examen final Flashcards
quel évènement était le plus grand changement dans la structure de la police des 30 années
précédentes ?
l’embauche des civils au sein de la police dans les années 60 et 70
comme étant le plus grand changement dans la structure de la police des 30 années
plusieurs facteurs expliquent l’utilisation accrue des civils dans
les organisations policières au cours de ces années
D’abord, on a évoqué la
nécessité de contrôler les coûts afin d’encore améliorer les services au public.
Ensuite, on
suivait la recommandation de certains experts proposant l’utilisation de civils aux deux
extrêmes de la spécialisation : on visait l’embauche de civil d’une part pour les tâches
demandant peu de qualifications et, d’autre part, les tâches où une expertise de pointe était
nécessaire.
Finalement, on observe aussi que les agences américaines fédérales et autres
avaient déployé un certain nombre d’incitatifs (notamment financier) à l’embauche de civil.
Ainsi, si les employés civils avaient d’abord entrepris des tâches en coulisse telles que la tenue
de dossiers ou d’autres travaux de bureau, leur rôle est devenu de plus en plus professionnel et
publiquement visible (Kiedrowski, Ruddell, & Petrunik, 2017).
Expliquez les début des analystes en milieu policier et ensuite le processus d’intégration et pourquoi
Cette intégration permettait également de passer d’un modèle d’accès à une expertise dans le
schéma d’un client demandant des services à un fournisseur,
à une méthode de résolution de
problèmes intégrant plus intensivement l’analyste et devenant ainsi progressivement plus
collective. C’était nécessaire puisqu’il y avait de plus en plus de données
Que veut dire les auteurs lorsqu’ils parlent de l’expression un laic au vatican ?
L’intégration des analystes civils comporte un certain nombre de défis. L’expression être un
laïc au Vatican représente bien le sentiment pour l’analyste, souvent un employé civil, d’être
davantage considéré comme un auxiliaire n’appartenant pas à la communauté policière.
Comme Guyot (1979, p. 417) l’a observé, « les agents assermentés [les policiers] sont
généralement traités comme membres de l’organisation, alors que les civils sont des employés
» (traduction libr
Plusieurs facteurs expliquent les difficultés d’intégration des analystes au sein des
organisations policières. quels sont-ils ?
Plusieurs facteurs expliquent les difficultés d’intégration des analystes au sein des
organisations policières. Premièrement, le déploiement de civils dans les services de police a
souvent été critiqué par les associations ou les syndicats représentant les policiers (voir
notamment Chatterton 2008) ou par de hauts fonctionnaires du service de police lui-même
(Kiedrowski et al., 2015). On craint notamment le vol d’emplois et de carrières, mais aussi on
évoque certaines tensions prenant racine dans la culture policière entre les policiers et les
civils. Ces tensions se manifestent notamment par la conviction que les étrangers ne peuvent
pas comprendre leur travail (Alderden & Skogan, 2014).
Deuxièmement, il semble persister une méconnaissance du travail de l’analyste en milieu
policier (Cope, 2004; Sissen, 2008). Dans une étude où les analystes en renseignement étaient
interrogés sur la perception de leur travail, ils estimaient que les policiers n’avaient pas
tendance à apprécier la production d’analyses plus approfondies de plus longue haleine (Belur
3
& Johnson, 2017). Ils seraient davantage intéressés par des réponses rapides et même en
temps réel.
on dit souvent qu’il y a un écart entre les
possibilités de l’analyse criminelle et les besoins exprimés par les policiers. Donnez un exemple.
De plus, on a aussi observé que la production de statistiques à la petite semaine
(bean counting) était l’un des principaux objectifs de l’analyse de la criminalité, et ce, malgré
tous les progrès technologiques notamment dans l’analyse statistique et les capacités de
cartographie
(O’Shea & Nicholls, 2003)
Leur rôle consiste plutôt à prendre des informations, d’embellir leur
présentation et de retourner le produit de cette transformation sans qu’il n’y ait vraiment de
processus de réflexion sous-jacent.
Finalement, il semble que la résistance au changement soit aussi un facteur important. En
particulier, l’étude de Willis et al. (2007) indique que la police continue d’être dominée par les
stratégies traditionnelles de lutte contre le crime. Ainsi, elle ignore des approches novatrices
basées sur des données probantes pour mettre sur un piédestal la sagesse expérientielle
personnelle.
quel serait le compromis idéal pour l’intégration des analystes ?
collaboration entre analyste et
enquêteur sur une même affaire reste un compromis idéal. Selon lui, l’expérience de
l’enquêteur basée sur les cas précédemment traités contrebalance les avantages d’apporter un
regard externe au travers d’un analyste expert. Un processus collaboratif doit alors être mis en
place pour tirer profit des différences de compétences. C’est l’ensemble de la communauté
policière qui bénéficie d’une meilleure intégration des policiers et des employés civils
(Alderden & Skogan, 2014)
quels sont les situations qui peuvent conduire à mettre en oeuvre des moyens particuliers en matière de
gestion des informations.
Ces derniers visent ensemble à étendre les capacités cognitives des
enquêteurs (par exemple en visualisant l’information d’une manière appropriée pour favoriser
les associations d’idées), soutenir la structuration des raisonnements en s’assurant que les
informations soient traitées avec fluidité, et systématiser les processus de résolution des
problèmes rencontrés en cours d’investigation (par exemple l’exploitation d’une banque de
données de traces et d’empreintes digitales)
Difficultés rencontrée toujours plus fréquemment dans les enquêtes
et qui découle
directement de la numérisation de la société, consiste à traiter des données collectées en très
grandes quantités
certaines enquêtes ou en cas de crise, il s’agit de
distinguer en temps réel, dans un flux d’informations intense, les éléments d’intérêts
Une troisième situation récurrente survient quand la nature des données demande
l’intervention d’un spécialiste. Le problème consiste alors à déterminer comment trouver et
engager des connaissances pertinentes, pas forcément immédiatement disponibles dans
l’organisation.
Quelles sont les solutions dans ce genre de situations ?
Il s’agit alors de mettre en oeuvre une démarche de collecte et de traitement
des informations pertinentes pour automatiser certaines opérations dans un processus continu
de suivi. Même si la quantité d’information à traiter est raisonnable, la répétition des
opérations rend la mise en place d’un processus de traitement souhaitable pour ne pas
manquer des éléments pertinents.
Que vise l’analyse criminelle ?
l’analyse
criminelle dite opérationnelle (ou tactique dans les pays anglo-saxons) vise à appuyer
l’enquête criminelle dans toutes ces opérations en proposant des méthodes structurées de
gestion des informations.
Quels sont les modèles d’i?ntégrations qui peuvent alors être mis en oeuvre
l’analyste peut intervenir en tant
qu’expert externe au profit de l’investigation policière ou du tribunal1 ou peut être directement
intégré aux enquêtes par les polices ou des magistrats. Ces méthodes deviennent tellement
systématiquement utilisées, qu’un processus de décentralisation est clairement perceptible :
les méthodes et les outils de l’analyste criminel deviennent progressivement intégrés à la
formation des enquêteurs.
Quels sont les rôles de l’analyste criminel
Lorsque l’analyste travaille de façon autonome, comme expert,
il est chargé d’élaborer des
scénarios alternatifs non identifiés par les enquêteurs.
Il évalue les indices afin de détecter de
nouvelles pistes d’enquête ou d’identifier des informations manquantes.
L’analyste criminel
prend, dans une certaine mesure, un rôle d’évaluateur. Il joue le rôle de « l’avocat du diable »
sur des cas importants où la pression sur les enquêteurs est susceptible de biaiser les
raisonnements. est censé apporter un regard neuf en suivant une
démarche adaptée, afin d’identifier des lacunes dans l’enquête et apporter de nouvelles ypothèses
l’élaboration de divers produits (tableaux, banque de données, représentations
graphiques, etc.) pour soutenir les tâches des enquêteurs et l’investigation dans son ensemble
(Peterson, 1998).
hypothèses.
quelles sont les compétences recherchées chez un analyste ?
Habiletés informatiques ((bases de données, traitements de données, analyse
géospatiale : visualisation, l’automatisation sont autant d’habilités
spécifiques nécessaires.
Bonnes aptitudes en
recherche : L’analyste doit
être capable d’identifier les connaissances nécessaires au bon
déroulement de l’analyse
Poursuivre une activité́
intellectuelle soutenue (Une fois les données traitées et des résultats obtenus, il faut
savoir émettre des hypothèses crédibles, interpréter les données)L’interprétation, est la PROPRIÉTÉ DÉTERMINANTE de la pratique de
l’analyse.
Être généraliste : Être à l’aise avec plusieurs sujets, surtout au niveau des corps
policiers de plus petits niveaux. connaissance
générale en matière de criminalité et un intérêt marqué pour le
métier policier sont incontestablement bénéfiques.
Compétences relationnelles ; bien communiquer oralement et à l’écrit.
Pouvez-vous comparer rapidement l’analyste policier de l’analyste civil
Policier : Meilleure connaissance du terrain et de
ses enjeux concrets. Favorise les échanges avec le personnel
policier.
Grande charge de travail si aussi charge de travail polcière.
Civil : regard élargi sur les évènements,
doit savoir s,dapter avec un milieu pas familier
Différence entre commuters et marauders ?
In short, while marauders commit their
offences in their own neighbourhood, commuters go beyond this habitual zone and commit
their offences in more remote residential areas.
Expliquez le concept de maps cognitives
The individual requires
cognitive structures such as the geographical location of items and strategies that enable
closer proximity to these items. Such structures are generally termed cognitive maps, and
they contain information including both the location and attributes of a desired object
internalised as a result of either direct or vicarious interaction with the environment
(Downs & Stea, 1977). Additionally, the criminal
range of movement is regarded as being established during both criminal and noncriminal
activity, thus including sites of social interaction, employment or school, and the
routes that connect these destinations (Brantingham & Brantingham, 1981).
Vrai ou faux : The majority of serial offenders tend to commit most of their offences in an area proximate
to their home base
Vrai
qu’est-ce qui influence la constitution de ces maps cognitives ?
Variables such as age, sex, race and socio-economic status
gender and age are associated with specific social and cultural expectations
that had a tendency to restrict movement, thus limiting the scope of people’s cognitive
maps to an area close to their home.
quelles sont les explications à ce phénomène ?
As a result, whilst
girls regard themselves as being adept in negotiating a novel environment, parental practices
prevent and discourage them from practicing this skill, resulting in a perceived
decrease in this ability. Subsequently, it could be hypothesised that criminals who are
young, or adult females, or from specific racial backgrounds such as Caucasian may have
relatively limited cognitive maps and thereby be more likely to offend within an area
proximate to their home.
De quel style les violeurs et plusieurs criminels en série ont tendance à être ?
Marauders et donc à commettre les crimes proche de leur lieux de résidence
Comment expliquer cela pour les violeurs ?
Canter and Larkin (1993) suggested that this may be attributable
either to the rapist attempting to economise on movement during criminal activity,
or to the possibility that the marauding offence style is simply a developmental stage of
criminal behaviour. The crime of rape is a highly emotional act, so the offender with a
marauding offence style may have a psychological need to maintain proximity to the home
base, possibly to enable a feeling of security (Canter & Larkin, 1993).
sex offending and arson are predominantly motivated by interpersonal
violence, for which a wealth of opportunities exists in any given location, and thus
124 R. Meaney
Copyright © 2004 John Wiley & Sons, Ltd. J. Investig. Psych. Offender Profil. 1: 121–137 (2004)
Figure 1(b). The marauder version of Canter and Larkin’s (1993) Circle Theory.
the adoption of a marauder offence style may reflect the fact that sex offenders and
arsonists have no necessity to travel. This evidence prompts the hypothesis that sex
offenders and arsonists will display a marauder offence style.
Expliquez la circle theory ?
epresentation the physical pattern of offender movement can be conceived
as a circle that encompasses the home location at the centre. The radius of the circle
is representative of the distance between the offender’s home base and the furthermost
offence site. The offender’s spatial behaviour across a series of offences is proposed to
be interpretable in relation to their home base, as all offence sites will be relative to this
location (Canter, 1994). The distance between the home base and furthermost offence is
referred to as the ‘criminal range’, defined by the greatest distance an offender is willing
to travel to commit an offence
Circle Theory’ is the existence of a fixed base from which
the offender travels in order to offend in a defined area. Additionally, the theory proposes
that criminal spatial behaviour may be most simply conceptualised as circular, as this
requires that only a single parameter, the radius, need be determined.
quels crimes étaient associés au maraudeur et au commuter ?
sex offending and arson MARAUDEUR
Cambriolage (COMMUTER autant de chance que marauder)
Résumez les caractéristiques qui inlfuencent le style d’offending au niveau spatial
Caractéristiques démographiques (éducation, prise de risque), type de crime commis(plus émotif, stressant donc besoin d’être proche), lville vs campagne (accès aux cibles), consommation alcool (limite la mémoire, limite les désinhibition et donc moins peur de se faire reconnaitre)
Y a-t-il un lien entre le moment du jour ou le crime est commis et le style d’offense ?
Non
est-ce que le style peut finir par varier après un tel nombre de crimes ?
Oui, Barker (2000) suggested that across a series of five or more burglaries, there is a progression
in the distance travelled to offend. The
Comment expliquer ce changement ? (crime plus loin plus il en commet ?)(
The first offence is committed close to home
as the offender lacks confidence and feels most secure whilst proximate to the home base.
With successive offences, the offender gains both confidence and a more comprehensive
mental representation of the area, allowing for competent and adaptive negotiation including
an awareness of escape routes
Quelles étaient les 3 hypothèses de l’étude ?
Hypothesis 1: Offenders who are burglars will not adopt a predominant offence style
whilst offenders who are adult males, or located in a rural setting will be more likely to
adopt a commuter offence style than a marauder style.
• Hypothesis 2: Offenders who are arsonists or sex offenders in addition to being either
juvenile, female, Caucasian, located in a metropolitan area or under the influence of
alcohol at the time of their offences will be more likely to adopt a marauder offence
style than a commuter style.
• Hypothesis 3: The first offence in a series of crimes will be more likely committed in a
region proximate to the home base by comparison with later crimes, which will be committed
in a region more distant to the home base.
résultats sur ces hypothèses ?
1)Offenders who had committed serial sexual offences were found to be more likely to
adopt a marauder offence style than burglars or arsonists. Additionally, offenders who were
located in a metropolitan area had a greater tendency to display a marauder offence style
over their crime series by comparison with rural offenders
2) It was expected that the
marauder offence style would also be adopted during the commission of arson related
crimes, or when the offender was either juvenile, Caucasian, under the influence of alcohol
or female. These predictions did not prove to be statistically significant.
3) The prediction that an offender would commit their first crime in a series closer to the
home base by comparison with the last crime was supported, as the last offence for all
three crime types was committed on average a further distance from the home base than
the first crime. three types of offenders showed a significant tendency to increase in
the average distance travelled from the home base in order to commit their last crime, by
comparison with their first crimes.
Quelle est la différence dans le processus psychologique des cambrioleur vs les violeurs qui expliquent pourquoi les cambrioleurs font plus de chemin pour commettre leur crime
significant number of burglary offenders locate their targets. This may
be attributable to several factors. Serial burglary is predominantly associated with social,
environmental or situational factors as opposed to individual psychopathology, which is
more strongly characteristic of serial arson or sexual offending
urglars characteristically do not select targets
for either personal or emotional reasons; rather, they are attempting to operate within areas
that will maximise yield whilst minimising potential problems associated with transporting
the stolen goods.
Comment expliquez les résultats par rapport aux hypothèses ?
1) Thus, it is feasible that burglaries of a more opportunistic nature had been excluded
from this study as they failed to meet the minimum requirement of at least three burglaries
per series, whilst the overall average in a series was five.
Lack of support for the prediction that
adult males would adopt a commuter offence style may be in part attributable to adult
males being associated with the greatest amount of experience in criminal behaviour
(Canter, 1994). The level of experience a criminal has is positively associated with the
degree of confidence they possess in their criminal abilities, thus a criminal with a greater
level of experience would be less likely to need to conduct their criminal activities in an
area distal to the home base.
thd Armidale and Tamworth do not have internal rail networks; transport
within the town is limited to buses, taxis and private vehicles. For obvious practical
reasons, neither bus nor taxi would provide a suitable means of either transporting stolen
goods or inconspicuous getaway from a crime scene. Similarly, an unfamiliar private
vehicle in a rural area is highly conspicuous and likely to be noticed by the area’s residents.
The lack of evidence for juveniles adopting a marauder offence style may indicate that
younger individuals who engage in criminal behaviour have predominantly been raised in
families where parenting practices may have been less than adequate (Matthews, 1995).
Aspects of good parenting practice such as knowledge of a child’s whereabouts may have
occurred irregularly or not at all, thus restrictions in the child’s movements would not have
occurred resulting in few limitations in their regional cognitive maps.
Concernant les types de crime et leur type d’offending, qu’est-ce que l’étude nous apprend ?
These results suggest there is a degree of consistency in how an offender will behave
spatially when committing a particular crime. This behaviour may vary in response to the
motive of the crime as crimes which may be regarded as financially driven appear to be
less likely to be committed proximate to the offender’s home base, whilst crimes that
require a higher level of emotional investment are committed closer to the offender’s home
base.
Comment on explique la baisse de prix importante des appareils cellulaires ?
La multiplication des systèmes et l’essor du marché,
où les infrastructures de géolocalisation et de navigation par un système de
satellites se livrent concurrence, devrait permettre de produire des données
de localisation, plus précises, et ce, plus rapidement et à un plus faible coût**.
POurquoi l’internet des objets serait en voie de devenir un moyen de surveillance très intéressant ?
Ces percées foisonneront au cours des prochaines années, car il semble
qu’elles présentent des avantages tant pour les personnes qui font le suivi
que pour celles qui sont suivies. D’ailleurs, elles représentent une forme de
qu’est-ce que la géolocalisation ?
localiser une personne et ainsi de suivre ses activités et d’en
dresser la cartographie. On appelle ces processus la « géolocalisation
Nommez deux éléments qui peuvent empêcher la géolocalisation
Il est probable
que nombre de ces activités d’analyse possibles ne soient pas entreprises ou
qu’elles ne puissent être menées à bien à un coût raisonnable.
différencier la surevillacne par géolocalisation de l’établissement d’un profil par géolocalisation
dispositifs et techniques de géolocalisation
fournissent instantanément des données géographiques qui ne nécessitent
pas une analyse de l’exploration de données. Peu importe l’objectif final, une
technologie de localisation produit toujours des données géographiques
POurquoi une géolocalisation en permanence est rarement une utilisation efficace des ressources ?
Souvent, on peut arriver au même résultat en effectuant une géolocalisation sporadique, soit en effectuant une collecte intermittente
de données à partir d’un appareil. On recueille donc des données importantes
ou utiles sans nécessairement dresser un portrait complet des allées
et venues de la personne.omme l’humain a des habitudes bien ancrées,
ils suffit d’accumuler des données sporadiquement pendant de courtes
périodes de temps,
Qu’est-ce que la surveillance intermiettent
ailleurs, on entend par surveillance intermittente, le fait qu’un appareil
se connecte automatiquement, de temps à autre, pour donner sa position.
La plupart des téléphones portables fonctionnent de cette façon. L’appareil en
déplacement se localise approximativement dans les cellules de téléphonie ; il
peut également trianguler sa position au moyen des signaux envoyés par plusieurs
antennes ou au moyen de l’unité GPS si une position plus précise est
requise (et si ces fonctions sont activées).
Désavantage de la surveillance intermittente ? ou surveillance par localisation GPS
elle produit d’assez grandes quantités de données-rebuts, soit des renseignements
inutiles sur des positions géographiques courantes, constantes ou
répétitives. De plus, l’utilisateur d’un téléphone cellulaire peut simplement
désactiver le service de géolocalisation et ne laisser que la fonction d’itinérance
requise
Différence entre géolocalisation permanente et géolocalisation
sporadique ou géolocalisation de dépistage
Permanente :toujours en train de s’ajuster dans l’espace et d’envoyer des informations
Sporadique : envoie de l’info de façon intermittente
Dépistage : laisse quelques traces : géolocalisation permanente et géolocalisation
sporadique ou géolocalisation de dépistage
qu’est-ce que l’anayse secondaire des données géographiques et quelles sont les trois catégories ?
première est la catégorie « géorelationnelle » et se rapporte
à la capacité de découvrir qui se trouve au même endroit que vous
La deuxième catégorie d’analyse des données géograhiques est « géosociale
». Elle consiste à identifier la signification sociale particulière de la
position individuelle. Être à la maison n’est pas la même chose qu’être au
travail ; se trouver dans un quartier notoire pour la prostitution est différent
de se trouver dans le quartier des spectacles
Enfin, dans la troisième catégorie, l’analyse est « géoinformationnelle »
ou « géoinformatique ». Dans un avenir rapproché, nous pouvons nous
attendre à ce que les données d’Internet soient générées par des réseaux
et des sous-réseaux se composant d’humains et de machines. Cette omniprésence
de l’informatique signifierait que les machines ne servent plus
simplement à transporter ou à stocker du contenu ; elles serviraient également
à le comprendre, à le traiter et à en créer. Autrement dit, les machines
feront partie du réseau plutôt que d’être un simple outil de communication.
Quels pourraient être les problèmes avec La façon dont les données sont utilisées est un dans
le cadre de la surveillance de la mobilité
une forme d’intervention qui toucherait tant les abonnés que les non-abonnés. Souvent, cette intervention s’accompagne
d’une classification et d’un tri des personnes en groupes, qui seront
ensuite traités différemment.
Nommez et expliquez rapidement les deux types de géolocalisation
INternes : usages internes de la géolocalisation : les utilisateurs
enclenchent le processus de localisation qui se présente en soi comme un
service. Fait maintenant partie intégrante de l’expérience
de communication avec les autres. c’est le BUT EN SOI
Externe : Consommateur n’est pas le bénéficiaire immédiat. le BUT EST DE : est de commercialiser des biens,
des services et de l’information auprès Celle-ci s’applique lorsqu’un non-utilisateur – habituellement un
fournisseur de services – recueille à ses propres fins les données de localisation
d’utilisateurs qui participent à d’autres activités. Cette catégorie
implique souvent qu’une personne consent à être surveillée en échange de
biens ou de services.
Pourquoi la commercialisation comprend de plus en plus une dimension de géolocalisation ? Deux facteurs.
Dans ce contexte, on utilise des formes externes de géolocalisation. La
nature de plus en plus ciblée de la commercialisation comprend maintenant
une dimension de géolocalisation pour deux raisons : tout d’abord, parce
que la plupart des affaires sont encore traitées en personne et ensuite parce
que la proximité des points de vente est encore vue comme un débouché
de taille par les annonceurs et les vendeurs.
Un autre facteur alimentant l’augmentation du phénomène de la
localisation est le désir des industries d’en apprendre davantage sur les
consommateurs afin de produire et de mettre en marché des biens et des
services.
Quel est le revirement important concernant la géolocalisation de masse et le public ?
Nous pouvons par conséquent prédire qu’une géolocalisation de masse
se produira non pas en dépit du tollé soulevé par les consommateurs, mais
bien parce que les consommateurs l’ont demandé.
quelles sont les autres utilisations de la géolocalisation autre que la commercialisation ?
peut être utilisé pour faciliter la gestion
et l’entretien d’infrastructure matérielle, telle que des routes et des autoroutes.
Il
sert également à l’application des politiques environnementales qui prévoient
la circulation d’un nombre limité de voitures dans un centre-ville
ou à l’exécution d’initiatives de sécurité.
Est-ce que les applications géodépendantes sont si fréquentes que ça ?
Très peu de services géodépendants
sont parvenus à prendre pied sur le marché ; le pourcentage
est bien inférieur à 10 % aux États-Unis12.
Par rapport aux incertitudes qu’apportent ces technologies, queles sont les deux fa^çon de réagir pour les autorités ou les commerçants ?
La première
consiste à augmenter le suivi jusqu’au point où suffisamment de données
sont recueillies pour établir un profil individuel identifiable. Cette intervention
ne requiert pas un suivi complet et continu. Les profils établis avec moins
de données assurent avec une exactitude presque parfaite que la même personne
a en sa possession l’appareil. Toutefois, cette personne pourrait ne pas
être le propriétaire officiel ou enregistré de l’appareil ou celle dont le nom
figure sur le contrat.
La seconde réaction serait de remplacer le numéro d’identification
unique de l’appareil par la biométrie.On pourrait ainsi établir un lien direct
entre les données de géolocalisation et les personnes plutôt qu’entre les
données et l’appareil. Il
En ce qui concerne la bioémétrie et la téképhonie cellulaire quels pourraient être les futurs développés ?
La prochaine
génération d’écrans tactiles prendra en charge la biométrie, c’est-à-dire
qu’elle fera une lecture en continu des empreintes digitales lorsque l’utilisateur
se servira du téléphone ou de la tablette. Les empreintes digitales ne
serviront plus seulement à déverrouiller l’appareil et les changements d’utilisateurs
seront détectés.
Quelle est l’utilisation qu’on fait normalmenet du forensique et ce qu’on pourrait en faire ? et donnez des exemples
Forensic processes are traditionally conceived to support and follow the investigative
process from the crime scene to the trial on a case-by-case basis. Nevertheless forensic
case data and the results of their analysis convey important but often underestimated
information to support the detection of crime repetitions and understand the size, extent, and
evolution of crime phenomena. excluding suspects, impacting on the duration of investigations or even
reducing the fear of crime (the perception of public safety) [6]. I
Quels étaient les défis pour l’implantation d’une base de données accessibles à tous les corps de police suisse ?
these police are of very different sizes
, and cover various types of
territories.
They are structured differently,
and have developed their own computer
infrastructure.
Legal challenges had also to be overcome.
quelles sont les conditions importantes pour avoir une bonne base de données forensique ?
simple, input of data rapid, and it
must conform to specific organisations that separate forensic from intelligence unit