Examen final Flashcards

1
Q

Méthode statistique qui permet de réduire le nombre de variables en un nombre de facteurs plus réduit. Certaines variables qui se ressemblent peuvent être mises ensemble et deviennent un facteur

A

Analyse factorielle

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2
Q

Catell: Dimension de base de la personnalité, sont permanents, hérités et se développent.

A

Traits

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3
Q

Eysenck: constructions théoriques basées sur des corrélations entre les réponses habituelles des individus

A

Traits

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4
Q

tend à être placide, réservé, réfléchi et prudent

A

Introversion

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5
Q

tendance à être sociable, amical, impulsif et intrépide

A

Extraversion

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6
Q

dimension de la personnalité qui se définit par 2 pôles; stabilité et faible angoisse d’une part, instabilité et grande anxiété d’autre part.

A

Névrosisme

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7
Q

dimension de la personnalité qui se définit par une propension à être solitaire et insensible d’une part, à l’acceptation des normes sociales et à une attitude empathique d’autre part

A

Psychotisme

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8
Q

le développement des traits de personnalité est déterminé par la biologie et est relativement indépendant de l’influence du milieu

A

Maturation intrinsèque

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9
Q

Perception et expérience subjectives du monde

A

Champ phénoménal

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10
Q

configuration organisée et cohérente des perceptions et valeurs associées au soi, au moi ou au je. L’individu perçoit des objets extérieurs à lui, en fait l’expérience et leur attache des valeurs. L’ensemble de ces perceptions et de ces perceptions et de ces valeurs forme le champ phénoménal de l’individu. Le soi conserve le caractère configuré, intégré et organisé malgré les quelques changements.

A

Concept de soi

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11
Q

Image de soi que l’individu aimerait posséder

A

Idéal se soi

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12
Q

Tendance fondamentale de l’organisme à s’actualiser, à se maintenir, à s’épanouir et à réaliser son potentiel. Permet de faire les bons choix pour réduire les tensions.

A

Auto-actualisation

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13
Q

Évaluation du soi par l’individu ou jugement personnel qu’il porte sur son mérite

A

Estime de soi

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14
Q

absence de conflit dans les perceptions du soi

A

Cohérence

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15
Q

absence de conflit entre le concept de soi et l’expérience; c’est également l’une des trois conditions jugées essentielles pour la croissance et le progrès thérapeutique

A

Congruence

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16
Q

Existence d’un désaccord ou d’un conflit entre le concept de soi et l’expérience.

A

Incongruence

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17
Q

l’individu perçoit le stimulus sans qu’il y ait de représentation consciente. Instinct qui nous dit que quelque chose n’est pas correct, nous sommes sur la défensive.

A

Perception infraliminaire

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18
Q

Mécanisme de défense mis en évidence par Freud et Rogers, par lequel la prise de conscience des sentiments menaçants se trouve bloquée.

A

Déni

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19
Q

Mécanisme de défense qui consiste à modifier l’expérience pour la rendre conforme au moi

A

Déformation

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20
Q

besoin de chaleur, d’affection, de respect et d’acceptation que ressent l’enfant

A

Besoin de considération positive

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21
Q

Besoins fondamentaux que toute l’espèce humaine ressent et qui demandent à être satisfaites.

A

Besoin D

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22
Q

Besoins de croissance propres à chacun qui indiquent que l’individu a suffisamment satisfait ses besoins D pour se tourner vers des objectifs plus élevés, aussi appelés «métamotivations».

A

Besoins E

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23
Q

c’est la réponse d’un organisme à une situation venant du milieu, cette réponse est déclenchée de façon absolue par le stimulus approprié

A

Réponse inconditionnelle

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24
Q

c’est l’événement du milieu qui déclenche la réaction inconditionnelle. C’est indispensable pour établir un conditionnement, on appelle cela un renforcement.

A

Stimulus inconditionnel

25
c’est l’élément du milieu qui ne déclenche pas la réaction inconsciente à laquelle on s’intéresse
Stimulus neutre
26
c’est le stimulus neutre qui change de statut au cours de l’expérience, après qu’il ait été présenté suffisamment de fois, la sonnette déclenche la salivation. C’est son rôle physiologique qui s’est transformé puisqu’il est maintenant capable de provoquer une réponse.
Stimulus conditionnel
27
réponse de l’organisme à la stimulation conditionnelle (salivation lors de la sonnette)
Réponse conditionnelle
28
Forme d’apprentissage selon laquelle un stimulus conditionnel provoque une réponse conditionnelle lorsqu’il a été présenté en contiguïté avec un stimulus inconditionnel (réponses automatiques)
Conditionnement classique ou répondant
29
- Forme d’apprentissage selon laquelle on modifie la fréquence d’un comportement en en manipulant les conséquences (comportements qui n’étaient jamais apparus auparavant)
Conditionnement opérant ou instrumental
30
on observe le comportement qu’on veut transformer et on regarde ce qui l’a précédé et ce qu’il déclenche et on réussit à l’améliorer ou à le réduire selon les effets de contingences choisies.
Analyse expérimentale du comportement
31
diminution d’apparition d’une réponse par la suppression des conséquences associées à cette réponse
Extinction
32
Méthode qui permet à un organisme d’acquérir un comportement absent de son répertoire de comportements. Il requiert le renforcement d’une succession d’approximations ou de réponses se rapprochant de plus en plus du comportement visé.
Façonnement/Modelage
33
le sujet n’émet pas la réponse conditionnelle suite à un stimulus non identique au stimulus conditionnel (le chien qui salive à un grelot mais pas à tous les grelots)
Discrimination
34
processus qui permet qu’une réponse déclenchée par un stimulus conditionnel particulier puisse être émise en présence d’un stimulus ressemblant au stimulus original. Ex : chien qui salive lorsque le téléphone sonne
Généralisation
35
Ensemble de construits personnels hiérarchiquement organisé qui constitue la personnalité (processus actif, dynamique, qui change)
Système de construits
36
construit qui occupe une position élevée dans l’organisation du système de construits personnels et qui inclut des construits subordonnés ou inférieurs
Construit supérieur
37
axiome selon lequel l’être humain révise constamment son interprétation de l’univers et est toujours susceptible de modifier un construit en faveur d’une alternative rendant mieux compte de nouveaux éléments
Alternativisme constructif
38
construit qui fait partie des fondements du système de construits personnels d’un individu et qu’on ne peut modifier sans altérer l’ensemble du système, ce qui ne semble pas le cas des construits périphériques
Construit central
39
structure conceptuelle dichotomique à partir de laquelle l’être humain interprète les éléments d’une expérience existentielle dont il veut établir la cohérence. Le construit se fonde sur au moins 3 éléments d’une situation donnée, dont 2 semblables qui constituent le pôle de similitude et un 3e qui contraste avec les 2 premiers et qui constitue le pôle de contraste.
Construit personnel
40
émotion suscitée par la perception de l’imminence d’une menace ou d’un danger ; celle-ci surgit lorsque l’individu prend conscience que les événements qu’il perçoit se situent hors du champ d’application de son système de construits.
Anxiété
41
émotion qui survient lorsque l’individu prend conscience qu’un nouveau construit est sur e point d’être intégré à son système de construits.
Peur
42
perception de l’individu qui prend conscience de l’imminence d’un changement majeur qui ébranlera son système de construits
Menace
43
Influences réciproques entre deux ou plusieurs variables (par exemple, l’interaction constante, décrite par Bandura, entre les facteurs inhérents à la personne et les facteurs environnementaux).
Déterminisme réciproque
44
conséquences prévues de comportements spécifiques dans des situations spécifiques. On ne vient pas au monde de façon neutre, on a des valeurs
Attentes
45
concerne leur propre capacité d’accomplir des tâches et de relever des défis dans divers types de situations
Croyances
46
événements souhaités qui motivent la personne sur de longues périodes et lui permettent de dépasser les influences du moment. Certains objectifs peuvent être privilégiés selon les occasions, l’environnement et le sentiment d’auto efficacité.
Objectifs
47
unité structurelle reflétant la capacité de l’individu à résoudre les problèmes ou à s’acquitter des tâches liées à l’atteinte de ses objectifs, les difficultés de la vie
Compétence
48
le comportement se maintient non pas strictement à cause des conséquences immédiates, mais à cause des attentes, ou conséquences prévues. Les attentes permettent de réfléchir au comportement avant d’agir.
Processus
49
normes apprises pour renforcer le comportement (par la fierté, la honte, etc.) afin de le réguler et de le maintenir, et qui font à présent partie de l’individu.
Normes internes
50
processus par lequel l’individu se récompense ou se punit lui-même ; il suppose des réponses auto évaluatives comme les félicitations ou la culpabilité ; il est particulièrement important pour l’autorégulation du comportement sur de longues périodes.
auto-renforcement
51
processus par lequel l’individu régule lui-même son comportement
Auto-régulation
52
processus par lequel les gens font un apprentissage simplement en observant le comportement d’autres individus (modèles) Ex : le comportement agressif peut s’apprendre avec des émissions
Apprentissage par observation
53
processus par lequel les gens reproduisent des comportements appris en observant autrui. 2 façons : acquisition et manifestation
Modelage
54
apprentissage de nouveaux comportement ; ne dépend pas de la récompense
Acquisition
55
Production de comportements appris (acquis) ; dépend de la récompense (expériences positives)
Manifestation
56
événements externes qui font suite à un comportement et qui influent sur le rendement futur
Conséquences externes directes
57
conséquences faisant suite au comportement d’autrui observés par l’individu influant sur le rendement futur
Conséquences observées chez autrui
58
conséquences du comportement de l’individu que celui-ci engendre lui-même (conséquences internes) et qui jouent un rôle crucial dans l’auto-régulation et la maîtrise de soi.
Conséquences auto-générées