examen finale Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’une confrontation?

A

consiste à remettre en question la façon de faire ou d’agir du client qui représente un blocage pour lui actuellement.

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Q

Quel est l’objectif de la confrontation?

A

Remettre en question pour dépasser les résistances (blocages)

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3
Q

Nomme 4 circonstances où il est utile de confronter?

A

1- Prise de conscience à faire
2- liens à faire
3- résistance à vaincre
4- croyances à débusquer

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4
Q

Qu’est-ce qu’un blocage?

A

façon dysfonctionnelle d’agir et de penser

C’est une incohérence dont on n’est pas conscient ou qu’on choisi d’ignorer

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5
Q

Quel est la cible de la confrontation?

A

Les blocages

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6
Q

Nomme 5 formes de blocage

A

1- attitudes ancrées
2- comportements intérieurs
3- comportements extérieurs
4- discordance entre nos pensées et la façon d’agir
5- comportements d’autrui et leurs conséquences

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7
Q

Pourquoi avons-nous des blocages?

A
  • Habitudes qu’on ne questionnent plus
  • mode d’apprentissage qui nous ont modelés
  • Gains secondaires
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8
Q

Nomme 3 stratégies pour faire une confrontation efficace

A

1- ne pas mettre plus de pression qu’il en faut
2- être délicat et respectueux
3- Lorsqu’on ressent de l’empathie

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9
Q

Nomme 3 éléments d’une bonne confrontation

A

1- favorise le réappropriation du pouvoir par l’aidé
2- comporte un élément de surprise
3- empreinte d’empathie

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10
Q

Nomme 2 erreurs qu’on fait lors d’une confrontation.

A

1- Le blâme

2- touche un trait de personnalité du client (à éviter). Il faut être très précis.

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11
Q

Quoi faire lorsque l’aidé rejette notre confrontation?

A

1- reconnaitre notre erreur
2- utiliser d’autres outils d’intervention (reflet/reformulation)
3- Laisser retomber la pression (Oublions ce que j’ai dit)

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12
Q

Qu’est-ce qu’une interprétation?

A

Intervention par laquelle l’aidant donne une signification possible à un comportement, un sentiment, une motivation de l’aidé dans le but de comprendre et de l’aidé à se comprendre.

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13
Q

à quel étape utilise t-on l’interprétation?

A

À l’étape de la compréhension

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14
Q

Quel est notre rôle à jouer dans l’interprétation?

A

dégager cette interprétation spontanée et subjective, en vérifier la validité et la réajuster au besoin afin de permettre de porter un nouveau regard sur le problème.

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15
Q

Quel est la différence entre un reflet et une interprétation

A

interprétation: propose une signification de ce que le client a exprimé
Reflet: on nomme ce que le client a dit

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16
Q

Quels sont les ressemblances entre le reflet et l’interprétation?

A

1- demeure des hypothèses

2- proviennent de ce que le client nous a communiqué

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17
Q

Sur quoi repose l’interprétation?

A

1- nos connaissances en psychologie
2- notre expérience
3- notre intuition et nos observations

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18
Q

Nomme 4 formes d’interprétation

A

1- à partir d’une intuition
2- dans le but de faire un recadrage
3- à partir de nos connaissances
4- à partir d’une implication

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19
Q

Quelle est la stratégie pour utiliser l’interprétation?

A

demander d’abord la signification perçu par le client
proposer notre interprétation
Ne pas mettre de pression
continuer l’exploration

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20
Q

Quel est l’utilité de la place de l’information?

A

Fournit des données objectives qui peuvent aider à comprendre le problème.

21
Q

Qu’est-ce que le soutien?

A

Le soutien est autant une attitude qu’une intervention.
Il se manifester par de brèves paroles ou dans la complicité avec l’aidé.
Il vise à reconnaitre les ressources de l’aidé et à entretenir l’espoir

22
Q

Le soutien en tant qu’intervention, c’est …

A

Rassurer, confirmer l’aidé dans ses ressources

23
Q

Le soutien en tant qu’attitude c’est..

A

accueil
accompagnement efficace
alliance thérapeutique empreinte de respect

C’est aussi de RÉSISTER à la tentation de rassurer à tout prix.
Il y a un lien entre le soutien et l’alliance thérapeutique

24
Q

Nomme 5 exemples de stratégies de soutien

A
  • valider les ressources de l’aidé
  • Reconnaitre les ressources extérieurs sur lesquelles il peut compter
  • Souligner les progrès
  • l’encourager à déterminer d’autre objectifs
  • L’amener à mettre de côté des idées qui l’empêchent de passer à l’action
25
Q

Qu’est-ce que l’implication?

A

Intervention par laquelle on fait référence à notre propre vécu afin de stimuler l’aidé dans son exploration et lui offrir du soutien

26
Q

sur quoi se fonde l’implication?

A

1- l’authenticité

2- discernement

27
Q

Nomme 5 objectifs à l’implication

A
  • resserer le lien de confiance
  • faire renaître l’espoir
  • centrer le client sur ce qui se passe ici et maintenent (immédiateté)
  • amener le client à entrevoir des pistes de solution
  • Servir de modèle dans la révélation de soi
28
Q

Qu’est-ce que la surimplication?

A

Quand on perd de vue la frontière entre notre vécu et celui du client.

29
Q

Quelles sont les manifestations de la surimplication?

A

1- On pense au vécu du client en dehors des séances
2- On lui offre un soutien qu’on offre pas aux autres clients.
3- Rêveries dans lesquelles il peut être le partenaire sexuel
4- On pense plus souvent à la fin de la thérapie et on tente de la rallonger.

30
Q

Nomme 2 causes de la surimplication

A

1- Difficulité à admettre ses limites personnelles et à dire non
2- l’interférence avec les affaires non réglées.

31
Q

Quoi faire lorsque nous sommes en surimplication?

A

Transféré le client en supervision pour avoir un recul critique et comprendre la dynamique de la relation

32
Q

Qu’est-ce que l’immédiateté?

A

Échange mutuel et direct sur ce qui se passe ici et maintenant dans la relation d’aide.

33
Q

Que permet l’immédiateté dans la relation?

A

L’immédiateté permet d’analyse la relation avec le client et de lui réfléter cette compréhension lorsque cela sert à l’atteinte des objectifs.

34
Q

Nomme des exemples où l’immédiateté est utile.

A
  • Renforcer un comportement
  • identifier des comportements qui posent problème
  • Quand on ne saisit pas bien ce que le client nous dit
  • quand la séance manque d’orientation
  • Lorsqu’on ressent une tension du client
35
Q

Quels sont les 3 types d’immédiateté?

A

1- dans la relation en général
2- axé sur un événement
3- comme moyen de communication

36
Q

Qu’est-ce qu’une intervention de contrôle?

A

intervention impérative et directive qui amène le client à adopter un comportement précis.

37
Q

Quand utilise-t-on des interventions de contrôle?

A

1- en situation de crise
2- pour encadrer nos entretiens
3- donner des directives

38
Q

Quels sont les 3 questions à se poser avant de passer à l’étape de la recherche de solutions?

A

1- Ai-je réussis à pénétrer dans la subjectivité du client?
2- L’ai-je aidé à s’exprimer et à comprendre son problème?
3- ai-je formuler son problème et le réajuster au besoin
** avons-nous formuler un objectif ou une direction?

39
Q

Quel est notre rôle en tant que psychologue à la 3e étape de la relation d’aide?

A

Aider notre client à être créatif et à mobiliser ses ressources pour le stimuler

40
Q

VRAI OU FAUX. Un impact limité est associé à la thérapie si on atteint pas la 3e étape.

A

VRAI

41
Q

Identifie la séquence pour élaborer un scénario de solution.

A

1) formuler le problème
2) prioriser un problème
3) formuler un objectif
4) élaborer différentes scénarios de solution
5) Retenir les options réalistes
6) déterminer les actions à faire
7) Mise en oeuvre initiale des actions
8) revenir sur les progrès et les obstacles

42
Q

Nomme les 6 principes pour prioriser un problème

A

1- en cas de crise, le gérer en premier
2- gérer le problème le plus douloureux
3- commencer par les questions qui importent le client
4- Travailler d’abord sur un problème qui apporter une amélioration générale.
5- concentrer l’énergie sur un problème dont la résolution comportement + d’avantages qu’elle n’exige d’effort.
6- commencer par un problème mineur, mais soluble.

43
Q

Nomme différentes qualités d’un bon objectif

A
  • réaliste
  • observable
  • précis
  • aura des effets tangibles
  • durée raisonnable
  • souple
  • cohérent avec les priorités ciblées
  • cohérent avec les valeurs de l’individu
44
Q

Nomme 5 stratégies pour favoriser l’engagement du client envers les objectifs

A
  • Passer des ententes/ contrats
  • élaborer un plan d’action
  • normaliser les craintes
  • encourager la réussite
  • prévoir les obstacles et les moyens pour les surmonter/à
45
Q

Quels sont les 3 questions à se poser lors de la détermination de l’objectif?

A
  • Est-ce vraiment important de poursuivre cet objectif?
  • Est-ce vraiment dans le cela que j’ai envie d’investir temps et efforts
  • Quelles sont les MOTIFS ET PRIORITÉS qui me font emprunter cette voie.
46
Q

Quelles sont les causes possibles à l’inertie et à la procrastination?

A

Le client ne sait pas trop comment s’y prendre pour amorcer le changement
Peur du jugement
difficulté à faire les efforts pour changer
tentatives antérieures sans résultats
pensées nuisibles
cercle vicieux
difficulité à renoncer aux anciennes habitudes
s’inquiéter au lieu de passer à l’action
perte de gains secondaires
l’objectif choisi n’est pas véritabliement entériné par le client.

47
Q

Qu’est-ce qu’un résistance?

A

un moyen que prend l’aidé pour éviter de ressentir ce qui le menace ou empêcher un prise de conscience douloureuse

48
Q

Selon hétu, comment devrait-on réagir à une résistance?

A
  • la noter sans intervenir
  • offrir un soutien
  • accepter le fait ou apporter des diversions temporaire
  • se centrer sur la résistance (immédiateté)
  • prévenir la résistance