Examen final évaluation DI Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qui sont essentielles à la réussite de cette démarche (TEVA) et à la réalisation de leur projet de vie ?

A

La contribution et la concertation des différents partenaires sont essentielles à la réussite de cette démarche et à la réalisation de leur projet de vie.

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2
Q

La démarche TEVA doit avoir pour point de départ quoi ?

A

La démarche TEVA doit avoir pour point de départ les désirs et les champs d’intérêt de chaque jeune.

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3
Q

On la débute quand la TEVA ?

A

La démarche TEVA peut s’amorcer dans différentes circonstances : en prévision des périodes où des choix de parcours de formation doivent être effectués (ex.: formation à un métier semi-spécialisé) en prévision de tout changement important susceptible de compromettre l’intégration sociale et socioprofessionnelle du jeune; lorsque le jeune commence un stage; pour assurer la continuité des services et le maintien des acquis pendant l’été; lorsque le départ de l’école est annoncé ou anticipé.

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4
Q

Qu’est-ce qui prend tout le sens dans la démarche TEVA ?

A

L’autodétermination ainsi que le droit, le besoin et la capacité d’une personne de gouverner sa vie sans influence externe indue prennent tout leur sens dans la démarche TEVA.

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5
Q

Nomme un principe de la démarche TEVA ?

A

La reconnaissance de la place du jeune, de ses parents ou de toute personne importante pour lui dans l’élaboration et la réalisation de son projet de vie.

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6
Q

Qui est-ce qui amorce la démarche TEVA ?

A

La direction de l’école amorce la démarche TEVA dans le cadre du plan d’intervention et en assure le leadership; élabore et réalise, avec le jeune et en collaboration avec les partenaires concernés, les activités planifiées ; voit à la réalisation et à la révision de la démarche; établit et maintient les communications avec les parents et les organismes impliqués ; participe au PSII du jeune.

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7
Q

Concernant la démarche TEVA :

On vise l’accompagnement du jeune dans l’élaboration et la réalisation de son projet de vie. Cette démarche a également pour objet de le soutenir pendant son passage de l’école vers la vie active. Elle touche les aspects suivants :

A
  • l’autonomie personnelle;
  • les loisirs;
  • l’intégration socioprofessionnelle et l’emploi;
  • le réseau social;
  • l’éducation et la formation;
  • la résidence;
  • la participation à la communauté;
  • le transport.
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8
Q

Quelles sont les problématiques les plus fréquentes dans la vie d’appartement ?

A

Problématiques : Difficultés avec le budget priorisation des besoins vs désirs, relations avec le voisinage, amoncellement, salubrité, alimentation, sécurité.

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9
Q

Quelles sont les forces et motivations de ces personnes dans la vie en appartement ?

A

Motivations et forces : Fort désirs d’autonomie, motivations à réaliser leurs affaires par elles-mêmes, difficultés de prise d’autonomie versus loyauté envers les parents…

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10
Q

**Quel est le défi de l’usager concernant l’emploi régulier et pareillement au travail intégré ?

A

Assumer les exigences et les responsabilités liées au travail qu’il effectue pour l’entreprise.

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11
Q

Quelle est la différence entre l’emploi régulier et le travail intégré ?

A

L’emploi régulier : Fait référence à un emploi rémunéré selon les normes du Code du travail. Cet emploi peut également bénéficier de certaines subventions.
Travail intégré : Fait référence à un poste de travail ou à des tâches qu’occupe un travailleur dans un milieu, il n’y a pas de salaire lié à ce travail, à l’exception de clauses du protocole d’entente (remboursement des allocations de transport) de suivi au travail. Il vise à produire des biens et services ou à contribuer à leur production.

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12
Q

Quel est le défi pour l’usager concernant le stage ?

A

Vérifier ses goûts, intérêts et aptitudes. Définir ses orientations professionnelles.

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13
Q

Nomme les 3 sortes de plateau existants

A

1) Plateau commercial
2) Plateau communautaire
3) Plateau industriel

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14
Q

Qu’est-ce qu’un plateau commercial ?

A

Un petit groupe d’usagers travaillant à la fabrication d’un produit pour la vente directe au consommateur. Nous privilégions la participation à de mini-entreprises formées en coopératives ou en compagnie, tout en offrant le support, la coordination et l’encadrement nécessaire.

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15
Q

Qu’est-ce qu’un plateau industriel ?

A

Un petit groupe d’usagers travaillant dans une entreprise commerciale ou manufacturière. Ceux-ci assument une production liée à une sous-traitance ou à d’autres formules contractuelles.

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16
Q

Quels sont les objectifs TEACCH ?

A

Objectifs TEACCH :

1) Rendre la personne la plus autonome possible dans son milieu familial, scolaire et dans la communauté.
2) Vise aussi à donner à l’enfant des stratégies de communication afin de le rendre capable de comprendre son environnement et de se faire comprendre par son entourage.

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17
Q

Comment on organise la structure de l’environnement TEACCH ?

A

A) Structure de l’environnement :
–> Organiser l’environnement physique de l’enfant en raison de sa grande difficulté à se concentrer et à s’organiser dans l’espace.

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18
Q

Intervention: à ne pas oublier… dans les stratégies TSA =

A

Importance collaboration parents et personnes travaillant avec l’enfant.

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19
Q

B) La structure de l’horaire doit être ? (TEACCH)

A
  • Structure visuelle qui permet à l’enfant de prévoir la séquence des événements d’une partie de la journée ou de la journée entière.
  • L’enfant apprend à se référer à son horaire, à lire son contenu et à s’y conformer. Les intervenants veillent particulièrement à rendre le contenu de l’horaire le moins rigide possible. L’horaire est visuel et il peut être constitué d’objets, d’images, d’images et de mots ou de mots seulement.
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20
Q

C) La structure de travail doit être ? (TEACCH)

A

La structure du travail consiste à mettre en place une structure visuelle qui permet à l’enfant de voir ce qu’il doit faire. Les intervenants structurent le travail de l’enfant de manière à ce qu’il sache par des indices visuels : combien de travail a-t-il à faire, quoi faire, quand la tâche est-elle finie, qu’est-ce qui se passe après?

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21
Q

Programmes et stratégies d’interventions TSA ==> les cibles

A
  • Améliorer la communication

- Enseigner des comportements sociaux adéquats

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22
Q

Les outils visuels du PECS permettent quoi ?**

A

Permet de pallier aux difficultés:
De communication
De fonctions exécutives (organisation, séquences…)

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23
Q

Les outils visuels peuvent prendre forme comment ?

A
Listes à cocher
Horaires visuels
Séquences visuelles pour l’accomplissement d’une tâche
Horloges ou Sablier
Histoires sociales
(ex : time timer)
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24
Q

Qu’est-ce qui est à retenir pour les stratégies TSA ?

A

Leurs limites cohabitent avec des forces et il est nécessaire d’être à leur écoute afin de bien identifier le besoin de soutien… **

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25
Q

Pourquoi il y a un grand pourcentage de la clientèle DI qui ont des troubles anxieux?

A

Puisqu’ils ont peu de pouvoir sur leur vie. Il y a 30-38% sont touchés par les troubles anxieux.

26
Q

Quels sont les facteurs de risque ? (DI)

A

Le contexte de vie des personnes ayant une déficience intellectuelle peut influencer l’interprétation qu’ils font du monde qui les entoure…

Plus de risque d’être exposées à des évaluations négatives par autrui, d’être stigmatisées
Situation financière précaire associée à une augmentation des facteurs de stress
Exclusion sociale
Risques accrus d’être victimes d’abus (dont les agressions sexuelles).

Moins de contrôle sur l’environnement… multitude de facteurs de stress
Difficultés de communication pouvant rendre difficile l’expression de leurs inquiétudes et le besoin de réassurance
Habiletés cognitives limitées entraînant des lacunes dans les habiletés de gestion du stress, échecs répétés…
Historique de pratiques punitives à leur égard
*

27
Q

En fait, plusieurs chercheurs suggèrent que les personnes ayant une DI sont … ?

A

sont plus susceptibles de développer un trouble mental que ceux qui ne présentent pas d’incapacité intellectuelle.

28
Q

Quels sont les facteurs de protection ? (DI)

A
  • Soutien social : Faire partie d’un réseau social, être estimé et avoir de la valeur aux yeux des autres, être aimé et avoir de l’importance aux yeux des autres.
  • Sentiment d’efficacité personnelle : La perception que nous avons concernant notre capacité à produire une action désirée.
29
Q

Concernant l’évaluation, malgré que les troubles psychiatriques soient communs chez les personnes qui ont une DI, ils sont souvent peu ou mal diagnostiqués….

A
  • Pourtant un dx adéquat peut être la base d’un traitement ou d’une intervention adéquate
30
Q

Pourtant un dx adéquat peut être la base d’un traitement ou d’une intervention adéquate
La démarche est difficile pour différentes raisons….. ?

A
  • Connaissances scientifiques limitées dans le domaine
  • Difficultés de communication
  • Difficultés à discuter de sujets abstraits
  • Tendance à camoufler les difficultés
  • Tendance à l’acquiescement
  • Altération des symptômes en raison de la déficience intellectuelle
  • Masquage diagnostique (la DI masque le trouble psychiatrique coexistant)
31
Q

Concernant l’évaluation, quels sont les indicateurs d’une problématique de santé mentale?

A

Augmentation inexpliquée de comportements excessifs
Apparition de comportements excessifs sans antécédents connus
Changements dans les routines (sommeil, habitudes, hygiene)

32
Q

Concernant l’évaluation, quels sont les critères adaptés afin de considérer les caractéristiques propres à la DI ?

A
  • Ajouts de symptômes équivalents
  • Retrait d symptômes
  • Changement du nombre de symptômes
  • Modification du critère d’âge
    Ajout d’exemples pertinents pour la DI
  • Ajout de notes/commentaires
33
Q

Concernant l’évaluation, il existe des outils d’évaluation et ils comportent des limites…..

A

Ces instruments comportent cependant des limites:

- Qualités psychométriques limitées pour certaines des échelles
- Niveau de déficience intellectuelle
34
Q

Est-il possible de prévenir ou de minimiser les impacts ? Interventions peuvent être mises en place…. (santé mentale)

A
  • Par les activités de loisir ou de travail
    Par des expériences sociales
  • Par l’accès à l’information et l’éducation sur les habiletés sociales, le deuil, la sexualité…
  • Par l’opportunité d’exprimer ses émotions
  • Augmenter le soutien social et émotionnel disponible
35
Q

Nomme les outils d’évaluations (tests) qui sont des outils pour la DI-Santé mentale ?

A

Outils d’évaluations
- Reiss Maladaptative Screen Test
- Diagnostic Assessment for the
Severely Handicapped-II (DASH-II)
- Psychopathology Inventory For Mentally Retarded Adults (PIMRA)
- Grille d’évaluation comportementale pour enfants NISONGER (GÉCEN

36
Q

**L’intervention chez la clientèle DI-santé mentale…

A
  • Devrait toujours reposer sur une bonne compréhension de la problématique (individualisé)
  • Devrait reposer sur des données probantes
  • Importance d’agir sur les stresseurs dans l’environnement (aménagements préventifs)
  • De plus, être sensible aux conséquences du double diagnostic
37
Q

Que doit-on garder en tête pour l’intervention DI-Santé mentale ?

A

GARDER EN TÊTE:

1) L’importance du respect de la personne et de ses droits
2) L’importance de l’individualisation des services
3) Éviter toute forme d’abus

38
Q

Qu’est-ce qu’il faut bien documenter pour les effets de médication ?

A
  • OBSERVATION DES COMPORTEMENTS, DE L’HUMEUR…

- OBSERVATION DES EFFETS SECONDAIRES

39
Q

Nomme la définition du TC ? (trouble du comportement)

A

«action ou ensemble d’actions qui est jugé problématique parce qu’il s’écarte des normes sociales, culturelles ou développementales et qui est préjudiciable a` la personne ou à son environnement social ou physique»

40
Q

Nomme la définition de TGC ?

A

«un trouble du comportement est jugé grave s’il met en danger, réellement ou potentiellement, l’intégrité physique ou psychologique de la personne, d’autrui ou de l’environnement, ou qu’il compromet sa liberté, son intégration ou ses liens sociaux»

41
Q

TC et TGC ? caractéristiques

A

Amène une hospitalisation dans une unité fermée de psychiatrie
**Nuit à la santé ou à l’intégrité physique d’autrui
Génère des conflits dans son réseau social (familial ou de services)

42
Q

Selon la perspective comportementale dans le modèle explicatif il existe une interaction entre quoi ?

A

IL EXISTE UNE INTERACTION ENTRE LA PERSONNE ET SON ENVIRONNEMENT QUI PEUT EXPLIQUER L’APPARITION ET LE MAINTIEN DES TROUBLES DE COMPORTEMENT (mdh pph)

43
Q

Qu’est-ce que l’analyse fonctionnelle ?

A
  • Analyse fonctionnelle diffère de l’évaluation fonctionnelle en ce sens qu’il y a modification systématique des variables pouvant être associées ou non avec le comportement problématique.
  • Il y a une modification de l’environnement afin de valider certaines hypothèses en regard des variables qui maintiennent le comportement (attention, retrait de la consigne, jeu non-structuré, seul).
44
Q

Quelles sont les trois parties de l’intervention? (Cours TGC ET TC)

A

1) Aménagements préventifs
2) Traitement adaptation
3) Prévention active

45
Q

Que devons nous faire pour les aménagements préventifs ? (nommer 3)

A
- Changer les facteurs contextuels.
DONC,  
1) les éminer si possible
2) Les modifier pour en réduire
3) Programmer des conditions favorables
46
Q

Comment fait-on pour éliminer les facteurs contextuels ? (cours tgc-tc)

A
  • enlever les stimuli forts

- éliminer des demandes

47
Q

Comment fait-on pour modifier les facteurs contextuels ? (cours tgc-tc)

A
  • Changer la façon dont on aborde la personne.

- Changer la façon dont on fait des demandes.

48
Q

Traitement des caractéristiques : psychologie. Apprentissage d’habiletés fonctionnelles de remplacement. Quels sont les interventions d’adaptation?

A
  • On travaille sur les apprentissages d’habiletés fonctionnelles de remplacement.
  • Habiletés de communication par exemple comme demander, refuser.
49
Q

Quels sont les habiletés permettant de mieux composer avec les situations difficiles?

A
  • relaxation, modulation des émotions, gestion de la colère.

- résolution de problèmes.

50
Q

Quels sont les interventions d’adaptation concernant les habiletés cognitives ?

A

Habiletés cognitives :

  • Identification des émotions chez soi, chez l’autre
  • Lien entre situation, émotion, pensée, comportement, empathie
  • Restructuration cognitive
51
Q

Quels sont les interventions d’adaptation-traitement ? (cours tgca-tc)

A

Estime de soi
Deuil
Traumatisme
Attachement

52
Q

Quelles sont les 4 valeurs ? (Examen) cours tgc-tc

A
  1. LE RESPECT
  2. LE PROFESSIONALISME
  3. LA RESPONSABILISATION
  4. LA SÉCURITÉ
53
Q

Concernant la notion de capacité juridique, l’usager qui n’a pas de régime de protection doit d’abord être considéré comme ?

A

L’usager qui n’a pas de régime de protection doit d’abord être considéré comme apte à exercer ses droits civils lui-même (signer un contrat, comparaître devant un tribunal, voter etc.).

54
Q

Concernant le consentement aux soins, quel est le défi ?

A

Le défi est d’avoir le souci de vérifier à nouveau le consentement de la personne pour le soutien que l’on offre dans une nouvelle situation et de tenir compte qu’elle a droit au «refus catégorique».

55
Q

Qu’est-ce qu’ill faut donc s’assurer, lorsqu’on accompagne un usager dans une démarche de soins de santé, une démarche légale ou autre ?

A

S’assurer qu’il consent à notre présence et qu’il consent à ce qu’on échange de l’information à son sujet.

56
Q

(Les notions d’aptitudes)
Dans le cadre de la dispensation des services de soutien la notion d’aptitude revient dans toutes sortes de situation, mais n’a pas la même définition selon le contexte où elle est employée. Il existe trois notions d’aptitude:

A

1) De la personne à prendre soin d’elle-même et à gérer ses biens
2) De la personne à consentir aux soins
3) De la personne à subir un procès

57
Q

Qu’est-ce que la loi P-38.001 ?

A

Loi sur la protection des personnes dont l’état mental présente un danger pour elles-mêmes ou pour autrui.
Il s’agit d’une loi d’exception qui peut être utilisée dans le cas précis où un usager présente une dangerosité en raison de son état mental et de son caractère dangereux (et non pas seulement parce qu’il y a présence de maladie mentale).

58
Q

Responsabilités du Curateur public ?

A
  • Le Curateur public ne protège pas toutes les personnes présumées, évaluées ou légalement reconnues inaptes; certaines d’entre elles ne seront jamais sous sa responsabilité ou sa supervision et n’auront pas à l’être. Il partage cette responsabilité avec d’autres, principalement les familles et les proches, de même que les intervenants du réseau de la santé et des services sociaux.
  • Le Curateur public veille à la protection des personnes qu’il représente, des personnes sous administration provisoire et des personnes qui sont sous tutelle ou sous curatelle privée. Il tient un registre des personnes légalement représentées. Il peut aussi enquêter sur des situations de besoins de protection appréhendés.

Chaque personne est protégée par des mesures qui conviennent à sa situation particulière. Le Curateur public reconnaît le potentiel d’autonomie des personnes inaptes et en facilite la sauvegarde et l’usage; il tient compte de leur opinion et de leurs volontés dans les décisions qu’il doit prendre en leur nom et dans leur intérêt, que ce soit à l’égard de leur personne ou de leurs biens.
- Pour accomplir sa mission de protection, le Curateur public entretient des relations et des collaborations avec plusieurs partenaires. Les familles et les proches des personnes inaptes sont par nature ses collaborateurs privilégiés, tout comme les intervenants du réseau de la santé et des services sociaux qui travaillent auprès de ces personnes

59
Q

Quels sont les 3 éléments centraux concernant la polyhandicapée ?

A

1) Incapacités intellectuelles sévères ou profondes (q.i. plus petit au plus grand 35)
2) Incapacités motrices persistantes et graves.
3) Déficits importants au niveau de l’ensemble des comportements adaptatifs.

60
Q

Quels sont les interventions pour les polyhandicapés ?

A
  • Le confort, sécurité et bien-être.
  • Interventions multi-sensorielles
  • Développement des potentiels
  • Communication
  • Adaptation