Examen final Métho Flashcards

1
Q

Quels sont les éléments qui doivent être regroupés lorsque l’on souhaite formuler une problématique?

A
  • Quel est le sujet de notre étude
  • Quelle est la population que l’on souhaite étudier
  • Quels sont les concepts en jeu déterminés lors des lectures
  • Quel est l’état des connaissances, des questionnements pertinents qui n’ont jamais été écrit
  • Qu’est-ce que vous voulez faire avec ce questionnement

Bref, la formulation de la problématique nécessite de regrouper le sujet de recherche, le problème et la situation, le contexte empirique, le contexte théorique, les solutions proposées et les résultats escomptés.

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Q

Quel est le cheminement logique pour formuler sa problématique ?

A

Le cheminement logique pour formuler sa problématique en plusieurs étapes:

  1. Prise de recul
    Faire preuve de lucidité: Toujours objectif et réaliste par rapport à ce que l’on veut faire. Faire des choix par rapport aux intérêts collectifs ou perso et la pertinence du sujet
    Opter pour certains gardes-fous : Discuter de la problématique, avec des enseignants, avec des experts, des chercheurs ou sur le terrain travaillant déjà sur la problématique. Entretiens exploratoires.
  2. Le phénomène
    Trois niveaux d’échelles
    Micro: personnes directement visées
    Macro: société québécoise territoire plus globale échelle provinciale parfois fédérale
    Méso: d’autres territoires, pays, continents, cultures
  3. Le champ d’étude
    Pousser l’étudiant à regarder son objet d’étude dans un espace social: dans quel type d’environnement social l’objet s’intègre ? (territoire particulier)
    Dans un espaces relationnel, le sujet par rapport à d’autres secteurs. Qui tente de le comprendre. (ministères)
  4. L’angle d’attaque disciplinaire
    Domaine de recherche par une discipline en soi. Le choix de la discipline se fait par quelle discipline on se situe (géographie, économie, sociologie, philosophie). Justifier et expliquer pourquoi sous cet angle.
  5. Le choix d’un objectif de recherche
    Formuler les objectifs de recherche : ce ne sont pas des questions, mais des phrases qui débutent par un verbe d’action. Un objectif général et plusieurs objectifs spécifiques, pas de nombre idéal mais entre 2 et 5 objectifs spécifiques. Dans les objectifs, on doit retrouver les éléments centraux à se poser (question 1).
  6. Cadre théorique et conceptuel
    S’inscrire dans un courant de pensée et opter pour des ressources conceptuelles: Version préliminaire du cadre conceptuel, concepts clés retrouver dans la formulation de nos objectifs.
  7. Hypothèses et inventaire des moyens de la recherche
    Questionnement : une question principale, une question secondaire et des hypothèses.
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3
Q

Qu’est-ce qu’une hypothèse et quelle est son utilité ?

A

Une réponse anticipée au questionnement de recherche. En loisir, les hypothèses sont en fonction des questionnements secondaires. C’est l’affirmation d’une relation anticiper entre deux ou plusieurs variables, qui doit être démontrée par les résultats de recherche. De plus, c’est une phrase affirmative. Elle sert à élargir les connaissances sur le domaine, le sujet la problématique (empirique, théorique).

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4
Q

Quelles sont les caractéristiques d’une « bonne hypothèse » ?

A
  • Claire
  • Plausible (lien avec lectures)
  • Vérifiable
  • Communicable (facile à comprendre par des gens qui ne sont pas expert du sujet, du domaine)
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5
Q

Quelles sont les définitions d’une variable indépendante, d’une variable dépendante et d’une variable intermédiaire ?

A

Les variables sont une manière de passer du côté abstrait, théorique des concepts à leurs opérationnalisations. Une caractéristique d’un phénomène observable, dont la valeur varie en fonction de l’observation.
La variable dépendante est souvent la conséquence, soit que son état va changer.
La variable indépendante est souvent la cause du phénomène, soit qu’elle a un impact sur les autres variables.
La variable intermédiaire (étrangère) dans certaines situations va venir se greffer à l’indépendante pour faire fluctuer la dépendante.

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6
Q

Qu’est-ce qu’un indicateur ?

A

Un indicateur est un instrument pour préciser les variables et les dimension de ses variables.

Il y a deux actions à faire pour choisir son ou ses indicateurs:

  • se baser sur ce qu’on a lu (recension)
  • évaluer ce qu’on retient

Il y a trois types d’indicateurs :

  • Nominal : retrouver plusieurs éléments dans un indicateur
  • Ordinal : La mesure d’une pratique en forte, moyenne et faible. Exemple : pratique religieuse par rapport à forte, moyenne et faible
  • Numérique : Par intervalle, par exemple, strates d’âge. Convenu préalablement des intervalles. Exemple : catégories de revenu
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7
Q

Quels sont les éléments centraux à mobiliser lorsque l’on débute l’écriture d’un document universitaire ?

A

Écrire un texte universitaire demande de mobiliser plusieurs éléments centraux, soit les arguments, les exemples, les théories/concepts et les références. Cela est dans l’optique d’évaluer la compréhension et l’assimilation de la matière visée.

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8
Q

Pourquoi dit-on que « l’écriture est vue comme une réflexion » ?

A
Le fait d’écrire clarifie et fait avancer la pensée. Il ne faut pas attendre d’être débloqué pour écrire: le fait d’écrire, ça débloque.
Il est (presque) toujours vrai qu’en se relisant on se rend compte que tout ce qu’on a écrit n’est pas idiot et on comprend beaucoup mieux les faiblesses de nos raisonnements et les trous documentaires ou logiques qu’il faut combler. L’écriture est un processus itératif. On écrit, on relit, on en discute, on ré-écrit …
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9
Q

Quels sont les différents plans de travail que vous pouvez organiser pour planifier et rédiger votre travail universitaire et en quoi ceux-ci vont vous être utiles ?

A

Le plan indicatif , le plan opérationnel et le plan de rédaction.
Ces plans aident à prévoir et à équilibrer le travail. Ils sont évolutifs selon l’avancement du processus de réflexion et d’écriture. Aussi, cela permet quelques conseils d’écriture sur certaines sections.

Plan indicatif:
-grandes parties du travail

Plan opérationnel:

  • sous parties
  • sous-sous parties

Plan de rédaction :

  • On y retrouve les grandes parties
  • Les différentes sous-parties
  • Indications énumératives
  • Nombre de mots / de pages
  • Principales idées déjà formulées
  • Il nous permet de nous retrouver dans nos documentations
  • Ce qui doit être mis dans chaque sous-partie
  • Retourner dans les dossiers pour info pertinentes et essentielles
  • Éviter de s’éparpiller ou de prendre du retard
  • Il faut toujours le faire valider, le faire approuver par l’enseignant, tuteur de stage
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10
Q

Comment planifier et réaliser un travail d’équipe via une « écriture à plusieurs mains »

A
  • Échéancier connu de tous (tâches, remises et remise finale)
  • Tête commune du travail
  • Personne qui s’occupe de la révision/mise en page
  • Harmonie dans l’équipe et dans la rédaction des textes. Nous voulons une harmonie pour minimiser les différences d’écriture.
  • Participation de tout le monde
  • Capitaliser sur les forces de chacun/tâches équivalentes
  • Leader accepté
  • Compte-rendu des rencontres
  • Fiches synthèses/articles
  • Prendre ou garder un temps de relecture/discussions: formules ou commentaires constructifs
  • Programmer rencontres (+courtes, +répétées)
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11
Q

En cas de blocage lors du processus d’écriture, comment doit-on procéder ?

A
  • Se relire
  • Exprimez-vous librement sur votre thématique
  • Passez à un autre paragraphe
  • Faites des tâches plus mécaniques
  • Autre tâche
  • Autre paragraphe
  • Courte pause
  • Pratiquer une activité
  • Changer de lieu
  • Communiquer

L’important est de ne pas perdre votre temps!!!!!

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12
Q

Quelles sont les différences entre le droit, la déontologie et l’éthique ?

A

Définition d’éthique : Fonction de réflective/prescriptive
La conduite de l’individus est teintée par des valeurs qui vont être personnel, professionnel et organisationnelle.

Définition de droit : Réguler les comportements et réguler des milieux de travail, donc nous établissons des normes et des obligations dans ses milieux de travail. Ce qu’on doit respecter, et ce qu’on ne peut pas faire dans notre milieu de travail.

Définition de déontologie : Bonnes manières, bons comportements, normes techniques à respecter. Les codes, les règles qui s’applique à certains cadre du métier. Code de déontologie élaborer pour chaque métier spécifique. Des fois régie par des ordres professionnels.

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13
Q

Comment peut-on définir l’éthique en milieu de travail ?

A

L’éthique présentée aux professionnels et aux étudiants peut être limitative puisque le professionnel ne s’approprie pas lui-même l’éthique, elle lui est imposée et ne lui permet pas de se développer par rapport à ses valeurs.

L’instauration de l’éthique au travail vise ainsi à développer des compétences de discernement et de jugement chez les professionnels : on parle ici d’un « pouvoir d’agir » et d’un « savoir-agir ».

Pouvoir d’agir :
Autonomie : Mandat à respecter, travail quotidien que nous devons faire
Jugement : Façon de faire des choix/ de prioriser – Actions doit être bénéfique pour bien-être citoyens
Épanouissement : Épanouissement professionnel parce que nous nous sentons valoriser
Liberté d’Action : Responsabilités

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14
Q

Dans le cadre de l’éthique en milieu de travail, qu’entend-t-on par un « management d’accompagnement » ?

A

Le monde du travail est devenu incertain, en particulier au sujet de la prise de décision : le professionnel n’est donc pas un exécutant mais une personne qualifiée à qui on demande d’être compétente, éveillée voir brillante : passage de métier plus technique à des activités professionnels qui demandent des compétences particulières.

Vers un management « accompagnement » où l’éthique devrait être vue à la fois comme une aide à la décision et un outil de gestion.

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15
Q

Qu’est-ce qu’exige la compétence éthique en milieu de travail de la part du professionnel ?

A

La compétence éthique en milieu professionnel exige un mélange des valeurs personnelles et professionnelles + le développement du jugement :

  • Enjeu éthique relatif à la situation
  • Identification des risques et des conséquences potentiels
  • Évaluer les risques de l’organisation
  • Identifier, comparer et pondérer les attentes et les obligations
  • Appuyer les décisions par des raisons valides et « raisonnables »

La compétence éthique est donc réflexive, complexe et demande une autonomie de jugement. Essayer de comprendre que des situations inhabituelles demandent du temps de réflexion supplémentaire, il faut prendre du recul pour nous, pour l’organisation et pour les autres.

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16
Q

Dans quel contexte historique mondial, l’éthique en recherche s’est-elle développée et imposée ?

A

L’éthique en recherche, une discipline apparue à la suite d’une histoire mouvementée. Les atrocités de la seconde guerre mondial ont amené de nombreux domaines de recherche à s’autoréguler, à s’imposer des normes pour que les traumatismes vécu pendant la seconde guerre mondial ne se reproduisent pas

Code de nuremberg(1947) : guide sur la recherche avec les êtres humains principalement médical et biomédical
Déclaration d’helsinki(1964): premier code d’éthique dans le domaine médical

17
Q

Quels sont les principes éthiques dans le domaine de la recherche ?

A
  • Le respect de la dignité humaine : protection de l’intégrité physique, psychologique et culturelle de la personne.
  • Le respect du consentement libre et éclairé : Elle doit garder un niveau de bien-être élevé et un respect de l’autonomie, donc elle peut se retirer quand elle veut de la recherche
  • Le respect des personnes vulnérables
  • Le respect de la vie privée et des renseignements personnels
  • Le respect de la justice et de l’intégration
  • L’équilibre des avantages et des inconvénients : le participant que vous souhaitez recruter doit être informé de tous les impacts de votre recherche
18
Q

Lorsque l’on mène une recherche à l’Université, quels sont les documents d’éthique à produire et pour quelles raisons ?

A

Il faut produire un formulaire de consentement afin d’obtenir le consentement de chacun des participants. Les informations suivantes doivent être inscrites dans le formulaire :
1. Objectifs de la recherche
Qu’est-ce que vous faites et dans quel cadre, quelles sont les finalités de la démarche
2. Les impacts/risques
3. Aspect de confidentialité/anonymat :
Lui rappeler clairement que toutes les données, tous les éléments restés confidentiels, surtout identité
4. Nature volontaire de la participation :
Personne n’est forcée, ce n’est pas une obligation
5. Évaluer les compétences du participant à participer:
Davantage le chercheur qui s’occupe de cette étape
Évaluer si c’est une personne qui est qualifiée «vulnérable»
6. Se retirer
En tout temps, la personne peut se retirer, sans même avoir besoin de mentionner les raisons de son retrait
7. Autorisation pour l’utilisation des données

19
Q

Éthiquement, comment doit-on procéder lorsque l’on mène une recherche auprès de personnes vulnérables ?

A

Suivi différent avec les personnes vulnérables

  • Doit avoir toutes les informations concernant l’étude pour être conscient du choix (avantage et inconvénients)
  • Doit avoir le consentement des proches et de la personne si elle peut (signatures)
  • Doit être traité de façon juste et équitable
20
Q

Quelle est l’utilité d’un devis de recherche ?

A

Le devis de recherche est un plan logique tracé par le chercheur en vue d’établir une manière de procéder susceptible de mener à la réalisation des objectifs. Ce plan permet de répondre aux questions de recherche ou de vérifier des hypothèses et qui, dans certains cas, définis des mécanismes de contrôle ayant pour objet de minimiser les risques d’erreur.
Utilités:
-Décrit les grandes lignes d’une recherche
-Est à la base de la planification et de la réalisation d’une étude de manière que les objectifs soient atteints.
-Détermine comment les sujets seront recrutés, décrit les activités qui se dérouleront et précise les mécanismes de contrôle qui serviront à minimiser les sources potentielles de biais risquant d’affecter la validité des résultats d’une étude.
-A pour but de dresser un plan visant à générer des connaissances empiriques découlant des réponses aux questions de recherche ou de la vérification des hypothèses et de tirer des conclusions qui soient valides et crédibles.
-Sert de guide général à l’ensemble des études

21
Q

Que vise-t-on à cerner avec un devis de recherche descriptive ?

A
  • Faire des choix méthodologiques
  • Démontrer notre capacité à répondre a notre questionnement de recherche
  • Considérer ou anticiper d’éventuel erreur qui pourrait être commise dans la collecte de données
  • A pour but d’obtenir des informations précises sur les caractéristiques a l’intérieur d’un domaine peu connu et peu étudier. Permet de dresser un portrait de la situation.

***PAS CERTAINE QUE CETTE PARTIE EST NÉCESSAIRE À LA QUESTION!?
Plusieurs éléments incontournables à considérer avant de déterminer son devis de recherche:
-Comparaison
-Contrôle de variable: est ce qu’on peut jouer sur les variable ou sur leur influence
-Milieu de recherche : c’est dans quel cadre genre un cours ou dans le cadre d’une organisation
-Moment et fréquence de la collecte de donné: quel moment on va etresur le terrain , on va tu y revenir plusieurs fois, on va donné notre sondage cmbde fois
-Administration des instruments de mesure : comment on va sonder les participants , comment on va les interviewer, on doit tu se déplacer sur la rue ou c’est électronique

22
Q

Qu’est-ce qu’une étude de cas ?

A

C’est une méthode de recherche utilisée dans plusieurs disciplines dont on dispose peu de données et qui implique:

  • Examen détaillé et approfondie d’un phénomène lié à une entité sociale : une personne, une famille, une communauté, une organisation.
  • L’étude de cas permet de décrire en profondeur les conditions d’une personne ou la manière dont elle réagit à un traitement, ses émotions, ses activités.
  • L’étude de cas est une démarche qui vise l’examen en profondeur d’une entité (personne, groupe, famille, communauté, organisation)
  • L’étude de cas vise à préserver et à comprendre l’entièreté et l’unité du cas.
  • Elle va permettre d’obtenir des donnés pour ensuite formuler une hypothèse.
23
Q

Qu’est-ce qu’un échantillon probabiliste et parallèlement qu’est-ce qu’un échantillon non probabiliste ?

A

Probabiliste (plus quantitatif) : notre échantillon est déterminé de manière aléatoire (aléatoire/hasard)(chance égale)
C’est le choix d’un échantillon à l’aide de technique aléatoire afin que chaque élément de la population ait une chance égale d’être choisi pour faire partie de l’échantillon. Cela signifie aussi que chaque élément choisi à une probabilité égale de posséder un certain nombre de caractéristiques propres à la population cible. Cela veut donc dire que l’échantillon devrait être à l’abri contre le biais et il devrait être considéré comme représentatif de la population de laquelle il provient.

Non probabiliste (plus qualitatif) : c’est vous qui déterminez les personnes qui constitue l'échantillon.(pas obligé de se baser sur un échantillonnage)
(choix de l’échantillon de manière arbitraire)
Cela signifie que chaque élément de la population n’a pas de chance égale de faire partie de l’échantillon. Elles sont plutôt choisies sur la base des caractéristiques de la population cible. Cette méthode limite la représentativité des échantillons et la capacité de généraliser les résultats au-delà de l’échantillon étudié. Il est également important de déterminer adéquatement ses critères d’inclusion et d’exclusion. (ce qui fait en sorte qu’elle peut ou pas participer)
24
Q

Quelles sont les principales méthodes d’entrevues dans une perspective qualitative et quelles sont leurs différences ?

A

Entrevue non dirigée :

  • Interview
  • Peu structurée (retour à faire seulement si la personne s’éloigne trop par exemple)
  • Récit de vie, approche très biographique (c’est davantage un monologue qu’une structure question/réponse)
  • On laisse la personne parlée et contrôlée l’entrevue en faisant un minimum d’intervention
  • 1 a 1 ,dépend des compétences de la personne
  • Questionner l’individu en lien avec la problématique
  • Entrevue est fait avec des questions que l’on pose , soit des questions ouvertes. Le thème est ce qui est en amont des questions.
  • Unidirectionnels (interviewer qui parle et intervieweur qui écoute et pose des questions ouvertes)
  • Longue (2-3 h

Entrevue semi-dirigée :

  • Thèmes à aborder (structure prédéterminée sur les sujets qu’on veut aborder avec la personne)
  • Question ouverte
  • Questions organisées par thème
  • Durée : 30-90 min.
  • On garde une structure de base, mais à l’intérieur de cette structure on laisse aller la personne
  • Conversation entre deux personnes , moins longue (35- 90 minutes ), plus structurer, plus dirigé, guide d’entrevue= outil pour la conduite des entrevues et il va évoluer au gré des entrevues que l’on va faire. (ajuster l’ordonnancement des questions )
  • Peut se faire par téléphone
  • C’est important de choisir un lieu qui est et calme et neutre. Éviter de faire sa dans le bureau de la personne interviewé ou chez lui.
25
Q

Pour quelles finalités de recherche utilise-t-on le groupe de discussion ?

A

C’est une méthode qualitative, donc les réponses à comprendre un phénomène.C’est un échange de conversations dans un groupes.On vise à examiner de façon détaillée les opinions et les réactions des participants sur un sujet précis. L’objectif central est la compréhension collective des points de vue des participants sur une problématique donnée. On va prioriser le collectif parce que l’on va vouloir se fier sur les réponses de tous. Cela permet de récolter plusieurs points de vues.

26
Q

Quels sont des données secondaires ?

A

Éléments rassemblés pour des fins autres que celles pour lesquelles les données
avaient été collectées. On analyse des données que quelqu’un d’autre a collectées. Il ne faut pas sous-estimer ces données, elles sont très utiles pour faire le portrait de notre échantillon. Il faut s’assurer que c’est important d’avoir le droit d’utiliser ces donnés, de les prendre et de les analyser.

Avantage :

  • Économique/ temps : on a pas à se rendre sur le terrain
  • Pousser plus loin les connaissances

Inconvénients :

  • limité la créativité : on doit se baser sur des données collecter.
  • Logique de l’autre
  • Comprendre la logique de l’autre, rigueur dans les données, logique derrière la collecte de ces données, est-ce que l’éthique est respectée ?
27
Q

Quels sont les principaux types de sondage par questionnaires ?

A

Administré oralement (le face à face, Taux de réponses le plus élevé) : On doit poser les questions telles qu’elles ont été rédigées pour éviter les biais

  1. Par téléphone : On pose les questions et les autres répondent) (moins coûteux, mais demande de s’y prendre à plusieurs reprises avant de rejoindre la personne pressentie)
  2. Auto administré (le sondage par la poste avec enveloppe de retour, en ligne = lien par courriel et la personne le complète) (La personne répond elle-même aux questions) (peut être plus étoffé, peut être adressé à des personnes plus dispersées géographiquement)
28
Q

Qu’entend-t-on par le terme « mobilisation des connaissances » ?

A

C’est un processus qui a termes termes à retenir : la diffusion, le transfert et la mobilisation des résultats.

  • Diffusion : la façon la moins poussée, mais pas trop adaptée
  • Transfère : prendre ce qu’on a et l’adapter à des milieux, à des pratiques
  • Mobilisation des résultats : adapté à des besoins précis d’un milieu
29
Q

Quelles sont les principales différences que vous dénotez entre la méthodologie enseignée en loisir et celles suivies et appliquées en histoire et en philosophie ?

A

L’histoire est plus dans les livres, dans les archives données et classées. Les hypothèses partent d’hypothèse pour en déduire des conséquences. On part de fait qu’on constate dans les archives pour arriver/générer a une sorte de loi, théorie. Tandis qu’en loisir, on va sur le terrain.

30
Q

Quelles sont les principales différences que vous dénotez entre la méthodologie enseignée en loisir et celle présentée par le professeur David Crête ?

A

Méthodologie de David Crête :

  • Inspiré des méthodes de sciences humaines et sociales
  • Beaucoup plus habitué d’utiliser une approche quantitative
  • réflexion qui sont menés en laboratoire.
  • travail plus avec les grosse chaine privé (IGA)

Méthodologie en loisir :

  • Plus axé sur l’approche qualitative
  • On travail d’avantage avec des osbl et des organisation public.

Au final, dans les 2 domaines, l’humain est toujours au centre des recherches.