Examen final Flashcards
Cochez toutes les propositions suivantes représentant des cas de politiques publiques environnementales:
A. Création d’un centre de recyclage.
B. Campagne de vaccination des personnes vulnérables d’un arrondissement municipal.
C. Taxation des automobilistes circulant sur les voies urbaines.
D. Réfection d’une rue pour la création d’une piste cyclable.
E. Ouverture d’un zoo en centre-ville.
A. Création d’un centre de recyclage.
C. Taxation des automobilistes circulant sur les voies urbaines.
D. Réfection d’une rue pour la création d’une piste cyclable.
Quels sont les principaux débats entourant le concept d’anthropocène?
A. La question de l’existence ou non de ce phénomène comme nouvelle ère géologique du fait de l’impact de l’homme sur la Terre.
B. La question de savoir qui a inventé ce terme.
C. La question de la date à laquelle il débute.
D. La question de savoir qui est responsable de ce phénomène.
A. La question de l’existence ou non de ce phénomène comme nouvelle ère géologique du fait de l’impact de l’homme sur la Terre.
C. La question de la date à laquelle il débute
En quoi l’interdisciplinarité est-elle nécessaire à la résolution des questions environnementales?
Assez self-explanatory.
D’une façon générale, on peut dire que le progrès économique a, sur l’environnement, des effets :
A. seulement positifs.
B. seulement négatifs.
C. positifs et négatifs.
D. complètement neutres.
C. positifs et négatifs.
Comment distingue-t-on les préservationnistes des conservationnistes?
A. Les préservationnistes veulent protéger la Terre alors que les conservationnistes veulent la laisser telle quelle.
B. Les préservationnistes souhaitent que l’homme évite toute intervention pour protéger la Terre alors que les conservationnistes veulent utiliser tous les moyens possibles pour atteindre le même but.
C. Les conservationnistes souhaitent que l’homme évite toute intervention pour protéger la Terre alors que les préservationnistes veulent utiliser tous les moyens possibles pour atteindre le même but.
B. Les préservationnistes souhaitent que l’homme évite toute intervention pour protéger la Terre alors que les conservationnistes veulent utiliser tous les moyens possibles pour atteindre le même but.
Quelles sont les différences entre les Social Ecologists et les Deep Ecologists? Y a-t-il également des ressemblances, des points communs?
Partagent : il faut dépasser les problèmes environnementaux comme tels pour chercher les causes profondes;
Diffèrent : sur les causes. Le Social mettent l’accent sur le politique et le pouvoir alors que selon les Deep, l’homme a perdu contact avec la nature, en oubliant qu’il fait partie de celle-ci.
Comment peut-on dire que l’article « The Tragedy of the Commons » de Garret Hardin, pose les problèmes essentiels de politiques publiques en rapport avec l’environnement?
Il pose le problème de la démographie et aussi celui des institutions, car « the commons » est une institution, c’est-à-dire une façon de faire acceptée de tous et vue comme « normale ».
Quels sont les instruments d’intervention que nous avons à notre disposition, et lequel (ou lesquels) allons-nous choisir pour résoudre le problème que nous avons à traiter?
Présentez en ses grandes lignes le principe de responsabilité de Hans Jonas et expliquez en quoi il implique des préoccupations écologistes.
En un mot, Jonas propose son principe responsabilité comme alternative à l’éthique dominante des droits individuels dans nos sociétés.
Laquelle des propositions suivantes sur l’environnement apparaît comme la plus probable aujourd’hui?
A. Avec le temps, la science nous donnera des indications claires de ce qu’il faudra faire.
B. Avec le temps, l’écologie et l’économie nous donneront des indications claires de ce qu’il faudra faire.
C. Il ne faut pas compter sur le développement de la science pour nous guider sans aucune ambiguïté.
D. Tous les citoyens du monde ayant un intérêt dans un environnement sain, il y aura consensus sur ce qu’il faudra faire.
C. Il ne faut pas compter sur le développement de la science pour nous guider sans aucune ambiguïté.
Je deviens très pessimiste sur la réduction des gaz à effet de serre quand je pense au fait que les bénéfices éventuels se situent loin dans l’avenir, c’est-à-dire quand je pense à la question de (des) :
A. l’efficacité.
B. l’actualisation.
C. coûts de transaction.
D. l’efficience.
B. l’actualisation.
Je suis une caractéristique d’un bien public pur :
A. consommation rivale.
B. accès limité.
C. accès libre.
C. accès libre.
Une zone de pêche qui n’est pas réglementée quant à son accès est aujourd’hui considérée comme étant :
A. un bien public.
B. un bien public pur.
C. un bien privé.
D. un bien en commun.
D. un bien en commun.
Internaliser au niveau des prix pour tenir compte des dommages environnementaux aura pour conséquence probable :
A. d’augmenter les prix de certains produits.
B. de garder les prix là où ils sont.
C. de diminuer les prix.
A. d’augmenter les prix de certains produits.
La démarche scientifique, selon Ted Schrecker, tente surtout de minimiser la récurrence des :
A.« faux positifs ».
B.« faux négatifs ».
C.méthodes quantitatives.
D.méthodes qualitatives.
A.« faux positifs ».
Dans la perspective des politiques publiques présentée par le politologue Vincent Lemieux, quand on explique les politiques publiques par des éléments ou des étapes comme la définition du problème, le choix d’un objectif ou l’évolution des conséquences, on adopte une approche fondée sur les explications par…
A.les acteurs
B.les problèmes
C.les activités
C.les activités
Comment peut-on dire que la catégorie « biens en commun » (ou « biens détenus en commun ») constitue une catégorie de biens particulièrement significative pour la gestion de l’environnement?
On peut donc dire que ce type de bien a changé deux fois de catégorie : de bien public pur, à bien détenu en commun, à bien détenu en commun dont la qualité est menacée par une forte utilisation.
Quelle est la pertinence des notions de « groupes diffus » et de « groupe compact », tirés des théories du Public Choice, en politique environnementale?
À cause de cette articulation entre, d’une part, l’environnement comme politique publique (intérêt diffus à long terme), et le type de groupe susceptible de le défendre (groupe diffus), on comprend mieux pourquoi les gouvernements apparaissent peu enclins à appliquer vigoureusement des politiques qui visent à préserver l’environnement à long terme.
Comment peut-on dire qu’une démarche strictement scientifique peut nuire à l’adoption de politiques environnementales?
Appliqué à l’environnement, cela veut dire qu’un certain nombre de substances qu’on « soupçonne » être dommageables à l’environnement continuent à être utilisées parce qu’on n’a pas réussi à prouver qu’elles sont dommageables hors de tout doute. On craint un « faux positif ».
En quoi, selon la thèse de Hervé Kempf, les riches sont-ils au premier chef responsables de la destruction de la planète? Quelle solution envisage l’auteur?
Selon H. Kempf, c’est principalement le mode de consommation ostentatoire adopté par les classes socio-économiques les plus riches qui explique une bonne partie du gaspillage des ressources naturelles qui menace actuellement notre planète.
Quel élément caractérise le mieux l’approche gradualiste des politiques publiques?
A. Les politiques publiques sont vues comme des processus de décision rationnelle, impliquant un décideur qui choisit parmi de multiples options la plus efficiente par rapport au problème défini.
B. La mise en place des politiques publiques est un processus graduel, qui implique d’aller pas à pas vers la résolution d’un problème.
C. La mise en place des politiques publiques est l’objet d’interactions désorganisées entre des groupes aux intérêts divers, qui forcent l’Etat à prendre en compte des opinions différentes avant de choisir une solution.
C. La mise en place des politiques publiques est l’objet d’interactions désorganisées entre des groupes aux intérêts divers, qui forcent l’Etat à prendre en compte des opinions différentes avant de choisir une solution.
Quels concepts sont issus des modèles s’intéressant à la finalité des politiques publiques?
A. Le référentiel B. La caisse enregistreuse C. Les coalitions plaidantes D. La dépendance au sentier E. Le Public Choice
A. Le référentiel
C. Les coalitions plaidantes