa démarche vers un meilleur équilibre face à lui-même et à son entourage.
le milieu de vie
Vrai ou Faux. Un psychoéducateur doit concevoir la totalité (biologique, social, physique, etc.) de la personne lors de l’élaboration de l’intervention psychoéducative
Vrai
Vrai ou Faux. L’approche psychoéducative privilégie une disponibilité professionnelle et personnelle qui tient compte des besoins et contextes particuliers dans lesquels se trouve la personne. Il s’agit, comme psychoéducateur, d’être disponible à la personne en tout temps et à toute heure.
Faux
L’approche psychoéducative privilégie une conception de l’intervention comme une interaction entre trois pôles : celui de la personne, celui du milieu et celui de ___________________
L’interaction entre la personne et son milieu.
Vrai ou Faux. L’observation est une opération qui permet de recueillir les données nécessaires à l’identification de la problématique qui fait l’objet de l’intervention.
Vrai
Le pôle du « milieu » comprend les aspects :
sociaux, physiques et culturels.
Vrai ou Faux. Pour faire une bonne observation, il est important de se tenir un peu en retrait pour ne pas biaiser les informations en chamboulant la dynamique.
Faux
Vrai ou Faux. L’observation contribue à l’identification des meilleurs outils d’évaluation pour mesurer les capacités adaptatives du sujet.
Vrai
Vrai ou Faux. L’observation est la première opération professionnelle. Elle se situe avant l’évaluation préintervention et pendant toute opération professionnelle.
Vrai
Vrai ou Faux. Une grille d’observation peut préciser des comportements attendus d’une personne qui éprouve des difficultés d’adaptation.
Vrai
Il est possible d’utiliser une forme d’observation inductive, c’est-à-dire :
En étant attentif aux comportements du sujet et de son environnement
Vrai ou Faux. Lors d’une observation participante, il n’est pas nécessaire de prendre en note les comportements observés
Faux
Selon Legendre (1993), une approche est une façon _________________________ de percevoir, d’étudier une question, d’aborder un projet, de résoudre un problème ou d’atteindre une finalité.
générale
Vrai ou Faux. Une observation rigoureuse nécessite que l’observateur soit attentif à ne pas intervenir ou influencer la personne observée pendant l’activité.
Faux
Une théorie est un ensemble de concepts, de définitions et de propositions en relation les uns avec les autres, qui proposent une vision _____________ d’un phénomène.
systématique
Vrai ou Faux. L’observation sert à identifier les difficultés éprouvées par une personne et à formuler des hypothèses
Faux
Vrai ou Faux. La connaissance du contexte d’observation peut améliorer la qualité de l’observation réalisée.
Vrai
Vrai ou Faux. L’observation non participante se produit lorsque l’observateur évite de répondre lorsqu’il est interpellé par les participants à l’activité.
Faux
Vrai ou Faux. Il est possible et même souhaitable d’élaborer ses propres outils d’observation.
Faux
Vrai ou Faux. Sur le plan psychoéducatif, une approche est un ensemble de stratégies particulières à la discipline qui doivent être utilisées par le psychoéducateur dans l’exercice de ses fonctions.
Faux
Vrai ou Faux. La consultation de dossiers ou d’information consignée est une méthode d’observation.
Faux
Vrai ou Faux. Un paradigme guide l’élaboration des théories propres à un phénomène particulier.
Vrai
Vrai ou Faux. Un paradigme permet la résolution de problèmes spécifiques à une discipline.
Faux
Vrai ou Faux. Lors d’une évaluation psychoéducative, l’instrument d’évaluation choisi par le psychoéducateur ne peut être complété par une autre personne (ex. enseignant ou parent).
Faux
Vrai ou Faux. L’évaluation psychoéducative doit faire appel à des instruments dont les qualités psychométriques sont reconnues.
Faux
Vrai ou Faux. Une bonne évaluation psychoéducative facilite le partage des tâches entre les professionnels auprès des familles vulnérables ou en difficulté d’adaptation.
Vrai
Une théorie a pour buts (deux buts) :
Prédire et expliquer
Les recherches sur les construits de base d’une théorie servent :
À préciser l’objet de la théorie
La théorie inductive s’appuie sur une étude qualitative qui permet de faire émerger et de préciser :
Les éléments compris dans la théorie
La théorie vérifiée consiste à :
Vérifier la pertinence des éléments compris dans la théorie
Une théorie déductive est issue :
De la déduction à partir de résultats de l’application de la théorie
Un modèle est une représentation ______________________ et simplifiée d’un phénomène à l’aide de symboles organisés en une forme plus ou moins structurée.
fonctionnelle
Un modèle est utilisé pour _________________________________ une théorie.
Illustrer
Un modèle sert à améliorer la compréhension d’une théorie et _________________.
en permettre le développement
Un paradigme est _________
une vision particulière d’une réalité
Vrai ou Faux. Une bonne évaluation psychoéducative peut être réalisée à partir d’instruments d’évaluation développés par les intervenants du milieu.
Vrai
Vrai ou Faux. Toute évaluation psychoéducative fait nécessairement appel à un cadre théorique ou à une approche particulière.
Vrai
Vrai ou Faux. Le vécu du psychoéducateur peut constituer un obstacle à l’objectivité de son évaluation.
Vrai
Vrai ou Faux. Une bonne évaluation psychoéducative s’appuie sur les aspects valorisés dans une société.
Faux
Vrai ou Faux. Une évaluation psychoéducative peut être complétée lors d’une première rencontre avec un jeune éprouvant des difficultés et sa famille.
Faux
Vrai ou Faux. Pour assurer l’objectivité d’une évaluation psychoéducative, il ne faut pas tenir compte de tout ce qui est subjectif dans nos observations.
Faux
Vrai ou Faux. Une évaluation psychoéducative est nécessairement subjective puisque l’évaluateur doit porter un jugement.
Faux
Lequel aspect est INCONTOURNABLE dans la réalisation d’une bonne évaluation psychoéducative ?
Une évaluation rigoureuse
Vrai ou Faux. Une bonne évaluation nécessite plusieurs périodes d’observation.
Vrai
Vrai ou Faux. Une bonne évaluation se base sur un corpus de connaissances reconnues et éprouvées.
Vrai
Vrai ou Faux. L’évaluation nécessite une interaction avec la personne évaluée.
Vrai
Vrai ou Faux. Une bonne évaluation psychoéducative peut être réalisée à partir d’instruments d’évaluation développés par les intervenants du milieu.
Vrai
Vrai ou Faux. Il est préférable de se conformer aux attentes des autres afin de maintenir l’équilibre dans nos relations sociales.
Faux
Vrai ou Faux. L’inadaptation sociale, de type « durable » peut représenter une tentative adéquate d’adaptation
Faux
Vrai ou Faux. Le fait d’avoir raté son autobus pour se rendre à son cours représente une situation d’inadaptation provisoire
Faux
L’adaptation psychosociale peut être définie comme un équilibre entre le bien-être interne d’une personne et son bien-être externe. Le bien-être externe comprend :
Les exigences sociomorales
Au fil des siècles, l’adaptation a été considérée sous plusieurs perspectives. Ainsi une personne bien adaptée peut être celle qui possède les caractéristiques standard de la population générale. Identifiez de quelle perspective il s’agit :
La perspective statistique
L’adaptation d’une personne fait appel à ses interactions plutôt qu’à ses caractéristiques. De quelle perspective s’agit-il ?
La perspective systémique
L’adaptation signifie la conservation de la vie. De quelle perspective s’agit-il ?
La perspective évolutionniste
Une personne adaptée est celle qui adopte les valeurs, idéologies et attentes sociales de sa génération. De quelle perspective s’agit-il ?
La perspective socioculturelle
L’adaptation psychosociale comprend des composantes reliées à l’individu et des composantes reliées à l’environnement. Dans les lignes qui suivent, veuillez identifier de quelle composante il s’agit : je fais référence à la capacité d’être plus adulte en répondant au besoin fondamental de se réaliser.
Marge de liberté
Je suis la composante qui a la plus grande influence sur la santé mentale d’une personne ?
Environnement microsocial
Je suis la composante qui ordonne et régularise les relations sociales et dont le fonctionnement est garanti par les lois ?
Environnement macrosocial
Je suis en lien avec les processus de croissance et de maturation, les mécanismes intrapsychiques et les influences socioculturelles ?
Histoire personnelle
Je peux réussir à échapper à l’influence de l’environnement social.
Hérédité
Je subis l’influence d’éléments liés à la biologie, à la politique, à la psychologie et même à la philosophie ?
Marge de liberté
Je comprends vos collègues de travail.
Environnement microsocial
Je m’assure que vous ayez les moyens de subsister et de participer aux tâches collectives.
Environnement macrosocial
Je comprends la faune et la flore qui vous entoure ?
Environnement naturel
Je fais référence aux possibilités physiologiques et psychiques de se développer adéquatement.
Marge de liberté
Le pâté chinois et la poutine en font partie ?
Environnement macrosocial
Chez une personne, je suis influencée par les décisions prises par les autres et graduellement, s’ajoutent les décisions que je peux prendre.
Histoire personnelle
Vrai ou Faux. L’adaptation psychosociale se traduit par l’atteinte d’un parfait équilibre entre le bien-être interne et le bien-être externe d’une personne.
Faux
Vrai ou Faux. L’inadaptation psychosociale peut être perçue comme une force dynamique d’adaptation
Vrai
L’inadaptation peut être causée par un mal être externe. Il peut s’agir:
des conflits interpersonnels
Vrai ou Faux. L’inadaptation est un déséquilibre plus ou moins prolongé dans le temps qui peut être provoqué par un mal être externe et un mal être interne concomitants.
Vrai
Vrai ou Faux. La formation d’un déséquilibre durable (inadaptation durable) est précédée d’un déséquilibre transitoire ou provisoire.
Faux
Vrai ou Faux. Le stress caractérise une période d’inadaptation durable.
Faux
Certaines difficultés ont un caractère plus définitif parce qu’ils dépassent les capacités d’adaptation de la personne ou parce que la personne :
N’a pas le soutien d’autrui
L’opération qui assure l’échange avec les acteurs de la situation d’intervention, pour assure la mise en oeuvre cohérente de l’ensemble du processus d’intervention.
La communication
L’échange avec les acteurs cibles (sujets et référents) comprendra les informations nécessaires au sujet des attentes mutuelles et la compréhension __________________.
Des objectifs et des moyens liés au processus d’intervention
La communication est l’opération qui assure l’échange avec les autres acteurs de la situation d’intervention, pour assurer la mise en oeuvre ____________________ de l’ensemble du processus d’intervention.
cohérente
Vrai ou Faux. Pour le psychoéducateur, l’opération professionnelle « communication » implique des habiletés à en arriver à une entente consignée avec chacune des personnes en lien avec la ou les situations d’intervention.
Faux
Vrai ou Faux. Le psychoéducateur peut transmettre de l’information au sujet de l’intervention psychoéducative de façon électronique.
Vrai
Vrai ou Faux. Dans l’intervention psychoéducative, la communication s’appuie sur une approche psychodynamique, afin de mieux comprendre la vision de la personne.
Faux
Les modes de communication utilisés par le psychoéducateur sont établis en fonction des acteurs visés, des contextes mésologiques et _________________________.
de la culture du milieu
Vrai ou Faux. Dans l’intervention psychoéducative, l’observation de la communication est davantage centrée sur les causes du comportement que sur les effets
Faux
Le psychoéducateur doit moduler ses attitudes et ses comportements (verbaux et non verbaux) en fonction de __________
l’établissement d’une relation d’aide significative avec la personne.
Vrai ou Faux. Dans l’intervention psychoéducative, la conception de la communication prend surtout en considération l’échange entre une personne et le reste de son écosystème.
Vrai
Dans l’intervention psychoéducative, la possibilité d’atteindre un bon niveau de communication s’appuie sur la qualité de la communication suscitée par ______________________________des expériences significatives du vécu partagé.
l’animation et l’utilisation
Vrai ou Faux. Dans l’étude d’une situation de communication, on doit considérer la circularité des échanges à partir de l’initiation du comportement par la personne.
Faux
Vrai ou Faux. Un comportement pathologique peut être considéré comme « normal » dans des conditions particulières d’une situation d’interaction.
Vrai
Vrai ou Faux. La communication entre deux personnes n’est pas toujours consciente ou intentionnelle pour chacune d’entre elles.
Vrai
Si on ne peut pas ne pas communiquer, la communication suppose néanmoins une volonté et un engagement des acteurs concernés, qui caractérisent ____________________.
Le type de relation existant entre eux.
Vrai ou Faux. Les mesures d’isolement utilisées dans les milieux scolaires ou de réadaptation peuvent avoir un impact sur les habiletés de communication de la personne.
Vrai
Les nouveau-nés privés de toute forme de communication avec l’entourage risquent:
De mourir par manque affectif ou par sentiment d’isolement.
Vrai ou Faux. Le contexte de la communication a davantage d’impact sur le contenu que sur le contenant.
Faux
Qui suis-je ? Je suis la manière dont doit être reçu le message, donc la forme qui va définir le type de relation entre les acteurs concernés.
L’ordre
Vrai ou Faux. L’expérience enseigne que si une personne n’est écoutée qu’au niveau du contenu de son discours, elle a l’impression de n’avoir été ni comprise ni même entendue.
Vrai
Vrai ou Faux. Lors d’une intervention à caractère directif, le fait de hausser le ton aide la personne à se conformer aux attentes du psychoéducateur.
Faux
Vrai ou Faux. Le message digital agit à un niveau supérieur au message analogique.
Faux
Vrai ou Faux. La modulation présente dans un échange fait référence au fait que l’interaction entre les interlocuteurs se modifie en fonction de leurs comportements respectifs.
Vrai
Toute communication comprend trois aspects ou niveaux : le contenu, la relation (ou contenant) et:
le contexte
Vrai ou Faux. Dans le langage analogique, il y a absence de négation.
Vrai
Le langage écrit possède des connecteurs logiques et une syntaxe qui en facilite la compréhension, toutefois, il manque ______________________________________.
d’une sémantique appropriée à la relation
Les troubles consécutifs aux relations symétriques malades sont de l’ordre :
Du rejet
Qui suis-je ? Je permets d’assurer la transmission de la connaissance et la conservation des acquis d’une civilisation donnée.
Le langage numérique
Une relation médecin/patient est une relation:
Complémentaire
Nommez un avantage et un inconvénient de l’utilisation du langage digital.
Avantage : il possède une syntaxe complexe appropriée à la transmission d’informations
Inconvénient: il manque d’une sémantique appropriée à la relation
Nommez un avantage et un inconvénient de l’utilisation du langage analogique.
Avantage : il possède bien la sémantique, traduit bien le sens, se prête mieux à exprimer ce qui est de l’ordre de la relation.
Inconvénient : absence de syntaxe, de précision du contenu, la définition qu’il donne ou ce qu’il exprime peut être équivoque.
Dans sa pratique professionnelle, un psychoéducateur est appelé à adapter son langage. Identifiez deux circonstances qui nécessitent l’adaptation de la communication ou du langage.
Selon le degré d’adaptation des personnes à leur réalité
Selon le niveau de compréhension des personnes (vulgariser)
Selon la capacité d’intégration du client,
Selon le niveau d’éducation (parfois utiliser la vidéo)
En fonction des résistances de la personne
A : Approche d’un enseignement ou d’une recherche qui consiste à suivre la logique interne et la structure d’une discipline ou d’une matière de façon à intégrer les composantes en un tout cohérent
Approche intradisciplinaire
A : Action d’aborder un projet, de réaliser un travail ou de résoudre un problème en se limitant aux données d’une seule discipline
Approche monodisciplinaire/unidisciplinaire
A : Utilisation concomitante de quelques disciplines, plus ou moins apparentes, lors d’une étude, d’une activité ou de la résolution d’un problème
Approche pluridisciplinaire
A : Façon générale d’aborder un projet, de résoudre un problème ou de planifier des activités en faisant interagir et en combinant des données et des approches issues de diverses disciplines
Approche interdisciplinaire
A : Approche de l’aide, de l’apprentissage ou de l’enseignement qui situe les caractéristiques, les besoins, les intérêts et la démarche du sujet au-dessus des préoccupations des matières ou des disciplines
Approche transdisciplinaire
A : Recours à un nombre important de disciplines parallèles lors d’une étude, d’une activité ou de la résolution d’un problème
Approche multidisciplinaire
A : Dans un Centre jeunesse, lorsqu’un adolescent fait des fugues, le psychoéducateur peut travailler en collaboration avec un travailleur social et un psychologue. Il réfléchit avec eux afin de mieux comprendre son comportement et échange au sujet des interventions qui sont mises en place dans le milieu pour l’aider
Approche interdisciplinaire
A : Un enseignant remarque qu’un enfant a des marques sur le corps, celui-ci lui confie qu’il a peur de son père. L’enseignant en fait part à la direction de l’école et l’équipe composée de l’enseignant, du psychoéducateur et de l’infirmière font appel à un intervenant des Centres jeunesse afin d’identifier les meilleurs actions à mettre en place pour l’aider.
Approche multidisciplinaire
A : Un psychoéducateur d’une Maison de la famille (organisme communautaire) rencontre un adolescent ayant un problème d’obésité morbide. Il se rend compte qu’il présente des symptômes dépressifs, en partie à cause d’un manque de confiance en soi en lien avec l’obésité. Il choisit de l’accompagner en exerçant auprès de lui le rôle d’un psychologue, d’une nutritionniste et d’un kinésiologue (programme d’exercices).
Approche transdisciplinaire
A : Un psychoéducateur travaille avec un jeune adulte trisomique pour l’aider acquérir les habiletés nécessaires pour à aller vivre en appartement. Il l’aide à faire son budget, se déplacer en transport en commun, faire son lavage et préparer des repas simples. Il offre aussi des services de soutien à sa famille dans cette transition de vie.
Approche monodisciplinaire
A : Un psychoéducateur travaille à la réadaptation d’un jeune toxicomane en Centre jeunesse. Chaque semaine, il fait des rencontres individuelles avec lui où il évalue ses capacités, difficultés, progrès, etc. Avec l’équipe de professionnels (psychologue, travailleur social), il échange au sujet des meilleures interventions pour lui permettre de surmonter les obstacles dans une thérapie rigoureuse et difficile pour lui.
Approche interdisciplinaire
A : Le psychoéducateur accompagne un jeune chez un orthophoniste dans le but de mieux comprendre ses troubles du langage pour pouvoir mieux l’aider dans ses difficultés. Au fil de leurs échanges, il encourage le jeune à exprimer ses difficultés à l’école et dans son groupe d’amis. Il parle de l’aide de sa famille et de ses professeurs et des possibilités de lui fournir des exercices à faire à la maison.
Approche interdisciplinaire
A : Dans un CÉGEP, un psychoéducateur organise une Semaine de prévention du suicide. Il sollicite les professionnels de son équipe pour mettre en place des activités qui intéressent et mobilisent les étudiants. Chacun apporte ses idées et sa contribution afin que l’activité soit une réussite
Approche pluridisciplinaire
A : Un groupe de psychoéducateurs se rencontrent pour mettre en place une Communauté de pratique qui vise à développer de meilleures interventions auprès des familles dont un enfant a un problème grave de santé mentale. Ils font appel à l’Ordre des psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec pour recruter des membres et consolider leur groupe.
Approche intradisciplinaire
A : Un enfant ayant de la difficulté à s’exprimer, sa famille sollicite de l’aide du CLSC afin de diminuer les risques d’échec scolaire. Le psychoéducateur du CLSC fait appel à l’orthophoniste et à l’infirmière qui connaît bien la famille pour examiner la situation. Ils décident de convoquer une rencontre avec le milieu scolaire fréquenté par l’enfant afin de mieux comprendre la problématique et planifier des solutions. L’enseignant les informe des problématiques en classe et le travailleur social aborde les inquiétudes de la famille.
Approche multidisciplinaire
A : Le Comité de recherche en psychoéducation de l’Université Laval met en place des recherches sur les causes du décrochage scolaire. Les résultats de l’étude seront utilisés pour améliorer la formation des étudiants du cours «Plans d’intervention dans le milieu scolaire».
Approche intradisciplinaire
A : Un psychoéducateur ayant un service privé d’aide et de soutien aux personnes âgées, accompagne un aîné qui doit quitter son logement dans la recherche d’une résidence plus appropriée à sa condition. Il collabore avec les enfants de son client qui l’accompagnement dans cette transition.
Approche monodisciplinaire
A : Dans une garderie le psychoéducateur, après une rencontre avec l’éducatrice d’un enfant ayant des retards dans l’acquisition de ses habiletés motrices, décide de convoquer une rencontre avec les intervenants et des professionnels. Il sollicite les parents de l’enfant, l’éducatrice, le travailleur social, l’infirmière du CLSC et une ergothérapeute qui a déjà évalué le jeune.
Approche multidisciplinaire
A : Les étudiants remplissent sérieusement le questionnaire de «Rétroaction sur l’enseignement» à la mi-session et celui d’évaluation des enseignementsà la fin de la session. Cela contribue à améliorer la formation universitaire.
Approche intradisciplinaire
A : La mise en place d’un Ordre professionnel propre à la psychoéducation a permis de rendre la profession plus éthique, spécifique et l’amélioration de celle-ci.
Approche intradisciplinaire
A : Un psychoéducateur et une infirmière d’un CLSC travaillent ensemble auprès d’une adolescente enceinte afin de lui offrir le support médical et psychologique dont elle a besoin.
Approche pluridisciplinaire
A : Jocelyne se rend à Québec pour assister à un colloque de l’Ordre professionnel des psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec (OPPQ) afin de se tenir à jour sur les nouveaux outils d’observation. Jimmy, le conférencier, est l’auteur d’un tout nouveau livre sur le sujet. Celui-ci profite de sa présentation pour recueillir les opinions des professionnels en psychoéducation, afin de développer davantage ses connaissances de la réalité terrain.
Approche intradisciplinaire
A : Alphonse a le trouble du spectre de l’autiste. Il a établi un lien de confiance très fort avec sa psychoéducatrice et refuse l’aide et les contacts avec les autres professionnels de l’école ou autre. La psychoéducatrice doit donc l’aider, selon ses connaissances et expériences, à apprendre à mieux articuler, prendre soin de lui, bien manger, etc.
Approche transdisciplinaire
A : Dans le milieu scolaire, une psychoéducatrice offre de la formation au personnel (enseignants, membres de la direction et autres intervenants scolaires) au sujet des différentes problématiques que présentent les élèves du secondaire. Elle veut ainsi contribuer à améliorer les méthodes pédagogiques en psychoéducation dans la gestion scolaire et l’aide aux élèves en difficulté.
Approche intradisciplinaire
A : Suite à la constatation de difficultés d’apprentissages d’un élève, la direction demande au psychoéducateur de s’impliquer auprès de ce dernier. Il observe donc seul l’élève et établit un plan d’intervention par lui-même.
Approche monodisciplinaire
A : Opération qui permet de recueillir les données nécessaires à l’identification de la problématique qui fait l’objet de l’intervention. Elle consiste à percevoir par nos sens, grâce à une centration de l’attention, des comportements ou des phénomènes, sans les modifier. On doit bien distinguer ces derniers de nos émotions et de nos idées préconçues.
Observation
A : La communication dans son acception est l’opération qui assure l’échange avec les autres acteurs de la situation d’intervention, pour assurer la mise en œuvre cohérente de l’ensemble du processus d’intervention et des autres opérations professionnelles
Communication
A : Approche selon laquelle, le tuteur n’enseigne pas un sujet par exposition directe, mais plutôt en guidant l’étudiant par questions successives pour formuler des principes généraux fondés sur des cas individuels, en examinant la validité de ses propres hypothèses, en découvrant des contradictions et en identifiant les bonnes inférences des faits connus
Approche socratique
Quels sont les niveaux de la pyramide de Maslow ?
- Accomplissement personnel (morale, créativité, résolution des problèmes…)
- Estime (confiance, respect des autres et par les autres, estime personnelle)
- Besoins personnels (amour, amitié, appartenance, intimité)
- Besoins sociaux (du corps, de l’emploi, de la santé, de la propriété…)
- Besoins physiologiques (manger, boire, dormir, respirer…)
A : Ensemble d’énoncés ayant fonction de prémisses, présentant une vision globale d’un domaine, facilitant la communication et l’évolution, situant l’étude des phénomènes concernés, guidant l’élaboration des théories et suggérant les pratiques appropriées
Paradigme
Nommez les cinq axiomes de la communication.
- «on ne peut pas ne pas communiquer»
- Les niveaux de la communication : le contenu, la relation et le contexte
- Les êtres humains usent de deux modes de communication (message digital et analogique)
- La ponctuation des séquences de communication entre les partenaires (perception de l’autre)
- Interaction symétrique ou complémentaire, selon qu’il se fonde sur l’égalité ou la différence
a) Message de niveau 1 : Transmission d’informations
b) Message de niveau 2 : Véhiculé le plus souvent par le comportement: ton de la voix, débit, silences, regards, mimiques, attitudes, gestes, etc.
1. Message analogique
2. Message digitale
- b)
2. a)
A : la capacité à bien se développer au plan psychologique, malgré la survenue d’événements à caractère déstabilisant (accident de voiture, perte de son portefeuille), des conditions de vie difficiles, de l’adversité chronique… et à récupérer après de telles situations
résilience
A : transaction cognitive entre l’individu et son environnement, dans une situation spécifique
coping
Vrai ou Faux. La résilience naturelle se construit durant l’ontogénèse et elle n’est pas innée.
Vrai
A : Consiste à décrire non seulement un profil de comportements illustrant les difficultés d’adaptation du sujet, mais aussi le potentiel ou les capacités adaptatives du sujet. On le fait à partir des données qualitatives et quantitatives recueillies par l’observation ou par d’autres moyens valides.
Porter un jugement
Forces et difficultés
Évaluation diagnostique ou préintervention
A: Opération qui permet de prévoir l’ensemble des dispositions à prendre. Elle permet d’établir les objectifs à atteindre en fonction des correctifs à apporter à la situation et des différents moyens à mettre en place pour atteindre ces objectifs.
Planification
A : Opération qui permet la mise en place, à court terme ou immédiate, des conditions matérielles nécessaires à la réalisation de l’intervention telle que planifiée, compte tenu des forces et des limites des acteurs en présence et des ressources physiques et humaines disponibles
Organisation
A : Opération qui permet de récupérer à l’intérieur de la stratégie d’intervention les expériences significatives passées des acteurs cible (sujets et référents) en lien avec celles du présent, en vue d’une anticipation des moyens à prendre pour une adaptation plus adéquate dans un avenir immédiat, à moyen et long terme. Implique l’identification des éléments significatifs du vécu partagé
Utilisation
A : l’opération qui permet la réalisation de l’intervention telle que planifiée. Elle permet d’en vérifier la pertinence dans le vécu, de faire sur-le-champ les réajustements possibles en vue de l’atteinte des objectifs.
Animation
A : Opération qui permet, à partir du constat du niveau d’atteinte des objectifs, d’identifier la pertinence de la planification, de l’organisation, de l’animation et de l’utilisation des événements issus de l’intervention telle que réalisée.
Évaluation post-intervention